Histoires de sexe Histoires de sexe en français Histoires de sexe mobiles

Un mari bien imprudent…ou le chemin de la perversion… – Chapitre 8




Al pianotait nerveusement de ses doigts sur son volant. Il était dans une fureur noire, en plus d’une inquiétude légitime pour ce qui allait arriver à Fanfan. Il se demandait comment sa femme avait pu ainsi sombrer dans une débauche aussi grave ?

Certes, il l’avait toujours poussé à avoir une conduite un peu sexy, voire parfois délurée avec les hommes de son entourage… mais là, se retrouver sous la coupe d’une maîtresse SM vicieuse et bisexuelle ! Il fallait le faire !

Alors qu’est-ce que cette salope de Muriel allait bien pouvoir faire à sa femme ? L’attacher, nue sur une croix de Saint-André, la flageller avec des instruments divers, la caresser, la goder ? Et lui le mari cocu et bafoué, allait-il pouvoir participer ? Probablement pas… regarder alors ? Une pulsion sexuelle remplissait son esprit. Putain, pensa-t-il, voir sa femme se faire tripoter et soumettre par la voisine, qui était d’ailleurs bien mignonne… cela devait être quelque chose ! Mais comment reprendre les rênes et se faire accepter par l’autre dévergondée ?

Cela demandait réflexion…

Perdu dans ses pensées, Al n’avait pas vu l’heure tourner… déjà 10 minutes que sa femme était entre les mains des types du garage… ils ne devaient pas seulement prendre un café ! Allait-il oser ? Oh et puis zut, pensa-t-il, seuls un gros timide ou un type sans couilles n’aimeraient pas voir le spectacle érotique, dont sa femme était la grande actrice. Il sortit de la voiture, les tripes en feu et une grosse bosse dans le pantalon, et referma silencieusement la portière. Il fit le tour discrètement du garage et avisa un petit lucarneau sale, mais qui offrait une vue panoramique de l’atelier. Il regarda et vit sa femme assise sur une chaise, habillée, tranquille, mais avec un bandeau sur les yeux. Cela l’étonnait beaucoup. Personne n’avait envie de s’intéresser à son épouse ? Il était presque déçu ! Pourtant les trois types du garage semblaient en excellente forme, et plutôt jeunes. Deux discutaient en fumant une cigarette, tandis que le troisième réparait un véhicule à l’arrière.

Ce que ne pouvait pas savoir Al, c’est que depuis son arrivée sur le parking, il était observé par des caméras très discrètes. Ainsi les hommes savaient qu’il les observait et avaient laissé poireauter Fanfan jusqu’à ce qu’il se décida à venir mater… le spectacle allait pouvoir commencer ! Les hommes au fort accent des pays de l’Est s’adressèrent à Fanfan, dans un français très approximatif :

Toi, femme, te lever et avancer ! Piotr occupe-toi delle !

La fièvre au corps, Al se demandait comment elle allait réagir : prendre peur, supplier qu’on la laisse tranquille, se faire baiser avec résignation ? Ou carrément y prendre du plaisir ? Il n’allait pas tarder à connaître la réponse !

Le jeune qui réparait la voiture s’approcha de la superbe blonde au fort tour de poitrine, avec son bandeau sur les yeux. Il attrapa les gros seins et les palpa grossièrement à travers la robe fourreau, Fanfan soupira de contentement et se laissa faire en rejetant la tête en arrière.

Eh bien, ça promet pour la suite !, pensa Al.

Le type commença à l’embrasser, et Fanfan lui donna sa bouche sans aucune gêne apparente ! Puis les deux mains s’égarèrent sur les hanches, pour ensuite relever les pans serrés de la robe fourreau. Fanfan se trémoussa, pour aider le type à la lui relever au-dessus du porte-jarretelles noir, laissant apparaître le sexe dénudé de la belle.

Évidemment, Fanfan ne portait pas de culotte… qu’en aurait-elle fait ?

Le jeune type fasciné par ce sexe offert lui passa directement la main sur le pubis, ses doigts cherchant la fente pour s’y engouffrer !

Fanfan commença à couiner et à ahaner :

Occupe-toi aussi de mon petit trou… j’ai trop envie d’un doigt dans mon cul, en même temps que dans ma chatte !

Al fulminait, sa femme était vraiment devenue une putain ! Il aurait bien voulu rentrer dans ce putain de garage, et lui dire sa façon de penser… toute cette dérive commençait à l’inquiéter… ou s’arrêterait-elle ? C’est alors qu’il y eut un petit miracle : le chef du trio dirigea son regard vers sa cachette et lui dit :

Toi, homme derrière fenêtre ! Viendre ici ! Pour regarder salope à toi se faire baiser !

