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Les expériences sexuelles des soeurs Ukazovà – Chapitre 11




Le samedi 16 fut consacré aux préparatifs du voyage qui, devait nous amener au bord de la Mer Noire, en Bulgarie. Il fallait tout prévoir, car, ainsi que je devais l’apprendre, nous allions devoir vivre en autarcie durant près de trois semaines, afin de réduire les frais.

Le dimanche 17, levés à l’aube ! C’est un voyage de trois jours qui nous attend. Son père, roulera devant ; et je suivrai. Eva, bien entendu voyagera avec moi, tandis que Jana sera avec les parents.

Une belle journée s’annonce. Cette fois les deux surs ont revêtu une tenue identique : short et t-shirt. Short en toile, relativement court, bleu pour Eva, vert pour Jana. T-shirt blanc pour les deux. Il est clair que les deux surs portent des dessous (on les devine sous le t-shirt). Mais, le fait qu’elles dévoilent ainsi leurs jolies cuisses un peu rondes, agrémente le tableau.

Le départ a lieu vers 8h et demie, après avoir salué la grand-mère, habituelle gardienne des lieux en notre absence.

Premier arrêt vers 11h30 au poste frontière de Rusovce, près de Bratislava. Une fois les formalités accomplies, il est midi passé et nous décidons de nous restaurer sur le pouce, au premier parking après la frontière.

La traversée de la Hongrie se poursuit sans encombre. Vers 18h, alors qu’on approche de la frontière roumaine, son père remarque quelques tentes installées à l’abri d’un bosquet, à une centaine de mètres de la route. Aussitôt, il décide que nous camperons là pour la nuit. Le lendemain vers 8h, nous repartons. Une heure plus tard, nous atteignons le poste-frontière roumano-hongrois. Nouvel arrêt pour les formalités habituelles.

A l’entrée de Timisoara, la vue d’une station- service incite son père qui nous précède toujours- à s’arrêter ; quant à nous, ayant déjà fait le plein auparavant, nous nous garons juste à l’entrée de la station :

« Comment va mon pauvre chauffeur ? » me dit Eva, un brin malicieuse.

« Très bien, ma chérie ! En plus la vue de tes jolies jambes me donne la pèche ! »

« Je te plais tant que ça, vraiment ? » reprend t- elle, feignant l’étonnement.

« J’oserais même dire que tu m’excites ! » repris-je, voulant la tester.

Il y a une affluence de voitures à la pompe et son père doit attendre son tour.  L’attente sera longue. Est-ce la certitude de devoir patienter qui décide Eva ? Toujours est-il que je sens sa main droite se poser sur ma braguette, et se mettre à caresser mon sexe, à travers le pantalon:

« Mais c’est vrai que je t’excite, chéri ! »  Susurre -t-elle.

 

Ma queue devient de plus en plus dure sous ses doigts. En même temps, Eva observe la file d’attente dans laquelle se trouve son père, puis me regarde :

« Nous allons avoir du temps  et je suis sûre que tu en as envie, n’est-ce-pas »

Comment résister quand c’est elle-même qui prend une telle initiative ?

Avec mon aide, elle extrait ma queue toute raide,  la saisit à pleine main et entame un lent va et vient :

« Tu aimes ça, hein, Bob ? » lance -t-elle, un petit air coquin en prime.

En même temps, je caresse, avec ma main droite, ses jolies cuisses, que le short dévoile généreusement. Puis je me tourne vers elle :

« J’ai terriblement envie de toi ! » dis-je, en caressant son sexe à travers son short.

« Moi aussi, j’ai envie de toi ! » et je  la vois  se pencher sur moi, je sens sa langue passer sur le gland décalotté une véritable décharge électrique. Puis elle gobe une partie de mon sexe et se met à me sucer, très lentement.

