Après avoir lu avec plaisir sur ce site, j’ai décidé de vous raconter quelques anecdotes de ma vie.

J’étais en couple depuis 2 ans avec Stéphanie. Nous avions tous les deux 28 ans. Nous vivions une relation intense et fusionnelle, mais aussi très conflictuelle.

Cela faisait maintenant deux semaines que nous étions très distants suite à une dispute, mais j’avais envie d’enterrer la hache de guerre et aussi je dois l’avouer, j’avais très envie d’elle. Le sexe a toujours été incroyable entre nous et nous a souvent permis de nous retrouver.

Stéphanie était terriblement belle et sexy : 1m68, typée espagnole, de longs cheveux ondulés et châtains. De nature très joueuse, elle aimait chercher les hommes de son regard, lorsqu’elle mettait en avant son impressionnant 95C. Elle possédait surtout un charme dévastateur.

J’avais réservé une table qu’elle adorait dans le 14e. Après ma journée de travail, je rentrai à la maison pour la récupérer. En équilibre sur ses talons de 10 centimètres, elle portait une robe noire. Elle était sublime. La connaissant, ses sous-vêtements devaient également être à la hauteur.

Elle s’approcha de moi pour m’embrasser, mais je la repoussai. Je la plaquai contre mur en maintenant fermement une main sur son cou. Je savais comment l’exciter. Mon autre main parcourut son corps et passa sous sa robe. Je glissai directement un puis deux doigts en elle. Elle aimait ce traitement sans ménagement. Je me mis à genoux devant elle et fis glisser son string en fine dentelle le long de ces jambes. Après l’avoir portée à mes narines, je le glissai dans ma poche. De mon autre poche, je sortis un uf vibrant et je le glissai en elle avant même qu’elle puisse se rendre compte de quoi il s’agissait. Je baissai sa robe, me relevai, et l’embrassai.

Bonsoir mon amour. Prêtes pour aller dîner ?

A cet instant, elle possédait un vrai regard de salope.

Je meurs de faim.

Durant les 10 min de trajet, ma main caressait plus souvent ses cuisses que le levier de vitesse. Comment faire autrement lorsque la femme à nos côtés porte des bas ?

En pénétrant dans le restaurant, je sentis les regards se braquer sur elle. Et comme tous les hommes de l’assistance, mes yeux se sont fixés sur son fessier parfaitement moulé dans cette petite robe. Elle le sentait. Son déhanché s’accentua légèrement lorsqu’elle traversa la salle pour rejoindre notre table. J’avais envie de la baiser sur-le-champ.

Lumière tamisée, table légèrement isolée, nous étions heureux de partager ce moment. Son décolleté était ample et plongeant. Je voulais arracher ce bout de tissu qui dévoilait plus qu’il cachait sa poitrine.

Je choisis le moment où elle parlait de son travail pour saisir la télécommande et activer l’uf vibrant. Elle sursauta et poussa un cri aigu qui alerta nos voisins.

Enfoiré, arrête ça tout de suite !

Bien entendu, ma seule réponse fut d’augmenter l’intensité. Elle défia du regard : « Je ne sens absolument rien. Tu perds ton temps ».

De quoi parles-tu, mon amour ?

Je lui posai des questions plus précises sur le sujet qu’elle évoquait au préalable. Elle se mordit les lèvres. Sa main droite agrippa le rebord de la table puis elle essaya de décontracter son visage.

Comme je te l’expliquais, j’ai créé un nouveau process aujourd’hui.

Intensité niveau 4. Elle ferma les yeux.

Tu es satisfaite de l’avoir fait ?

Ho oui. J’ai pris énormément de plaisir.

Notre échange dura encore quelques instants jusqu’à l’arrivée de nos plats.

Amoureux comme jamais, nous passions une excellente soirée.

Je repris bien entendu mon petit manège alors qu’elle mangeait. Cette fois-ci, elle n’arrivait plus à tenir son poker-face. Elle tenta de dissimuler son visage avec une main afin d’éviter les regards des tables voisines. Elle était rouge. Son corps se dandinait sur sa chaise.

Mon amour, tu me fais goûter ton plat ?

Elle me tendit difficilement sa fourchette.

Délicieux ; mais je veux goûter l’autre plat.

Je vis son regard interloqué.

Quel autre plat ?

Tu es en robe. Ton string est dans ma poche. Je veux goûter ton jus, mon amour.

Hors de question.

Intensité de l’uf très élevé. « Non, non et non. On est au milieu d’un resto ».

Je vais continuer d’augmenter le volume, mon amour.

Elle avait de plus en plus de mal à garder les yeux ouverts. Sa respiration se faisait plus fort. Elle jeta un il autour d’elle, glissa sa main sous la table puis me tendit deux doigts. J’avalai directement ce liquide. Je dois avouer que j’ai toujours aimé lui dévorer le sexe et avaler sa mouille abondante.

Dessert, addition. Nous voilà dans la rue, excités au possible. Je la dirigeai vers un porche d’immeuble afin de l’embrasser langoureusement. Elle me poussa contre le mur et s’accroupit devant moi. Elle ouvrit mon pantalon et avala directement mon sexe. Stéphanie prodiguait des fellations absolument divines : baveuses et profondes. Elle adorait la sensation de tenir un homme grâce à sa bouche. J’étais aux anges et je savais que ma chérie était excitée par cette pipe en pleine rue. Mais elle était aussi joueuse :

Voilà, c’est fini.

Elle se releva et se dirigea vers la voiture.

Ceintures bouclées ; clignotants enclenchés ; elle commençait déjà à jouer avec ses cuisses pendant que sa main caressait mon entrejambe.

Parking Vinci à 300 mètres à droite. Je ne réfléchis pas longtemps. Coup de volant ; et la voiture s’engouffra dans le tunnel Souterrain moins de 3. Une place contre un mur.

Enlève ton uf et descends.

Je sortis également. Je la saisis et posai ses fesses sur le capot. J’ouvris mon pantalon et la pénétrai. Mon sexe était dur. Je la baisai littéralement. Mes coups de reins étaient puissants. Ma queue la pénétrait entièrement. Elle tentait de masquer ses cris. Je sortis de son sexe. Elle posa ses pieds au sol, se retourna et se pencha en avant. Sa croupe était tendue vers moi. Je remis ma queue en elle. Mes mains tenaient fermement ses hanches et les lâchaient seulement afin de lui distiller d’éclatantes fessées. Elle hurlait maintenant. Heureusement pour nous, à cette heure de la nuit, ce parking était désert. Je la sentis se crisper et jouir. Son corps subissait maintenant de violents spasmes. Je me déchargeais à ce moment en elle. Elle se retourna et colla son corps contre le mien.

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