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LA GROSSE CAVALERIE – Chapitre 1




LA GROSSE CAVALERIE

Ami depuis toujours du fils dun des propriétaires du haras local, je ne manque jamais une occasion de lui rendre visite.

Claude est un garçon adorable avec qui je mentends très bien, ses parents lui laissent la bride sur le cou, comme il dit, très occupés ils ne peuvent être partout.

Une gouvernante soccupe de la maison, discrète et dévouée, elle est partout sans quon puisse la voir mais rien ne lui échappe.

-Sylvain, tu as vu Mathilde ?

-Non pas encore mais elle ne doit pas être loin, comme dhabitude

-Je pense quelle est dans la buanderie, si tu as envie de la mater cest le moment

-La mater ? Elle fait quoi dans la buanderie ?

-Elle soccupe du linge je me suis branlé sur une culotte de ma mère dont le fond était bien taché et odorant, elle va obligatoirement tomber dessus, je voudrais voir sa réaction

-Claude, je ne vois pas où tu veux en venir

-Suis-moi tu vas comprendre

Mathilde trie les draps puis les enfourne dans la machine, vérifie sil reste de la place et vas vers un panier :

-Cest là que jai laissé la culotte de ma mère, bien en vue sur le dessus

-Claude, elle ne va pas détailler le linge quand même

-Si à cause de la température de lavage

Mathilde ouvre le panier et marque un temps darrêt :

-Elle vient de voir la culotte

Elle prend délicatement le sous vêtement, le regarde sous toutes les coutures, sattardant sur le fond puis elle le porte à son nez une fois, le regarde encore et recommence :

-Tu vois ce que je te disais, elle a bien compris

Non seulement elle hume la culotte mais il me semble quelle y porte ses lèvres :

-Elle va lécher mon sperme

-Claude, cest dingue de faire ça

-Il se pourrait quelle fasse autre chose

Sans retirer de son nez la culotte quelle tient de la main gauche, elle soulève sa jupe de la droite avant de la glisser entre ses cuisses :

-Elle va se branler, jen étais sur

Son bras sagite rapidement, la culotte entre les dents elle relève sa jupe le plus haut possible et glisse sa main gauche entre ses fesses :

-Regarde moi cette salope, elle se branle des deux cotés

Nous voyons très bien ce que fais la main entre les fesses, visiblement elle se ramone le cul avec trois doigts :

-Elle va jouir

Un soubresaut lui fait plier les genoux, un petit cri séchappe de sa bouche et elle retire ses mains, baisse sa jupe et reprend son tri.

Claude me fait signe que nous partons :

-Tu as vu ça, elle mâchouillait la culotte

-Et bien dis-donc, je naurais jamais cru ça delle

-Il ne faut pas se fier à leau qui dort. Je lai surprise en train de baiser avec deux lads dans un box, ça valait le coup dil

Un peu décontenancé par ce que je viens de voir je suis obligé de me tourner pour ranger ma bite à létroit dans mon slip.

Apparemment Claude bande aussi mais sans essayer de cacher la bosse qui gonfle son bermuda :

-Putain, elle ma fait bander cette salope

-Moi aussi, Claude Tu nas jamais essayé de tapprocher delle ?

-Non mais ce nest pas lenvie qui me manque. Jhésite quand même, cest comme si cétait ma mère

-A ta place, je ne sais pas ce que je ferais Claude, si tu avais loccasion de la baiser, tu sauras quoi faire ?

-Euh Pas vraiment, et toi ?

-Claude, jai déjà baisé Sonia, mal la première fois mais bien mieux la deuxième

-Tu ne me lavais pas dit

-Sa sur nous ayant vu faire, je croyais quelle te laurait dit

-Je ne vois plus Tina, elle est trop chiante. Sylvain, comment à-t-elle pu vous voir ?

-En revenant à limproviste, nous ne lavions pas entendu rentrer

-Et alors ?

-Alors rien, elle nous a vu à poil sur le lit de Sonia, je venais de la baiser et je bandais encore, ce qui na pas empêché Sonia de me sucer dailleurs, sous les yeux de sa sur

-Tu crois quelles sont complices ?

-On pourrait le croire sinon Tina aurait crié aux loups Tu nas jamais pu la baiser si je comprends bien ?

-Pas faute davoir essayé par contre mais je me suis fait éjecter, je ne baise pas avec un puceau, ma-t-elle dit

-Claude, ce nest pas la seule fille qui baise dans notre groupe, tu devrais chasser ailleurs

-Cest ce que je fais mais la seule qui ne me repousse pas est imbaisable

-Aucune fille est imbaisable Claude, il suffit dy mettre les formes et ça marche

-Que tu dis, tu ne connais pas Samira

-Claude, tous les garçons veulent baiser Samira, cest la plus belle des filles mais elle ne regarde personne. Si tu peux lapprocher la moitié du chemin est fait

-Jai déjà flirté avec elle mais ça sarrête vite

-Tu connais les origines de Samira, elle est phagocytée par sa famille, ses frères la surveillent comme le lait sur le feu, son père ne supporterait pas quelle ne soit plus vierge au mariage et sa mère ne lui a jamais rien dit. Un jour elle sest retrouvée avec du sang entre les cuisses sans savoir ce qui lui arrivait

-Sylvain, comment peux-tu savoir ça ?

-Par Sonia, les filles se parlent mon vieux, jai même une touche avec Lola grâce à Sonia

-Explique

-Sonia était vierge mais déflorée à cause des tampons hygiéniques, je nai pas eu à forcer pour la baiser, elle na pas pu jouir la première fois mais ça lui a bien plus quand même, la deuxième fois elle est montée aux rideaux, je lai même prise deux fois de suite

-Sans capote ?