J’essaie de garder une certaine contenance, ce qui n’est pas évident ! C’est alors que je vois Jana sortir de la voiture  et se diriger vers nous :

« Chérie ! Arrête ! Ta sur arrive ! » pas de réaction

« Jana va nous voir ! Décides-toi ! »

Eva se redresse à peine :

« Eh bien, elle va nous voir et alors ? Elle m’a tout raconté de Jednovice, elle a tout vu ! »

Et elle reprend ma queue dans sa bouche

Quelques secondes plus tard, Jana s’approche de la vitre. Elle ne peut que voir Eva, en train de me sucer. Comment savoir si elle est choquée ou fascinée par le spectacle que sa sur lui offre ? Toujours est-il qu’elle reste plantée là

Eva se redresse et, tout en jouant avec ma queue avec sa main droite, s’adresse à Jana :

« Le voyage se passe  bien pour toi ? Pas trop chaud ? » Le dialogue semble surréaliste. Jana semble ne voir que mon sexe dressé. Eva réagit alors d’une façon que je n’aurais pas imaginé jusque -là :

« Tu veux le toucher, Jana ? » la sur rougit, n’imaginant, ou n’espérant pas une telle offre :

« Heuoui, oui ! » répond- elle, un peu sottement.

J’ouvre la portière, et  Jana se penche, saisit ma queue dans sa main droite et commence à me masturber. Je trouve la situation si excitante que je prends la main droite d’Eva pour la poser aussi sur mon sexe. Elle ne résiste pas et les mains des deux surs se touchent sur mon sexe. Puis, comme si elles se répartissaient les taches, Eva se met à me tripoter les couilles, tandis que Jana me masturbe. Un pur bonheur ! Jusqu’à ce moment-là, j’aurais été bien en peine d’imaginer ce genre de chose.

« Je vais jouir ! Je vais jouir ! » La pression est incontrôlable se faire masturber par deux surs Eva, prise au dépourvu (elle a oublié de préparer un mouchoir), se penche et prend mon sexe dans sa bouche. Le jet de foutre, puissant, suivi d’un second.  Ma chérie a la bouche pleine, mais cette fois, elle préfère ouvrir la portière pour en cracher le contenu sur le sol. Puis elle boit un peu d’eau pour se rincer la bouche. Je n’aurais garde de lui en vouloir de n’avoir pas tout avalé.

Jana se redresse. Là-bas, son père est tout près d’être servi : encore une dizaine de minutes, sans doute. Je lève les yeux vers elleses seinsses cuisses c’est fou ce qu’elle peut ressembler à Eva, morphologiquement s’entend : deux surs un peu potelées avec des seins assez gros. En prime ce teint laiteux, qui fait le charme des Slaves…

Jana retourne vers la voiture des parents. Je vois ses jolies fesses, agréablement moulées par le short, onduler à chacun de ses pas. D’ici à ce qu’elle fasse exprès de se dandiner comme ça

Eva reste silencieuse, et je ne  sais pas comment renouer la conversation après un tel intermède !

« Ah ! Nous allons pouvoir repartir ! » Dis-je, en voyant son père remonter en voiture. Et nous voici de nouveau sur la route.

« Je ne sais pas si j’ai eu raison de faire une telle chose » Commence- t-elle par dire, tout en regardant devant elle.

« J’ai honte de le dire, mais quand Jana m’a raconté ce qu’elle avait vu et fait à Jednovice, ça m’a intéressée et même excitée J’ai voulu voir comment elle allait réagir avec cette situation. J’aurais dû te dire cela plus tôt »

Puis elle se tourne vers moi, affichant un sourire coquin :

« En tout cas, tu as bien profité de la situation ! Je ne sais pas si j’aurais osé ce que tu m’as poussé à faire » Elle est comme ça, Eva, toujours à chercher une explication rationnelle à ce qui ressort de l’instinct

Vers midi nous nous arrêtons sur le bord de la route pour nous restaurer.  Je me sens un peu gêné vis-à-vis d’Eva, quand Jana m’adresse des regards furtifs.

Après Craiova ou je fais le plein d’essence, nous descendons vers le sud, vers Alexandria et Giurgiu, son père ne voulant pas se risquer à traverser Bucarest. A  l’approche de Giurgiu, alors qu’il est près de 18h,  une demi-douzaine de tentes dressées non loin  de la route, décide son père à s’arrêter. Nous passerons donc la nuit ici.

Mardi 19 juillet. C’est la dernière étape de notre périple. Nous passons par Giurgiu, traversons le Danube (et donc la frontière bulgare) et de Ruse, première ville bulgare, nous nous dirigeons vers la mer Noire. Vers 15h, nous arrivons à Varna, grande ville sur la côte. J’imagine que son père cherche un camping, mais Eva me détrompe :

« Mon père cherche d’abord le moins cher, c’est-à-dire un camping « sauvage », comme tu as vu les deux nuits avant. Il faudra donc patienter un peu ! »

 

Nous quittons donc Varna pour remonter vers le nord et la frontière roumaine. Nous roulons bien 70km avant qu’apparaisse, sur notre droite, un de ces fameux campings. Son père descend pour inspecter les lieux. Il y a là une vingtaine de tentes. Pour atteindre la plage, il faut descendre un chemin sableux sur cinquante mètres. Un puits se trouve à proximité. Cette présence emporte la décision : nous planterons nos tentes ici.

