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Le chien de ma voisine. – Chapitre 2




Petit résumé:

Ma vieille voisine a dû se faire hospitaliser deux jours, suite à une chute.

Je m’occupe de son chien, un grand caniche argenté. Nous nous entendons très bien. Au point qu’il m’a initié à la zoophilie.

******

Ce matin, je me suis réveillé tard. Bobby, sur le tapis, bailla et vient me saluer.

Il m’a sailli trois fois, hier. Le matin, dès que nous sommes rentré de sa promenade. En fin d’après midi et cette nuit, après la sortie du soir.

Bon chien!

J’ai eu beaucoup de plaisir à être sa chienne durant ces deux jours et deux nuits.

Nous avons un peu exagéré avec mon anus, il est gonflé et sensible. Il faut dire que je me suis laissé défoncer selon son instinct, sauvagement. Sa bite, qui n’a pas l’air si grosse que cela, m’a ravagé et distendu le cul.

On sonne. Bobby est déjà à la porte.

Ma voisine est de retour. Bobby lui fait la fête. Il jappe, saute, lèche. Il y en a aussi pour moi.

Ma voisine rit et me dit:

-" On dirait que ça s’est bien passé entre vous.

Vous venez boire un thé? Au fait, je m’appelle Viviane. On se tutoie?"

Je la suis, rapportant la couverture et la gamelle de son chien.

Je lui dit qu’elle a l’air en pleine forme, comme d’habitude.

Elle me répond qu’après le décès de son mari, elle a perdu plus de trente kilos et que depuis elle pète le feu, été comme hiver.

Bien sûr, elle a un peu mal par-ci par-là…

Mais son Bobby la rend tellement heureuse qu’elle oublie tous ses soucis.

– " N’est-ce pas, mon coquin?" Il renifle son entrejambes, elle le repousse doucement lui chuchotant

-" Plus tard, mon Bobby" Il vient me sentir aussi, elle le retient en s’excusant

-" C’est un véritable obsédé sexuel. Il ne t’a pas trop ennuyé?"

Je rougis violemment, voudrais disparaître sous terre. Elle rit de bon cur.

Je me suis trahi!

Me regardant au fond des yeux, elle pose sa main sur ma jambe et me dit tout bas

-" C’est bon, hein?" La glace est brisée.

Elle me regarde, sérieuse, puis pensive.

Viviane à du être très belle dans sa jeunesse, ses traits sont harmonieux. Un petit nez, dans un visage assez large avec de beaux yeux bleus pétillants. Un joli sourire franc et sans retenue.

Bien sur, maintenant, elle est toute fripée, mais elle a conservé son charme juvénile.

Sérieuse, elle me prend les mains, plante son regard dans le mien et me dit:

-" Veux tu me faire plaisir? Depuis que mon mari est tombé malade, ça fait dix ans maintenant, je n’ai plus fait l’amour, sauf avec Bobby.

J’ai bientôt 78 ans, et je veux à nouveau connaître le plaisir avec un homme avant de m’en aller."

L’autre nuit, j’ai eu le fantasme pervers de coucher avec elle et son chien, mais je n’y avais pensé que le temps d’une masturbation. Elle est vraiment trop vieille!

Mis là, face a sa proposition directe, je me sens moins sûr de moi. Je me rends compte que je bande. Elle s’en aperçoit aussi, et rit joyeusement. Elle se lève et rapporte le plateau du thé à la cuisine.

Resté seul, je me rends compte que son invitation me fait beaucoup d’effet et je sens mes principes fondre comme neige au soleil. Après tout, depuis deux jours, j’en avais déjà abandonné beaucoup.

Elle revient, me regarde en souriant et, constatant mon état qui s’est encore aggravé, elle me demande:

-" Maintenant?"

C’est le milieu de l’après-midi et le soleil éclaire en plein dans la chambre.

Je me lève et je l’embrasse. Je lui murmure

-" Oui!" Elle s’apprête à tirer les rideaux. -" Laisse, je veux te voir."

Sans manières, avec grâce et naturel, à contre-jour devant la fenêtre, elle défait les boutons de sa chemise, laisse glisser sa jupe, roule son collant et enlève sa culotte.

Elle est assez grande, à peine voûtée. Sa posture est fière.

Sa silhouette est fine, la taille joliment marquée, un mignon petit ventre bombé. Les jambes et les bras plutôt maigres. Les cheveux mi-courts, très blancs.

Ses petits seins, qui devaient être très beaux autrefois, sont maintenant vides et pendent en louchant un peu.

Ses tétons, eux, sont bien droits et raides, ce qui les fait paraître énormes au bout de ces petits sacs pendants. L’intérieur de ses bras est tout fripé et sa peau, trop grande maintenant, forme de longs plis du coude à l’aisselle.

Son dos est comme un rideau de théâtre froissé, de chaque côté de sa colonne vertébrale saillante.

