Jétais au chômage depuis environ un an, à 47 ans il est de plus en plus difficile de retrouver du travail.

Pour ce faire je lisais les quotidiens, les journaux gratuits que jinterrogeais à partir de mon ordinateur sur internet.

Je faisais également appel à des moteurs de recherche pour trouver des sites dannonces.

Un jour que je surfais comme à lhabitude à ma demande il mapparaît une vingtaine de pages de sites je clique un peu au hasard.

Une page de recherche mapparaît : introduire vos paramètres et validez.

Sexe : M ; Age : 47 ; Région : PACA ; Départements préférés : 83 et 06 ; Possibilité de se déplacer : oui  et je valide.

Une nouvelle page saffiche avec une vingtaine dannonces dont une clignotant et mentionnant « correspond à votre profil »

Jappelle cette annonce et voici le texte :

«  Recherche collaborateur devant être fidèle et dévoué pour poste à évolution si compétences envoyer CV et lettre de motivation à : madame-pdg@*****.fr réponse assurée par retour de mail »

A mon stade je ne risque plus rien et je lui adresse mon CV et une lettre de motivation, depuis mon début dinactivité jai engrangé  une centaine de contacts avec quelques rendez-vous mais sans suite.

Je ne pensais plus à cette annonce et quelques jours plus tard en ouvrant ma messagerie je trouve une réponse : « Rendez-vous dentretien le 6 juillet 2002 à La Croix Valmer au ** avenue des Arbousiers à 10 h merci de confirmer par retour de mail »

La Croix Valmer est à une heure de route de chez moi et nous sommes en été la plage nest pas loin,  ok on y va, je réponds par laffirmative et attends les deux jours qui nous séparent avec impatience et curiosité.

Beaucoup de mystères pas de nom, pas de signature, je suis un peu aventureux je vais y aller.

Le jour J, je me prépare comme dhabitude pour un premier entretien,  un costume sorti du pressing mon attaché-case mes documents et en voiture.

Heureusement que je suis parti en avance, quel monde sur cette route, beaucoup de touristes, ouf ! Loffice du tourisme, je marrête pour leur demander un plan et une charmante hôtesse mindique même litinéraire à suivre pour éviter les bouchons.

Me voilà dans lavenue le ** est là devant moi une entrée de villa avec un grand portail avec camera de surveillance. Je mavance, pas de sonnette il est dix heures moins dix, je regarde un peu mieux,  rien !  La camera sanime et une voix sortie de je ne sais ou mordonne :

 « reprenez votre voiture et remontez lallée je vous attends »

Une allée dune quarantaine de mètres et une magnifique demeure mapparaît, sur le perron une silhouette vêtue de rouge mattend, une belle femme, très belle femme dune quarantaine dannées. Sa robe fourreau laisse deviner des formes parfaites, un visage agréable mais dur, des yeux bleu acier encadrés par une coupe au carré blond vénitien.

Elle doit être nue sous sa robe rien napparaît. « Bonjour, suivez-moi ! »

Le ton est donné, si cest ma future directrice elle est tranchante.

Madame, je viens de la nommer ainsi dans mes pensées, na pas lair dêtre dans le besoin, de beaux meubles, une vaste demeure mais fait étrange pas un son, pas un bruit seul les claquements de ses talons sur le carrelage provençal. Talons ! Mais oui  elle chausse des escarpins de la même couleur que sa robe mais le talon me paraît exagéré, elle semble marcher sur la pointe des pieds tellement ils sont hauts, elle a dailleurs une démarche à faire pâlir les mannequins de haute couture.

Mais quel spectacle londulation de ses reins me précédant.

Nous y voilà, elle me fait entrer dans un bureau qui correspond à la demeure, avec une grande cheminée, un grand canapé, une table basse deux ou trois poufs et un immense bureau ministre qui doit être dépoque.

Elle sinstalle derrière son bureau et me désigne un fauteuil du menton.

Jattends quelle sasseye et je minstalle, elle me regarde, me transperce de son regard, je me sens fondre.

-« Savez vous qui je suis ? »

-« Non, Madame, jai répondu à votre annonce et cest avec beaucoup dinterrogations et de curiosité que je me présente à vous. »

-« Bien, premièrement cest moi qui pose les questions, deuxièmement cest moi qui interroge, troisièmement cest moi qui vous adresserai la parole en temps utile, donnez-moi votre CV et votre lettre, votre permis bateau et permis de conduire. »

-« voilà Madame »

-« Je ne vous ai pas demandé de me répondre mais de me les donner, restez debout. »

Elle examine les différents documents, se lève et ouvre un vieux bahut et là apparaît du matériel informatique de haute technologie, rien ne manque, elle scanne le tout et limprime.

