Salut c’est votre folle de lycra.

Je suis Franck, étudiant, j’attaque une réorientation dans un nouveau BTS, rapidement je me suis fait des amis hommes, les seuls dans l’école. Jai surtout fait la connaissance de Coralie, elle était dans ma classe et nous avions plein d’atomes crochus. Pendant les heures creuses, nous allions étudier dans les salles destinées à cet effet. À vrai dire tous les deux en cours nous nous complémentions, en ce sens où Coralie assurait dans certaines matières où moi je pataugeais et réciproquement. À mesure que nous découvrions notre nouvelle école, nous faisions aussi connaissance et échangions nos points de vue surtout ce qu’il y avait. C’est ainsi qu’un jour je me confiais à Coralie ainsi qu’aux deux autres copains, comme quoi la directrice des études était vraiment d’une grande beauté et fort désirable. Mes deux potes défendaient parfaitement mon idée, bien évidemment je n’ai pas eu de commentaire de la part de ma copine de classe. Tous les trois étions logés chez l’habitant aux alentours de l’école, il nous arrivait de pouvoir nous retrouver le soir afin de nous changer les idées.

Nous étions aussi un peu bloqués financièrement, du coup nous n’avions pas souvent l’occasion de nous faire un resto. Seule Coralie vivait chez sa mère qui nhabitait pas trop loin, quelque part elle était un peu avantagée. De temps à autre nous nous offrions une petite virée sur Paris, mais toujours en faisant attention à ne pas exploser notre budget bien limité. Nous formions un quatuor d’élèves studieux, contrairement à d’autres groupes de copains au sein de l’école, nous ne touchions pas une goutte d’alcool. Rapidement Coralie et moi avons commencé à sortir ensemble, mais au début nous nous limitions à de simples caresses ou de chastes baisers. Nous étions très heureux comme ça, et une complicité était en train de naître entre nous. Rapidement l’appel de la nature a pris le dessus, et nous avons eu envie de faire des choses. En fait Coralie n’avait pas trop envie que nous allions chez elle, elle n’était pas trop sûre de la réaction de sa mère, si elle venait à rentrer avec un garçon. Je n’avais pas insisté, je ne voulais pas mettre, ma désormais copine mal à l’aise, l’année se déroulait donc tranquillement.

Le studio que j’avais chez l’habitant était assez exigu, mais nous avions largement de quoi nous y allonger et faire des folies. À vrai dire, au début nous avons commencé à nous confesser, au sujet de nos aventures sexuelles, elle comme moi n’avions pas un bien grand tableau de chasse. Pour ma part c’était le néant, je m’étais juste limité à me faire des petits plaisirs, avec comme extra me faire ça dans les petites culottes de ma mère. Par contre, durant les dernières vacances, Coralie avait découvert les plaisirs du sexe. Elle avait joué à touche-pipi avec un cousin et avait été jusqu’à le masturber jusqu’au bout. Le plus croustillant fut quelques jours auparavant, toujours avec la famille mais ce coup-ci avec les cousines. À ma grande surprise, ma copine m’a avoué avoir eu des attouchements très intimes avec trois de ses cousines, ces dernières lui ont chacune donné une jouissance intense juste avec leurs langues. Coralie était aussi assez fière de m’avouer, qu’elle avait, elle aussi, fait jouir ses trois cousines avec sa langue.

C’est à cette occasion que Coralie avait découvert les plaisirs des dessous en lycra, jusqu’à maintenant elle ne portait que du coton, mais depuis les vacances cette matière était bannie de ses tiroirs. Voilà comment le premier soir, un vendredi, je me suis limité à sentir la culotte de Coralie pleine de cyprine, je n’avais pas eu droit à plus. Le must a été que ce soir-là, Coralie me laisse sa culotte, je vous laisse imaginer que sa petite culotte a pris le relais de celle de ma maman, que j’utilisais quand j’avais ma chambre chez elle. Vous comprendrez bien que Coralie m’avait quitté en me laissant le feu entre les jambes il avait bien fallu que je me calme.

