Histoires de sexe en groupe Histoires de sexe travesti

Claire, une lycéenne modèle – Chapitre 5




Je reçu alors un SMS de Marc qui me disait qu’il avait eu des soucis avec sa mère et que lambiance était tendue chez lui, il ajouta qu’il me baiserait demain à lécole. Rassurée par ce message, je profitai de ma soirée pour mavancer dans mes devoirs afin dêtre plus tranquille pendant les vacances. Le lendemain je retrouvai Marc dans le local où il avait forcé mon pucelage il y avait presque une semaine, cela me fit bizarre dy retourner, il me sauta sauvagement sur le tapis de gym me faisant jouir à nouveau et déversa une grande quantité de sperme chaud et épais sur mon visage, me traitant de salope et de bouffeuse de foutre.

Le jeudi et le vendredi senchainèrent, Marc me sauta chaque jour au lycée, me faisant boire son sperme dont je me régalais désormais. Dès la sortie des cours je filai chez ma gynéco, je mentretins avec elle pendant un moment, lui expliquant que je devenais une femme et quil était temps pour moi de prendre la pilule, après un examen de routine elle me prescrit donc le contraceptif et en sortant je me dépêchai de passer à la pharmacie chercher les boites de pilules.

Cétait le début des vacances et même si jétais heureuse de pouvoir enfin me reposer un peu, une seule chose mobsédait : le sexe de Marc. Jespérais que sa mère se montrerait plus cool avec lui afin que nous puissions nous voir, sinon une semaine dabstinence sexuelle allait être un vrai calvaire pour la petite salope que jétais devenue malgré moi.

Heureusement dans la soirée je reçu un message de Marc : « Demain, 14h chez moi, très sexy ». Jétais ravie, Marc allait une nouvelle fois abuser de mon corps, je passais ma soirée à fantasmer et cest toute excitée que jallais me coucher, refusant de me caresser afin dêtre absolument en manque pour demain.

Je me levai assez tôt le lendemain matin, ce qui surprit dailleurs mes parents, je passai une bonne partie de la matinée dans la salle de bain, peaufinant mon épilation intégrale, lissant mes cheveux.

Je choisis alors ma tenue : une petite robe de soirée noire que mes parents mavaient offerte pour mes 16 ans, je ne lavais encore jamais mise, la trouvant trop courte et bien trop moulante pour la jeune fille sage que jétais. Je ne mhabillai pas tout de suite de cette façon et préférai aller manger dabord avec mes parents afin déviter les questions embarrassantes.

Après le repas je fonçais à la salle de bain me maquiller, puis jenfilai ma petite robe avec les mêmes bas auto fixant que la semaine dernière ainsi quun mini string rouge et pas de soutien gorge.

Il y avait beaucoup de vent dehors en cette fin dautomne, cela allait me permettre de sortir plus discrètement, jenfilai un long manteau qui marrivait au dessus des genoux, et une paire de bottines plates, je fourrai également mes petits escarpins dans mon sac à main et descendis au rez-de-chaussée, je dis à mes parents que jallais passez laprès-midi en ville, ils me souhaitèrent une bonne journée et je partis en direction de la maison de Marc.

Arrivée devant chez lui je me déchaussai rapidement et enfilai mes escarpins, je cachai alors mes bottes dans la haie et me précipitai jusquà à la porte dentrée. Jouvris mon manteau afin de dévoiler ma tenue et cest le cur battant à tout rompre que je sonnai à la porte. Celle-ci souvrit presque immédiatement, Marc maccueillit avec un grand sourire, il me complimenta sur ma tenue et alors que je passais près de lui il mattrapa par les cheveux et colla sa bouche sur la mienne, sa langue vint se mêler à la mienne et nous échangeâmes nos salives pendant un long moment, il mavait jusquà maintenant baiser un bon nombre de fois, mais cétait la première fois quil membrassait ce qui me rendit toute tremblante.

En entrant dans le salon je sursautai, je mattendais bien évidemment à y trouver Julien, il était dailleurs là, une bière à la main. Il y avait également Benoit et Fred, les deux autres copains de la bande, jétais morte de trouille, je savais que jallais me faire prendre très bientôt et que Marc ne serait pas le seul à profiter de mon jeune corps. Après avoir enlevé mon manteau, je leur fis la bise, Julien profita directement de la marchandise en remontant sa main le long de ma cuisse et en me palpant les fesses, jétais rouge de honte.

Marc, après avoir mis de la musique et remplit 5 verres de whisky vint s’asseoir dans le canapé inoccupé, ses trois compères était assis dans des fauteuils et sur une chaise, je minstallai donc à coté de lhomme qui me transforma en salope accro au sexe en moins de 10 jours.

Benoit commença par rouler un joint, quil fit tourner, je nen voulais et Marc ne me força pas. Les quatre mecs discutaient bruyamment, buvant et fumant sans se soucier de moi. Je mennuyais ferme et alors que je buvais lentement mon whisky, je décidai de jouer à lallumeuse, je massis plus profondément dans le canapé en cuir et mamusai à croiser et décroiser mes jambes. Je sentis ma petite robe remonter lentement le long de mes fesses, la lisière de mes bas était maintenant parfaitement visible et à en juger par les yeux écarquillés de Fred et Benoit la vue de mon petit string rouge devait les émoustiller sérieusement.

