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immoral tentation – Chapitre 10




Chapitre 11

Christine, 43 ans, la mère de Marc.

Marc. 18 ans. le fils de Christine.

Jeanne. 51 ans. amie de Christine et mère de François. 21 ans et l’épouse de Jean.

Grégory, 18 ans, un copain de Marc.

Rose Martin, 71 ans, ancienne voisine de Christine.

Léon Martin, 72 ans, mari de Rose.

M. Murier, 36 ans, le prof de sport de Marc.

« Aaah, espèce de salop, lâche-moiiiii… !

‒ C’est ça, salope…, tiens, han, han… ! »

Le violeur fixe sa pine qui sort et rentre à une vitesse folle.

Christine ne peut, évidemment, plus broncher, le mal est fait et cet homme prend indéfiniment son pied, malgré ses protestations.

Marc est toujours là, regardant sa mère, coincée contre le mur, se faire sauvagement baiser.

La scène dure bien trois bonnes minutes. Lhomme est en sueur, son activité l’épuise beaucoup. À force de se faire baiser, Christine, bien malgré elle, ne peut se retenir, ce sont de timides cris de jouissance qui commencent à sortir de sa bouche…

C’est de la folie, Christine prend son pied avec un homme qu’elle ne connaît pas et qui la viole qui plus est.

« Aaah, tu vois que tu aimes, hein, grosse putain, tu aimes… ? »

Il se penche sur elle afin de voir son visage pendant qu’elle est en train de jouir.

Les petits cris de jouissance de Christine se font entendre de plus en plus dans les toilettes ainsi que les claquements de ses fesses.

Marc fixe toujours la scène, prenant un certain plaisir, lui aussi.

Au bout d’un moment, le violeur sent qu’il va enfin pouvoir jouir. Tout en accélérant ses coups de pieu, il lève la tête en fermant les yeux… !

« Aaaaah, ouiii, je vais jouiiiiiiir…, salope, tu vas me faire jouir… ! »

Et d’un coup, il retire sa queue, comme un expert, il se retient de décharger, tout en pinçant la colonne de son membre. Il remet, en coup de vent, le string en place, puis il place son gland entre le vagin et le string de Christine et dans un cri profond, il décharge une énorme quantité de sperme.

Le liquide blanchâtre inonde le string de la pauvre femme, se mélangeant à ses poils pubiens.

« Aaaah, tiens, voilà salope, voilà pour toiiiii… ! »

Il passe sa main entre les cuisses de sa victime et frotte l’entrejambe, à travers son string, comme pour écraser le sperme, durement déchargé.

« Tiens, ahahah, comme ça tu passeras le reste de la journée avec mon foutre collé à ta chatte ! »

Christine ne dit rien, essayant de récupérer. Linconnu se retire pour pouvoir se rhabiller.

À ce moment-là, il se tourne et tombe sur Marc qui le fixe et sort ensuite des WC.

Linconnu commence à paniquer : "que dois-je faire ? Il ma vu, je suis foutu !".

Il finit vite de se rhabiller, sort rapidement des toilettes, laissant Christine derrière lui en train de récupérer.

Lorsquil sort du couloir qui mène à la station de métro, il s’attend à ce que le fils de sa victime ait alerté quelqu’un.

Il regarde partout mais il n’y a que des personnes qui marchent rapidement.

"Rien à signaler " se dit-il, alors il se jette à l’eau et sort du couloir.

Mais, il tombe sur Marc qui attendait, calé contre le mur, main dans les poches.

Lhomme fait comme sil l’ignorait et part dans l’autre sens.

« Oh… ! », linterpelle Marc.

Le sang de l’inconnu se glace d’un coup, lui qui a été si brutal avec la mère de ce jeune homme, se retrouve d’un coup, paralysé, ne sachant pas quoi faire.

Il tourne quand même la tête.

Marc avance vers lui un sourire aux lèvres.

Lhomme ne bouge pas, le regardant avec frayeur, se demandant ce qu’il va lui demander.