— Alors, pas trop déçu de ne pas avoir pu me prendre hier soir.

— Je suis sûre que cette nuit, tu t’es fait du bien avec ma culotte toute poisseuse d’hier soir.

C’est la première fois de ma vie que je recevais des SMS aussi coquins, surtout au réveil.

J’étais un peu gêné, car on avait l’impression dans ses propos, qu’elle était restée dans la chambre à m’observer toute la nuit.

— Désires-tu que l’on se voie aujourd’hui.

— Si c’est le cas, je te poserai juste une petite condition.

Bien évidemment, je lui ai répondu par l’affirmative, que ce serait avec un grand plaisir que nous nous revoyions ce jour. Je m’interrogeais quand même sur sa condition à venir pour me voir ce jour. Quand je lui ai demandé ce qu’elle voulait en contrepartie, j’ai eu pour réponse, on ne peut plus loufoque à mes yeux, elle voulait que je porte sa culotte quand nous nous retrouverions. Rendez-vous fut fixé vers onze heures, jusqu’à l’heure dite, j’ai été tracassé par cette idée saugrenue que de me faire enfiler sa culotte en lycra. Je regardais cette culotte, je la tenais dans les mains, je la caressais, je la sentais, je m’interrogeais, allais-je vraiment oser enfiler ce dessous féminin.

Quelques instants avant l’heure fatidique, j’ai fini par me décider en me disant qu’il n’y aurait qu’elle et moi qui serions au courant. Finalement ce n’était pas si désagréable, mon sexe qui était déjà bien réveillé était vraiment bien moulé dedans. Par contre quand j’ai enfilé mon pantalon par-dessus, le frottement de ces deux matières a vraiment été magique. L’érection naissante que j’avais en enfilant cette culotte s’est transformée en une grosse trique, que je risquais d’avoir du mal à dissimuler aux yeux de Coralie. Quand mon amie est arrivée, je n’étais pas mal à l’aise en sachant que je portais sa douce culotte, mais à la peur qu’elle découvre mon érection. Quand la sonnette a retenti pour annoncer l’arrivée de Coralie, mon cur battait la chamade. Elle est entrée avec beaucoup d’assurance et, à peine la porte fermée, j’ai eu le droit un baiser amoureux et gourmand.

— Eh ben mon salaud, tu as un de ces gourdins.

Son franc-parler, et son parler cru, me laissaient sans voix.

En me sautant dessus pour m’embrasser, elle m’avait complètement plaqué contre elle, et effectivement elle ne pouvait pas ignorer mon état de forme. Dans la seconde qui suivait, elle m’avait plaqué la main sur le sexe et elle était en train d’en jauger la taille. Coralie dirigeait les opérations et ce n’était pas pour me déplaire. De mon côté, jamais je n’aurais osé franchir le premier pas, surtout avec une telle femme. L’instant suivant, je me retrouvais allongé sur mon lit, avec Coralie qui était en train de me défaire de mon pantalon. Je peux vous garantir à son regard qu’elle a beaucoup apprécié que j’aie respecté ses consignes, mais manifestement elle n’en doutait pas une seconde. Elle s’est relevée en me gardant allongé sur le lit, elle a verrouillé la porte de mon studio puis m’a débarrassé de mon pantalon. À son retour, elle s’est remise à m’embrasser mais surtout a saisi mon sexe, car ce dernier un peu à l’étroit, avait fugué de son emballage de lycra.

Maintenant elle tenait mon cerveau du bas bien fermement, et elle était en train de me masturber avec beaucoup de délicatesse. De temps à autre, elle me caressait les boules à travers le lycra, la douceur en augmentait le plaisir de ces effleurements. Maintenant sa main avait quitté mon sexe pour remonter sur mon ventre avant d’accéder à ma poitrine. Tout mon corps était électrique, je sursautais au moindre centimètre de progression de sa main, j’en étais à me demander si c’était pendant les dernières vacances que Coralie était devenue limite dominatrice. Ma chérie s’est relevée un instant pour se débarrasser de sa culotte, bien évidemment en lycra mais surtout encore toute poisseuse. Elle s’est ensuite empressée de venir me la mettre sous le nez et m’enduire le visage de ses sécrétions intimes. J’adorais sa façon de diriger les opérations, j’adorais le traitement qu’elle m’infligeait, j’adorais me sentir parfaitement offert à elle.