-Euh oui mais je nai pas joui dedans, une fois sur son ventre lautre sur son dos Claude, je lui ai mis mon pouce dans le cul, elle na rien dit

-Mais que je suis con Alban me disait que pour baiser Samira, comme toutes les beurettes dailleurs, il faut lenculer

-Jy ai pensé aussi avec Sonia, je laurais peut être fait si sa sur narrive pas mais ma bite est bien plus grosse que mon pouce

-Sylvain, tu as vu que dans les films pornos les filles se font enculer par de grosses bites sans problème

-Ce sont des pros avec de lexpérience, pas nos copines

-Sylvain, il faut absolument que je baise Mathilde mais je ne sais pas comment my prendre

-Est-ce quelle voudra au moins ?

-Mais je nen sais rien, après ce que jai vu, la balle est dans mon camp

-Tu veux la faire chanter ?

-Mais non, juste arriver au bon moment la bite à la main, ça marchera ou non, mais jaurais essayé

-Dis-donc, jai aperçu le fond de culotte quelle tenait, pas très propre

-Quelques fois il nest jaune que devant et ça sent bien la pisse, mais sur celle que tu as vu, bonjour les traces de freins et ça sentait bien la merde

-Ta mère a dû soublier, ça arrive quand on pète

-Sylvain, ce nétait pas la première fois que je voyais ça mais là, les traces étaient luisantes, la merde ça ne brille pas que je sache

-Alors là, tu men demandes trop Tu penses à quoi ?

-Tu as déjà déchargé dans ton slip ?

-Oh oui, plusieurs fois

-Donc tu as pu voir le sperme séché

-Claude, tu penses que cétait du sperme sur les traces de matière ?

-Je ne vois pas dautre explication

-Cela voudrait dire que ta mère venait de se faire enculer et que le type avait déchargé dans son cul, ça pourrait bien être ton père, non ?

-Possible sauf que mon père est absent depuis deux jours et quil ne rentrera que demain

-Nen tire aucune conclusion Claude

-Ben voyons, il y à du sperme sur son fond de culotte coté cul, et je ne dois rien penser ?

-Tu ne mavais pas dit que tes parents étaient assez libres sexuellement ?

-Exact, mais ça ne permet pas à ma mère de se faire enculer en labsence de mon père

-Cest peut être un accord passé entre eux, il fait peut être la même chose de son coté, si ça se trouve ils se racontent tout

-Sylvain, je narrive pas à y croire

On frappe à la porte de la chambre de Claude :

-Claude, cest Mathilde, je peux entrer ?

-Entre Mathilde

Nous sommes assis au bureau face à lordinateur :

-Claude, je viens davoir un coup de téléphone de ton père, il narrive pas à joindre ta mère

-Son téléphone est en charge sur la desserte dans lentrée

-Ok Vous navez rien dautre à faire ? Il fait beau, faites un tour au manège, André débourre fleurette

Je regarde cette femme que je viens de voir se branler, impossible de lui donner un âge précis mais guère plus de la quarantaine.

Elle sattarde un peu dans la chambre, range quelques vêtements laissés nimporte où :

-Claude, tu pourrais ranger, je ne suis pas ta bonne

-Excuse-moi Mathilde Tu sais où est maman ?

-Avec le type qui livre le foin et la paille

-Mathilde, cétait ton copain, tu ne lui parle plus ?

-Mais si, par contre je ne sors plus avec lui

-Mathilde, tu ne sortais pas avec lui, tu rentrais

-Ne joue pas sur les mots, on ne se voit plus que quand il vient livrer

-Fâchés alors ?

-On peut le dire Ta mère va tomber de haut si elle se fait des idées

-Quelles idées Mathilde ?

-Cest un charmeur, il sait y faire le bougre et cest un bel homme

-Tu penses quil pourrait faire des avances à maman ?

-Je ne pense pas, jen suis sure. Cest un dragueur invétéré, toutes les femmes lintéressent, même les moches et je sais de quoi je parle

-Mathilde, tu parles de toi ?

-Non, de Philomène

-Ouah ! Ne me dis pas quil a dragué Philomène

-Mais si, je sais même où ils ont conclu !

-Parce quen plus il laurait

-Oui Claude, je peux même te dire quil lui a mis quelque chose, la pauvre nen revenait pas

-Qui est Philomène ?

-La fille dun employé parti à la retraite, formée par son père, elle soccupe des chevaux, étrillage, lavage et tressage des crinières, etc. le patron ne veut pas sen séparer tant elle fait bien son boulot. Elle est laide à mourir la pauvre, mais bon, elle a quand même droit au bonheur

-Il y à des hommes qui sen contentent, mais je ne comprends pas Michel

-Je ne peux pas tout te dire mais Michel est assez particulier, ta mère est au courant de cette particularité

-Je suppose que tu ne nous en diras pas plus

-Non Claude

-Mathilde, cest à cause delle que tu las quitté ?

-Mais je ne lai pas quitté, cest lui qui ma larguée

-Et bien sur, tu ne las pas remplacé

-Non Claude, ça me mâche un peu mais bon

-Tu es une belle femme Mathilde, tu dois être courtisée

-Jaimerais bien mais pour ça il faudrait que je sorte un peu et je nen ai pas envie

-Au haras, ce ne sont pas les hommes qui manquent

-Cest ça, je vais coucher avec le personnel, tu te rends compte de ce que tu dis ?

-Pourquoi pas, jen connais deux qui sont

-Claude, je ne le ferais jamais

-Le sexe ne te manque pas ?

-Claude, ça ne te regarde pas oh mais dis donc, tu ne serais pas en train de poser des jalons par hasard ?

-Mathilde, tu me connais depuis toujours, jai passé plus de temps avec toi quavec ma mère

-Ce qui ne tempêche pas de me suivre partout où je vais, tu nes pas très discret, pas plus quavec ta mère dailleurs

-Tu mas vu ?