Je continuai ce petit manège, allant même jusquà écarter les jambes afin dexhiber mon entrejambe à la vue de tous. Cependant, Marc bavardait toujours et ne semblait pas disposé à donner le coup denvoi des hostilités. Je me levai alors et partis aux toilettes, je navais aucune envie dy aller par contre jétais de plus en plus excitée, je décidais donc de passer la seconde, et après avoir retiré mon string que je posais sur un meuble dans le couloir, je retournais m’asseoir près de Marc. Celui-ci commentait maintenant le dernier match de foot, je repris donc mon verre et après quelques secondes, je recommençais mon manège.

Ma robe remonta et je vis alors les trois garçons en face de moi devenir tous rouges à la vue de mon petit minou entièrement glabre et affamé. Marc, qui visiblement ne sétait rendu compte de rien remarqua le trouble de ses amis et leur demanda :

— Ben alors ! Vous en faites une tête ! Cest le pétard qui vous monte au cerveau ?

— Cest cette petite pute qui nous montre sa chatte depuis tout à lheure ! Elle à lair chaude comme la braise ! Répondis Julien visiblement pressé de me planter sa queue au fond de mon vagin.

— Tu leurs montre ta chatte ? Me demanda Marc visiblement étonné

— OuiRépondis-je dune petite voix.

— Quelle salope ! Il fallait le dire plus tôt que tu voulais de la bite ! Sexclama Marc

Et joignant le geste à la parole il sorti son sexe encore mou, je me jetai alors dessus et cest à quatre pattes sur le canapé, ma croupe bien mise en valeur par ma position et ma tenue, que je débutai une nouvelle fellation, celle-ci marquant le début dun après midi de débauche pour ladolescente que jétais. Alors que je suçais avidement ce sexe, Marc remonta ma robe au dessus de mes fesses, exhibant ainsi mon superbe petit cul à ses amis, il en profita également pour me planter deux doigts dans le vagin ce qui déclencha chez moi une première vague de plaisir.

Alors que je mappliquais à sucer Marc et que celui-ci me branlait la chatte de ses doigts, les trois autres garçons, excités par la vue que je leur offrais, sortir chacun leur sexe et entamèrent une lente masturbation. Après plusieurs minutes de ce traitement, Marc vint se placer derrière moi, il enfonça lentement son pieu dans ma chatte accueillante et commença à me pilonner en levrette. Je fis alors signe à Julien de me rejoindre, celui-ci qui se masturbait toujours ne se fit pas prier et vint immédiatement planter son sexe bandé dans ma gorge, étouffant mes gémissements provoqués par les coups de bite de son ami.

Fred se leva à son tour et vint se placer à coté de Julien, je lâchai immédiatement celui-ci afin de goûter à cette nouvelle bite qui se présentait à moi, continuant de branler Julien du mieux possible malgré les coups de reins incessants qui me secouaient et memmenaient chaque seconde un peu plus près de la jouissance. Alors que je sentais celle-ci arriver, Marc se retira subitement et vint se placer en face de moi, Julien se précipita alors vers ma chatte libérée et me planta son sexe de gros diamètre dans le vagin marrachant un cri de bonheur, je recommençai à me servir de ma bouche changeant régulièrement de sexe et goûtant une nouvelle fois à ma chatte par lintermédiaire de celui de Marc. Quand à Fred il se branlait toujours sur son fauteuil, terminant son joint.

Julien délaissa alors mon vagin et me traitant de salope laissa le champ libre à Benoit qui vint profiter pour la première fois (et certainement pas la dernière) de mon vagin brûlant. Fred vint alors vers moi et je pus goûter à mon quatrième sexe en moins de dix jours, « plutôt un bel exploit pour une lycéenne dà peine 17 ans un peu coincée » pensais-je.

Après un nouveau changement il y avait Fred derrière moi qui me pilonnait et les trois autres devant moi que je suçais alternativement, je sentis alors Benoit tressaillir et dans une bordée de juron déversa tout son foutre dans ma bouche, je lavalai goulûment et continuai mon travail buccal sur ses deux compères. Marc quitta alors ma bouche et saisi mon verre qui traînait sur la table, il se masturba alors quelques secondes et se vida dans celui-ci, Julien le voyant faire se retira lui aussi de ma bouche et se vida lui aussi dans le verre, Fred vint alors se faire nettoyer la queue par mes soins et éjacula une grande quantité de foutre dans le verre à whisky. Celui-ci était rempli à plus de la moitié, je savais que jallais devoir tout boire et cette pensée mexcita au plus haut point, je navais toujours pas jouis et la chatte me brûlait, réclamant une nouvelle bite pour la soulager. Marc, le verre de sperme à la main me dit :

— Tiens, bois ça, prouve nous que tu es une bonne chienne obéissante !