C’est elle qui a estimé qu’elle était prête, et c’est à ce moment-là qu’elle a décidé de venir se mettre à califourchon sur moi. Elle a saisi mon sexe pour se chatouiller le vagin et le clito avec, les deux étaient inondés de cyprine, à mon grand regret, cela m’avait privé d’une petite fellation avant pénétration. Mon sexe était maintenant humide de sécrétions féminines, c’était très agréable, c’est ce moment-là que Coralie a choisi pour laisser mon sexe la pénétrer. Tous les deux allions perdre notre pucelage ce midi, mon sexe était maintenant à l’entrée de son vagin. Elle s’est débarrassée du reste de ses vêtements, puis est venue m’embrasser avec encore plus de passion. C’est ce moment-là qu’elle a choisi pour venir se glisser sur mon dard qui ne demandait que ça. Elle était en train de me faire homme et je la faisais femme, c’est un moment que l’on n’oublie jamais.

Elle a mis plusieurs minutes à descendre complètement, maintenant l’intégralité de mon sexe était dissimulée dans son intimité. Tous les deux soupirions de plaisir de la même façon, au même rythme, elle se mettait maintenant à monter et descendre sur ma virilité. Je découvrais le pouvoir de contraction d’un vagin et surtout les plaisirs que cela pouvait générer. Même si Coralie dirigeait les opérations, j’avais l’impression qu’elle manquait un peu d’assurance désormais. J’avais surtout la sensation que maintenant, c’est le plaisir qui était aux commandes des événements. Coralie s’est mise à monter et descendre le plus profondément possible, maintenant elle s’était redressée, sans doute pour sentir encore plus mon sexe coulisser en elle. Je ne savais pas si on prenait à ce point son pied, à chaque fois que l’on s’envoyait en l’air, mais si c’était le cas j’étais prêt à remettre ça quotidiennement. À voir le visage resplendissant de Coralie, je pense qu’elle devait se dire exactement la même chose dans la tête.

Nous n’avons pas été bien longs à prendre notre pied, en même temps c’était une première, nous découvrions plein de sensations et de plaisirs nouveaux.

— Heureusement que je prends la pilule depuis peu de temps, car je crois que tu m’en as balancé énormément dans les entrailles.

Heureusement qu’elle avait pensé à ça car se protéger, cela ne m’était même pas passé par la tête, à ma grande honte.

— C’est vraiment bon de faire l’amour Coralie.

— Est-ce que tu préfères t’envoyer en l’air avec un homme ou avec une femme ?

Coralie m’a expliqué qu’elle trouvait qu’une jouissance vaginale venait de beaucoup plus loin, et qu’elle secouait plus l’organisme. Pendant qu’elle me parlait, elle continuait à monter et descendre sur mon sexe, mais ce dernier était en train de perdre de la vigueur rapidement. Manifestement la jouissance clitoridienne pouvait être répétée de façon assez rapprochée, par contre la jouissance vaginale venait d’ailleurs, et les capteurs sensoriels ne pouvaient pas exploser trop régulièrement.

Une fois l’explosion de plaisir retombée, elle est venue s’allonger sur moi ; sentir la chaleur de son corps collé au mien était vraiment très agréable. Elle m’a fait bouger quelque peu sur le lit, pour que nous nous retrouvions totalement allongés, et elle a tiré le drap sur nous. Nous nous sommes assoupis un bon moment, le week-end commençait vraiment très bien. Je vais vous avouer que je n’ai pas vraiment réussi à dormir, j’avais un peu plus la tête ailleurs, une femme venait de me prendre ma virginité et elle était contre moi en train de dormir.

— Alors mon dépuceleur, alors mon étalon.

— Tu te remets de tes émotions.