-Oh oui et je passe derrière toi petit salaud, tu pourrais prendre un kleenex quand même

-Mathilde, tu ne mas jamais rien dit

-Peut être que je navais pas envie de le faire

-Tu entends ça Sylvain, elle me regardait épier ma mère

-Ce qui prouve que tu ne te cachais pas beaucoup

-Ben non, je ne la voyais jamais

-Claude, il me semble que tu népies plus ta mère, je me trompe ?

-Disons que ça ma passé mais je recommencerais si loccasion se présente

-Claude, je sais aussi ce que tu fais avec les culottes de ta mère, tu devrais quand même faire attention, elle pourrait sen apercevoir

-Ce nest pas elle qui fait la lessive. Donc tu as vu que je

-Oui Claude, et pas plus tard que ce matin

-Mathilde, tu es en train de nous dire que tu mates les culottes de ma mère ?

-Euh par la force des choses, tu les laisses bien en vue sur le linge sale

-Mathilde, ne tournons pas autour du pot nous tavons vue dans la buanderie, quel spectacle !

-Je me disais bien aussi, javais entendu quelque chose. Et alors ?

-Alors rien, la culotte entre les dents, une main devant et lautre derrière, tu as bien joui

-Vous êtes des petits salauds, il ny a pas dautre mot

-Mathilde, réponds franchement, tu savais que nous étions dans le couloir ?

-Oui, je le savais, jai même pensé un moment que vous alliez venir me rejoindre

-Tu aurais aimé ?

-Quand je suis excitée il peut se passer beaucoup de choses, votre présence ne maurait pas dérangée, cest sur

-Je te signale que nous sommes toujours là

-Ce nest pas le moment, ta mère peut revenir dun moment à lautre et je nai pas envie quelle me trouve en train de batifoler avec son fils et son copain Je vais vous faire une confidence, ta mère part demain matin et ne rentrera que très tard avec le van chargé dune jument à faire saillir par létalon que ton père a acheté le mois dernier

-Et papa ne sera pas là non plus. Cest une proposition ?

-Une information Claude, tu en fais ce que tu veux

-Tu baiserais avec nous si je comprends bien ?

-Jen serais ravie mais cest vous qui voyez jentends du bruit, je file

Claude semble éberlué par ce quil vient dentendre :

-Sylvain, elle a bien dit quelle baiserait avec nous, ça te branche ?

-Oh oui, jai encore plein de choses à apprendre

-Et moi donc

-On va faire un tour, je te présenterais Philomène, mais ne tattends pas à voir un canon. Elle est grande, un peu enrobée, gros seins, gros cul et elle sent le cheval

-Et elle baise si je comprends bien

-Jai entendu des choses sur elle mais cest tellement étonnant que je ny crois pas

-Quas-tu entendu ?

-Un des lads disait quelle navait pas son pareil pour faire bander les chevaux rien quen les étrillant, il parait quelle sait où les toucher

-Quel intérêt de faire bander un cheval ?

-Ça se voit que tu nas jamais vu un étalon en érection, ce qui se développe sous leur ventre est phénoménal, un truc de 40 centimètres de long, pas trop gros au bout mais la base est énorme

-Tu en as déjà vu ?

-Oui, ado, jai assisté à quelques saillies en me planquant dans un box, mon père ne voulait pas que je voie ça, maintenant il ne dit plus rien

-Ça texcite de voir ça ?

-Plus maintenant mais javoue que ça me faisait bander. Tu sais, il y à des gens qui paient pour voir une saillie

-Ah bon ?

-Les lads se font un peu de gratte en agençant un box au bord de la cour

-Tu as pu voir ce qui se passe dans ce box ?

-Oh oui, depuis le fenil, derrière des planches disjointes. Jai vu des femmes se branler et des hommes aussi dailleurs mais cest vachement rapide une saillie, 20 secondes tout au plus

-Ils ont le temps de jouir ?

-Non mais sil y à deux ou trois saillies, les femmes ont le temps de se faire baiser et elles peuvent jouir

-Claude, depuis le temps que je viens ici, tu ne mas jamais montré ça

-Dune part il ny en à pas tous les jours, et dautre part, je ne savais pas si ça te plairait

-Je nen sais rien, peut être que ça ne me plaira pas mais si je nai pas vu, comment le saurais-je ?

-Jirais voir sur le planning la date de la prochaine

-Il y aura des gens ?

-Alors ça je nen sais rien Cest pas marqué, tu penses bien

Nous traversons la grande cour, un porche et nous entrons dans une cour plus petite bordée de box, vides pour la plupart.

-Cest ici que se passent les saillies, le faux cheval cest le boute en train quand on veut seulement récupérer son sperme, sinon, la jument est attachée là bas

-Le cheval bande rien quen voyant le mannequin ?

-Mais non, on lui présente une jument en chaleur, il bande et se rue sur le boute en train enduit des odeurs de la femelle. Un lad lui prend le sexe et le fourre dans une éprouvette pour récupérer le sperme

-Ok ça ne leur fait rien de toucher cette grosse pine ?

-Tu devrais leur demander, par contre, certaines femme aimeraient bien y toucher, je lai entendu dire

-Cest dingue ça Chez mes grands parents, jai entendu raconter quune femme faisait bander un âne, quelle le suçait et même quil lui arrivait de se faire baiser

-Sylvain, je ne lai jamais vu faire mais je sais que certaines femmes ont essayé avec un cheval

-Tu déconnes, si la pine est si grosse que ça, leur chatte va éclater

-Sylvain, tu demanderas à Philomène

-Elle se fait baiser par un cheval ?

-Pas que je sache, mais elle est de toutes les saillies, surtout quand cest avec les pottocks. Des petits chevaux basco-navarrais super endurants, la race à failli séteindre

-Ne me dis pas quelle baise avec

-Sylvain, je ne lai jamais vue faire mais je sais quelle en parle souvent avec les gens qui viennent voir les saillies

Nous contournons le bâtiment pour entrer dans la sellerie, Philomène est assise sur un plot en bois pour astiquer une selle posée sur un chevalet.