Quand Marc est assez près de lui, il lui demande :

« Ta pas une clope ? »

Le violeur le regarde, sans répondre, se demandant si c’est une blague.

« Oh, oh, tas pas une clope, s’te plait ?

‒ Euuuh…, je…, si…, si, j’en ai… ! »

L’inconnu sort son paquet et laisse le choix à Marc de choisir la cigarette.

« Merci… ! »

Marc éclaire sa clope et le regarde :

« Tu veux ma photo ?

‒ Euuh…, non, je… !

‒ Bon, ben dégage, alors sinon j’appelle le flic qui se trouve là-bas ! »

Il se retourne, regardant en direction où pointe le doigt de Marc.

À 20 mètres se trouve un policier.

Il ne demande pas son reste et part, choqué par le comportement de cet adolescent, témoin du viol de sa mère et qui ne bouge pas ou plutôt s’en moque totalement.

Marc attend Christine au sortir des WC finissant sa cigarette.

10 minutes après Christine sort des toilettes.

« Ah enfin, mais tu faisais quoi, maman chérie ?

‒ Tu…, tu es resté là ? Tu n’as vu sortir personne ?

‒ Non, pourquoi maman ? »

Marc la regarde avec un sourire d’ange, jouant parfaitement son rôle.

Christine regarde autour d’elle, pensant voir son agresseur, puis elle regarde son fils, si jeune, si inconscient croit-elle.

« Non, pour rien, mon chéri, bon, allons chez le docteur, tu veux bien ?

‒ Oui maman ! »

Ils arrivent une demi heure plus tard chez le docteur.

Quand cest à leur tour, il examine ses mains après avoir enlevé les bandes.

« Bon, ce n’est pas bien méchant, ça a bien cicatrisé…, je pense que tu peux rester ainsi jeune homme, tu n’as plus besoin de bandes !

‒ C’est vrai, docteur ?

‒ Oui, oui, ne t’en fais pas ! »

Christine est contente, son fils va enfin pouvoir reprendre les cours.

Quand à Marc, ce n’est pas la même chose, car ses mains bandées lui servaient d’excuse pour pouvoir profiter des services de sa mère.

Marc regarde sa mère qui est un peu ailleurs, depuis le début de la consultation.

Elle se frotte les cuisses, Marc sourit, il sait pourquoi.

« Excusez-moi docteur, mais où sont les toilettes, s’il vous plaît ?

‒ Au fond du couloir, sur la gauche ! »

Christine sort de la salle.

Le temps que le docteur-conseil inscrive une pommade pour aider à la guérison des mains, Christine revient dans la salle, l’air de rien.

Ils remercient le médecin et prennent le chemin du retour.

Dans la voiture, Marc regarde sa mère qui est silencieuse et qui n’a pas décroché un mot depuis qu’il ont quitté le cabinet du docteur.

« Maman, qu’est-ce que tu as ? Tu n’as pas décroché un mot depuis tout à l’heure ? Cest de ma faute ?

‒ Non, laisse-moi tranquille ? »

Marc est surpris de sa réponse. Ne sachant pas quoi dire, il préfère la laisser tranquille.

Arrivés à la maison, Christine part se changer, voulant, tout d’abord, changer ce string, souillé du sperme de son agresseur.

Ils mangent rapidement et Christine se couche très tôt.

Marc est bien-sûr embêté, non de voir sa mère dans cet état, mais de ne plus pouvoir lui parler…, il faut agir.

Le lendemain matin, Christine, de son côté, a préparé le petit déjeuner.

Marc descend et tombe sur sa mère qui sest changée.

« Je vais voir Jeanne, je reviendrai sur le coup de midi, je t’ai préparé à manger ! »

Sans laisser le temps à son fils de parler, elle sort de la maison et part au volant de sa voiture.

Marc est navré en regardant la voiture s’éloigner de la maison.

« Et merde, fait chier, elle tire la gueule maintenant, faut que jtrouve un truc ! »

Trente minutes plus tard Christine arrive chez son amie.

« Aah…, Christine, rentre ma chérie ça va ?