Son ventre flétri est parcouru de plis, formant des motifs sinueux.

L’intérieur de ses jambes aussi est complètement relâché. Des plis de peau rejoignent son sexe aux poils blancs, mis en valeur par le large espace séparant le haut de ses cuisses. Ses fesse, bien que pendantes et plissées ont encore un peu de volume. Sa peau molle est très claire, très fine, laissant transparaître un réseau bleuté de veines et de vaisseaux.

Je me sens très excité par ce corps chiffonné.

Tout en la regardant faire, je me suis déshabillé moi aussi. Elle s’approche un peu, se cachant le sexe et les seins, me disant:

-" Tu ne peux pas savoir comme je suis contente de voir un joli garçon dans ma chambre!"

Elle me détaille quelques instants.

-" Oh! Tu me donnes des frissons!"

Elle se précipite contre moi et me serre dans ses bras, plaquant tout son corps contre le mien!

Woaaawhh! Je n’avais jamais senti de contact aussi doux, sauf peut-être lors d’une soirée mousse sous extasy, il y a longtemps.

Elle est frêle et musclée à la fois. Sa peau est si fine et douce. Elle coulisse sur ses petits muscles. Je sens ses articulations comme si je les touchais directement, sensation très étrange. Je bande fort, ma queue bat contre sa chatte.

Les plis de sa trop grande peau font des vagues et glissent entre mes doigts. J’ai l’impression qu’elle est vêtue de crème Chantilly.

Je la sens trembler contre moi et elle me serre dans ses bras à la limite de m’étouffer. Elle respire très vite dans mon cou.

Soudain, elle me mord en poussant un cri rauque et s’immobilise, tous ses muscles tendus à se rompre, le souffle bloqué, vibrante…

Elle chancelle, ses genoux ne la portent plus.

Je la soutiens jusque au lit, m’assois tout au bord et me laisse doucement aller en arrière, l’entraînant sur moi.

Sa respiration se calme. Elle me murmure :

-" Merci"

J’ai énormément de plaisir à lui caresser le dos et les fesses. J’ai l’impression de malaxer de la crème épaisse. Elle est si douce et si légère!

Mon sexe, tendu à mort s’appuie contre le sien. Elle bouge un peu son bassin et se frotte contre ma tige. Ça glisse.

Surprise, elle se touche la chatte. Elle rit.

-" Moi qui pensais être définitivement sèche…"

Elle profite de la position pour se cambrer et pousser mon bout dans sa grotte suintante de désir.

Elle reste ainsi un moment, immobile, soupirant, gémissant doucement. Je sens des frémissements au bout de ma queue.

Lentement, elle se redresse, nous emboîtant de plus en plus profondément l’un dans l’autre. Je caresse avec délice ses seins pendants, joue avec ses mamelons semblables à des framboises.

Elle s’appuie de ses mains sur mes genoux, se cambre, la tête rejetée en arrière. Son cou tendu fait ressortir ses tendons et ses clavicules.

Elle cherche du bassin le fond de son fond, et reste à nouveau immobile, tendue, poussant un très long gémissement, jusque au bout de son souffle.

Je malaxe et chiffonne son ventre et sa poitrine flasque.

Elle remue lentement son bassin autour de mon pieu fiché en elle. Je vois son bas ventre se gonfler, tendant la peau et faisant ressortir les veines bleues qui la parcourent. De temps en temps, elle reprend son souffle, très rapidement, comme si elle nageait.

Son ventre enfle encore plus.

Je saisis ses gros tétons et tire sur les sacs qui étaient ses seins. Elle émet un cri rauque, du plus profond de ses entrailles, et son vagin se contracte violemment en une longue suite de spasmes Tout son corps en est agité, ses ongles plantés dans mes genoux.

Je sens son jus couler sur mes couilles.

Je jouis comme un fou dans sa vieille chatte palpitante et brûlante.

Viviane s’écroule sur moi, vibrante, épuisée.

Elle trouve quand même la force de me faire des baisers langoureux dans le cou en gémissant tout faiblement.

Je suis tout remué par cet assaut de tendresse.

Je sens quelque chose de froid se presser entre mes genoux. Salut Bobby!

J’écarte les jambes en grand et il nous lèche consciencieusement. Nous sommes toujours encastrés et ressentons chacun les frissons de l’autre sous la langue râpeuse du chien.

Au bout d’un moment, il se lasse, ne trouvant plus de friandise.

Après m’avoir embrassé, Viviane me quitte dans un joli bruit de succion et se se laisse tomber à coté de moi, une jambe sur la mienne, l’autre pied sur le bord du lit. Nous nous caressons pendant que Bobby se régale de nos jus. Il n’en laisse aucune trace, ni dehors, ni dedans.

Viviane jouit une nouvelle fois, doucement et longtemps.

A suivre…

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