Elle se lève en nous voyant et savance vers nous :

-Bonjour Claude, quel bon vent tamène ?

-Salut Philo, je montrais le haras à mon copain Sylvain

Cette femme est bien plus grande que moi qui ne suis pourtant pas tout petit, sa combinaison double zippée moule son corps, cest sa poitrine quon voit en premier, et quelle paire de seins que la combinaison écrase un peu.

-On dirait quil manque des chevaux

-Trois juments sont parties et cinq vont venir les remplacer, nous sommes un haras pas un élevage

-A propos, tu sais quand il y aura une saillie ?

-Faut voir le planning, pourquoi ?

-Mon copain voudrait voir ça

-Il veut voir quoi, un étalon monter une jument ?

-Euh oui Je lui ai parlé de la taille du sexe dun cheval, cest surtout ce quil voudrait voir

-Très beau spectacle, surtout chez les étalons. Voir cette splendide pine frapper leur ventre est assez émouvant, je dois le reconnaître

-Philo, un étalon ça ne bande pas à la demande, nest-ce pas ?

-Tout à fait mais on peut utiliser un subterfuge

-C’est-à-dire ?

-Il y à certains endroits du corps dun cheval qui sont très sensibles, quand on y touche comme il faut, ça peut les faire bander mais le mieux cest léponge magique. Nous avons une éponge naturelle enduite des odeurs dune jument en chaleur, cest radical

-Tu pourrais nous montrer

-Claude, je ne sais pas si je peux

-Mais si Philo, sil te plait

Elle va dans un placard prendre une boite en métal doù elle sort une grosse éponge naturelle qui pue à vomir :

-Voilà, cest le viagra des étalons

-Tu leur passe ça sous les naseaux et ils bandent ?

-Oh oui, celle-ci est imbibée dhier, ça devrait bien le faire venez avec moi

Nous nous dirigeons vers un box où repose un alezan superbe :

-Avec lui ça devrait marcher, en plus il est doux comme un agneau

Elle contourne le cheval et lui passe léponge sous le nez, la retire et recommence, il frémit de tout son corps, henni deux fois et tape dun sabot arrière.

Philo nous fait signe de ne pas bouger en restant hors de portée.

En lespace de 10 secondes un fourreau descend sous le ventre puis le sexe proprement dit se déploie et raidit avant de frapper sous le ventre de la bête.

Subjugué je ne quitte pas des yeux ce fabuleux pal qui semble grandir encore, Philo savance lentement, caresse le flanc du cheval puis tend le bras pour empoigner le pieu de chair.

Elle le caresse longtemps puis avance encore, baisse la tête et tire sur le chibre pour lamener devant son visage et sur sa bouche.

Le bout formé dune corolle disparaît dans sa bouche, elle suce lengin en le tenant à deux mains puis le relâche.

Dun geste rapide elle descend une des deux fermetures et sort de la combinaison qui tombe sur ses pieds.

Elle est nue sous sa combinaison, la paire de fesses blanches qui nous apparaît me laisse rêveur.

Une main entre ses cuisses elle reprend le chibre de lautre, le remet dans sa bouche et elle se branle vite.

Le cheval trépigne, henni encore, Philo ne sen soucie pas, son bras sagite de plus en plus vite, sa tête monte et descend sur le pal et elle sursaute.

Un flot de foutre sort de sa bouche encombrée et elle se retire en léchant ses lèvres badigeonnées de sperme.

À peine lâché le chibre se rétracte et remonte dans le fourreau qui disparaît à son tour.

Elle nous regarde en souriant, lèche la main qui tenait le chibre, celle qui sort de ses cuisses est maculée de cyprine.

Elle remonte sa combinaison et la fermeture, tapote sur une fesse du cheval et nous sortons du box.

-Claude, jespère que vous avez apprécié ?

-Oui Philo, cest incroyable

-Cest rare de faire jouir un cheval en le suçant, nous avons eus de la chance

Ma pine raide me gêne dans mon pantalon, jai même failli me branler tant ce spectacle mémoustillait.

-On dirait que ça vous a fait bander les garçons

-Euh oui Philo

-Vous auriez pu vous branler mais ce nest pas trop tard

-Philo, tu crois quon peut ?

-Bien sur que vous pouvez, je peux même vous accompagner en vous suçant, jadore le foutre

Claude sort sa bite le premier et tend son ventre, je sors la mienne et je mapproche :

-Ouah, vous êtes bien montés mes cochons branlez vous dans ma bouche

Elle embouche la pine de Claude puis passe à la mienne, une bite dans chaque main elle nous suce à tour de rôle puis fourre les deux dans sa bouche.

Jai beau essayer de me retenir, je balance ma purée le premier, Claude me suit juste après, pas une goutte ne séchappe de ses lèvres.

-Fantastique les garçons, quelles décharges, cest comme si vous maviez pissé dans la bouche

Elle se relève et nous donne un baiser sur la bouche, lodeur qui se dégage de ses lèvres est à la limite de me faire vomir.

-Nous sortons dici, on peut venir

À peine sortis du bâtiment un lad arrive à pied avec un cheval :

-Philo, regarde le paturon antérieur droit, il a du ramasser un caillou

Elle prend le cheval et nous quitte, le lad éclate de rire :

-Vous auriez pu fermer vos braguettes les garçons, quelle salope cette Philo

-André, que vas-tu penser, nous venons de pisser

-Devant Philo ? Ça métonnerait

-Mais si, je tassure

-Ça serait bien la première fois quelle laisse deux queues sans rien faire, vous lavez enculée jespère ?