‒ Ben non, tu vois comme je te l’ai dit, je ne suis pas remise d’hier !

‒ Ma pauvre Christine, c’est normal tu sais ! »

Pour venir voir Jeanne, Christine a mis une jupe blanche arrivant à mi-cuisse, avec une chemise en soie rouge, portant des talons aiguilles noirs.

Jeanne, comme à son habitude, est habillée comme une petite bourgeoise, habituée à rester à la maison, avec un mari toujours au boulot.

Le mari travaille et elle fait les magasins. Résultat : une robe noire de grande marque arrivant au milieu des cuisses.

Jeanne a un corps de rêve pour une femme de 51 ans, mince de taille avec un tour de poitrine, certes moins opulent que Christine, mais joli tout de même.

Les bijoux vont bon train et elle porte des talons aiguilles. Ses jambes sont habillées de bas couleur chair, la rendent hyper sexy.

Les deux femmes s’installent au salon pour discuter.

« Alors, raconte-moi !

‒ Ben voilà, je devais emmener mon fils au médecin. En sortant du métro, j’ai voulu aller aux toilettes et lorsque j’ai eu fini, un homme, d’à peu près mon âge, ma sauté dessus, il m’a traitée de salope et lorsque j’ai voulu sortir il ma menacée. Jai eu peur, il ma ensuite forcé à lui faire une fellation, puis ma violée sauvagement, malgré mes protestations !

‒ Mais Marc, où était-il ?

‒ Marc ? Mais, il m’attendait dehors, le pauvre, il n’a rien vu ! »

Christine ne préfère pas divulguer ce qui s’est passé, juste avant le viol.

Cela ne peut être dit !

« Et, euuuh…, enfin, il a joui ?

‒ Oui bien-sûr, il a pris son pied, ce salop ! »

Jeanne sapproche de Christine, leurs genoux se touchent.

Lhistoire de Christine l’excite terriblement et l’absence de son mari, toujours sur les routes, l’empêche de pouvoir assouvir ses folles envies.

Jeanne nécoute plus Christine, elle regarde tout son corps, elle qui a fait toutes les expériences possibles en amour, avec un homme, voire deux.

Ses années de lycée à l’internat, lui ont révélé les plaisirs de l’amour, l’ayant même fait avec sa partenaire de chambre.

Les énormes seins de Christine font rappeler à Jeanne ceux de cette fille qu’elle a léchés tendrement.

Après avoir rencontré Gérard, elle a mis une croix sur toutes ces aventures.

« Et Marc, le sait-il maintenant ?

‒ Non, jamais je ne pourrai lui dire, mon pauvre chéri, sil savait, il serait horrifié !

‒ Et il ta fait du mal ?

‒ Heureusement, il ne ma pas frappée, mais par contre, il est tellement allé fort qu’il ma fait mal, ça oui ! »

Jeanne ne peut s’empêcher de regarder Christine dans les yeux. En un court instant, de l’amie, elle est devenue une femme qui réveille tous ses sens.

Est-ce l’absence de son mari qui réveille en elle, ce fantasme immoral ?

« Oh ma pauvre chérie, montre-moi que je regarde si tu n’as rien !

‒ Non, ne t’inquiète pas, je pense que ça ira !

‒ Si, si, j’insiste, je veux te masser, ça te fera du bien, tu verras ! »

Christine capitule et accède à sa demande.

Jeanne se met à genoux sur le canapé, sa robe courte se relève, montrant la lisière de ses bas ainsi que les attaches noires de son porte-jarretelles.

Christine se met, dos à elle, lui montrant où elle a mal.

Jeanne lui masse le bas du dos.

« Alors, ça te fait du bien, ma puce ?

‒ Oui, continue, tu fais ça bien, mmm… ! »

Jeanne ne peut résister, son excitation s’accroit de seconde en seconde, son cur bat rapidement.

Elle désire maintenant voir son corps, mais comme elle est positionnée, ce n’est pas évident.

« Christine ?

‒ Oui ?

‒ Dis-moi, je…, je pense que ça serait mieux si tu enlevais tes vêtements ! »

‒ Mes vêtements ? Mais pourquoi ?

‒ Ben tu vois, avec ta jupe ou ta chemise, ce n’est pas évident pour moi, tu vois ?

‒ Oh, mais, Jeanne ne t’embête pas, c’est déjà très bien ce que tu fais, tu sais ! »

Jeanne se colle contre le dos de Christine en posant ses mains sur ses épaules.

« Écoute ma chérie, quand tu mas appelée et que tu mas dit ce qui s’était passé, j’ai eu très peur pour toi, alors laisse-moi t’aider, s’il te plaît !

‒ Oui, si tu veux, tu es tellement gentille avec moi ! »

Christine se met debout devant Jeanne qui est toujours à genoux sur le canapé.

Elle ouvre la fermeture-éclair de sa jupe qui tombe au sol.

La chemise en soie rouge cache, pour l’instant, la tenue que Christine a choisi pour son entrejambe.

Puis elle s’attaque à sa chemise qui rejoint la jupe au sol. Dorénavant plus rien n’empêche Jeanne de voir Christine en petite tenue.

Christine se retourne face à Jeanne.

« Voilà, tu…, tu veux faire comment, maintenant ? »

Jeanne ne répond pas…, elle fixe ce corps. Le corps d’une femme mûre avec des hanches un peu larges et cette énorme paire de nichons.

Tout ceci est rehaussé d’une lingerie qui la rend encore plus belle.

Un somptueux string noir dont le devant est d’une telle transparence qu’on peut distinguer les poils pubiens qui tranchent avec le tissu.

Les côtés du string remontent bien au-dessus des hanches.

Pour le soutien-gorge, Christine a opté- comme par habitude- pour un transparent.

Celui-ci est d’une couleur noire, se mariant parfaitement avec le string.

Christine, dans l’action, a oublié de retirer ses talons. Le silence de Jeanne installe une gêne dans le comportement de Christine.

Se demandant pourquoi elle la fixe comme ça, elle met ses deux mains devant elle.

Une pour cacher, entre parenthèse, sa poitrine et l’autre, son entrejambe.

« Hé Jeanne, arrête de me regarder comme ça, voyons, j’ai l’impression d’être un monstre !

‒ Oh, excuse-moi ma puce, je suis désolée, mais ne te dévalorise pas voyons, tu es vraiment très belle, tu sais ?

‒ Tu rigoles, je ne suis pas aussi fine que toi !

‒ Mais tu es très belle et pour te dire, si jétais un homme, je ferais bien de toi mon quatre heures !

‒ Arrête, ça me gêne, Jeanne !

‒ Ahahah, allez, voyons, viens et couche-toi sur le ventre ! »

Christine écoute Jeanne et s’installe sur le canapé comme elle le lui a demandé.

Jeanne se met sur ses jambes, en écartant les cuisses, ce qui accentue la remontée de sa robe, laissant voir maintenant la totalité de son porte-jarretelles à dentelles noires et par dessus son string blanc, du même tissu.

« Là, voilà, c’est mieux, non ?

‒ Oui, c’est vrai, tu as raison !

‒ C’est bon, hein ?

‒ Oui… ! »

Jeanne masse délicatement la peau douce de Christine, regardant en même temps, ce string qui sépare ses deux larges fesses.

Puis, Jeanne, prise par l’action, se met à onduler du bassin.

Christine ne dit rien, appréciant au maximum les massages de Christine.

Jeanne se penche sur elle, colle sa bouche contre son oreille.

« Tu vois, ma chérie, que j’avais raison, aucun homme ne peut être aussi doux qu’une femme !

‒ Oui, c’est vrai ! »

Jeanne dépose un baiser sur la joue de Christine, puis se redresse.

Christine ne s’imagine pas que son amie est, tout bonnement, en train de prendre un énorme plaisir à la caresser.

« Attends ! »

Jeanne stoppe son massage, puis prend le bas de sa robe noire qui est remonté jusqu’au bassin et le tire vers le haut, jusqu’à la faire passer par-dessus la tête.