Je saisis alors le verre et après une petite seconde dhésitation, le portai à mes lèvres. Je déversai alors tout son contenu dans ma bouche mais sans lavaler, je montrai ma bouche remplie aux quatre gars réunis autour de moi, malaxant tout ce foutre épais avec ma langue comme la dernière des salopes, puis je déglutis et me régalai de cette jouissance.

A la vue de cette jeune adolescente portant toujours sa robe retroussée à la taille, ses bas et talons, agenouillée par terre et avalant une énorme quantité de sperme redonna rapidement de la vigueur aux quatre sexes qui lentouraient. Après avoir ôté ma robe, je recommençai à sucer tous les sexes présents un par un, les rendant à nouveau durs et prêts pour un second round.

Julien sallongea alors sur le tapis du salon, je vins mempaler sur son sexe tendu à bloc et repris mes fellations en chaîne. Tous se succédèrent dans cette position, je chevauchais leur bite comme une folle, suçant les autres sexes avec avidité. Cest Marc, une nouvelle fois, qui me fit jouir, je lâchais la bite que je suçais et hurlai ma jouissance comme une folle :

— Ah OUI JE JOUIS !!! Baisez moi tous ! Faites moi jouir cest trop bon !!!!

Des spasmes me secouèrent et je meffondrai sur le sol à moitié inconsciente, le temps de reprendre mon souffle je vis mes quatre baiseurs se masturber rapidement près de moi, je ne vis pas venir leur décharge presque simultanées, mes seins et mon visage furent barbouillés de sperme chaud et gluant, je gobais alors chacune de ces bites afin de récupérer les dernières gouttes de semence.

Après ça, les 3 copains de Marc partirent et nous laissèrent seuls lui et moi, jallais mhabiller pour repartir lorsquil me dit :

— La journée nest pas finie, vas te laver et reviens là.

Jallai donc dans la salle de bain et pris une douche rapide, me débarrassant du sperme sur mon ventre et mon visage et rinçant ma chatte malmenée et collante de ma mouille. Je me séchai et me rhabillai puis retrouvai Marc assis dans le canapé un nouveau verre de whisky à la main, il mattira à lui et mallongea sur le canapé. Je navais pas pris la peine de remettre mon string, aussi il pu accéder directement à mon intimité, il plongea alors sa tête entre mes cuisses et me prodigua un plaisir intense avec sa langue et ses doigts.

Il me léchait parfois le trou du cul, me faisant sursauter mais également ressentir détranges sensations. A un moment, il appuya son index sur mon rectum, me faisant un peu mal, je ne voulais pas le décevoir alors je le laissai faire sans broncher. Il me pénétra ainsi le cul avec son doigt, senfonçant lentement dans mon fondement et entamant un lent va et vient. Il me travailla ainsi lanus pendant plusieurs minutes puis enfonça un deuxième puis un troisième doigt à lintérieur de mon cul. Il faisait bien son travail, aidé par sa salive et ma mouille qui agissaient comme des lubrifiants naturels, aussi je lencourageais :

— Oui, vas-y ! Enfonce bien tes doigts dans mon cul ! Va plus loin ! Plus profond ! Si tu continu je vais jouir!

Il changea alors de place, approchant son bassin de mon visage me permettant ainsi de sortir son sexe pour le sucer pendant quil continuait de me labourer le cul avec ses doigts. Cest ainsi que je jouis, trois doigts dans le cul et une bite en bouche vinrent à bout de ma résistance, une flaque de mouille cétait répandue sur le canapé en cuir, preuve de mon plaisir.

Marc profita de ce moment de faiblesse pour me saisir par les hanches et me positionner sur le ventre, de façon à avoir mon cul relevé et mis en valeur par laccoudoir du canapé.

Il vint alors se placer derrière moi et après avoir baissé ma robe pour libérer mes petits seins, commença à appuyer sa grosse bite sur mon petit trou vierge, jétais terrifiée à lidée de me faire sodomiser ainsi, mais je savais également que je ne pouvais rien dire, si je protestais il nhésiterait pas à me perforer tout de même le cul alors autant essayer de me détendre afin de souffrir le moins possible.

Sa bite bien lubrifiée par ma salive força le passage et son gland réussi à franchir le passage de mon rectum, jen eu le souffle coupé, sa grosse bite mouvrait mon petit cul en deux, je fini par reprendre ma respiration et criai de douleur, la bite de Marc senfonçant lentement dans mes entrailles. Je cru défaillir lorsque je sentis le pubis de Marc contre mes fesses, il était entièrement en moi ! Javais les larmes aux yeux et la respiration difficile et lorsquil commença à ressortir son sexe de mon fondement je ressenti une vive douleur qui me fit hurler à nouveau. Une fois son sexe ressorti il écarta mon trou du cul avec ses doigts et me cracha à lintérieur de mon boyau puis recommença une pénétration plus rapide, il me limait maintenant lanus en rythme, entrant et sortant lentement, marrachant à chaque nouvelle pénétration un cri de douleur. Javais lanus en feu et ne ressentais aucun plaisir, je souffrais atrocement de cette pénétration et attendais avec impatience que sa jouissance vienne.

Ce qui narriva que bien plus tard, ses deux précédentes éjaculations layant rendu très endurant, il fini donc par se vider dans mon cul à mon grand soulagement, cette première sodomie prenait fin. Il se retira de mon petit trou endolori et vint me rouler une pelle bien baveuse à laquelle je répondis avec plaisir.

Je me relevais difficilement, ce qui provoqua le rire de Marc, il me dit que jallais avoir du mal à marcher pendant quelques jours, il avait sûrement raison car mon cul me brûlait atrocement, je remis ma robe en place ainsi que mon manteau. Marc me remercia dêtre passée, je lui souris timidement en retour, pris mon sac et partis en oubliant volontairement mon string sur la commode de lentrée. Je récupérais discrètement mes bottes dans la haie et les rechaussais rapidement, plutôt contente de pouvoir rentrer chez moi sans talons, ce qui aurait été assez périlleux avec mon mal au derrière qui me donnait une démarche mal assurée.

Jarrivais chez moi vers 18h, mes parents étant partis ensemble faire les courses, je pus éviter toute question embarrassante et foncer prendre un bain réparateur. Du sperme avait coulé de mon cul le long de mes cuisses laissant une traînée douteuse sur mes bas. Le bain me fit beaucoup de bien, je pus repenser à cette journée, réalisant que je devenais une traînée complètement dépendante du sexe, je venais de me faire baiser par quatre mecs en même temps et sodomiser pour la première fois, je savais aussi que ce nétait pas la dernière et quil allait falloir que je mhabitue à cette pratique.

Je passai la soirée avec mes parents ne laissant rien paraître de mon nouveau comportement de salope, mon derrière me faisait encore souffrir mais javais mis de la crème apaisante et ma démarche semblait normale.

En allant me coucher je vis un message de Marc : « Petite salope ! Tu mas laissé un souvenir de toi ! Tu ne perds rien pour attendre, ton cul et ta chatte mappartiennent désormais », je décidai de jouer un peu plus avec lui, je mis mon téléphone en mode appareil photo et après avoir baissé mon pantalon de pyjama et ma culotte, je pris mon joli petit cul en photo, je recommençai plusieurs fois jusqu’à obtenir le cliché idéal, je me rhabillai alors et envoyai à Marc cette photo par MMS. Je me couchai sans attendre de réponse et mendormis aussitôt.

Le dimanche fut la journée dautomne parfaite, il pleuvait des cordes et faisait un froid pas possible. Marc ne sétait pas manifesté aujourdhui, jappelai donc une copine pour aller dans un grand centre commercial ouvert le dimanche. Je retrouvai Laura devant une cafétéria où nous primes un thé brûlant en parlant de tout et de rien, celle-ci mavoua quelle me trouvait distante depuis quelques temps, je lui répondis évasivement quelle se faisait des idées. Je ne pouvais tout de même pas lui dire que je me faisais sauter par Marc et sa bande !

Nous passâmes une bonne partie de laprès-midi à traîner dans les boutiques. Julie, lassée, décida de rentrer chez elle, nous nous fîmes la bise et elle me laissa seule dans la galerie commerciale bondée. Je décidai de mettre ce temps à profit pour macheter de nouvelle tenue sexy, jentrai donc dans une boutique pour ado, il y avait des promotions et je dénichai trois petites robes à un prix intéressant.

Une fois dans la cabine jessayai chacune delles, elles étaient toutes très courtes et moulantes, mettant mon corps en valeur de façon provocante, je choisi de garder une rouge et une bleue nuit, cétaient également les deux plus courtes, elles marrivaient au raz des fesses et auraient beaucoup de mal à cacher la lisière de mes bas. Il fallait dailleurs que je machète de nouvelles paires de bas, une fois les robes payées je me dirigeai vers un magasin de lingerie.

Jy achetai deux paires de Dim-up, une couleur chair et une autre noire, jessayai également un string et un soutien gorge mauve et noir tout à fait magnifique, une fois mes achats effectués je pris le chemin de la maison. Je montai rapidement dans ma chambre afin déviter mes parents et cacher mes achats, puis je les rejoignis et leur racontai ma journée, celle-ci se termina sur une séance de devoir, espérant avoir des nouvelles de Marc. Celles-ci arrivèrent après le repas : « Demain soir tu dors chez moi, trouve un prétexte pour tes parents ».

Je descendis donc demander à mon père si je pouvais dormir chez Julie le lendemain soir, prétextant une soirée pyjama entre filles. Celui-ci ny vit pas dinconvénients et me donna son accord. Je remontais donc dans ma chambre ravie de la soirée qui sannonçait. Une fois dans ma chambre une idée me vint je me déshabillai et passai une de mes nouvelles paires de bas. Je me plaçai à genoux sur mon lit, le cul tourné vers le miroir de ma penderie et allumai mon téléphone que je plaçai de façon à prendre en photo mon reflet dans le miroir. Jappuyai délicatement sur le bouton, puis enfonçai alors deux doigts dans mon cul, le retardateur se déclencha et la photo fut prise. On ne voyait pas mon visage, seulement mes seins qui pendaient sous moi et mon cul bien cambré dans lequel étaient plantés mes doigts. Jenvoyai donc cette photo à Marc avec pour seul message « A demain ». Cest satisfaite de mon audace que je me couchai, le sommeil ne venant pas je décidai de me masturber.

Je caressai furieusement mon clitoris enfonçant mes doigts dans mon vagin ou mon cul, parfois même les deux en même temps, cest dailleurs avec trois doigts dans chacun de mes orifices que je parvins à la jouissance, cest en sueur et la chatte trempée que je fini par mendormir.

La journée du lundi sécoula lentement, je regardais lheure sans cesse, attendant avec impatience le début de soirée. Vers 18h je commençai à me préparer, une fois lavée et coiffée je choisis ma tenue, la robe rouge avec les bas couleurs chair et lassortiment de lingerie acheté la veille. Une fois mon manteau enfilé je rejoignis la sortie, mon père minterpella :

— Tu veux que je temmène ? Il ne fait pas chaud tu sais.

— Non ça va allez ! Merci mais je vais marcher un peu ça me fera du bien !

Il ninsista pas et après mavoir souhaité une bonne soirée retourna devant la télé. Javais le cur qui battait à toute allure, je navais jamais trompé ou mentis auprès de mes parents, ça me faisait bizarre de me comporter comme ça pour allez me faire tirer par plusieurs mecs à la fois. Je soupçonnai mon père de guetter mon départ, aussi me mis-je en marche en direction de chez Julie, je fis ainsi le tour du pâté de maison puis hâtai le pas jusquà chez Marc.

Arrivée devant chez lui jéchangeai mes bottes contre mes escarpins et sonnais à la porte.

Cest la mère de Marc qui mouvrit :

— Tu viens pour le cours de soutien ? Demanda-t-elle en me regardant dun air dédaigneux de la tête aux pieds

— Euh oui, le soutien cest ça ! Bafouillai-je en regardant mes chaussures

— Bon et bien entre, jallais partir de toute façon, travaillez bien et pas de conneries surtout ! Dit-elle en séloignant vers sa voiture.

Je lui souhaitai une bonne soirée en la regardant partir puis entrai me mettre au chaud.

Marc me rejoins alors :

— Tiens, tu arrives tôt ! Je te manquais ? Demanda-t-il avec un clin dil

— Un peu ouiJe viens de croiser ta mère, elle croit quon va réviser

— Parce que ce nest pas le cas ?

— Et bien je croyais que nous allionsenfintu sais quoi

— Non je sais pas, dis moi, que nous allions faire quoi ?

— Et bien que nous allions baiser. Dis-je dans un souffle, sentant le rouge me monter aux joues.

— Ah ! Cest pour ça que tu es venue alors ! Viens tu ne vas pas être déçue ! Me dit Marc en maccompagnant au salon et en prenant mon manteau.

Il siffla dadmiration en voyant ma tenue, je fus flattée et je rougis encore un petit peu plus. Je lui demandai à quelle heure allait rentrer sa mère, il me répondit que celle-ci était partie chez un de ses amants et quelle passerait la nuit là-bas.

Marc vint se coller à moi, il plaqua ses mains sur mes fesses et membrassa avec force, nos langues se mêlèrent pendant un long moment et Marc en profita pour venir caresser ma chatte à travers le mince tissu de mon string. Il mattira alors vers un des fauteuil et après sêtre assis mordonna de venir le sucer, ce que je fis avec plaisir, extirpant ce sexe qui navait plus de secret pour moi et entamant une nouvelle fellation.

Je restais debout les jambes tendues pour effectuer ma besogne, ce qui permit à mon amant de palper mon joli derrière ainsi mis en valeurs. Je prodiguai cette caresse buccale pendant plusieurs minutes, Marc me complimentait sur mes talents de suceuse tout en mappuyant de temps à autre sur la tête afin de me forcer à avaler son sexe dans son intégralité, il me baisait ainsi la bouche provoquant des hauts le cur et me faisant baver abondamment.

Jadorais cette sensation de soumission lorsque son gros sexe menvahissait la gorge jusqu’à létouffement et jaccélérai la cadence afin de le faire jouir dans ma bouche lorsque la sonnette retentit me faisant sursauter. Marc mordonna daller ouvrir, ce que je fis en rajustant ma robe qui était remontée haut sur mes cuisses. Jouvris donc à Julien et Fred qui en entrant me palpèrent le cul en ricanant. Nous rejoignîmes Marc au salon, celui-ci avait toujours la queue dehors :

— Ah la salope na pas perdu de temps ! Remarqua Fred en saluant son ami

— Elle est vraiment devenue accroc à ta bite mec ! Ajouta Julien.

Jétais rouge de honte, mais ils avaient raison, jétais complètement folle de Marc et de son sexe et après avoir servis à tout le monde de grands verres de whisky, je retournai sucer cette fameuse bite sous le regard amusé des trois compères. Jétais à nouveau les jambes tendues, ainsi Julien et Fred pouvaient pleinement profiter de la vue sur mon cul et ma petite chatte à peine recouverte par mon léger string.

