Alors que jhabitais en appartement avec deux de mes amis, il nous arrivait parfois dy inviter plusieurs personnes pour faire la fête et boire de manière peu responsable. Règle générale, ces soirées séchelonnaient souvent jusquaux petites heures du matin.
Pour mes 19 ans, question déviter les éléments indésirables qui sapent parfois lambiance dune soirée, nous avions invité uniquement des personnes considérées comme mes amis. Jétais content davoir une réponse affirmative de la part dun bon nombre de mes copains denfance et de quelques nouveaux comparses de classe. Éric, un de mes colocataires, devait sabsenter pour le week-end et léguait sa chambre à quiconque la désirait. Il sagissait dune généreuse attention de sa part compte tenu que nous allions être nombreux.
Vers 20h00, tout était préparé : le système de son était branché, les verres à shooter et les quelques bouteilles dalcool fort reposaient au congélateur depuis plusieurs heures déjà et les sachets de grignotines étaient disposés de manière à être facilement accessibles. Nous nattendions que la venue des premiers invités. Antoine, mon copain dorigine afro-américaine, arriva le premier avec sa bouteille de vodka et men offrit quelques gorgées alors quil franchissait la porte dentrée de lappartement. Ce grand gaillard jovial et musclé me mentionna que sa copine ne saurait tarder à se présenter.
Dominic, un de mes amis de longue date, fut le deuxième arrivé avec Mélissa, une demoiselle à peine plus âgée que moi. Je la connaissais très peu, ne layant côtoyé quà une seule reprise, mais je dois avouer que cette étudiante en sciences de santé avait un certain charme. Relativement grande et ayant des cheveux foncés coupés assez courts, elle était fanatique de ballet et de danse contemporaine. Des yeux verts et de longs cils complémentaient agréablement son visage ovale qui lui, laissait place à cou délicat, des épaules fines, une poitrine de taille respectable (environ 85D) et des jambes assez musclées. Ce spectacle était tout même assez impressionnant à observer compte tenu de la faible présence des cellules adipeuses. Elle portait une jolie robe dété aux teintes florales dont la longueur sarrêtait à peu près au niveau de ses genoux, laissant entrevoir des mollets sculptés délicatement par lexercice.
Les voir arriver ensemble à la fête signifia quil se passait probablement quelque chose entre eux, ce qui me fit tout de même plaisir : Dominic méritait une demoiselle intelligente et distinguée, et elle répondait bien à ces critères. Je leur fis signe dentrer et de déposer leurs breuvages au réfrigérateur. Tout en dessinant un sourire discret, Mélissa me répondit dun signe de tête et déposa ses quelques boissons alcoolisées à lintérieur de la portière. Au même moment, je fus interrompu par larrivée dAnnie, une amie de lécole secondaire (niveau en partie équivalent au Lycée), qui était également la sur cadette dun de mes colocataires, Sébastien.
Alors que nous navions pas plus que 15 ans, Annie se démarquait déjà par la présence dattributs féminins prononcés. Il va de soi quétant plus précoce physiquement que certains autres garçons de mon âge, je mentichai rapidement delle et espérai entreprendre une relation. Malheureusement pour mon cas, elle nétait visiblement attirée que par des garçons beaucoup plus vieux, de lordre des 18 ou 19 ans, et occupant un emploi. Sans doute pouvaient-ils lui procurer de nombreux cadeaux. Après tout, je nétais pas un garçon riche et elle semblait vouloir être en mesure de profiter du confort que la monnaie apportait.
Ce soir-là, Annie était accompagnée de son copain Mikael, un bougre rustre que je détestais. Fidèle à son habitude, Annie était resplendissante. Ses yeux couleur saphir se mariaient bien à sa longue chevelure brune et ses lèvres pulpeuses. Son t-shirt ajusté définissait à la perfection ses épaules et sa poitrine bien proportionnée (aux alentours de 90E), alors que ses jeans plaqués sur ses fortes cuisses moulaient ses fesses en un résultat plus que convainquant.
Le reste des invités ne se fit pas attendre et on célébra fortement mon anniversaire à coups de shooters et daccolades. Ayant bu une quantité incroyable de liquide en quelques heures, je ne puis mempêcher davoir envie duriner et de me reposer un peu. Je menfermai quelques instants dans la salle de bain dans loptique de reprendre mes esprits : je devais cesser de boire si je désirais conserver un certain état de conscience.
Lorsque je sorti de la salle de bain, Sébastien se glissa entre moi et la porte et je ne me fis pas prier pour fermer cette dernière derrière moi. Son état était lamentable et je savais quil allait en avoir pour un bon bout de temps pour se remettre de la quantité dalcool ingérée. Je me dirigeai alors vers ma chambre, qui était située à peine à quelques pas de là, mais en tentant de tourner la poignée, je constatai quelle était fermée à clé et comble de malchance, jy avais laissé mes clés à lintérieur.