-« Vous savez travailler sur Mac et Pc ? Vous pouvez conduire toute voiture et bateau ? »

-« Oui, Madame, pour le tout. »

-« Bien, Tu as compris quil faut être bref et précis. En effet je cherche un collaborateur qui sera mon secrétaire particulier, mon chauffeur, mon conseiller financier, il sera logé ici et à ma disposition 24h sur 24, nourri, blanchi et sera grassement payé.

Jai retenu ton CV car il y à presque tout, il manque ton expérience de la soumission. »

-« Pardon, la quoi, la soumission ? »

-« Si tu accepte ton salaire sera de 3.812 euros net, statut de cadre et tu seras 24h sur 24 avec moi, je ne te plais pas ? »

Je calcule mentalement 3.812 euros blanchi, nourri, cest vrai quelle est très belle.

-« Je te prends à lessai 2 mois selon les conventions, tu commence de suite, tu vas visiter la maison et quand tu trouve la cuisine tu me rapporte un café. »

Je ny crois pas je me lève et part à la découverte de la maison.

En sortant du bureau à partir de ce hall trois portes sont en face en laissant le vestibule et la porte dentrée derrière.

Je pousse celle de droite, une grande bibliothèque fait le tour de la pièce avec un magnifique billard au centre, on devine dans un angle un bar.

Celle de gauche une salle deau, celle du  milieu  souvre sur un couloir qui se termine par un nouveau hall. Des escaliers montent à létage ou il ny a quune porte, je suppose quil sagit de la chambre de mon hôte. Gagné, elle est immense on pourrait dormir à quatre ou cinq sur ce lit à baldaquin, la salle de bain attenante est magnifique, jacuzzi, douche et un dressing impressionnant.

Je redescends et prends les escaliers qui vont au sous-sol, une vaste cave avec de vieilles bouteilles de renom, du champagne, pousse une autre porte, fermée, tan pis, je rebrousse chemin, remonte et trouve enfin la cuisine.

Une jeune femme sursaute à mon arrivée, tout juste la vingtaine, brune, un petit chignon, des yeux verts à peine maquillée, elle est habillée dune courte jupe noire, un tout petit tablier en dentelle blanc, un chemisier blanc quasi-transparent qui laisse clairement apercevoir sa poitrine nue. Elle est également perchée sur des escarpins blancs à talons hauts.  

-« Bonjour, Madame voudrait du café. Je mappelle »

-« Ce nest pas la peine, ici on ne sappelle pas par son prénom il ny a que Madame qui peut lutiliser, nous on ne discute pas on obéit. »

Elle se retourne fait un expresso, prend un plateau en argent  et me le donne.

Je retourne au bureau, Madame est dans son canapé en train de téléphoner, je me poste à côté delle, elle prend la tasse et boit tout en continuant sa conversation. Tout à coup elle sadresse à moi «  ramène le plateau à la cuisine et reviens de suite en courant. »

Je mexécute, à mon retour je lentends dire : « Je te présenterais mon nouveau secrétaire il devrait te plaire. » Elle raccroche, se lève et dit

-« Bon je vais te montrer ton lit suis-moi. »

Nous montons dans sa chambre, dans un coin de la pièce il y a un recoin et un lit bas.

-« Voilà, tu pourras te reposer là quand je naurais pas besoin de toi, dautre part tu nas pas le droit de toucher à ma domestique même si elle te plaît. Déshabille-toi je veux prendre un bain tu vas me laver, une fois nu tu viendras me déshabiller dans la salle de bain. »

Une fois nu un peu gêné je me présente devant elle, elle se laisse déshabiller, elle est entièrement nue, complètement épilée, elle se glisse dans la baignoire et me fait signe de la suivre, me tend une éponge et du savon, je la lave. Quel bonheur, elle a la peau douce, jen profite pour la caresser, elle ne dit rien, je menhardis, elle se laisse  aller, jaccentue mes caresses qui me donnent une belle érection, elle prend du plaisir, je tente de la lécher, elle mencourage. Elle saperçoit de mon état, tend sa main et me flatte le sexe, me caresse inspecte mon anus.

-« Vierge ? »

-« Oui, Madame. »

-« as-tu déjà sucé un autre homme ? »

-« Non, Madame. »

-« Sèche-moi. »

Une fois séchée elle va shabiller, une mini jupe blanche, un boléro noir et sort une paire descarpins noirs avec de très hauts talons.

-« Rhabille-toi, on attend un ami. »

En effet après qu elle mait installé devant son matériel informatique pour que je mhabitue, il devait être 19h lorsque un visiteur est arrivé.