Une fois les deux tentes installées, en face à face, nous faisons  le « tour du propriétaire ». La route est à cinquante mètres environ et il faut descendre un petit chemin pour accéder à la plage, une dizaine de mètres plus bas. Petite plage de sable, plutôt étroite, mais on nous a dit qu’on avait pied assez loin. Pour le reste, ce puits, juste à côté du campement et qui semble pouvoir être utilisé par tous. Quant aux sanitaires le petit bois à proximité du puits, en  fera office.

Pour la baignade, il semble être un peu tard (18h environ). Madame Ukazovà mère nous prépare donc un petit repas. Et après quelques conversations et lectures pour passer le temps, nous allons nous coucher vers 22h.

Mercredi 20 juillet. Lever vers 8h. Une fois toilette et petit déjeuner expédiés, nous nous préparons pour la plage. Nous, c’est-à-dire Eva, Jana et moi. Les parents devant s’occuper de l’intendance avant de nous rejoindre. Il est donc guère plus de 9h quand nous descendons le sentier de la plage. Jana a revêtu le maillot deux pièces noir et blanc, qui m’avait fait un si bel effet à Jednovice ; quand elle se penche, le creux des seins est bien visible ; le slip est convenable, bien qu’il découvre un peu de ses fesses. Quant à Eva, elle a remis aussi le même deux pièces en lycra, vert avec des motifs de fleurs ; S’il est plus sage (soutien-gorge emboitant et culotte plus haute), ce maillot moule  ses formes (faisant ressortir la forme des tétons et du sexe). Quant à moi, je porte un slip de bain en lycra bleu.

Une fois parvenus sur la plage, nous jaugeons la température de l’eau :

« Elle est plutôt bonne, n’est-ce-pas ? » dit Eva. Jana et moi approuvons et nous installons nos serviettes au pied du tertre qui surplombe la plage. Comme le matériel doit être surveillé, Jana est d’accord pour rester pendant que nous irons nous baigner.

Une fois entrés dans l’eau, nous marchons un moment, puis Eva s’éloigne un peu pour faire quelques brasses. Quand elle revient vers moi, le maillot mouillé révèle encore plus la forme des tétons et celle du sexe d’Eva. Elle a un petit sourire complice, ayant suivi mon regard :

« Alors, ça te plait ? Tu n’avais pas vu cela au lac ? »

Comme je fais « non » de la tête, elle lève les yeux au ciel, incrédule. Puis, sans rien dire, alors que nous avons de l’eau jusqu’à la taille, elle  pose sa main droite sur  le devant de mon slip et caresse mon sexeet très vite je bande. Avec un calme que je ne lui connaissais pas, elle tire sur le slip pour en sortir ma queue et se met à me masturber. Aussitôt, je glisse ma main droite dans sa culotte pour lui palper son sexe. Et quand je tire sur sa culotte pour la baisser, elle me laisse faire, m’aidant même à la retirer complètement. Elle enfile sa culotte de bain sur son bras, tandis que je lui enfonce deux doigts dans son vagin. Faire cela dans l’eau a une saveur particulière. De temps à autre, un coup d’il à l’entour : personne en vue pour le moment. A part Jana, bien sûr:

« Donnes-moi ton petit trou ! »  Eva écarte les cuisses et je glisse ma main entre, puis avec l’index, je repère son anus, que je titille avant d’y enfoncer mon doigt. Je la sens  frissonner:

« Tu aimes ça bien, maintenant, hein ? Sentir un doigt qui te ramone le trou du cul, ça t’excite ! »

Je vois Eva se mordre les lèvres puis se mettre à haleter Je fouille son trou avec mon doigt avec ardeur. Elle commence à gémir doucement puis, presque naturellement, elle pose sa main droite sur son sexe :

« Oui ! Vas y – ! Masturbes toi ! Fais – toi du bien ! Donnes toi du plaisir ! Tritures toi l’abricot ! Astique ton bouton d’amour ! » Propos  chuchotés à l’oreille pour l’inciter à  succomber à son envie.

