Le dressage

Je me réveille au bout dune heure, mhabille et me prépare à sortir pour faire des courses et promener John.

-Tu ten vas sans moi ?

-Je vais juste faire des courses pour pouvoir manger et en même temps dégourdir les pattes de John.

-Je taccompagne, tu ne connais pas le quartier, avec moi ça ira plus vite.

Elle enfile une jupe plissée mi-cuisses, un corsage léger mais assez opaque et des escarpins. Nous sortons dans la rue, il faut lourd, la chaleur est moite, John ne tire pas sur sa laisse et va faire ses besoins dans le caniveau, il est très bien dressé à ce point de vue. Marie marche en faisant onduler ses fesses, ce qui ne laisse pas indifférents les hommes, et même les femmes, croisés. Au bout de trois quart dheure, nous avons fini nos courses et nous allons vers un petit parc pour faire courir John. Celui-ci sen donne à cur joie et court dans tous les sens en venant se faire caresser de temps en temps. Il est vraiment très affectueux. Nous sommes dans un petit bosquet et comme il ny a pratiquement personne dans le parc, je moccupe un peu de Marie en posant ma main droite sur sa cuisse gauche et je remonte sous sa jupe. Elle écarte légèrement les cuisses et ma main arrive sur sa vulve nue.

-Tu nas pas mis de culotte ?

-Non, il fait trop chaud.

Ma main lui caresse les lèvres, un doigt se glisse entre et senfonce dans son puits damour. Elle ferme les yeux, sa respiration saccélère, ses narines palpitent, elle se concentre sur sa jouissance quand John arrive pour se faire caresser. Il sarrête, nous regarde et savance doucement vers Marie. Il glisse son museau entre ses cuisses, je retire ma main et il pose sa truffe sur son sexe. Marie a un mouvement de surprise en sentant la truffe de John sur son sexe, son premier reflexe est de resserrer les cuisses, mais le contact frais de cette truffe et lenvie de jouir avec sa langue len dissuade et elle écarte encore plus les jambes pour laisser un maximum despace à John. Celui-ci commence à la lécher de lanus au clitoris. Marie ne résiste pas plus dune minute avant de partir dans un orgasme aussi violent que silencieux. John commence à bander, mais je le tire vers larrière et lui demande de sasseoir, ce quil fait sans broncher. Marie reprend ses esprits et me regarde en fronçant les sourcils.

-Tu es fou davoir laissé John faire ça ici, et si quelquun était venu dans ce bosquet, que ce serait il passé, je te rappelle que je suis une fille du quartier, jy ai passe toute mon enfance et que tout le monde me connait. Ceci dit, quel pied.

-Excuse moi, mais dune part John ma un peu surprit, mais dautre part tu nas rien fait pour léloigner bien au contraire, de plus je surveillais les alentours pour palier à toutes éventualités. Mais ok, tu as raison, il ne faut pas recommencer ça ici.

-Cest vrais que jaurais pu arrêter tout de suite, mais cétait trop bon, en définitive, ce nest pas entièrement de ta faute, excuses moi de mêtre emporté. A nous de trouver un autre parc avec des bosquets fermés comme ici ou je sois inconnue. Cétait vraiment trop bon.

Nous rentrons à lappartement, il y a un message sur le répondeur, cest Elisa.

-Bonjour ma chérie, je viens de recevoir un coup de fil des propriétaires de John, ils veulent que John ne sexcite que sur des personnes nues, femmes ou hommes et sur demande, le message devant être « tu peux y aller John ». Donc vous devez le dresser pour quil ait un comportement tout à fait normal dans la vie courante. Ils ont vu chez des amis qui pratiquent la zoophilie, leur chien qui ne cessait de mettre son museau sous la jupe des femmes ou sur le fion des hommes en bandant. Ils trouvent ça gênant. A vous de faire ce quil faut maintenant. Gros bisous.

Marie appelle Elisa pour plus de précisions. Au bout de cinq minutes de conversation, elle raccroche le combiné.

-En fait, ils veulent que John se comporte normalement dans la vie courante et quil ne saillisse que sur ordre. Dabord pour lécher une vulve ou un fion, ensuite pour saillir. Donc il y a en fait deux ordres différents. « Tu peux y aller John » pour quil sache quil peut venir sur une vulve ou un fion et les lécher et « Vas-y John » pour la saillie proprement dite. Bon, commençons par la première leçon.

Marie sassoie sur le divan, écarte les cuisses et appelle John. Celui-ci sapproche et voit le sexe da Marie devant lui. Il avance encore un peu et veux mettre sa truffe sur les lèvres offertes.

-Non, couché.

John sarrête, mais ne se couche pas, il sassoie en regardant toujours les cuisses de Marie.

-Couché jai dit.

John se couche et regarde Marie dun air triste. Marie se lève, se déshabille et se remet sur le divan les jambes écartées. Elle se caresse lentre cuisse et je vois son sexe qui commence à briller.

-Tu peux y aller John.

Il ne bouge pas. Je mapproche de lui, le fait lever et lamène vers Marie. Jarrête John juste devant les lèvres ouvertes de Marie. Celle-ci réitère son ordre.

-Tu peux y aller John.

Je lâche John et le pousse vers le sexe de Marie. Il sort sa langue et le lèche avec fougue. Marie ferme les yeux et ondule du bas ventre. Elle repousse un peu la tête de John et se met en levrette sur le tapis. Celui-ci recommence sa léchouille, je vois son sexe sortir petit à petit et je mets une serviette sur le dos de Marie. John est de plus en plus excité, il donne des coups de rein dans le vide. Il fait mine de vouloir monter sur le dos de Marie.

-Non John, couché.

John lève la tête, il ne comprend pas ce qui se passe mais il se couche derrière Marie, entre ses jambes.

Marie lui caresse la tête en passant une main entre ses cuisses et se remet en position.

-Tu peux y aller John.

John lève la tête mais ne se lève pas, je le fait lever et Marie répète.

-Tu peux y aller John.

Là, je nai pas besoin de le pousser, il avance doucement sa tête, sort sa langue et recommence à lécher Marie du clitoris à lanus. Marie est de plus en plus excitée tout comme John, dont le sexe est complètement sorti et qui recommence ses coups de rein dans le vide.

-Vas-y John.

John ne comprend pas lordre et continu de lécher le fion de Marie. Jattrape son collier et le hisse sur le dos de Marie. Il sagrippe à ses hanches et donne des coups de bite dans le vide. Je me saisie de son sexe et le positionne sur la vulve de marie. En sentant la chaleur du sexe da Marie, John donne un grand coup de rein et senfonce dun seul coup dans son ventre. Il donne des coups de rein à une cadence infernale.

-Oh oui, quelle bonne queue il a, elle gonfle, elle grossie de plus en plus, jaime me faire baiser par une queue qui gonfle tout le temps.

John pistonne toujours Marie avec la même vigueur, il semble inépuisable. Au bout dun moment, il se crispe un peu plus et donne un très grand coup de rein.

-Ca y est, il ma mis son bulbe, que cest gros. Il se vide en moi, il me rempli, AAAAAAAAHHHHHHH OOOOOOOUUUUUUUIIIIIIIIII.

Marie fait le dos rond, elle sarque boute, elle tremble de tous ses membres, elle est secouée da spasmes. John veux se retourner mais je le maintiens en place.

-Non John, reste comme ça.

Je maintiens John en place jusquà ce que son bulbe dégonfle et puisse se dégager tout seul. Jentends un petit bruit de succion qui me prévient que je peux libérer John. Celui-ci descend du dos de Marie et vient lui lécher le sperme qui dégouline de son sexe. Cette langue qui parcoure tout son entre jambe excite Marie qui donne des coups de rein et part dans un nouvel orgasme.

-Ho là là, quelle langue, quelle langue !!

Une fois le sexe de marie bien nettoyé, John retourne dans son coin. Marie grimpe sur le divan et sallonge sur le ventre une jambe sur le divan et lautre pendant au dehors. Jenlève la serviette qui est restée son dos et lui fait des bisous sur tout le corps.

-Oui, cest bon, continu jaime.

Je lui caresse le dos en insistant sur ses fesses que jadore. Un de mes doigts ségare sur sa rondelle, elle monte ses fesses pour me faire comprendre quelle apprécie. Je glisse mon doigt dans sa fente encore humide et lenfonce doucement dans son fion.

-Tu nas pas autre chose de plus gros à me mettre là.

-Si tu veux, mais il faut que je me déshabille.

Je me lève et me déshabille. Je bande déjà, je me positionne derrière Marie qui a toujours sa jambe qui pend le long du divan. Je mintroduis dans sa vulve pour me lubrifier la bite et, aussitôt, je me plante dans son cul. Sa rondelle habituée me laisse entrer facilement.

-Oh, tu ne mas pas habitué à de telles entrées en matière. Doucement chéri, doucement mon cul est fragile et je veux quon puisse y glisser des bites encore longtemps.

-Si je comprends bien, je nai pas lexclusivité.

-Non.

Je me retire de son fion, la fait mettre sur le dos les jambes bien écartées, repliées sur sa poitrine et maintenues par ses bras. Je lui lubrifie abondamment lanus et me présente à lentrée. Mon gland sappuie sur la rondelle et pousse doucement.

-Comme ça, tu veux que je continu comme ça.

-Oui, comme ça, cest doux et fort, comme tu sais si bien lêtre. Continu mon chéri, jaime ta douceur.

Je la pénètre par des mouvements amples et lents. Je sens son sphincter se contracter et se détendre au rythme de mes allers-retours. Marie se retourne vers John.

-Viens là John.

John se lève et vient nous rejoindre. Marie glisse une main sous son ventre et la plonge dans son sexe. Elle la retire et je sens deux doigts venir enduire mon fion de sa liqueur. John avance le nez, il sort sa langue et commence à me lécher le cul. Sa langue râpeuse passe des couilles à lanus. Cette langue sur mon fion mexcite, et je dois ralentir ma cadence dans le sexe de Marie pour ne pas jouir trop vite.

-Vas-y John.

John continu de me lécher, Marie attrape une de ses pates et le force à monter sur le divan derrière moi. John comprend ce quon attend de lui et donne des coups de reins dans le vide. Je sens sa bite me taper sur les cuisses. Soudain, sans aucune aide, sa bite pointe sur mon fion et senfonce dun seul coup. La douleur de cette pénétration brutale me fait pousser un cri, mais elle satténue et se transforme vite en plaisir. John me pistonne comme un fou, je ne peux plus maintenir ma cadence dans le cul de Marie, mes aller-retour sont de plus en plus lents et, aussi paradoxal que cela puisse paraître, Marie apprécie de plus en plus.

-Oui, chéri, jaime ce rythme, continu, je sens John menculer au travers de ta bite.

John continu de me besogner, sa bite est maintenant au diamètre maximum et il donne de plus en plus de grands coups de rein pour finir par mintroduire son bulbe, que je sens passer difficilement. Il simmobilise et me déverse son sperme dans le fion.

-Oh lala, il se déverse en moi, je déborde, ça coule le long de mes cuisses.

-Oui, je sens son foutre couler sur mes fesses, cest bon, oui, je vais jouir, oh que cest bon, je joui, je joui AAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHH.

Marie est secouée de spasmes, elle tremble et secoue la tête, je ne résiste plus et me vide en elle.

-Oh oui, rempli moi comme John te rempli.

— Ca, ça ne va pas être possible.

John a arrêté de me pistonner et continu à se déverser en moi. Petit à petit, Marie se calme et nous restons tous les trois lun sur lautre. Marie a attrapé John pour lui faire comprendre quil doit rester en place sans tenter de se dégager. Il comprend apparemment et reste immobile sur moi. Nous restons un long moment comme ça, jusquà ce que la bite de John se dégage et glisse de mon fion. Il descend et vient me lécher le cul. Cette langue sur mon fion me fait bander de nouveau, et ma queue, toujours à proximité du fion de Marie, commence à grossir et à écarter les fesses de Marie. La langue de John passe de mes couilles à mon anus, mais de temps en temps, effleure les fesses de Marie. Elle lève ses fesses et réussi à se positionner pour que la langue de John passe aussi sur sa vulve.

-Oui, cest bon, vas-y, encules moi.

Ma bite, juste à lentrée de son cul, na aucun mal à la pénétrer de nouveau. Mais, la langue de John associé à ma fatigue fait que je joui presque aussitôt. Je roule sur le côté, ce qui livre les fesses et le fion de Marie à la langue de John. Celui-ci sen donne à cur joie et Marie explose dans un violent orgasme.

Le dressage a continué encore quelques mois jusquà ce que John soit prêt.

Mais ceci est une autre histoire.

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