— Cela me fait tout drôle que nous nous soyons dépucelés mutuellement.

J’étais plus, la tête dans les nuages, sans doute avec un air benêt, à réaliser ce que je venais de vivre. La douceur des caresses de Coralie sur mon corps était en train de me faire réintégrer la vie réelle.

Au bout de près de trois quarts d’heure, ma chérie s’est levée, elle s’est rhabillée et puis tu m’as quitté en me disant et si je le désirais, elle me retrouverait ce soir pour que nous redressions le couvert. L’offre m’avait l’air honnête, et c’est sur ces mots, mais surtout un long baiser que nous nous sommes quittés pour l’après-midi. J’ai su après qu’il y avait un petit rituel avec sa mère, c’était d’aller faire les courses le samedi après-midi. Quand elle est partie, j’ai réalisé qu’elle allait se retrouver avec ma liqueur qui allait lui couler entre les jambes, vu qu’elle m’avait laissé sa culotte. Cela me fit sourire à plusieurs reprises, pendant que je m’étais mis à travailler mes cours. En petit pervers que j’étais en train de devenir je n’ai pas pu me retenir de sentir les deux douces culottes souillées que je possédais de ma chérie.

— Alors est-ce que tu veux que je passe ce soir.

— Pour toi comme pour moi, ce sera la première fois que je dors avec quelqu’un.

— Je suis pressée que nous nous découvrions un peu mieux.

C’est sur ces mots que Coralie m’a sorti de mon travail vers vingt heures.

Compte tenu du fait que j’avais envie que nous remettions ça, j’avais fait attention à enfiler une de ses douces culottes. Dès qu’elle est arrivée, elle m’a littéralement sauté dessus en fermant au préalable la porte à clé, elle avait toujours sa belle robe douce. Elle n’a pas été bien longue à constater qu’elle me faisait toujours autant d’effet, elle avait faufilé sa main dans mon pantalon, sans prendre soin d’en défaire la ceinture. Il m’arrivait maintenant de douter du fait que ce soit moi qui lui ai pris son pucelage, tant elle avait d’assurance avec moi. Quand elle m’a mis mon sexe dans sa taille maximale, elle s’est maintenant attardée à me défaire de mon pantalon. Mon sexe était maintenant libéré, bien qu’il soit quand même un peu contenu dans la culotte de Coralie. Ma chérie avait l’air très satisfaite de l’état de forme du sexe qui allait sans doute la pénétrer une seconde fois dans la journée. Bien évidemment elle s’est débarrassée de sa culotte toujours en lycra, toujours poisseuse et toujours cela devenait un plaisir indicible que de la humer. J’étais aussi interpellée par la différence d’odeur que pouvait avoir son minou d’une culotte à l’autre. Je ne m’y connaissais pas du tout en femme, cela devait avoir une explication.

C’est ainsi que j’ai eu le droit à une fellation, tout en douceur, j’avais l’impression que c’était de la gourmandise de sa part. Coralie avait fait attention à bien m’écarter les jambes, c’est vrai que cela lui permettait de me caresser des parties très sensibles de mon corps. Moi qui jusqu’à maintenant m’étais limité à me faire des petits plaisirs tout seul, je me découvrais des zones érogènes que je n’aurais jamais supposées. Quand Coralie s’est mise à me caresser la raie des fesses, j’en ai sursauté de surprise, mais aussi de plaisir, le pire c’est que je me suis même mis à pousser de petits cris. De temps à autre, ma partenaire se relevait partiellement pour me regarder, pour me faire savoir sa satisfaction de me mettre dans cet état. Elle m’a fait allonger sur le lit, puis comme ce midi, elle est venue s’asseoir sur mon pieu en pleine forme. Par contre pour montrer que j’existais un peu, je ne lui ai pas laissé la direction des opérations, c’est ainsi que je l’ai retournée sur le lit et c’est elle qui s’est retrouvée allongée, et moi au-dessus.