La voilà, maintenant, seulement habillée de son porte-jarretelles noir qui lui tient des bas, couleur chair et un string blanc par dessus.

Les cotés de ce string étaient remontés bien plus haut que le porte-jarretelles.

« Qu’est-ce que tu fais ?

‒ Rien, ne t’inquiète pas ! »

Les seins à l’air, Jeanne se remet à son massage. Ayant les yeux fermés, Christine ne peut pas voir que Jeanne est, maintenant, aussi déshabillée qu’elle.

Jeanne n’en peut plus, ses tétons pointent comme jamais et son vagin commence à devenir un torrent de mouille.

Elle baisse ses mains jusqu’aux fesses, les massant bien fort.

Christine rigole, pensant que Jeanne fait cela pour plaisanter.

« Jeanne, voyons arrête, ça me chatouille ! »

Jeanne se met en levrette, au-dessus de Christine, en écartant bien les jambes. Elle commence par lui embrasser le cou.

Christine commence à reprendre ses esprits, sans pourtant bouger.

Puis Jeanne pose sa main sur les fesses de son amie et la glisse vers le bas de son dos pour arriver à son entrecuisse.

Christine, surprise, se demande où elle veut en venir.

Jeanne ne tarde pas à lui faire comprendre ses intentions, car aussitôt elle glisse sa main sous le string pour qu’elle puisse rentrer directement en contact avec le vagin de Christine.

Elle tourne aussitôt la tête vers celle de Jeanne, au-dessus d’elle.

« Oh Jeanne, mais que fais-tu, voyons ? »

Jeanne ne répond pas, commençant à caresser délicatement ses lèvres vaginales.

Christine se retourne un peu plus et a la grande surprise de la voir, à moitié nue, tout comme elle.

« Oh mais, Jeanne, que fais-tu nue ? Je… ! »

Jeanne pose un doigt sur la bouche de Christine.

« Chut…, ne t’inquiète pas, ma puce, tout va bien, laisse-toi faire, ne t’inquiète pas !

‒ Mais Jeanne, on ne peut pas faire ça, voyons, nous sommes toutes deux des femmes ! »

Jeanne recommence à embrasser le cou de Christine, continuant toujours à caresser ses lèvres intimes.

« Ooooh, Jeanne, voyons, arrête, je t’en supplie !

‒ Laisse-toi aller, ma chérie, tu verras comme ça va être bon, tu seras mieux après !

‒ Oooh, Jeaaaaaaanne, nooon… !! »

Petit à petit, la bouche de Jeanne se rapproche de celle de Christine.

Quant à cette dernière, elle ne peut, inexplicablement, pas se rebeller, face à cette avance, commençant elle-même, à tomber dans cette folie lesbienne, refusant quand-même de vouloir faire quoi que ce soit.

Puis, arrive ce qui devait arriver, les lèvres se rejoignent enfin et Jeanne, comme une experte, arrive, à l’aide de ses lèvres, à faire ouvrir la bouche de Christine pour pouvoir ainsi commencer un long et langoureux baiser où la fougue na rien à envier à la passion.

Comme deux salopes, des "mmmmm" sortent de leurs bouches, où leurs petites langues roses se mélangent en séchangeant leur salive.

Les doigts de Jeanne s’activent des plus en plus. Christine commence à mouiller comme une fontaine.

« Oooh, Jeanne, nous ne devrions pas faire ça, c’est immoral !

‒ Pourquoi mens-tu, ma puce ? Regarde ! »

Jeanne sort ses doigts du string et les porte juste devant les yeux de Christine.

« Regarde, Christine, regarde comme tu en meurs d’envie, tu mouilles tellement, ma chérie, tu mouilles autant que moi,mmmmmm ! »

Elle porte ses doigts à la bouche pour pouvoir goûter à la liqueur de Christine.

Cette dernière la regarde faire, stupéfaite.

« Oh Jeanne, mais que fais-tu ? Tu ne devrais pas…, mmmmmm !!! »

Jeanne ne la laisse pas finir, elle l’embrasse de nouveau, sans prévenir.