Désirant me reposer à un endroit plus calme et voyant une bonne dizaine de personnes danser dans la chambre à Sébastien, je me faufilai entre les quelques corps amassés près de la cuisine dans le but datteindre la chambre à Éric. Se faisant, Mélissa me fixa, lair perplexe, mais je sentis quelle abandonna ses réflexions lorsquelle lut dans mon visage mon désir dêtre seul.
Dès que je mis pied dans la chambre à Éric, je fus ébahit en voyant Cathy et Bianca, deux de mes collègues de classe, à genoux devant Antoine qui, maladroitement, tentait de répartir sur leur corps plusieurs giclées de foutre chaud qui séchappaient de sa longue queue. Sursautant suite à mon arrivée, Cathy, qui était la copine dAntoine, masqua rapidement sa petite poitrine ébène dont je naperçus quune partie de mamelon foncé, et ce, lespace dun instant.
Bianca fut plus modérée dans sa réaction, retirant dune main le peu de sperme qui avait atteint ses seins et me saluant de lautre main. Belle Mulâtre, elle avait une jolie poitrine ferme de petite taille (85B) et ses mamelons déployés témoignaient du plaisir quelle avait eu à traire le gland du grand Antoine. Elle était quand même relativement mince et ainsi dans son plus simple appareil, elle me faisait étrangement de leffet alors quauparavant, je la trouvais simplement jolie et agréable à côtoyer. Pour la première fois, jeue plusieurs pensées obscènes envers elle, mais comme pour me freiner dans mes envies, ma nausée prit le dessus, embrumant mes idées.
Cathy, qui avait pour sa part reçue la plus grande quantité de sperme, navait pas bougée depuis à mon arrivé. Alors que le liquide sécoulait tranquillement le long de son visage, jentrepris de me retourner et tout en demeurant dans la pièce, jen fermai la porte dentrée en disant :
— Cathy, je mexcuse, je ne voulais pas
— Merci, dit-t-elle, timidement.
— Je cherchais simplement un endroit pour me reposer, repris-je. Je ne voulais pas vous surprendre ou quoi que ce soit.
Elle sabstint de commentaire alors que Bianca laissa échapper un rire jaune. Jentendis un mouchoir être saisit de la boite. Cathy entreprenait de se nettoyer grossièrement le visage alors quAntoine sétendit sur le lit en laissant aller un soupir de satisfaction. Pendant ce qui sembla être une éternité, lenvie de me retourner et de memparer de lune des deux demoiselles prit le dessus, mais je ne puis me résoudre à cette idée, craignant de faire un geste déplacé. Bien que ma queue se saisit davantage avec le temps, le silence apparent qui régnait dans la pièce était désagréable. Je ne voulais pas en sortir avec une bosse dans mon pantalon, mais en même temps, lattente me rendait extrêmement mal à laise.
Comme pour me rassurer, je sentis une douce masse se loger contre mon dos. Au travers de ma mince chemise, je pouvais sentir des mamelons dressés et une main sempressa de parcourir mon ventre. Bianca embrassa mon oreille droite et murmura :
— Je mexcuse que tu aies eu à voir ça.
— Écoutes, ce nest pas grave, dis-je, à la fois surpris et terriblement excité par la tournure des événements.
Je sentis sa main se descendre lentement le long de mon torse et se loger sur ma queue, qui, gorgée de sang, indiquait quelle était prête à passer à laction. Toujours à mon oreille, elle me dit :
— Écoutes, je taime bien Tom, et je te trouve de mon goût. Considère que ce qui suit, cest ton cadeau de fête, daccord?
— Entendu répondis-je, subjugué.
Dune main, elle déboutonna mes jeans et en descendit la fermeture éclair, alors que je mafférais à retirer ma chemise. Elle saisit mes jeans de ses deux mains et les fit glisser lentement jusquà ce quils touchent le sol, où je les retirai. Alors que jétais toujours de dos à elle, Bianca retira mes bas et se redressant, me caressa les jambes en se dirigeant vers ma verge. Parvenue à destination, elle joua pendant quelques secondes avec lélastique de mes sous-vêtements et les retira adroitement, laissant ma queue dressée pendre à l’horizontale.
Ma respiration se faisait à la fois plus puissante et plus rapide, et comme pour me rassurer, elle saisit mon visage dun doigt, força doucement pour le retourner vers elle, et apposa un long baiser sur mes lèvres tout en me saisissant la verge. Après que ma queue se soit entièrement gonflée, elle retira sa main, se déplaça lentement vers sa bourse, y sorti un préservatif large taille et me lenfila adroitement, alors que je me retournai vers elle en lui caressant la poitrine.
Ses tétons dressés étaient agréables au toucher, et sa faible poitrine présentait une fermeté qui métait jusque-là, inconnue. Je pris un malin plaisir à tâter ses seins, les serrant de plus belle. Elle se pencha doucement en sappuyant les mains sur le bureau dÉric et présenta ses fesses rondes près de mon pénis prêt à passer à lassaut. Derrière-moi, Antoine laissa échapper :
— Vas-y mon Tom, montre-nous comment un blanc s’y prend!