Je senti alors une main se plaquer sur mon sexe et écarter ma lingerie, puis presque immédiatement 2 doigts me pénétrèrent le sexe et entamèrent un rapide va et vient. Cétait Julien, celui-ci remarqua immédiatement que jétais mouillée comme jamais. Ces doigts me faisaient un bien fou, javais les jambes tremblantes et je gémissais mais je mappliquais aussi à sucer Marc du mieux possible. Julien retira alors ses doigts et vint appuyer sur ma vulve offerte avec son sexe, celui-ci senfonça en moi sans la moindre difficulté, je me faisais une nouvelle fois bourrer dans ce salon par plusieurs mecs.

Si mes parents me voyaient, ils auraient une attaque, leur fille auparavant si sage, habillée dune mini robe ultra courte et moulante se faisant tirer par un garçon pendant quelle en suce un deuxième sous les yeux dun autre !

Les garçons décidèrent de changer de position, je me retrouvai donc assise sur le sexe de Marc allongé sur le tapis du salon, pendant que je suçais alternativement les deux autres sexes qui métaient offerts. Pendant que je montais et descendais sur la tige de Marc celui-ci commença à me triturer mon petit trou, après quelques minutes, trois de ses doigts senfonçaient dans mon trou du cul. Javais mal au derrière mais me laissai faire car la situation mexcitait de plus en plus. Je pris alors une initiative, après avoir extrait ce sexe qui me ramonait la chatte je me tournai de façon à être dos à mon baiseur, puis, après avoir positionner son gland contre ma rondelle, je me laissai lentement descendre.

La pénétration me fit crier de douleur, les commentaires des garçons fusaient, ceux-ci me traitaient de salope et de garage à bites. Après avoir repris mon souffle je continuai mes fellations tout en montant et descendant lentement sur la bite de Marc. Je commençai à apprécier cette intrusion dans mon fondement, cela mexcitait de plus en plus, jaugmentai alors la cadence. Marc me plaqua subitement contre lui, jétais donc complétement allongée sur son torse, les jambes en lair bien écartées et une grosse bite toujours dans le cul, il me maintenait fermement, aussi quand Benoit approcha sa bite de ma chatte je fus prise de panique et tentai de me dégager mais Marc me tenait bien et lentement une seconde bite entra en moi.

Cette première double pénétration manqua de me faire perdre conscience, je ne parvenais plus à respirer, deux gros sexes me remplissaient pleinement. Après quelques secondes sans bouger, Marc et Julien commencèrent leur travail de pilonnage, entrant et sortant de mes orifices alternativement, je hurlais à chaque pénétration. Inquiet à lidée que je puisse ameuter les voisins avec mes cris, Marc ordonna à Fred de me faire taire, ce quil fit facilement en me plantant sa bite au fond de la gorge. Je me faisais baiser tous les orifices lorsque la sonnette retenti à nouveau, Fred quitta ma bouche me laissant un peu reprendre mon souffle et alla ouvrir.

Il revint alors accompagné de Benoit, celui-ci salua ses amis puis se mit immédiatement nu et me présenta sa bite à sucer. Entre temps Fred mavait retiré ma robe, jétais donc en bas et escarpins avec toujours mon string écarté sur le côté, Marc me pilonnant toujours le cul me triturait en même temps les seins.

Toujours dans la même position les garçons échangèrent leur place, Marc toujours dans mon cul, ils se succédèrent pour baiser ma chatte et ma bouche, je commençais à apprécier ce traitement même si javais affreusement mal au cul, des vagues de chaleur envahissaient mon bas ventre et je senti alors un puissant orgasme monter en moi, je lâchai alors la bite que javais dans la bouche et hurlai ma jouissance. Mes quatre baiseurs ne sarrêtèrent pas pour autant et continuèrent de me pilonner sauvagement, ils me retournèrent et Marc me planta sa queue au fond de mon vagin ruisselant de mouille, dautres sexes se succédèrent dans mon petit cul endolori, pendant que je pompais avidement les queues restantes recouvertes de mon jus.

Sous les insultes et les coups de bites je me sentais de plus en plus excitée et je fini par jouir une nouvelle fois, cette fois-ci je fus posée sur le sol et après quelques secondes je reçus le sperme de chacun sur mon visage et mes seins, je ne pouvais plus bouger, complètement terrassée par les orgasmes je tremblais de la tête aux pieds alors que le foutre chaud sécoulait sur ma peau. Les garçons se rhabillèrent, me traitant de « bonne pute » et de « chienne en chaleur », je me dirigeai alors vers la salle de bain prendre une bonne douche. Une fois propre et enroulée dans une serviette, je rejoignis les garçons au salon, ceux-ci buvaient leur whisky en faisant tourner un joint.

Je récupérai ma robe et lenfilai sous les yeux de la bande, ils me complimentèrent sur ma tenue et mes talents de baiseuse, je rougis de honte et préférai ne rien dire, je navais pas remis mes sous-vêtements, je savais pertinemment que je nen aurai pas besoin, aussi après mêtre servi un verre je rejoignis Marc sur le fauteuil. Pendant mon absence des pizzas avaient été commandées, aussi lorsque lon sonna à la porte je dus aller ouvrir après que Marc ai remonté ma robe presque jusqu’à ma chatte.

Cest donc la robe cachant à peine mes fesses que jouvris au pizzaiolo, celui-ci, un jeune homme dune vingtaine dannées resta bouche bée devant ma tenue de salope, Marc arriva immédiatement derrière moi et me plaquant une main aux fesses, invita le pizzaiolo à entrer, celui-ci ne se fit pas prier et toujours en contemplant mon cul se dirigea vers la cuisine pour poser les pizzas sur la table. Marc, en homme généreux linvita à sassoir avec nous pour boire un verre, le jeune homme hésita mais il aperçu ma chatte épilée lorsque je massis dans le canapé et fini par accepter. Marc dit alors :

— On a juste assez pour payer les pizzas, pas de quoi te donner un pourboire mon vieux !

— Ce nest pas grave. Répondit le pizzaiolo, vous me payer à boire cest cool de votre part !

— Si, jinsiste ! Marc se tourna vers moi, tu vas sucer notre ami, il la bien mérité !

Jessayais alors de me défendre :

— Non ! Je ten pris là ça va trop loin !

— Tu feras ce que je te dis, sinon tu rentres chez toi et on ne te baisera plus jamais !

Le pizzaiolo, nommé Lucas, été abasourdi et suivait léchange en espérant clairement que je finisse par obéir. Ce que je fis,

jétais trop accro au sexe avec Marc et après tout ce ne sera quune bite de plus à mon palmarès.

Je me dirigeai donc en tortillant du cul vers Lucas, celui-ci ouvrait des yeux exorbités en me regardant défaire son pantalon pour saisir sa queue déjà en partie bandée. Jétais devenue la dernière des salopes, on me disait de sucer la bite dun inconnu et je le faisais sans rechigner, je pompai donc cette nouvelle queue avec envie, provocant les gémissements de plaisir de mon pizzaiolo qui visiblement appréciait le traitement que jinfligeais à sa bite. Marc lui dit :

— Tu peux lui jouir dans la bouche, tinquiète pas elle adore le goût du foutre !

— Vous lavez trouvé où cette salope ? Demanda Lucas entre deux râles de plaisir

— Oh cest une fille de notre classe, le mois dernier cétait une petite coincée encore vierge et aujourdhui elle à goûter à sa première double pénétration !

Entendant ça Lucas me saisit la tête et dans un soubresaut, déchargea toute sa semence au fond de ma gorge, cela devait faire un moment quil ne sétait pas vider les couilles car la quantité était vraiment impressionnante mais je parvins néanmoins à tout avaler en bonne pute que jétais. Il nous remercia pour notre « hospitalité », puis après mavoir palpé la vulve nous quitta.

Nous mangeâmes au salon, Marc et ses amis mignoraient totalement, je me demandais comment javais pus en arriver là. Javais le sentiment de devenir folle, ces quatre types me considéraient comme la dernière des putes, usant de mon corps selon leur bon vouloir, ignorant totalement mon plaisir, je nétais que leur garage à bite et pourtant, au moindre claquement de doigts de leur chef Marc, jobéissais instantanément !

Alors que Marc terminait de rouler un nouveau joint, il abaissa son pantalon et son caleçon et me montrant sa queue mordonna de venir mempaler sur celle-ci. Je posai donc ma part de pizza et après avoir remonté ma robe sur mes hanches, je massis sur lui à califourchon, faisant pénétrer sa bite au fond de mon vagin.

Je montais et descendais sur cette verge, tortillant mon petit cul pour varier les plaisirs, plaisir que je sentais venir en moi à chaque mouvement de mon bassin.

Je jouis une première fois, suppliant Marc de me baiser encore plus fort, il mallongea à plat ventre sur le canapé et me pénétra le vagin violemment, je criais de bonheur et lorsquil enfonça son pouce dans mon rectum un second orgasme me fit perdre totalement la raison.

— Baisez-moi ! Baisez moi tous !! Donnez-moi vos bites !! Jen veux encore !! Faites moi jouir !!!

Bien sur, ils ne se firent pas prier longtemps pour sortir leur bite, je fus à nouveau doublement pénétrée, chacun pu profiter de ma chatte et de mon trou du cul selon son bon vouloir, me ramonant les orifices sans sarrêter. Je ne comptais plus les orgasmes, plusieurs fois je reçu du sperme dans la bouche et sur le corps, sperme que je buvais avec délectation, en redemandant toujours plus.

Cette orgie dura un long moment, jétais complètement exténuée, mes orifices tellement sollicités me brulaient et jétais couverte de sperme séché. Les amis de Marc, tous vidés, finirent par prendre congé non sans me complimenter une nouvelle fois pour mes talents de salope. Marc et moi allâmes nous doucher, puis nous nous couchâmes dans son lit, Marc éteignit la lumière puis sans un mot me tourna le dos. Jessayais de mapprocher de lui mais il me repoussa violemment, je minstallai donc à lautre extrémité du lit, pleurant en silence.

Je mendormis néanmoins, mais après quelques heures dun sommeil réparateur je sentis quelque chose contre mes fesses, Marc était collé à moi et frottait son sexe contre ma vulve. Jétais encore vexée du manque daffection que manifestait Marc à mon égard, mais jécartai tout de même les cuisses afin de faciliter la pénétration, il me baisa rapidement puis retirant son sexe de ma chatte il déversa son sperme sur ma cuisse. Il se rendormit alors, jen profitai pour aller prendre une nouvelle douche, puis décidai de rentrer chez moi avant que mes parents ne se lèvent pour voir ma tenue de salope.

Une fois arrivée je pris un bain réparateur et revêtis une tenue plus décente pour retrouver mes parents, la journée se passa ensuite simplement, après le repas je regardais tranquillement la télé lorsque quelquun toqua à la porte. Jallai ouvrir et découvrais Marc, celui-ci entra immédiatement, il avait son sac de cours avec lui, je compris quil allait prétexter des révisions pour me sauter dans ma chambre. Il salua mes parents, leur expliquant quil avait encore des soucis avec une leçon et quil aimerait voir ça avec moi.

Mon père dit alors :

— Daccord mais pas plus dune heure, il est déjà tard, la prochaine fois tu pourras venir plus tôt.

Marc remercia mon père et mentraina dans ma chambre, à peine à labri des regards indiscrets, Marc se jeta sur moi, il minstalla à quatre pattes sur le lit et baissa mon jean et mon string. Il entreprit alors de me lécher lentre cuisse, sa langue allant de mon clitoris à mon anus, me faisant gémir de bonheur. Il sallongea ensuite sur le lit, et après lui avoir dégrafé son jean, je pris son sexe en bouche alors quil continuait de me lécher la chatte dans un merveilleux soixante neuf. Il me léchait divinement bien, provoquant des vagues de plaisir dans mon bas ventre. Il enfonça alors deux puis trois doigts dans mon cul pendant que le suçais avidement, il me repoussa alors et après mavoir positionné en levrette, menfonça son sexe au fond de mon vagin dégoulinant de ma mouille.

Il appuyait fortement sur mes reins mobligeant à me cambrer et à exposer mon joli petit cul dadolescente, parfois il enfonçait un doigt dans mon cul alors que je me caressais dune main le clitoris memmenant au bord de lorgasme. Il me pilonna ainsi plusieurs minutes déclenchant un terrible orgasme dans mes entrailles, il se retira alors de mon sexe poisseux, je me jetai sur celui-ci et le gobai, il ne me fallu que quelques seconde pour le faire jouir et recevoir tout son sperme dans ma bouche, je nettoyai son sexe de ma langue récupérant les dernières gouttes de foutre mélangées à ma cyprine.

Il nen avait visiblement pas assez car après mavoir ôté tous mes vêtements il sinstalla dans mon fauteuil et mordonna de venir le sucer à nouveau. Je mexécutai, savourant encore le goût du sperme chaud que javais eu dans la bouche, il ne me fallu que cinq petites minutes pour redonner à ce sexe toute sa vigueur. Marc me positionna alors à plat ventre sur mon bureau, il avait ainsi une vue imprenable sur mon cul bombé et mon anus sur lequel il cracha, puis il appuya son gland et senfonça dans mon boyau.

La pénétration anale me faisait encore souffrir, mais je commençais à my habituer, après quelque coups de bite une douce chaleur envahit mon ventre, je me caressai en même temps le clitoris allant jusquà enfoncer trois doigts dans ma chatte trempée. Marc me défonçait littéralement, alternant de lentes pénétrations profondes avec de petits coups rapides, jouant avec mes seins et mes tétons durcis.

Des larmes coulaient sur mes joues, mais ce nétaient plus des larmes de douleur mais bien de bonheur, lorgasme monta en moi et me submergea une nouvelle fois, provoquant des contractions de mes orifices qui eurent raison de lendurance de Marc, il déversa alors une belle quantité de sperme dans mon cul et resta planté en moi pendant un petit moment, son sexe ramollissant fut éjecté par mon rectum.

Nous nous rhabillâmes en silence, puis je le raccompagnai à la porte, avant de partir il me colla discrètement une main aux fesses en me disant :

— Demain je pars jusqu’à dimanche chez mon père, profites en pour te reposer car jen ai pas fini avec toi.

Il me laissa ainsi, je remontai alors dans ma chambre, jétais complètement déprimée, jallais devoir passer le reste des vacances seule. Je me mis rapidement au lit, javais encore cette séance de baise en tête, aussi jentrepris de me masturber. Mon anus coulait encore du jus de Marc, je profitai de ce merveilleux lubrifiant pour faire coulisser mes doigts à lintérieur de mon cul, caressant frénétiquement mon clitoris de lautre main.

Jatteignis rapidement lorgasme, je décidai alors de laisser un petit souvenir à Marc, je saisis mon téléphone et pris mon cul dégoulinant de sperme en photo, je lui envoyai par texto et fini par mendormir.

Related posts

La pêche aux moules – Chapitre 1

historiesexe

Le rêve se réalise. – Chapitre 1

historiesexe

Échange de mauvais procédés – Chapitre 14

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .