Mon Maître adoré,

Je vis désormais chez Maître FX. Je m’habitue doucement à cette nouvelle vie. J’accepte avec courage et plaisir, le port des accessoires et les contraintes imposées par Maître FX. J’ai dû rédiger une annonce pour le site Internet du groupe des Maîtres de Chareil. Ce groupe regroupe un nombre important d’éducateurs chevronnés. J’ai dû faire des photos, des exhibitions et une présentation détaillée des pratiques que je réalise sans aucune difficulté. Le résultat a été rapide. Voici ce qui m’est arrivé.

Hier après-midi, au travail, le téléphone sonne. Je décroche et me présente naturellement. Mais au bout du fil j’entends :

— Bonjour 55, comment vas-tu ?

— Bien Monsieur. Que voulez-vous ?

— Pour le moment, tu te tais et tu écoutes ce que j’ai à te dire…

— Bien Monsieur…

— Tu termines à quelle heure ce soir ?

— Je finis à dix-huit heures.

— Bien, je t’attends au Bar des Tonnelles, près du lac, tu connais ?

— Oui Monsieur,…

— A dix-huit heures quinze précises. Compris ?

— Oui Monsieur…

— A tout à l’heure.

La communication est coupée. La tonalité de la rupture de ligne avec sa sonnerie stridente et hachée me sonne à l’oreille. Pendant tout le reste de l’après-midi, je ne suis pas à mon travail. Je pense au rendez-vous qui m’a été fixé par ce monsieur. Je ne le connais pas et je suis dans l’obligation de lui obéir, de suivre ses ordres sans rechigner. Dix-huit heures sonnent. J’ai fermé mon PC depuis quelques minutes. Je suis prête. Je prends ma voiture. J’ai une dizaine de kilomètres à parcourir pour arriver un Bar des Tonnelles au bord du lac. Je garde ma voiture dans le parking. Une dizaine de voitures de classe sont stationnées : BMW, Audi, Mercedes rivalisent de beauté. Je pénètre dans le hall. Le maître d’hôtel m’accueille :

— Mademoiselle ?

— Je suis attendue…

— Oui je sais, suivez-moi !

Il me tourne le dos et part vers les salons. Je le suis. Il s’arrête devant une porte. Il l’ouvre et s’écarte pour me laisser le passage. J’entre dans un salon très luxueux. Je ne connais pas l’homme que je vais rencontrer. Je ne sais pas du tout ce qui va bien pouvoir m’arriver. Une certaine appréhension monte en moi. La lumière est tamisée. Au centre du salon, dans l’un des fauteuils, un homme est assis. Il fume le cigare. J’avance vers lui.

— Bonsoir Monsieur…

— Reste là, dos à la fenêtre et face à moi, je m’appelle Patrice.

Je m’installe le plus confortablement.

— Ecarte tes pieds !

J’obéis. Le temps passe. Il fume tout en me regardant. J’ai mis spontanément mes mains dans mon dos. Il se lève. Il est grand, élancé. Il a environ 35 ans. Il devant moi. J’entends un toc-toc à la porte. Patrice va ouvrir. Je regarde le sol. Deux hommes entrent dans la pièce. Je le sais grâce aux bruits de pas sur le parquet. Ils viennent s’asseoir dans le salon, face à moi. Sans préambule, Patrice m’ordonne de me déshabiller.

J’hésite mais je pense aux conséquences auxquelles je m’expose en refusant les ordres donnés. Déconcertée, je lance sans réfléchir :

— Il n’était pas prévu que vous soyez plusieurs…

Patrice me rappelle durement avec un ton qui ne supporte aucune contradiction :

— Tu dois faire tout ce que je veux ! Déshabille-toi maintenant !

Intimidée et regrettant ma rebuffade, je commence à me déshabiller. J’ôte ma veste et la pose sur le dossier du fauteuil derrière moi. Je croise encore mes bras dans le dos. Les hommes me fixent, me détaillent. Mon soutien-gorge fait sensation. L’excitation de l’exhibition fait dresser les pointes de seins. Je les sens se tendre vers eux. Elles se gonflent de sang. Le silence qui nimbe la pièce est pesant. Ils me dévorent des yeux. Patrice ordonne :

— Allez, continue !