Au même moment, jentendis Cathy lui assener un coup ou bien une gifle. Comme pour poursuivre dans la même lignée quAntoine, Bianca me demanda ouvertement dentrer en elle. Je ne me fis pas attendre et approchait mon pénis bien protégé de sa fente mouillée. En y jetant un coup dil, je maperçus que sa chatte ne semblait pas du tout avoir été touchée : probablement quAntoine ne lavait pas pénétré de son large mandrin et curieusement, cela me revigora quelque peu de ne pas être le second à y passer.
Jy entrai doucement tout en portant de nouveau mes deux mains vers ses petites collines basanées, qui nattendaient quà être saisies. Bianca gémit légèrement, et satisfait de mon entrée, me laissai aller à quelques légers va-et-vient. Son activité préliminaire avec Antoine lavait sans doute bien excitée car javais limpression que mon membre pataugeait à son aise. Bianca émettait quelques gémissements contenus alors que je mafférais maladroitement à la pénétrer plus profondément. Elle se retourna pendant un instant et porta son regard vers Antoine et Cathy qui tous deux, avaient repris leurs ardeurs et sadonnaient aux plaisirs de la chair sur le lit. Elle me regarda, et dans ses yeux bruns, je compris quelle était satisfaite de leffet quelle provoquait chez autrui. Son corps se contractait sous leffet de mes allées et venues dans sa féminité et elle mindiqua la prochaine étape à suivre en se stimulant le clitoris avec sa main droite.
Toujours en la pénétrant agressivement, je mafférai à prendre le relais de sa main. À ma grande surprise, son clitoris était relativement proéminant et elle gémit fortement lorsque je le lui caressai. Alors que je lhumidifiai avec sa mouille, elle exécuta de plus grands mouvements de bassin, stimulant mon gland au plus haut point. Jhaletais davantage : Bianca dû sapercevoir que si lon continuait ainsi, jallais éjaculer et dans un geste damnistie, retint légèrement ses mouvements.
Tout prêt, on pouvait entendre le couinement discret du lit et lentrechoquement des sexes dAntoine et de Cindy. Je détournai mon attention pendant quelques secondes et japerçu Cindy, disposée sur de la lit de manière homologue à Bianca, Antoine la pénétrant violement par derrière. Alors qu’elle avait les yeux fermés, je me permis dausculter sa petite poitrine qui se déplaçait vivement entre chaque impact. Bianca me ramena à lordre en disant :
— Est-ce que tas aimé ce que tu as vu tout à lheure?
— Euh oui
— Taimerait faire la même chose avec moi?
— Oui, mais je ne lai jamais fait, répondis-je, lair niais et peu satisfait de ma réponse.
— Ne tinquiète pas. Je me charge de tout, détends-toi.
Elle se retira alors de mon emprise, se retourna face vers moi et sinstalla à genoux devant ma queue. Dune main, elle retira le condom complètement trempé, et entreprit de me branler lentement, passant sa main de mon gland jusquà la base de ma verge. Sentant que je ne réagissais pas vraiment, elle passa à la vitesse supérieure. Surpris de sa doigté, mon pénis se dressa davantage avec chaque mouvement. Après un peu plus d’une minute, je ne pensais plus être en mesure de me contenir bien longtemps et je dis:
— Bianca, je pense que je viens.
Pour être honnête, nayant jamais exécuté déjaculation faciale avant cet instant, jétais quelque peu inquiet du trajet que mon sperme allait emprunter. Elle me rassura en me disant :
— Cest correct Tom, laisse-toi aller.
Elle présenta ma queue près de son visage. Au moment même où mon membre frôla sa joue droite, mon gland expulsa un puissant premier jet qui sy logea telle une masse et tomba en partie sur le tapis. Un second écoulement se rependit sur ses lèvres, fermées pour loccasion. Sentant probablement que javais terminé, elle se recula légèrement le visage avant de recevoir une petite quantité de sperme entre les deux yeux. Surprise, elle laissa échapper un petit rire discret :
— Wow, okay sesclaffa-t-elle, tenant encore mon membre de sa main droite.
Cest à ce moment-là que Cynthia se plaqua à genoux au bas du lit. Antoine approcha delle et dans une courte plainte encore une fois contenue, lui répandit un nouvel éjaculat sur sa poitrine. Bianca retira le sperme opaque qui sécoulait sur sa bouche et regarda Cynthia, lair satisfaite. En mexcusant, je tendis à ma partenaire une serviette de bain qui était soutenue sur la porte par un crochet. Elle lattrapa tout en esquissant ce qui semblait être un léger sourire. Je regardai longuement la scène qui soffrait à moi et je songeai au fait que telle une miraculeuse cure, cette aventure avec Bianca avait neutralisée toute trace de ma nausée.
