La chaleur nous assomme. Nous nous couchons non plus sur la plage, mais sous un grand pin. Personne nest en vue ; impeccable : nous allons faire une petite sieste, même si nous restons nus. La fin de laprès midi arrive lorsque nous nous réveillons. Pierre, selon son habitude, se réveille en bandant. Il est plutôt bien monté. Jai envie de le branler, là, sans précaution aucune. Jen suis excitée. Je reste couchée sur le dos et prends sa queue dans ma main pour le masturber. Je le réveille complètement, alors il se met à genoux à mes côtés.
Ma main nest pas rapide ; je veux faire traîner son plaisir le plus possible. Jaimerais moi aussi jouir : je ne me touche pas ; jattends simplement quil jouisse pour me branler. Je ferme les yeux dans cette attente. Je sens bien sa queue grossir encore un peu pendant la branlette.
Je sursaute de peur quand je sens une bouche se poser sur ma chatte ; un couple inconnu est venu nous voir. Cest la tête de la femme qui est sur moi. Je sens de lautre côté de Pierre une autre présence : cest un homme qui tend sa bite, aussi belle que celle de mon époux. Je ne résiste pas à la tentation de la prendre aussi dans lautre main. Je le branle comme je pourrais le faire à un copain de toujours.
Je coordonne mes mouvements de va-et-vient pour donner de façon équitable le même plaisir. Les deux hommes regardent la bite de lautre que je caresse, sans que René sen plaigne. Il me connaît : il sait que je ne résiste jamais devant une belle bite. Ce que je ne savais pas, cest que je déguste ce que je reçois de la bouche de cette femme dont je ne vois que les cheveux blonds. Jaime sa façon de me mordiller le clitoris, de passer ses doigts dans toute ma fente, particulièrement vers lanus. Je fais un léger mouvement de mon ventre : elle comprend vite que je la veux dans le cul.
Elle en fait une variante en entrant un doigt dans le con et un autre dans le cul. Elle les fait entrer ensemble. Je suis crispée en attendant lorgasme, qui arrive fort vite. Mes spasmes nont pas lair de la faire cesser, au contraire. Cette fois sa langue vient directement dans mon con ; dans mon cul, elle a enfilé trois doigts. Elle me fait un peu mal au début. Ensuite, je me sens sodomisée normalement, comme avec une grosse bite, une très grosse bite.
Les hommes doivent se donner le mot : ils jouissent ensemble, ou presque : je reçois une bonne dose de liqueur sur mon corps. Ils se laissent tomber les fesses sur les talons pour regarder ce que fait mon amante. Elle me fait du bien sans cesse. Je vais mourir
Non, je ne meurs pas encore : je jouis comme rarement. Jattire sa tête vers moi pour embrasser cette bouche qui ma donné tant de plaisir. Elle vient sur moi. Cette femme dune quarantaine dannées sait bien faire jouir les autres. Nos langues font vite connaissance. Notre baiser est très long. Si, comme elle la fait une fois, elle veut quitter ma bouche, je la retiens par la nuque. Je caresse un peu ses seins qui, ma foi, pour son âge tiennent bien le coup : ils sont encore durs. Ce qui me paraît dur, cest son pubis. Elle la posé sur le mien, un peu plus bas. Je le sens sur mon bouton. Elle sait bien ce quelle veut : me faire jouir ainsi. Je me laisse faire comme une enfant. Je ne connais quune seule chose, lorgasme quelle va me donner.
Jai limpression quelle est un homme qui me la met, même si elle na pas lorgane nécessaire. Jai son poids sur mon corps ; ses seins, à peine un peu plus bas que les miens, et surtout son bas-ventre qui me fait jouir. Jai entouré ses fesses de mes jambes. Si nous étions en couple, je ne demanderais jamais une bite, tellement cest bon.
Jouvre quand même les yeux ; je vois les deux hommes qui se branlent en me regardant. Cest beau, deux hommes en face de moi qui se masturbent comme des gamins ! Je romps la symétrie en prenant la queue de Pierre dans ma bouche. Je continue la masturbation commencée par lautre. Je retrouve enfin le bon goût de la bite qui entre dans mon ventre si souvent. Elle sent vaguement ma cyprine, un peu lurine. Bref, elle a bon goût ! Jaimerais quil jouisse dans ma bouche, et que lautre en fasse autant après que jaie pratiqué une fellation sur une bite inconnue encore de ma langue.
Finalement la petite sieste sest transformée en petite partouze, même si je suis la cible des trois autres. Je ne men plains pas. Enfin, je reçois la semence de mon époux dans la bouche. Je suis comblée. Jadore son sperme, son jus dhomme. Je ne sais pas si jaimerai autant celui qui je branle toujours lentement.
Maintenant que jai la bouche libre, je tourne simplement la tête pour sucer le pistolet tendu de lautre individu qui, sans me prévenir, est venu avec une femme pour profiter de moi. Ma foi, son goût est agréable, même si jy trouve un goût de cyprine moins prononcé que le mien. Il me caresse la tête pendant toute la durée de la fellation. Ma langue sentortille autour du gland très doux. Je la laisse sattarder un long moment sur le frein. Je lavale en partie, en faisant une gorge profonde, ce que jaime bien. Il y a longtemps que je nai plus de nausées en faisant cette chose finalement normale.
Je caresse ses couilles, un peu plus grosses que celles de Pierre. Jose même mettre un doigt dans son cul. Je le fais aller et venir au même rythme que ma bouche. Il ne résiste pas longtemps : il jouit. Je garde précieusement son sperme dans ma bouche. Jai envie de le partager avec celle qui doit être sa femme ou son amante, je ne sais pas.
Elle me regardait faire avec des yeux envieux. Je sors à peine le bout de ma langue plein de sperme. Elle comprend que je le lui réserve. Nos bouches réunies se partagent la semence de son mari. Il en faut peu pour la contenter. Cest lintention qui compte.
Elle se retourne pour me donner sa chatte. Cest le premier 69 que je fais avec une autre fille. Je me retrouve, étonnée, avec une chatte en parfait état de marche à quelques centimètres de ma bouche. Je lui fais ce quelle me fait : je prends son clitoris dans ma bouche pour laspirer. Je fais connaissance avec son jus un peu sucré. Finalement, ce nest pas méchant de faire cette chose à une autre fille. Jy prends goût facilement. Si elle veut, je recommence dès ce soir avec elle ou une autre.
Je suis encore surprise quand je vois une bite énorme, vu sa proximité, qui entre directement dans son cul. Je la reconnais bien : cest celle de Pierre. Nous avons la même amante pour le moment. Que cest bon de voir coulisser cette queue dans un cul… Ils doivent se régaler, comme moi je le fais avec un con dans ma bouche après avoir sucé deux bites. Pierre ne résiste pas longtemps : il est remplacé par le mari. Lui non plus ne résiste pas plus que nous les femmes, puisque nous jouissons pratiquement ensemble.
Nous nous relevons pour échanger un dernier baiser avec la femme et avec son amant. Ils partent. Nous ne les revoyons quau souper que nous faisons ensemble pour finir la nuit à quatre, et les vacances à baiser.