Christine la regarde avec de gros yeux.

« Oh ma chérie, tu es tellement belle, jamais, j’aurais cru que tu puisses m’exciter comme ça !

‒ Mais, Jeanne… ? »

Jeanne se relève et dégrafe rapidement son soutien gorge.

Les seins lourds tombent un peu, ce qui aide le tissu à se défaire rapidement.

Les larges aréoles font leurs apparitions. Jeanne ne donne pas le temps à Christine de remettre son sous-tif en ordre, elle se jette sur le sein le plus proche, pour le prendre à pleine bouche.

« Ooooh, Jeanne, voyons, retire-toi !! »

Christine la repousse faiblement, appréciant bien malgré elle, l’interdit et la tendre caresse de cette femme. Malgré ses protestations, Jeanne tète, sans retenue, le téton durci par l’excitation.

Christine est, dorénavant, couchée sur le dos, les mains posées sur la tête de Jeanne.

Jeanne repasse sa main sous le string et reprend son massage vaginal.

« Ooh mon dieu, Jeanne, je t’en supplie, arrête, ne mets pas ta main ici, oooohhh, mmmm… !!! »

Petit à petit, les cuisses de Christine s’écartent, laissant le feu vert à Jeanne qui le comprend tout de suite.

Elle glisse un doigt dans sa chatte toute baveuse, puis deux, en commençant un va et vient.

Christine ne prend pas longtemps pour fondre sous ses mouvements, donnant delle-même, des coups de reins.

Jeanne tète toujours ses seins, les suçant, leur donnant des coups de langue ;

Christine lui caressant toujours la tête, tout en se mordant les lèvres.

Discrètement, Jeanne baisse la tête, arrivant face à son entrejambe, elle écarte le string noir pour dévoiler cette chatte brûlante de plaisir.

« Ohh, ma chérie, que ta petite chatte est belle, attends, tu vas voir, je vais te soulager !

‒ Ohh non, pas ça, Jeanne, tu vas trop loin, mmmm… ! »

Jeanne donne quelques coups de langue, puis avec un doigt, écarte les grosses lèvres et lape cette chatte qui ne demande que ça.

« Ooooh, mmmm, oh mon dieu…, oooh, Jeanne, comme c’est bon ! »

Christine caresse les cheveux de Jeanne dans tous les sens, son excitation est à son paroxysme.

Jeanne s’en donne à cur joie, léchant goulûment cette chatte chaude comme la braise.

Jeanne place un doigt sur l’anus, tout en continuant à lui lécher le minou, puis, délicatement, elle enfonce son doigt dans cet orifice.

Christine ne bronche pas, tellement elle est dans le feu de l’action.

Jeanne change alors de position et se place au-dessus de Christine, de façon à réaliser un 69, puis sans rien demander, elle pose son entrejambe en plein sur le visage de Christine et continue sa mâchouille vaginale.

Christine, débutante, dans ce type de sujet, se contente de lui caresser la chatte, à travers le string en dentelle blanc.

Puis, Jeanne écarte, avec sa main, son string, faisant comprendre à Christine qu’elle va devoir, elle aussi, mettre la main à la pâte.

Elle commence à donner quelques coups de langue, puis se sont, ensuite, de grands coups qui font hurler Jeanne de plaisir.

Les deux femmes continuent jusqu’à jouir toutes les deux, leurs cris retentissent dans toute la maison.

Elles restent un moment sans bouger en reprenant leur souffle, toutes les deux.

Jeanne se rapproche de Christine, l’embrasse d’un baiser doux et tendre.

Christine n’arrive pas à croire ce qui vient de se produire, tout cela étant venu tellement vite.

À la maison, Marc attend impatiemment le retour de sa mère.

Vers les 12h30, Christine passe la porte d’entrée.

« Marc ? Je suis là… ! »

Elle n’a pas de réponse.

« Marc ? »

Ne voyant personne au salon, elle monte à la chambre du deuxième étage.

Elle ouvre la porte, Marc est dans son lit.