-«Bonsoir Jean, tu es venu bien tôt aujourdhui, cest mon nouveau secrétaire qui ta fait te hâter ? »

-« Oui, jai hâte de le rencontrer, voir sil mérite ta confiance et tester sa fidélité.

Je tai apporté le bracelet que tu mas demandé. »

Il sort de sa poche un bracelet qui pourrait ressembler à une montre, il le donne à Madame.

Elle me fait signe de mapprocher, menlève ma montre et la remplace par cet étrange bracelet.

-« Ce bracelet me permet de tappeler, de savoir ou tu es et te donner mes ordres, ma domestique à le même, il ne peut pas senlever et il a une très grande portée. »

Elle appuie sur une télécommande et une vibration se fait sentir dans mon poignet, elle me donne un ordre que jentends parfaitement, lécran sallume et apparaît un agenda.

Elle mexplique quil fonctionne comme un Palm mais en plus perfectionné car miniaturisé et il est en relation directe avec lordinateur de la maison, il sert également à ouvrir les portes, les voitures, le bateau quand Madame my a autorisé.

Nous passons dans la bibliothèque, lapéritif est déjà prêt, je le leur sers et jattends ; au bout dune heure elle décide de passer à table, à nouveau je dois rester debout à côté delle, pendant que la soubrette virevolte autour de la table ; Madame et Jean commencent à changer de conversation ce ne sont plus les affaires qui sont au centre de la discussion mais ils parlent de moi.

Se tournant vers moi elle mordonne :

-« Tu vas passer sous la table et tu vas faire une gâterie à Jean, sois doux cest Jean qui décidera de ton embauche ou de ton renvoi. »

Me voilà à quatre pattes sous la table, Jean à sorti son sexe mou de son pantalon, je nai jamais sucé dhommes de ma vie et ne suis pas porté sur lhomosexualité.

Je commence par le caresser, il commence à se dresser, il passe une main sous la table et attire ma tête vers son gland. Jouvre ma bouche et tends la langue, le contact est doux, je la léché, elle tressaute, je commence à prendre plaisir et je lenfourne et par de longs va et vient jessaye de lemboucher complètement, mais il est bien monté le Jean. La fellation dure et madame commence à me caresser les fesses avec un de ses pieds.

-« Baisse ton pantalon je veux sentir tes fesses sous mes chaussures. »

Sans quitter ma fellation je mexécute et cest cul nu que je sens le talon de Madame forcer mon anus, je gémis et me contorsionne, un coup de pied me rappelle à lordre, le talon senfonce plus profondément, la verge se gonfle de plus en plus elle est bien dure, Madame fait aller et venir son talon dans mes reins, je transpire.

Je sens la verge tressaillir  et un flot de sperme inonde ma bouche, sa main se fait plus pressante, javale tout. Çà na pas si mauvais goût le sperme, même que ça me plaît.

Jean prenant ma tête se sert de ma bouche comme dun vagin, sa verge rebande à nouveau.

-« Sors de la dessous et met toi à quatre pattes sur le pouf. » Ordonne Madame.

Quelle honte, cul nu sur un pouf, du sperme qui suinte aux lèvres.

Madame sapproche, se penche japerçois ses pointes de sein touts excités sous son boléro, du bout de la langue elle récupère le sperme que jai laissé séchapper.

Jean est derrière moi, il me masse lanus et avec Madame commentent ma prestation, je parais doué et Jean remercie Madame de lui accorder mon dépucelage anal, je commence à trembler ils en rient.

La soubrette arrive apportant un gode ceinture, Madame se le fixe pendant que la soubrette positionne un pouf à côte du mien, sy installe et relève sa jupe, elle est également nue et épilée.

Jean commence à me caresser avec sa verge pendant que Madame fait lécher son gode par sa suivante puis se positionne derrière elle.

-« Allons-y défonçons-leur leur illet, je veux lentendre crier Jean. »

-« dailleurs je viens de constater que Martha est plus disponible que lui, je vais lui faire porter des jupes ça sera plus pratique pour en disposer, nest-ce pas Jean ? »

-« Oui, tout à fait et un secrétaire travesti ça ne courre pas les rues, dailleurs tu pourrais même le féminiser, je tavoue ça me plairait beaucoup. »

Je perds la suite de la conversation,  Jean vient dappuyer plus fermement son sexe sur ma rondelle, il me saisit aux hanches et dun coup il commence sa pénétration difficile, je crois que je vais défaillir, il va mexploser, me déchirer, je crie, essaye de me débattre.