— Alors comme ça, jeune étudiant, on prend des initiatives…

Je ne lui ai pas laissé le temps de parler plus, je me suis mis à l’embrasser en lui tenant fermement la tête. Mon sexe qui était bien raide, a trouvé l’accès à son vagin tout seul, comme un grand. Contrairement à ce midi, je n’ai pas mis autant de temps à la pénétrer, vu que c’est moi qui dirigeais les opérations ce coup-ci. Je la regardai dans les yeux en l’embrassant, mais surtout pendant que je commençais à aller et venir en elle. Je n’avais pas pensé à retirer la culotte qu’elle m’imposait de porter, je pense que ce dessous féminin contribuait à l’état de forme de mon sexe. La fraîcheur de ma main l’a fait sursauter quand cette dernière est venue se glisser sous son chemisier pour lui caresser le corps. C’était la première fois de ma vie que j’avais l’occasion de découvrir avec mes mains le corps d’une femme, et qui plus est, un corps magnifique. Je peux vous garantir que je ne me suis pas privé d’aller à la découverte du relief intime de ma partenaire. Je n’avais jamais réalisé combien la pointe des seins pouvait s’ériger, quand le désir et l’excitation étaient de la partie.

Il ne métait pas facile d’aller et venir en elle et de lui caresser la poitrine en même temps. Il fallait que je garde l’équilibre et que je fasse attention à ne pas l’écraser, même si je n’étais pas bien lourd. Il a donc fallu que je réussisse à alterner les va-et-vient en elle et les caresses, Coralie avait l’air de beaucoup aimer que je lui caresse la poitrine. Tout comme ce midi, le plaisir a été rapide à venir pour tous les deux, l’avantage c’est que nous prenions notre pied en même temps. C’était vraiment très agréable de faire l’amour avec une fille et je crois que je prenais aussi goût à porter ces petites culottes. Par contre, ce coup-ci, j’ai tiré la couette sur nous et nous nous sommes endormis après le plaisir pris. Nous avons pris l’habitude de faire des folies dans mon petit appartement, on faisait ça essentiellement le week-end, mais il y avait des fois ou même l’après-midi après les cours, nous passions aux choses sérieuses. La seule condition pour que j’aie le droit de lui faire l’amour, c’est que j’aie toujours une culotte à elle sur moi. C’est ainsi que rapidement, j’ai arrêté de porter des sous-vêtements masculins, Coralie me fournissait en dessous.

Finalement j’avais pris goût à la douceur, d’autant qu’au bout d’un mois, en plus de la petite culotte elle m’a demandé que je porte maintenant une petite nuisette en lycra. Au début j’ai fermement protesté mais si je voulais toucher à ma belle, il fallait que je cède à ses exigences. Avec le temps j’ai fini par me faire et c’était notre petit secret, cela augmentait notre complicité. Pendant les vacances de la Toussaint nous avons décidé de partir quelques jours, histoire de nous dépayser, mais surtout d’être tous les deux en amoureux. Nous ne voulions pas aller bien loin, juste prendre le grand air et c’est ainsi que nous avons décidé de partir dans le sud de l’Eure-et-Loir. Coralie avait une vieille voiture, vous savez ce sacré numéro, c’est sa mère qui lui avait filé et elle lui rendait encore bien service, malgré son âge bien avancé. Nous avons donc pris la route un samedi matin direction la campagne, à peine avions-nous dépassé Chartres que la voiture a commencé à donner des petits si de fatigue.

Nous avons quitté l’autoroute à la première sortie sur la toute petite ville de Luigny, vous connaissez cette ville, je vous en ai déjà parlé. Là, Coralie a appelé sa mère pour l’informer que nous étions dans l’embarras et cette dernière nous a invités à ne pas bouger, qu’elle allait nous retrouver pour voir ce qui se passait. La voiture n’avait plus de puissance, mais elle roulait encore au ralenti. En même temps j’avais un peu peur, car j’allais rencontrer pour la première fois, la mère de ma chérie dans des circonstances peu favorables.

Je vous raconterai la suite de mes aventures dans un prochain chapitre, si celui-ci vous a plu.

Bisous à vous

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