Eva hésite un moment, sachant qu’étant dehors, elle peut être vue, mais le démon du plaisir la submerge ; oubliant toute retenue, elle passe ses doigts sur les lèvres de sa chatte, avant de repérer son clitoris. Quant à moi, je change de position pour venir me placer dans son dos :

« Tu as vraiment de jolies fesses, ma chérie ! Cette raie profonde »

 

Je glisse deux doigts dans la raie pour retrouver le chemin de son anus. Nouveau frisson de sa part quand mon index, joint à mon majeur commencent à s’insinuer dans son divin trou :

« Continues à te masturber ! Ne t’arrête surtout pas ! Tu te feras plaisir pendant que je te donnerai des sensations fortesJe sais maintenant que tu aimes te faire fouiller le culcomme ça ! » Dis-je en enfonçant mes deux doigts dans son anus.  Je sens Eva se raidir, elle se mord les lèvres, ne parvenant plus à maîtriser son excitation :

« Mmmmm ! Oh oui ! Oui ! C’est booon ! »

Elle se met à onduler des fesses, ce qui a le don de m’exciter encore plus :

« Salope ! Tu as envie que je t’encule ? Hein ? Tu as envie de sentir ma bite dans ton petit trou ? Ma petite cochonne ! »

Il  ne doit être guère plus de 9h et demie et toujours personne, à part Jana. Je glisse ma queue dans la raie des fesses d’Eva : 

« Nonnon pas maintenant je » Elle dit cela sans conviction, seule la crainte d’être vue la retient un peu. Je suis bandé comme un âne devant ces deux attirants melons. Elle a un petit sursaut quand le gland, posé juste sur l’orifice anal, entend se frayer un passage :

« Non, Bob pas icipas ici » Elle sent ma bite écarter les parois de son anus, et, peu à peu, envahir son trou :

« Ahah doucementdoucement » Sa respiration devient plus saccadée, elle cherche à contrôler le trouble qui la submerge. Elle ne peut réprimer un petit cri quand ma queue, engagée jusqu’aux couilles atteint le tréfonds de son joli trou :

« Tu te rends compte, Eva ? Tu te fais enculer dans la mer, avec de l’eau jusqu’aux fesses ! Une jolie expérience, non ? »

Puis, cramponné à ses hanches, je commence à lui ramoner son conduit anal. Je parviens, en même temps à distinguer sa main droite qui s’active sur son sexe :

« Tu dois être aux anges, chérie ! Je t’encule pendant que tu astiques ton bouton d’amour ! »

Ces mots produisent leur effet : ses doigts accélèrent le mouvement et, très vite, elle se masturbe avec une sorte de frénésie, oubliant tout, ne pensant à sa jouissance. J’en profite pour lui défoncer le cul, à grands coups de bite, secouant son corps chaque fois que mes couilles tapent sur ses fesses.

« Salope ! Cochonne ! Je vais jouir ! Je vais juter dans ton cul ! » Et je largue tout dans les profondeurs de son anus.

« Mmmm ! Oui.ouiouiiii ! » Dans un râle, Eva jouit à son tour. Elle a des spasmes, tandis qu’un jet de liquide jaunâtre coule entre ses cuisses Elle pisse

Elle se tourne vers moi, gênée de m’avoir offert ce spectacle :

« Excuses-moi, je n’ai pas pu me retenir je »

« Hum ! Tu as dû être vraiment très excitée pour que ça libère comme ça ta vessie. En tout cas, j’ai adoré te voir pisser ! » Eva reçoit ce compliment en rougissant.

« Bon Retournons auprès de Jana ! Elle pourrait  trouver  notre absence un peu longue » dis-je, en rajustant mon slip de bain.

« J’espère qu’elle n’aura rien vu  » Ajoute Eva, en remettant sa culotte.

Une fois sortis de l’eau, nous revenons auprès de Jana. Celle-ci est à plat ventre, sur les coudes, le dos tourné à la mer. Je remarque qu’elle a dégrafé son soutien-gorge- sans toutefois le retirer (sans doute, a-t-elle agit ainsi, sachant que les parents pouvaient arriver à tout moment). En m’asseyant à côté d’elle, la vision de ses jolis seins, plus qu’à moitié dénudés, est excitante. Deux affolants fruits charnus qui semblent n’attendre que des mains expertes

En même temps je peux voir que le corps de Jana est luisant d’huile solaire, ce qui ajoute une touche supplémentaire d’érotisme au tableau.

« Tu m’en mets sur le dos ? Je n’y arrive pas » demande- t-elle à Eva, tout en m’adressant, à la dérobée, un sourire énigmatique. Me l’aurait-elle donc demandé en l’absence de sa sur ?

A genoux, le flacon à la main, Eva étale l’huile sur le dos de Jana. Le même manège qu’à Jednovice ? La main d’Eva descend jusqu’au slip de sa sur :

« Vas dessous ! Je préfère être bien protégée, moi ! » demande- t-elle, en sentant  la main rester juste à la limite. Eva passe donc sa main sous le slip de Jana, massant le haut de ses fesses. Je sens mon sexe durcir à nouveau j’aimerais bien que sa main aille « plus bas ». Mais l’opération s’arrête à ce niveau.

Puis, à son tour, Eva, entreprend de s’enduire d’huile, réclamant tout naturellement l’aide de sa sur. Jana, la moitié de ses seins à l’air (elle a négligé de refermer son soutien-gorge), fait mettre Eva à plat ventre et étale l’huile sur son dos. Sa main, agile, glisse sur le dos de sa sur, descend jusqu’à sa culotte, puis se glisse dessous, massant ses fesses plus bas que nécessaire :

« Jana, qu’est- ce que tu fais ? » fait Eva, semble- t-il, gênée de voir sa sur agir ainsi devant moi.

« Je te protège ! » répond Jana tout en m’adressant un petit sourire.

Puis, bien qu’étant assez brun, j’entreprends à mon tour de me passer de la crème solaire. Je n’ai même pas besoin de demander de l’aide : Jana, spontanément, s’offre de  s’occuper de mon dos. Et comme Eva ne pipe mot, j’en déduis qu’elle est d’accord.

Dès que je me retrouve à plat ventre, Jana se met au travail. Sentir cette main féminine, douce, sur mon corps, me fait très vite bander. Puis je sens sa main passer sur mes hanches, comme si elle cherchait J’essaie de voir où se trouve Eva : allongée sur le ventre, elle regarde en direction du sentier, guettant sans doute l’arrivée de ses parents.

Voulant connaître ses intentions, je me tourne sur le côté. Comme si elle n’attendait que cela, Jana pose sa main sur mon slip, à l’endroit du sexe. Je ne m’attendais pas à un geste aussi audacieux de sa part. A nouveau, je bande.  Elle palpe mon sexe avec ses doigts à travers le slip, puis, elle tire sur ce dernier, mettant ma bite à nu, bite qui se dresse instantanément, à l’horizontale.

Jana me sourit. Son soutien-gorge, toujours dégrafé m’offre la vue d’une bonne partie de ses superbes nichons. Elle commence à me branler. Je sens monter mon plaisir, alors qu’une idée me traverse l’esprit : si Eva reste passive, c’est donc qu’elle serait complice ? Jana qui, maintenant s’est assise, me masturbant avec sa main gauche, tandis que sa main droite joue avec mes couilles. Puis, changeant de position, elle s’allonge sur le côté, de façon à avoir sa bouche à hauteur de ma biteet se met à me sucer sans façon, gobant cinq bons centimètres de bite.

Alors que mon plaisir devient irrésistible, je sens une main passer entre mes cuisses et venir me tripoter les couilles :

« Elle fait ça bien,Jana ? Elle a de l’audace, n’est-ce -pas ? » C’est Eva qui me chuchote ces mots incroyables ! La complicité qui unit les deux surs va donc (très) loin

A un moment je ne peux plus tenir.et je jute. Je ne sens plus la bouche de Jana En fait, s’étant écartée, elle en a pris sur le nez, les lèvres et le menton. Elle se redresse, souriant à Eva, tandis que, sans façon, elle essuie le sperme d’un revers de main.

Puis, elle rajuste son soutien-gorge et reprend une attitude plusnaturelle. Elle entame une petite conversation avec Eva, l’air de rien.

Il ne doit pas être loin de 11h. On devine les silhouettes du père et de la mère au sommet du sentier. Eva se lève, en m’annonçant qu’elle va prendre la relève de ses parents, au campement.

A suivre

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