Jentends un murmure, Martha me susurre «  Détends-toi et tousse ça ira mieux. »

Je tente, je tousse une, deux fois et tout à coup je sens quil est entièrement rentré en moi, je sens ses testicules contre mes fesses, il entame un long va et vient et il continue, longtemps, Martha à côte de moi gémit, Madame la sodomise à grands coups, Jean lui semble apprécier mon dépucelage, il est plus doux. Il se retire de mon fourreau anal et se présente devant Martha et lui met son sexe dans la bouche, docile elle le suce.

Je reste en position sur le pouf, Madame libère Martha et se présente devant moi avec son gode, il est juste devant ma bouche : « Nettoie-le. »

Je mexécute, tout comme Martha découvre mon goût je découvre le sien.

La soirée ne fait que commencer, Madame fait endosser la ceinture Gode à sa soubrette et lui ordonne de me sodomiser pendant que je suce Jean, toutes les variantes sont faites avec un point  central mes orifices devaient toujours être remplis.

Il est bientôt minuit, je nai rien mangé depuis sept heures du matin, mon ventre commence à se manifester. Madame et Jean rient et demandent à Martha de me donner à manger, elle mentraîne à la cuisine et me sert un plat, je vais pour m’assoir mais elle intervient :

-« viens tempaler sur le gode. » Et elle s’assoit à ma place et je suis obligé de me sodomiser pour pouvoir manger. Pendant que je me restaure bien rempli, de sa main elle me caresse doucement le sexe, elle est douce.

Le bracelet de Martha se met à vibrer et une voix ordonne :

-« Quand il aura fini de se restaurer tu lépileras entièrement et tu nous le présenteras dans le bureau torse nu mais tu lui prêteras une de tes jupes de service et trouve lui une paire descarpins et apprends lui à marcher ! »

-« Houa ! Tu vas bien jouir mon grand quand je vais t épiler et à mon avis tu vas être une secrétaire et non pas un secrétaire. »

-« Pas de commentaires. » Hurle la voix de Madame par le biais du bracelet.

Mon repas terminé elle mentraîne vers le sous-sol, nous traversons la cave et ouvre la porte qui me résistait mors de ma visite de découverte.

Derrière cette porte, une nouvelle partie de la maison composée dun hall, dune grande salle de bains avec une table de massage, un bar et une pièce circulaire toute équipée comme un donjon, croix, chevalet, cage, roue et des palans avec des  chaînes.

Jen ai la chair de poule.

Martha mentraîne dans la salle de bain, me fait allonger sur la table et mattache fermement.

-« Je vais sûrement te faire hurler mais je ne veux pas te blesser. »

En effet elle étale de la cire, pose une bandelette de tissu et tire énergiquement dans le sens des poils. Tout y passe, les jambes, le torse, le dos, les bras.

-« Jai gardé le meilleur pour la fin, le sexe et lanus, tu vas voir cest jouissif. »

-« Haaaa !!!! »  Cest horrible,  comment font les femmes, ce sont toutes des maso.

Me voilà nu comme un ver, les murs de glaces me renvoient mon image ridicule la peau rougie, voilà quil faut que jenfile une mini-jupe identique à celle de Martha.

-« Combien tu chausse ? »

-« Du 41 »

-« tu as de la chance il y en a, sinon tu aurais eu mal au pieds. »

Me voilà rehaussé de dix bons centimètres, la marche est difficile, sur les conseils de Martha je trace mentalement une ligne droite et je pose mes pieds sur celle-ci et je dois balancer en cadence mes épaules, en noubliant pas de faire des petits pas.

-« Pas mal pour une débutante, tu apprends vite Madame sera contente.  Allez viens on nous attend au bureau. »

Quel tableau, Martha qui me précède seins nus, mini-jupe noire et escarpins blancs et moi qui la suit torse nu, mini-jupe noire et escarpins noirs.

Dans le bureau Madame et Jean fumaient tranquillement tout en discutant, à notre arrivée ils se lèvent tous eux et mentourent, vérifient la douceur de la peau, me font marcher devant eux, faire le tour du bureau. Tout à coup Jean me saisit aux épaules et me force à me baisser vers sa verge quil venait de libérer et me lenfonce dans la gorge. Madame na pas perdu de temps avec sa ceinture gode elle mencule après avoir retroussé la jupe.

Ils vont mutiliser tous deux en changeant de place toute la nuit, jai lanus en feu et un mal de mâchoire à me taper la tête contre un mur.

Il est six heures du matin, Jean nous laisse, Madame mentraîne dans sa chambre, cest vrai que mon lit est dans lalcôve. Mais non elle mentraîne vers son lit et : -«  Déshabille-moi, met-toi nu et viens me faire lamour, je suis contente de toi je vais te récompenser, tu vas me donner du plaisir et si tu es à la hauteur tout à lheure à midi je te ferai faire lamour à Martha, elle a lair de te plaire. »

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