-Mais non André, il ne sest rien passé

-Je ne vous crois pas mais bon

De retour à la maison nous passons à la salle de bain pour laver nos bites, Claude sextasie devant ma queue :

-Putain, je croyais en avoir une belle mais tu me surprends

-La tienne nest pas mal non plus

-Tu as vu Philo comme elle suce, et les deux en même temps

-Nous nétions pas plus gros que la pine du cheval

-Cest sur tu as vu son cul je te jure que je vais tout faire pour lenculer

-Cest ce que disais le lad

-Il doit bien la connaître

-Claude, elle a fait ça devant nous sans hésiter, jaurais pu ne pas apprécier. Jai limpression que tu ne mas pas tout dit

-Euh tu as raison je savais quelle faisait bander les chevaux mais je ne lavais jamais vu faire ça, dit-il sans me convaincre

-Tu disais que des femmes se font prendre, tu sais si elle le fait ?

-Non, je nen sais rien Sylvain, excuse-moi mais je suis encore excité, il va falloir que je me branle tu bandes aussi on dirait

-Ben oui, je nai déchargé quune fois

-Puisque tu as baisé Sonia, explique-moi comment je dois my prendre avec les filles, Jules me disait quil ne faut pas essayer dimiter ce quon voit dans les films pornos

-Quest-ce quil en sait, Jules, il na jamais baisé que je sache

-Je ne sais pas sil na jamais baisé mais il sen vante pourtant

-Parce quil a un an de plus que nous, il ne veut pas passer pour un con, mais je sais quil na jamais baisé et à mon avis, quil nest pas près de le faire

-Sylvain, comment peux-tu être aussi affirmatif ?

-Parce que je suis allé en colo avec lui et que nous nous sommes retrouvés à linfirmerie après être tombés dans des orties, en maillot de bain en plus. Linfirmière nous a passé de la lotion sur les piqures mais comme nous en avions partout, elle nous a demandé de baisser notre maillot, cest là que jai vu la zigounette de Jules. Claude, çà dépassait à peine de ses couilles, juste un petit bout de peau ridée noyée dans la peau des roustons

-Et alors, il peut bander quand même

-Certes mais pour bander il faut avoir quelque chose à faire grossir, lui na rien. Il est parti avant moi, linfirmière ma dit toi au moins tu nauras pas de problème avec les filles, le pauvre Jules va se faire foutre de lui quand il se déshabillera

-Cest peut être revenu normal

-Non, ses couilles ont grossies un peu mais pas sa bite, on la voit même moins quavant. Je lai vu se changer à la piscine, je suis le seul devant qui il se change sans se cacher

-Tu te rends compte dans quelle merde il est, cest un beau garçon qui plait aux filles

-Si tu veux mon avis, il va virer homo si ce nest déjà fait

-Mais les mecs se foutront de sa gueule aussi

-Sauf sil se fait enculer, cest ce quils recherchent après tout

-Sylvain, puisque tu parles de ça, Caroline disait que son mec est bi, donc il va autant avec les filles que les mecs, cest ça ?

-Tout à fait en jouant sur les deux tableaux, il peut pécho quand il veut

-Il doit se faire enculer alors ?

-Claude, ça tombe sous le sens

-Putain, je ne sais pas si je pourrais me faire bourrer le cul

-Tu as déjà essayé de te toucher le petit trou ?

-Oh oui, quand je me douche. Je dois avouer que ce nest pas désagréable, jai même pu y fourrer un doigt, mais de là à me faire enculer

-Si tu as aimé avec un doigt, essaie avec deux puis trois etc., tu verras bien

-Je verrais quoi ?

-Claude, tu es désespérant Branle toi en même temps, tu jouiras plus vite et plus fort

-Ah bon cest pour ça que les hommes se font enculer alors ?

-Entre autre Mais nous devons nous branler pour jouir, cest tout. Claude, cest quoi ce bruit ?

-Ma mère qui recule le van dans la petite cour, ça résonne

-Je vais y aller Claude

-Tu vas partir dans cet état ?

-Ben oui, ça ne se voit pas sur mon scooter

-Mais chez toi ça va se voir

-Ne tinquiète pas pour ça, personne ne me verra

En arrivant chez moi je me précipite dans ma salle de bain pour laver ma bite, la bouche de Philomène puait tellement que je dois sentir aussi.

Effectivement, lodeur qui se dégage de ma queue me monte au nez, une odeur bizarre et persistante, je suis obligé de me laver deux fois pour léliminer.

Le spectacle que nous a donné Philomène me revient en mémoire, finalement jai été plus excité par son cul que par la pine du cheval.

Je me souviens aussi de la bite de Claude, un bel engin au gland bizarrement pointu, jai même frémi quand Philomène réunissait nos queues dans sa bouche.

Pour le moment je nai jamais eu daventure homosexuelle, jai touché une queue raide, on ma touché aussi sous la douche après le sport mais ça na jamais été plus loin, pourtant jen avais envie.

Jaurais avoué à Claude que jaimerais bien passer à lacte avec un garçon et même un homme mais je ne lai pas senti réceptif.

Cette pensée mobsède de plus en plus souvent, un soir en me branlant, deux doigts bien enfoncés dans mon cul, jai soudain eu envie de me faire enculer par une vraie queue que jaurais pu sucer avant.

Sortant peu je nai pas loccasion de rencontrer le garçon ou lhomme qui pourrait assouvir mes désirs, jai beau faire de tour de mes connaissances en pensée, il ny à personne qui corresponde à mon envie et même si cétait le cas, je ne me vois pas demander à brule pourpoint, Jaimerais me faire enculer.

Concernant Claude, autre chose me tracasse, ce que nous a montré Philomène est apparemment connu des employés, par déduction, je suppose que ses parents sont au courant aussi.

Tout un tas de pensées plus ou moins salaces me traversent lesprit, sur Philomène dabord, si elle sest exhibée de la sorte devant nous, il métonnerait que Claude ne lai jamais vue faire sinon elle aurait peut être agi différemment en ma présence, sur Mathilde ensuite, qui ne nous a pas caché son envie dêtre prise par nous deux, et ensemble qui plus est.

Allongé sur mon lit je laisse passer un peu de temps, mon sexe raide reprend une forme plus normale mais lodeur que je pensais avoir enlevé persiste.

Cest mon slip qui est odorant, il me faut en changer vite car cette odeur peut être perçue par quelquun dautre, ma mère en loccurrence.

Je nai rien dit à Claude concernant le fait quil se branle sur les culottes de sa mère, je le fais aussi depuis longtemps mais je nai jamais vu de traces luisantes comme celles quil à pu voir.

Si jai bien compris ce quil voulait dire, sa mère aurait des rapports extra conjugaux puisque son père était absent.

Cela na pas semblé lémouvoir outre mesure, jen suis donc à me demander si le couple que forment ses parents nest pas en train de capoter.

Jai croisé plusieurs fois sa mère et son père, ils se parlent, bien sur, mais sans la moindre tendresse, jamais un mot gentil de lun ou de lautre et pas un geste tendre non plus.

Jai surement été mal éduqué par mes parents qui sadorent et ne manquent jamais de se dire un mot doux et se caresser tendrement.

Ma mère est une rousse flamboyante, née en France mais issue dune vieille famille Irlandaise, grande et bien charpentée, il ne faut pas lui marcher sur les pieds.

Élevée avec ses trois frères, rouquins eux aussi et sang chaud comme peuvent lêtre les Irlandais, ils lui ont appris à se battre comme un garçon, ce qui lui servait bien quand on la traitait de sorcière à cause de la couleur de ses cheveux.

Jai tellement entendu de conneries sur les rousses et les roux dailleurs, que jai voulu vérifier.

Je ne suis pas un vrai roux comme le sont mes oncles et ma mère mais jai quand même la peau très claire parsemée de grains de son, mes cheveux sont foncés mais tirent sur le roux quand je mexpose trop au soleil.

Mes parents se sont rencontrés lors dun festival celte en Bretagne, coup de foudre immédiat, ils se sont mariés trois mois après et je suis arrivé dans la foulée.

Mon père est instructeur formateur pour les pilotes de grands bateaux de la Marine marchande.

Il est souvent obligé de se déplacer pour plusieurs jours, seul homme restant à la maison, ma mère moctroie certaines prérogatives qui échoient normalement à mon père.

Un soir je lai aidé à changer les draps de leur lit, ce que mon père ne fait jamais, et jai demandé ma récompense en lui tendant les lèvres.

Je mattendais à ce quelle tende une joue mais elle a posé ses lèvres sur les miennes, jai même senti sa langue.

Surpris et étonné jai instinctivement entouré son buste avec mes bras et jai prolongé le baiser en utilisant la même technique quavec les filles, fourrant rapidement ma langue dans sa bouche.

La réponse aurait pu être brutale mais la claque nest pas venue, au contraire, nos langues se sont entremêlées ainsi que nos salives et nous avons prolongé ce doux baiser.

-Sylvain, tu te rends compte de ce que nous venons de faire ?

-Oui maman, cétait très bien

-Tu peux me dire ce qui ta pris ?

-Mais cest toi qui as posé tes lèvres sur les miennes

-Chéri, nous nous sommes souvent donné des baisers sur la bouche

-Oui mais jétais petit et je te ferais remarquer que tu ne mas ni repoussé ni giflé, tu as pensé que cétait papa ?

-Non Sylvain, même si tu lui ressembles beaucoup, je ne peux pas me tromper

-Alors pourquoi las-tu fait alors ?

-Je ne sais pas chéri, une pulsion instinctive incontrôlable

-Alors permet moi de te dire que jai beaucoup aimé, tu embrasses très bien

-Toi aussi chéri

Je relâche un peu mon étreinte en descendant mes bras autour de sa taille, elle dégage les siens, passe ses mains derrière ma tête et me redonne un gros baiser.

Mes mains posées sur le haut de ses fesses je lattire contre moi, plaquant mon pubis contre le sien pour lui faire sentir mon érection qui se développe rapidement.

Elle ne me repousse toujours pas alors jécrase la bosse que fait ma bite contre son bas ventre, en crispant mes doigts sur sa jupe, je fais lentement remonter le bas toujours sans réaction de sa part.

Ses fesses découvertes je laisse glisser une main entre les globes, un doigt frôle son anus et jessaie de toucher sa chatte mais ny parvient pas, alors je reviens au petit trou.

La tête lovée contre mon cou elle me parle à loreille :

-Ce nest pas bien ce que tu fais chéri, je suis ta mère

-Et moi lhomme de la maison en labsence de papa

-Tu as lintention de le remplacer ?

-Ce serait mon vu le plus cher

-Cest impossible chéri, je ne peux pas faire lamour avec mon fils

-Maman, je suis lhomme de la maison

-Regagne ta chambre Sylvain

Le ton employé pour me demander de partir nétant pas péremptoire, jai même senti quelle le disait à regret.

Je me suis donc esbigné sans insister avec une bosse énorme qui gonflait mon pantalon.

Je me suis masturbé comme un fou en passant sous mon nez le doigt qui avait touché son anus et jai déchargé sur mon ventre.

Cest en me réveillant, allongé tout habillé, sexe à lair et ventre maculé de sperme séché que je me suis rendu compte que ma porte de chambre nétait pas fermée alors que jétais sur de lavoir fait.

Depuis quelques temps mon corps se transforme rapidement, je suis obligé de me raser presque tous les jours et mes poils poussent un peu partout, sur mes bras, mes jambes et même entre mes fesses, heureusement pas sur mon torse.

Sonia me disait quelle aimait ma musculature, particulièrement les tablettes de chocolat sur mon ventre.

Pas spécialement sportif, je courre un peu et je vais à la salle de gym que fréquente ma mère pour soulever de la fonte à dose homéopathique.

La salle de gym est lendroit idéal pour mater les femmes qui viennent plus pour se montrer quautre chose, un peu de step après le vélo, peu de machines sous la direction dune spécialiste.

Jai remarqué que cette femme sculpturale se permet de rectifier les positions en touchant les endroits quil faut travailler.

Un après midi ma mère sest essayée à la gonflette avec des altères puis au travail des cuisses, une barre lestée sur les épaules.

Après une dizaine de flexion elle sest arrêtée net, délestée de sa charge, une main posée sur laine droite, elle grimaçait de douleur.

La coach sest approchée delle pour lui parler, ma mère montrant lendroit douloureux.

Je nai pu entendre ce quelles se disaient mais jai bien vu la femme passer sa main sur lendroit désigné puis, appuyant avec ses doigts tout près du body, elle sest mise à masser lentement.

Ma mère semblait apprécier car son rictus de douleur avait disparu.

La main sest attardée un peu puis a glissé vers lentre jambes pour caresser la fente que la pression des doigts faisait ressortir.

Le geste fut rapide mais jai quand même pu voir la pression exercée sur le fond du body sans que ma mère sen émeuve.

Je me suis rendu compte aussi que les femmes prenaient des positions que je qualifierais de scabreuses, exhibant sans vergogne leur entrecuisses que le tissu, tendu à craquer laissait entrevoir.

Jai dû quitter plusieurs fois la salle en sentant poindre mon érection que mon boxer naurait pu cacher.

Peu de gens utilisent les douches de la salle après une séance, je my suis rendu plusieurs fois espérant voir un homme ou deux, le seul que jai croisé sétait douché en slip.

Je me sens prêt pour le sexe, tellement prêt que jy pense beaucoup, peut être même trop.

Sonia me disait que Lola, sa meilleure amie, aurait flashée sur moi, je connais bien cette fille depuis longtemps mais nos rapports nont jamais dépassés la franche camaraderie.

Lola est une métisse claire, mère métisse aussi et père blanc, on la dirait bronzée en permanence mais pas plus.

Cest la seule des filles de notre bande qui fait lunanimité auprès des garçons, toujours gaie et prête à rendre service, allant même jusquà payer les tournées de cafés sans quon lui demande.

Cest aussi la seule qui posséda un scooter bien avant nous sans jamais faire étalage de la fortune de ses parents.

Je me souviens avoir hérité son téléphone dont nous rêvions tous uniquement parce que javais remarqué et complimenté sa nouvelle coupe de cheveux, qui lui allait fort bien dailleurs.

Je suis encore étonné que Sonia mait parlé delle car je la sentais jalouse, et pas que de Lola.

Cette fille me branche grave, elle transpire la sensualité par tous les pores de sa peau, sa silhouette de tanagra fait se retourner les hommes sur elle, jai même eu limpression quelle en rajoute.

Je nai pas relevé quand Sonia ma parlé delle sans jalousie apparente, si cest un bon de sortie, je lutiliserais avec joie.

Sonia est une fille adorable mais après lavoir baisé deux fois, jai limpression davoir fait le tour, elle aussi apparemment.

Lola avait un copain qui ne la lâchait pas, hors de notre groupe il na jamais essayé de sy intégrer, donc nous ne lui parlions pas.

En pensant à elle je me demande si un coup de téléphone serait déplacé, jai toujours la possibilité de lui demander de mexpliquer deux fonctions de son téléphone que je narrive pas à faire marcher, ce qui est complètement faux dailleurs.

Ma mère me hèle depuis la cuisine, le repas est prêt mais je dois me changer.

-Ouah, ça sent bon

-Sylvain, ce sont des tomates farcies comme tu les aimes

-Merci maman, tu es adorables

Nous passons à table tous les deux face à face et mangeons en silence puis, le repas terminé, ma mère méjecte au salon :

-Laisse-moi le temps de ranger et jarrive

Un coup dil à la télé en attendant et elle arrive toute souriante avec des cafés.

-Maman je ne prends jamais de café le soir

-Cest du déca chéri

Assise en face de moi elle boit son café, repose sa tasse et sappuie sur le dossier :

-Sylvain, il faut que je te parle

-Je técoute maman

-Voilà jai apprécié ce qui nous avons fait tout à lheure mais jespère que tu sais que ce nest pas correct, je suis ta mère

-Maman, cest toi qui a commencé..

-Je sais chéri mais tu nétais pas obligé de me toucher, un baiser nengage à rien

-Maman, non seulement tu nas pas repoussée ma main, mais tu mas donné un autre baiser

-Je ne sais pas ce qui ma pris chéri, je naurais pas dû te laisser faire Tu te collais contre moi et je sentais

-Tu sentais mon érection maman et je touchais ton petit trou, tu as senti que jy ai fourré mon doigt

-Sylvain, ne retourne pas le couteau dans la plaie

-Mais si jure-moi que tu nas pas aimé

-Sylvain, ce nest quun moment dégarement, nen tire aucune conclusion

-Ah bon mais tu as bien senti dans quel état jétais

-Oui chéri, cest de ça dont jai eu peur

-Comment ça ?

-Tu me pousses à dire des choses

-Maman, tu voulais parler alors nous parlons Tu as eu peur de quoi ?

-Que ça aille trop loin, au delà dune certaine excitation je me maitrise mal

-Tu es en train de me dire que si nous avions continué

-Oui Sylvain, jétais même à la limite de te retenir

-Maman, tu penses que nous aurions pu faire lamour ?

-Comme tu y vas je fais lamour avec ton père, Sylvain

-Avec moi tu naurais fait que baiser alors ?

-Oui Sylvain, je taime dun amour maternel, pas sentimental comme avec ton père

-Finalement, le fait que je sois ton fils ne te dérangerait pas plus que ça, nest-ce pas ?

-Sylvain, jy ai pensé juste après ton départ, jai même été pousser ta porte de chambre

-Cest bien ce qui me semblait donc tu as vu ce que jai fait

-Tu tes masturbé et tu dormais je lai fait aussi chéri

-Dans ma chambre ?

-Oui jespérais te réveiller

-Tu aurais dû me toucher

-Jai failli le faire, jai même eu envie de lécher ton sperme

-Maman, cesse de tagiter sur ton siège, ta jupe remonte et je vois tout. Au fait, tu ne portes plus de culotte ?

-Non, sur lordre de ton père, il marrive même de ne pas mettre de soutien gorge non plus

-Cest quoi ce délire ? À part lui personne ne le sait

-Si, justement, ce que je fais devant toi, cest ce quil aime que je fasse

-Tu dois montrer ta chatte et tes seins ?

-Pas mes seins, enfin pas partout mais ma chatte le plus souvent possible, quand nous sommes tous les deux, bien sur

-Ça se termine comment vos petits jeux ?

-Sylvain, je nai pas envie de raconter ça

-Alors il ne fallait pas commencer maman, tu te rends compte que je vais bander en voyant ta chatte béante

-Et si cétait ce que je veux

-Alors ne reste pas habillée, je veux te voir nue et je me déshabille aussi

-Sylvain

-Maman, tu en as autant envie que moi, alors fais-le

Nous nous déshabillons ensemble, elle est nue avant moi et reste debout, bras ballants :

-Sylvain je ny crois pas

-Mais si, je me suis déshabillé aussi

-Chéri, cest de ça dont je veux parler, dit-elle en montrant ma bite raide qui se balance devant moi Tu es mieux équipé que ton père

-Et bien jen suis fort aise

-Chéri, non seulement tu es plus gros mais plus long aussi

-Tu peux estimer ça à vu dil ?

-Oh oui, cela fait 20 ans que je vois la bite de ton père, que je la touche, la suce et la branle approche chéri

Elle prend ma bite de la main droite, ferme ses doigts autour et vérifie lespace qui sépare le pouce du majeur avec un de ses doigts.

-Tu vois, avec ton père je passe juste lindex entre le pouce et la majeur, là je pourrais presque en mettre deux quelle queue !

-Maman

-Et tu coules vite en plus cest quoi cette odeur ?

-Je ne sais pas, mentis-je effrontément

-Ce ne sont que tes poils qui sentent, cest bizarre

Elle hume encore mon pubis, sent ma bite, quelle lèche au passage et me fait tourner :

-Tes fesses ne sentent pas ou très peu

-Maman, je vais aller me laver

-Mais non chéri, les odeurs font partie de la sexualité et jaime bien que ça sente un peu

-Que ça sente quoi ?

-Sylvain, quand on suce la bite dun homme, à moins quil sorte de la douche, elle sent toujours un peu ou même beaucoup suivant lheure

-Ça sent lurine ?

-Oui mais ça peut sentir autre chose, tout dépend de ce quil vient de se passer avant

-Sil lhomme à baisé par exemple ?

-Oui, la chatte dune femme excitée sent fort aussi, mais il a pu faire autre chose

-Tu penses à la sodomie ?

-Oui Sylvain, tu connais-ça toi ?

-Maman, je ne suis plus un gamin

-Au fait, tu as réussi à le perdre ce fameux pucelage dont tu parlais avec Christian ?

-Tu mas entendu parler de mon pucelage avec lui ?

-Involontairement, je te le promets Tu las perdu avec Sonia, cest bien ça ?

-Oui maman

-Elle létait aussi ?

-Oui, déflorée mais pucelle

-Ah oui, les tampons Sylvain, tu as mis une capote ?

-Non maman, je nen avais pas et dans le feu de laction, je nai pas cherché. En plus il men aurait fallu plusieurs

-Ouah, bel effort

-La première fois cétait presque raté mais la deuxième, quest-ce que je lui ai mis !

-Chéri !

-Ben quoi ? Un coup dans un sens un coup dans lautre

-Tu as sodomisé Sonia ?

-Non, mais je lai prise un coup devant et jai déchargé sur son ventre, lautre en levrette et jai déchargé sur ses fesses mais je lui ai quand même mi mon pouce dans le cul

-Donc tu nas rien fait dautre si je comprends bien ?

-Non maman mais jai des ouvertures que je pense concrétiser rapidement

-Je les connais ?

-Non, enfin je ne sais pas Lola, tu connais ?

-La métisse ?

-Oui

-Superbe cette fille, quelle classe quand elle marche ! Mais dis donc, cest la copine de Sonia, ça va coincer

-Je ne crois pas, Sonia voulait perdre son pucelage cest fait, nous nallons pas nous marier !

-Elle te laisserait baiser Lola, tu es sur de ça ?

-Maman, je ne lui demanderais pas son avis Tu aimes sucer ?

-Chéri, jai toujours sucé ton père

-Alors suce moi sil te plait, jai vraiment envie de savoir ce que ça fait

-Tu ne tes jamais fait

-Si maman, mais par quelquun qui ne savait pas sy prendre

-Alors je vais te faire jouir dans ma bouche, ton père dit que je suis une bonne bouffeuse de bite

Elle sassied, javance dun pas en tenant ma queue, mon gland posé sur ses lèvres je là laisse opérer.

Effectivement je nai jamais été sucé comme elle le fait, à part peut être par le premier garçon qui ma sucé.

Mes mains posées sur sa tête je bouge mon bassin pour enfoncer ma bite de plus en plus loin jusquà ce que mes poils touchent ses lèvres.

Elle me suce puis me repousse pour prendre sa respiration :

-Tu allais trop loin chéri, jétais en apnée

-Excuse-moi mais cest tellement bon

-Sylvain, tu as déjà bouffé une chatte ?

-Jai essayé mais elle na pas aim&e

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