Je veux me libérer de mon soutien-gorge, mais l’un des hommes stoppe mon geste :

— Non, garde-le !

Avec un peu d’hésitations, je retire ma jupe. Elle tombe à mes pieds. Je m’accroupis pour la ramasser. Je la lance sur le fauteuil où elle rejoint ma veste. Je suis maintenant en soutien-gorge troué, en string, bas résille et talons hauts. J’ai les pieds écartés et les mains dans le dos, comme tu me l’as déjà appris. Maître FX aussi aime que je sois en position d’attente.

— Continue, mais lentement, très lentement…

J’enlève mon soutien-gorge, libérant mes seins, larges et lourds. Instinctivement, je mets mes bras en travers de ma poitrine. Patrice m’ordonne :

— Rectifie ta position !

Je passe mes mains dans mon dos. Patrice corrige ma tenue :

— Cambre-toi, redresse la tête et baisse le regard !

J’obéis. Le plaisir et la honte se mélangent. Un bonheur, une joie me submerge.

— Continue !

Je retire mon string. Je garde les cuisses serrées au maximum. Je ne porte plus que mes bas et mes chaussures. Nue, debout au milieu du salon, mon corps est offert aux regards de plus en plus pénétrants des trois hommes. Je frissonne de peur et d’appréhension. Les hommes se sont de nouveau assis. Ils ont dégagé la table basse et m’ont demandé de me placer au centre des fauteuils. Je ne sais quoi faire.

— Et maintenant ?

Patrice est le chef du groupe. Il m’ordonne :

— Tais-toi et viens par ici !

Il se dirige vers la deuxième pièce. L’un des autres hommes s’approche de moi. Il sort de sa poche un bandeau de soie noire. Il me bande les yeux. Je ne pourrai pas voir ce qui va m’arriver. Une main me fait tourner dans la pièce. Le noir me terrorise. Il m’a toujours terrorisée. Le bandeau autour de la tête m’empêche de voir la suite des événements. Je ne peux plus rien faire. Je deviens passive à tout ce qui va se passer. Je suis à la merci de ces trois hommes. Je suis totalement passive. Je me laisse faire, je suis me laisse guider entièrement. On me guide vers le centre de la pièce. On m’arrête. On me pousse en arrière. Je suis bloquée au milieu des cuisses par un meuble. Apparemment, c’est une table. On me fait coucher sur le dos. Mes mains et les pieds sont attachés aux quatre coins. Je suis écartelée. Un léger vrombissement trouble le silence. Un système électrique manuvre la table sur laquelle je suis attachée. Mes pieds sont soulevés en l’air. Je repose sur la table que par les épaules.

Je suis exposée aux regards de ces trois hommes. Ils scrutent mon entrejambe. Il faut dire que depuis que je vis chez Maître FX, je suis toujours pluguée et engodée. L’un des hommes parle :

— Je la trouve très bien équipée, qu’en pensez-vous mes amis ?

La conversation s’engage entre eux :

— C’est la première fois que je découvre une femme équipée ainsi, c’est surprenant !

— Très juste mon ami, surprenant est le mot juste…

Patrice reprend la parole :

— Mes amis, si nous souhaitons profiter de cette belle et gentille personne, il va falloir la libérer de ces postiches. Alain, voudriez-vous vous acquitter de cette tâche ?

— Avec plaisir Patrice !

Une main se place sur mon pubis et le tend vers le haut. Mon sexe est exhibé. De son autre main, il saisit l’anneau situé à l’extrémité du gode. Glissant son index, il retire l’olisbos. La résistance à l’arrachage le surprend :

— Pousse, salope !

Je l’aide. Je pousse sur cet objet, comme une femme qui accouche. Le premier renflement sort de mon vagin avec un bruit humide. Il s’étonne :

— Elle est remplie avec un gode à bourrelets !

Pour voir ma réaction, il tire d’un coup sec et libère trois bourrelets. Je pousse un "oh" de surprise ! Mais instantanément, il repousse vers l’intérieur le sexe de plastique, à fond. Je cherche ma respiration. Les bourrelets ont fait entrer dans mon vagin les lèvres de mon sexe. J’ai mal. Je serre les dents. Il s’amuse à faire entrer et sortir de mon ventre l’objet. Le va-et-vient génère des clapotis gluants. Les mouvements du sexe en plastique dans mon vagin commencent à m’échauffer les sangs. Je mouille de plus en plus. L’homme qui manuvre le gode s’en aperçoit :

— Elle mouille cette salope, ce traitement lui plaît, dois-je continuer mes amis ?

— Si elle jouit, elle sera moins disponible pour nous, qu’en pensez-vous ?

— C’est bien vrai. Alain arrête ces mouvements aux bruits obscènes…

Le dénommé Alain arrache plus qu’il ne retire le sexe factice de mon ventre. Le bruit est semblable à un bouchon d’une bouteille. Un "pop" retentit dû à la taille de l’objet par rapport à la dimension de mon vagin.

— Mes amis, je dois aussi libérer son entrée arrière qui est occupée…

Patrice s’agace :

— Retire tout ce qui obstrue ses trous et que nous nous amusions de cette poule !

Alain saisit l’anneau du plug et tire d’un coup sec. Je ne peux retenir un cri tant la douleur est violente. J’ai l’impression que mon gros intestin est resté collé à l’objet de métal. Mes tripes doivent être sorties par mon trou du cul.

— Bien, nous allons pouvoir nous amuser tranquillement…

Je suis toujours immobilisée par le bondage les fesses en l’air. Le bandeau m’aveugle. Je frissonne de plus belle. Le plaisir d’être à la merci d’hommes me rend folle. Mon sexe se liquéfie. Le léger vrombissement se fait de nouveau entendre. La machine me repose sur la table. Les hommes sont autour de moi. J’entends leurs respirations. Ils commencent à me toucher. Des mains parcourent mon corps, le caressent, le touchent. Une main se pose sur mon mollet. Lentement, elle remonte le long de ma jambe, franchit mon genou. Elle arrive à la bande élastique de mon bas. Elle hésite puis se décide. Elle touche la bande de peau douce et soyeuse de ma cuisse. Les doigts effleurent négligemment ma peau. Ils courent sur cette chair disponible. Ils tâtent, jaugent, apprécient ce morceau de mon anatomie. Puis elle continue, glisse sur ma hanche et s’arrête sur mon ventre, entre mon nombril et mon mont de Vénus. La main est chaude. Mon sein gauche est assailli par une autre main. Elle me pelote. Mon sein est caressé amoureusement, palpé, tâté.

Mon téton est pincé entre des doigts durs. Une autre main attaque l’autre sein. Elle est plus douce que l’autre. Les caresses sont différentes et presque aussitôt, m’arrachent de petites vagues de plaisir. Attachée aux quatre coins du meuble, il m’est impossible d’éviter les attouchements que me font subir les trois hommes. Subir est un bien grand mot, car j’aime ces caresses données, distillées par des inconnus. Les mains se font plus curieuses, plus fouineuses. Elles ne s’embarrassent pas de préjugés. Elles deviennent de plus en plus salaces. Les attouchements deviennent plus intimes. La main qui est posée sur mon ventre depuis le début, descend vers mon sexe. Elle passe sur mon mont de Vénus glabre. Elle en apprécie la douceur. Virginie, après m’avoir épilée, m’enduit de crème de soin. Mais elle ne s’éternise pas sur cette partie de mon anatomie. Elle cherche autre chose. Une partie plus intime, plus secrète de mon corps. Elle empaume mon sexe, caracole sur mes grandes lèvres. Au bout de la cavalcade, l’index trouve mon clitoris.

Aussitôt, il commence à danser une sarabande sur cette partie si sensible de mon anatomie intime. La stimulation est idéale. Des doigts entrent sans difficulté dans mon vagin. Ils me génèrent un plaisir sale, honteux. Je mouille comme une folle. Je coule comme une fontaine. Mon jus coule entre mes fesses et vient humidifier mon petit trou. Il est toujours ouvert, mais moins béant que lors du retrait du plug métallique. Un autre doigt profite de l’humidité qui règne aux alentours de mon trou du cul pour me caresser l’anus. La caresse est légère et de courte durée. Il s’insinue sans ménagement dans mon anus. Malgré mon habitude de ce genre de pénétration, le port du plug a rendu mon anus est très sensible. Mon fondement et mon ventre sont irrités. Je crie ma douleur. Les mains continuent leur pelotage. Mes seins sont gonflés, mes tétons en feu. Je ne sais pas combien de doigts ont investi mes entrailles. Mon sexe est plein, mon anus aussi. Trois ou quatre dans chacun de mes orifices. Mes gémissements sont continus.

Le plaisir monte dans mon ventre. La boule est en formation dans mon ventre. Elle gonfle, s’enfle. Je ne vais pas tarder à partir, à m’envoyer en l’air, à grimper aux rideaux. D’un seul coup, tout s’arrête. Plus rien ne se passe. Pourtant j’entends autour de moi des frottements, des murmures. Quelque chose de chaud et humide touche ma joue. C’est une queue dure et rigide. Elle se frotte sur mon visage et sur ma joue. Elle pousse plus loin et le casque lisse et brûlant vient se poser sur mes lèvres. Je garde ma bouche close. Une voix dure m’ordonne :

— Ouvre la bouche !

Surprise dans mon état de semi-béatitude, je n’obéis pas instantanément. Les doigts qui me procuraient du plaisir quelques secondes avant se referment sur ma pointe de sein. J’ai mal. J’obéis. J’entrouvre mes lèvres. Le pénis s’engouffre dans ma bouche, forçant le passage de mes lèvres. Au passage, le gland se râpe sur mes dents. La réprimande est rapide :

— Salope, ouvre grand ta bouche !

Une claque sur la joue me rappelle à ma condition d’esclave. Le sexe s’introduit dans ma bouche. Pour me punir, son propriétaire s’enfonce le plus loin possible. Je manque de m’étouffer. Le gland bute sur ma luette générant immédiatement un haut-le-cur. Je tente de le repousser de la langue. Les doigts se referment une nouvelle fois sur mon téton. J’absorbe le chibre et commence à le sucer. Le sexe entame un mouvement de va-et-vient dans ma bouche. Il occupe toute ma cavité buccale. Je peine à respirer. J’ai peur. Je me raisonne : Calme-toi ma fille, contrôle-toi. Tu es là pour satisfaire ces trois hommes alors au lieu de paniquer comme une pucelle, essaie d’en profiter ! Je suce la queue comme si ma vie en dépendait. Les commentaires fusent :

— Regarde là cette salope, elle fait sa mijaurée et ensuite, elle te pompe comme une morte de faim…

— Très juste amis ! Remarque qu’avec le corps qu’elle a, elle peut nous régaler !…

— Comment cela "peut nous régaler " ? Elle doit nous régaler, nous satisfaire…

— C’est une véritable petite pute, une traînée. Je me demande si elle se rend compte de la chance qu’elle a, nous l’honorons comme une de nos femmes, alors que c’est une vraie putain…

Les paroles prononcées me blessent dans ma condition de femme. Mais malgré toutes les humiliations verbales, le fait d’être traitée comme un objet sexuel, me fait prendre un plaisir inouï. Je suis là pour faire jouir des hommes et tant pis si je ne prends pas le mien. Je n’ai pas le choix maintenant. C’est mon choix d’être pendant une année l’esclave soumise et obéissante de Maître FX. La pression dans ma bouche augmente. L’homme va se vider. Je me prépare à l’afflux de sperme. Il arrive à flots. L’éjaculation est importante. J’essaie d’éviter de m’étouffer avec la semence trop abondante en reculant ma tête. Mais je suis attachée et l’homme maintient ma nuque. Je ne peux rien faire, sinon déglutir le plus rapidement possible. J’ai tout avalé. Enfin presque, car sur ma joue, des traces de sperme ont coulé.

— C’est bien petite chienne…

Des mains me libèrent les poignets et les chevilles. On me tire en avant. Je reprends pieds sur le parquet. Je titube un peu. On me ramène au centre du salon sur le tapis. Deux mains se posent sur mes épaules. Un ordre claque :

— A genoux !

— Ce n’est pas fini ?

— Tu plaisantes, petite chienne lubrique, il te reste encore beaucoup à faire, à satisfaire…

Un des hommes se glisse entre mes jambes. Il est nu. Les poils de ses cuisses me chatouillent les mollets. Sa queue tape comme ma chatte. Un autre ordre retentit dans la pièce:

— Ecarte bien tes cuisses et viens t’empaler sur ma bitte !

Des mains saisissent mon bassin en me tenant par les hanches. La queue raide frappe à la porte de mon vagin. Pour faciliter l’introduction, je prends appui sur mes mains. Je suis maintenant à quatre pattes sur le tapis. L’homme ne prend pas de précautions. Il pousse comme une brute. Mes lèvres sont mâchées, froissées, et rentrées dans mon ventre. J’ai mal. Aussitôt le va-et-vient commence. La douleur génère le plaisir en quelques mouvements. Une queue se présente contre sa bouche. Une voix m’ordonne :

— Suce-moi salope !

— Je n’ai pas le choix. J’ouvre largement la bouche.

Le gland est là devant moi. Je tire la langue pour agacer la queue. Je l’ai. L’homme me le donne. De la langue, je cherche à ouvrir le méat, à recueillir quelques gouttes de liquide. Je titille, agace, et finalement gobe le gland. Il est brûlant. Le sexe s’enfonce au plus profond de ma bouche, fait des va-et-vient. Mon rythme cardiaque et ma respiration s’accélèrent. Je sens l’orgasme monter. L’homme qui a pris mon ventre est une brute. Il me pilonne, me fait sauter et retomber sur sa bitte comme si j’étais la boule d’un bilboquet. Chaque entrée se termine par un coup de buttoir au fond de mon ventre. J’ai mal. J’arrête ma fellation et me mets à crier. Mon cri est vite étouffé. La bite vient de rentrer de nouveau dans sa bouche. Je recommence à la sucer, tout en subissant le pilonnage de l’homme en dessous d’elle. Peu à peu, je commence à sentir le plaisir monter en moi. Je me relâche, me laisse aller. Soudain quelque chose s’appuie sur mon anus. Quelqu’un veut m’enculer. La verge force ma rondelle.

Le sexe me semble énorme. Je veux dire qu’il fasse doucement. Mais l’homme que je suce m’empêche de parler. Il me maintient et pousse sa queue au fond de ma gorge. J’ai un haut-le-cur. Il me semble que son anus se déchire sous la poussée violente du gland. L’entrée est difficile car l’homme m’encule à sec. Il n’a pas pris la précaution de m’enduire de mouille ou de salive ou de gel. Je suis prise par tous les trous. La douleur est là. Le plaisir n’est pas encore là. Mais je sens qu’il vient. Il gronde au fond de mon ventre. La respiration des hommes s’accélère. Leurs plaisirs montent. Les sexes grossissent. Ils vont se vider en moi. Mon plaisir arrive. D’un seul coup, les queues me quittent. Elles sortent de moi. Je suis à genoux. Je suis toujours aveuglée par le bandeau. Je sais que les hommes sont autour de moi. Un liquide chaud frappe mon son visage. Le liquide coule sur mes lèvres : c’est du sperme ! Ils ont décidé de se vider sur moi et non en moi ! Je suis déçue. Je ne jouirai pas ce soir.

Les larmes coulent sur mon visage. Tout à coup, je réalise que les hommes sont partis. Une main pourtant libère mes yeux. La lumière tamisée me permet de reconnaître le maître d’hôtel qui m’a accueilli :

— Voici vos vêtements, Madame.

— Y a-t-il un endroit où je peux me rafraîchir un peu ?

— Je suis désolé, Madame, ces messieurs m’ont demandé de vous remettre une lettre pour votre Maître, Monsieur François et de vous renvoyer rapidement chez lui. J’enfile ma veste et ma jupe. Le Maître d’hôtel m’accompagne dans le hall d’entrée et m’ouvre la porte :

— Au plaisir de vous revoir, Madame, bon retour…

Je regagne ma voiture. Je m’installe pour ne pas salir mon siège. Mon téléphone portable sonne. Je décroche. C’est Maître FX :

— J’espère que tu as passé un bon cinq à sept, chienne ! Je t’attends, tu as vingt minutes ! Et n’oublie pas de te garnir de nouveau !

La communication est coupée. Dans mon sac les deux olisbos sont là. Pour m’introduire le gode, c’est facile dans la voiture, mais pour le plug, c’est impossible. Je sors sur le parking. Je m’enfile le plug. Le sperme qui suinte me facilite l’introduction. Je m’assois doucement. La douleur est franche. Je pleure en démarrant. Je dois être à l’heure chez mon Maître.

A plus tard mon Maître adoré…

Charlotte.

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