« Tu tes recouché, Marc ? Voyons, il est midi passé !

‒ Laisse-moi tranquille !

‒ Mais qu’est-ce qu’il y a, mon chéri ? Pourquoi me parles-tu comme ça ?

‒ Ah ben, maintenant, tu me parles ! Bien, tout à l’heure, tu mas parlé comme si j’étais un moins que rien !

‒ Oh, mon bébé, voyons ! »

Marc jouant parfaitement la comédie fait semblant de pleurer.

« Oh mon chéri, ne pleure pas…, je suis désolée, mais maman n’était pas bien, tout à l’heure. Jai eu quelques soucis, mais tout va mieux, maintenant, j’ai parlé avec Jeanne et elle ma remonté le moral !

‒ Et quel genre de soucis as-tu pour me négliger autant ?

‒ Mais, tu sais bien, c’est le boulot, rien de grave ! »

Marc n’est pas étonné de cette réponse, "quelle garce, elle ment comme elle respire !", se dit-il. Il veut aller plus loin.

« Non, moi je suis sûr que c’est à cause de hier, au métro, ça ta fait chier de m’avoir aidé, tu te moques bien de me voir souffrir, c’est tout, tu ne m’aimes pas !

‒ Ah non, Marc, c’est faux et tu le sais très bien, je ferais n’importe quoi pour toi et tu le sais très bien ; je n’ai pas refusé de t’aider, hier !

‒ De m’avoir aidé pour quoi… ?

Marc voulait l’entendre le dire, haut et fort.

« Eh ben, tu sais… ! »

Christine n’ose pas dire ce mot qui est totalement interdit et ce qui s’est vraiment passé entre eux deux.

Marc se relève en regardant sa mère, assise un genou plié sur le lit et l’autre jambe dont le pied est posé au sol.

Ainsi dans cette position, la jupe s’écarte énormément, dévoilant entièrement son entrejambe, habillé de son string noir transparent.

Mais Christine, perturbée par sa question, ne fait même pas attention à son accoutrement, laissant voir, par transparence, ses lèvres et ses poils pubiens.

"Oh la salope !", se dit Marc qui se donne du courage pour aller plus loin.

« Pourquoi mas-tu aidé, maman ? Sil te plaît, dis-le-moi ?

‒ Oh, mais pourquoi me poser cette question, mon bébé, c’est embarrassant ! »

Marc la regarde avec des petits yeux, il est si touchant.

« Oh maman, si tu aimes ton fils, réponds-moi, alors !

‒ Oh…, mais, Marc, tu sais très bien, tu n’étais pas bien et je n’ai pas eu d’autre choix que de te masturber mon chéri !

‒ C’est vrai, tu n’avais pas le choix, maman ?

‒ Oui mon chéri, tu n’étais pas bien et tu n’en pouvais plus, tu ne te rappelles pas…, tu as joui dans mes doigts ! »

Marc se jette dans les bras de sa mère, bandant comme un fou.

Christine doit se retenir d’un bras pour ne pas tomber en arrière.

« Oh maman chérie, je t’aime tellement, tu sais !

‒ Moi aussi, mon bébé ! »

La tête dans les seins de Christine, la queue qui pointe à travers le slip qui appuie contre le tissu du string transparent, comme pour forcer un passage, pour pouvoir entrer dans cette grotte interdite, mais tant désirée par Marc.

Christine se relève ensuite, rajustant sa jupe qui est remontée à la moitié de ses fesses.

Avant de sortir de la chambre, Christine se retourne vers Marc.

« Allez, habille-toi, on va manger et cet après-midi, on va devoir préparer nos bagages, je te rappelle que lundi, on part en Corse pour l’anniversaire de l’oncle Émile, tu te souviens ? »

Christine sort de la pièce, Marc reste sur le lit, puis il se dirige vers la fenêtre, s’appuyant sur le rebord de fenêtre et regardant le ciel :

« Pfft, je sais très bien qu’on va partir tous les deux en Corse, je n’attends plus que ça…, le moment de vérité approche, maman et tu ne vas pas être déçue… ! »

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