Al n’en croyait pas ses oreilles, les types savaient qu’il les matait depuis un moment. Il alla les rejoindre, il n’avait pas le choix !

Arrivé au niveau de sa femme, qui se faisait peloter nue, la robe à ses pieds, il ne put s’empêcher de la regarder aux prises avec le mec. Il avait une main entre ses cuisses, avec les doigts qui lui investissaient la fente, l’autre main derrière en train de caresser ses fesses, avec un doigt qui lui perçait la rondelle. Et enfin, il lui dévora littéralement les seins. Fanfan, en proie aux affres du plaisir, ne s’aperçut même pas de la présence dAl ! Le chef s’approcha de lui et lui remit un papier qui provenait de Muriel.

Toi lire papier. La flic expliquer tout quoi toi faire ! Obéir… sinon !

Le type blond, avec une gueule de mercenaire russe, écrasa violemment son poing dans sa main ouverte, avec un grand claquement… visiblement, il n’aimait pas répéter les choses. Le texte de Muriel disait ceci :

Mon cher Al, je ne te remercierai jamais assez de me confier ta femme en tant qu’esclave sexuelle.

Tu parles, pensa-t-il, comme si on avait le choix, espèce de salope !

"Pour te remercier, et éventuellement te faire participer à nos jeux, tu dirigeras la séance du garage. Sois vicieux, imaginatif et très sévère avec ta petite pute de femme, qui se dévergonde de plus en plus. Tu seras filmé. Si le test est concluant, alors peut-être seras-tu invité dans mon donjon !

Ta gentille petite voisine. "

Mais quelle salope celle-là aussi ! Mais bon, peut-être, pourrais-je en retirer bénéfice… Al se sentait déjà plus joyeux. C’était lui qui allait donner les ordres ! Il était déjà surexcité à l’idée d’ordonner à ces mecs de baiser sa femme !

Toi le jeune, mets ma femme sur le ventre, et baise-là sur le capot de cette voiture ! Et fais-la couiner cette salope !

Le chef , Igorz, traduisit les ordres dAl en russe, et le jeune homme, tirant Fanfan par la main, la poussa sans délicatesse contre la voiture. Fanfan dont les seins s’écrasaient sur la tôle du capot, sentit le froid de l’acier sur sa peau et cela l’électrisa. Docilement, elle écarta toutes grandes les cuisses, pour accueillir le jeune homme qui baissait son pantalon, laissant apparaître un chibre de très belle dimension. Fanfan, les cuisses grandes ouvertes, le sexe luisant d’excitation, avait la position de soumise, les bras droits devant elle, touchant le pare-brise de la voiture. Le jeune la saisit par les hanches, s’accrocha à elle, et d’une vigoureuse poussée du bassin, l’embrocha avec animalité. Fanfan poussa un cri rauque et se laissa aller à son plaisir sous les coups de boutoir du jeune homme vigoureux.

3 ou quatre minutes de pilonnage en règle l’emmenèrent très vite à l’orgasme, et le jeune laissa une Fanfan en proie au plaisir, reprendre haleine. Néanmoins, Al voulait que sa femme en prenne pour son compte, il n’avait pas l’intention de la laisser respirer, il demanda alors au chef s’il y avait possibilité de trouver un lubrifiant ou un corps gras. Le grand blond, un sourire aux lèvres, donna l’ordre au troisième type d’aller lui chercher un pot de suif, dont il retira le couvercle et le tendit à Al. Ce dernier s’avança vers la pauvre Fanfan, toujours alanguie, à moitié nue, ventre contre le capot de voiture. En lui frappant vigoureusement une fesse du plat de la main, il sapprocha de son visage et lui souffla :

Alors ma salope, tu as aimé ? A présent, tu vas goutter à un truc que tu n’apprécies pas trop… devine quoi ?

Fanfan était déjà trop excitée et soumise à la volonté des 4 hommes pour récriminer. Même si elle n’aimait pas trop la sodomie, elle savait que de toute façon, elle allait se faire défoncer la rondelle… et puis cette situation d’être la pute soumise, l’objet sexuel à la merci des hommes, lui faisait apprécier toute nouvelle expérience sexuelle. Elle répondit :

Vous allez m’enculer ?

Oui, tous les quatre et moi, je passerai en dernier ! Comme ça, tu vas en prendre de la bite dans ton trou de salope !

Mhuummmmm ! Allez-y, prenez-moi par le cul !

Al sortit sa queue, et la promena sur la vulve ouverte de sa femme, et sur son illet brun encore tout serré. Il devait se retenir pour ne pas éjaculer tout de suite, tant l’étrangeté et la nouveauté de la situation le troublaient. Il trempa deux doigts dans le pot de suif, et en déposa sur l’illet sombre de sa femme. Le produit était froid et visqueux à souhait, écoeurant même…

Fanfan couina quand elle sentit la matière sur son territoire le plus intime. Alors, Al commença doucement à caresser le petit trou, faisant lentement pénétrer un index bien lubrifié dans la rondelle, qui s’écartait progressivement. En fin de compte, Fanfan souhaitait cette pénétration, car le travail du doigt était extrêmement facile. Il n’y avait pratiquement aucune résistance. Alors il fit pénétrer un deuxième doigt, et toujours avec le suif, commença un mouvement de va-et-vient dans le cul de sa femme. Cette dernière commençait à prendre du plaisir à cette pénétration infamante. Quand il sentit qu’elle était prête pour se faire enculer, il remit une bonne dose de suif dans le petit trou, et se retournant vers le chef, lui dit :

Au premier de ces messieurs !

Le troisième type s’approcha, le gourdin déjà à l’air, et attrapant Fanfan par les hanches, et serrant les chairs avec brutalité, se positionna à l’entrée du sanctuaire interdit et doucement pénétra la femme qui gémit de plaisir. Alors il se lança dans une sodomie sauvage, ponctuée par les gémissements, et les ah ouiii ! , encooore !, " encule-moi plus profondément ! de la femme offerte à ses assauts virils ! Fanfan, goûtant aux joies de ce plaisir dont elle était peu accoutumée, laissait la part belle à son plaisir, et enchaîna les orgasmes de plus en plus dévastateurs, jusqu’à la conclusion. Quand elle sentit le gland du mec pulser dans son conduit serré, elle poussa un long cri de jouissance. Al qui observait sa femme avec délectation, se dit qu’elle n’avait encore jamais joui comme cela.

Le jeune homme du début prit la place de son comparse, et lui aussi se lança dans une sodomie effrénée. Fanfan n’en pouvait plus de jouir. Le chef prit sa place… et enfin Al.

Il s’approcha, écarta les fesses et vit un illet déformé, ouvert sur le monde, dont s’écoulait une quantité impressionnante de sperme. Cette vision lui donna un grand coup de chaleur dans tout le corps, et sans attendre, il s’enfonça brutalement dans le cul de sa femme. Celle-ci reprit sa logorrhée de femme en proie au plaisir, et ce manège le fit très vite jouir dans le conduit secret. Il lui semblait que jamais il n’avait pris un tel pied avec son épouse.

Fier de sa performance, scrutant une Fanfan qui s’était retournée, le dos avachi contre le capot de voiture, des marques rouges de doigts sur les hanches, la sueur perlant sur son corps, la chatte et le cul dégoulinant de foutre, le rouge aux joues, les cheveux blonds emmêlés, il se demandait où était passée la fidèle épouse, la cadre infirmière… cette bourgeoise toujours bien mise, correcte et toujours en retenue…

Alors Fanfan, tripotée, baisée une fois, enculée quatre fois ! Mais quelle putain tu es devenue ! Et je vois que tu n’as pas honte de te donner ainsi en spectacle ! Tu acceptes tout, tu jouis comme une putain ! Tu es devenue une vraie chienne en chaleur ! Bien… maintenant, on va jouer à autre chose… après le plaisir, le déshonneur et la punition !

Igorz, dis à tes gars de prendre ma femme, de l’amener sous le palan et de l’enchaîner, les bras en l’air, les jambes relevées, cuisses bien ouvertes ! puisque c’est une pute, on va la traiter comme une pute !

Fanfan regarda son mari, incrédule… cette fois-ci, toute excitation avait disparu de son regard. Devant l’air mauvais de son mari… un air qu’elle ne lui connaissait pas, elle commença à prendre à peur… qu’allaient bien pouvoir lui faire les quatre hommes ? Quelles pensées lubriques et vicieuses avaient pu germer dans l’esprit de son mari ? Pour la première fois, elle eut l’impression qu’elle ne connaissait pas vraiment l’homme qui était devant elle…

Elle pensa alors qu’elle aurait dû être un peu plus prudente ! Elle sentait qu’elle allait le payer cher. Une boule d’angoisse, mais aussi d’excitation malsaine se formait dans son ventre : elle allait littéralement être le jouet sexuel de ces hommes ! Vivre en direct le spectacle qu’elle avait vu dans la cave de sa voisine, offerte au pur sadisme de son mari et des Russes ! Elle savait qu’elle allait prendre cher, qu’elle aurait mal… mais étrangement, cette idée l’amenait de nouveau au bord de l’orgasme !

Related posts

Ma petite soeur, mon amour – Chapitre 2

historiesexe

Le Big Boss – Chapitre 1

historiesexe

Une vie plus tôt banal – Chapitre 1

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .