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Myriam, source de plaisir – Chapitre 2




Myriam est ma passagère de covoiturage en ce we de fin juin. Après un voyage surprenant et une aventure imprévue, elle accepte de prolonger en m’accompagnant chez moi. Voici donc ce qui s’y passe.

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Nous reprenons la route, et nous arrivons chez moi un peu après 15 heures. Il fait beau, il y a une légère brise, Myriam est éblouie par le paysage de la montagne et par le parc de ma propriété.

Ouah, c’est trop beau chez toi ! C’est tout à toi, c’est vrai ? C’est vachement grand, c’est beau.

Je lui propose de visiter le parc pendant que j’ouvre la maison. Très vite je sors un matelas pneumatique que j’installe sur la terrasse à l’ombre d’un grand cèdre, et je suis en train de le gonfler quand Myriam termine son tour et me rejoint.

C’est vraiment grand, c’est beau, il y a tellement d’arbres.

On termine de vider la voiture, je lui fais visiter la maison et les chambres, je lui demande un peu taquin si elle veut la chambre d’ami, alors elle se blottit contre moi et me répond "Non, je te veux toi." Je prends des serviettes de bain :

Alors maintenant Myriam, c’est à poil et on va faire une sieste sur la terrasse. Moi j’ai besoin de me reposer du voyage, et toi, ben … Toi aussi !

Elle rit et se déshabille, il faut dire qu’elle n’avait plus de sous-vêtement donc juste son pull et sa jupe. Nous sortons et allons nous allonger sur le matelas à l’ombre, elle se blottit contre moi et bien sûr elle n’arrête plus de parler tout en me caressant le corps, la tête, la poitrine, le ventre et elle se met même à jouer avec mon sexe en riant comme une enfant. Puis elle se calme, pose sa tête sur mon épaule et nous somnolons ensemble pendant une heure environ.

Nous avons quelques courses à faire pour le week-end. On va y aller maintenant … Et tu as le droit de mettre une culotte !

Elle rit et part s’habiller. Nous allons faire nos achats, sur le chemin du retour on s’arrête dans un petit village touristique, plein de boutiques d’artisanat, de souvenirs et d’autres articles pour touristes. En passant devant une boutique de vêtements, elle s’arrête devant des robes qui semblent être des saris indiens. Elle trouve que c’est beau, alors je lui propose d’en essayer, et je lui en offre une. Elle est radieuse, tellement contente. Je suis content de la voir comme ça, cela m’amuse et me fait aussi du bien. Je la désire.

De retour à la maison, nous faisons un peu de cuisine, et avant de dîner nous allons prendre une douche, ensemble. Nous nous savonnons mutuellement, je taquine son corps, j’explore ses intimités (oui, devant et derrière) elle se rebiffe et rit. Myriam est vraiment une "bonne nature", une fille enjouée et plaisante. Et moi qui ai annoncé en début de récit qu’elle n’aurait pas attiré mon attention … La beauté est parfois à découvrir. Nous dînons de salades sur la terrasse, Myriam a revêtu sa belle robe toute neuve, elle est fière comme un paon et se pavane en faisant des pas de danse, elle se libère et je la trouve… belle ! Voilà, c’est fait, je suis sous le charme. Après le dîner, il faut une transition … Comme je lui ai promis un week-end de rêve (et de sexe), je dois assurer.

Je prends mon ordinateur portable, je sais qu’il y a quelques années en arrière j’avais téléchargé un jeu "érotique", SexyC*** (je ne fais pas de pub, mais devinez, essayez et vous verrez c’est très bien fait), une sorte de Monopoly où les joueurs se déplacent de case en case et chaque case impose un gage qui devient de plus en plus osé à chaque tour de plateau. Myriam est excitée à l’idée de jouer, et après avoir fait le choix des options je lance le jeu. Cela commence doucement, des bisous, des câlins, des caresses et des chatouilles, et puis les tours de plateau s’enchaînent et nous on se déchaîne. On finit nus, excités comme des damnés, Myriam est assise sur le canapé, les jambes en l’air, et je la tringle comme un sauvage, elle suffoque, crie, gesticule et encore une fois explose dans un orgasme inondant le sol.

Elle reste pantelante, je reviens en elle et je reprends lentement mes mouvements, elle reprend un peu ses esprits, gémit à nouveau, et je la mène doucement à un nouvel orgasme, sans avoir à forcer, juste en maintenant la pression au fond de son ventre. Je m’immobilise, elle dodeline de la tête, prononce quelques mots inarticulés, je patiente encore un peu et puis je me remets à bouger tout doucement, juste en appuyant un peu mon sexe au fond de sa grotte, et à nouveau son plaisir monte, doucement, elle prononce des mots sans suite, se laisse conduire sans réagir, je maintiens juste une pression avec quelques petits a-coups pour accentuer la pression et cela suffit à la faire à nouveau grimper au septième ciel. Cela fait trois orgasmes à la suite, après celui du matin dans la voiture, elle devient toute molle sous moi.

J’attends un peu plus longtemps comme ça immobile, elle est dans les vapes, puis je bouge un tout petit peu, elle pousse un long râle, je reprends mes mouvements plus amples et plus rapides, je vais moi aussi laisser aller mon plaisir que je retiens à peine quelques minutes, je finis par la défoncer, elle crie quand j’éjacule bien profondément en elle et je me sens aspergé à nouveau par un puissant jet de cyprine qui me coule sur les jambes et qui s’étale sur le carrelage.

Je suis haletant sur elle, je cherche sa bouche, l’embrasse goulûment, elle passe ses bras autour de mon coup, me dit qu’elle m’aime, que c’est super, qu’elle n’a jamais connu ça, qu’elle ne sait pas comment je fais, qu’elle ne sait pas ce qui lui arrive, elle redevient … elle-même, tout simplement, une Myriam comblée et bavarde.

C’est fini pour aujourd’hui, avec le long trajet en voiture et cette soirée sportive je ne peux pas aller plus loin. Je la prends dans mes bras (comme c’est romantique) et je la porte jusque dans la chambre, nous nous mettons au lit, elle pose sa tête sur ma poitrine, j’enroule mon bras autour de son corps, la main sur sa hanche, et je m’endors pendant qu’elle continue de murmurer son incrédulité "… Je sais pas comment tu fais … J’ai jamais connu ça … Hum, comme c’est bon d’être contre toi …", et je dors enfin.

Lorsque je me réveille il est presque 10 heures, Myriam dort encore contre moi avec un très léger ronflement … Cette fille est vraiment géniale ! Je me lève pour aller aux toilettes, et quand je reviens je commence tendrement à réveiller ma belle au bois dormant par des petits bisous et des "Bonjour Mon Cur, bonjour Mon Trésor, alors bien dormi ? C’est bon de dormir contre un homme, pas vrai ? Et qui c’est qui va encore jouir toute la journée ? …". Cela la fait rire, elle m’enlace le cou et m’attire à elle pour m’embrasser. On câline un peu, gentiment, puis on se lève pour aller petit-déjeuner tout nus sur la terrasse. Il fait déjà beau et bien chaud, la journée va être pénible.

J’ai gardé en mémoire quelques idées de la discussion de la veille dans la voiture. Je propose à Myriam d’aller prendre une douche, puis d’aller au village pour acheter du pain frais pendant que je reste à la maison pour bricoler un peu. Eh oui, initialement mon programme n’était pas de faire l’amour tout le week-end, j’avais quand même des choses à faire dans la maison. Mais en fait, je vais préparer une nouvelle grosse surprise à Myriam. J’ai un coffret de "jouets", un uf vibrant, une petit vibromasseur, des pinces à seins, des boules de geishas, bref un petit matériel que j’avais acheté pour une maîtresse il y a quelques années. Je vérifie les piles et que tout fonctionne. J’avais aussi confectionné des "bracelets-menottes" en tissus qui se ferment avec du velcros pour les poignets et les chevilles, avec un anneau et un mousqueton fixés dans le bracelet.

Rapidement, je prends des cordes solides, je sélectionne deux bouts de bois, un rond d’environ 1 mètre 20 et un bastaing carré assez lourd de 2 mètres, je lui fixe deux anneaux dessus, je prends mon établi pliant que j’ouvre en V et je mets dans le V une grosse bûche ronde recouverte d’une couverture épaisse, j’emmène tout ce matériel sous la pergola.

Lorsque Myriam revient avec le pain, je l’attends nu dans un transat et je l’invite à me rejoindre. Elle délaisse l’autre transat pour se coller sur moi, je la caresse :

Alors Ma Puce, comment tu te sens ? Tu ne regrettes pas d’avoir posé un lapin à ta sur j’imagine ?

Elle rit (elle rit vraiment facilement … On va voir ça dans quelques minutes), me confirme qu’elle ne regrette pas du tout, que c’est vraiment formidable, que si on lui avait dit ça un jour elle n’y aurait pas cru, bref la voilà relancée dans son bavardage. Je prends alors un de mes bracelets-menottes, et je le lui mets autour d’un poignet. Elle est surprise, regarde ça, me demande ce que c’est, c’est quoi ce jeu, qu’est-ce qui se passe là, mais je ne dis rien. Je mets un autre bracelet à son autre poignet, elle est intriguée. Je place les deux autres sur ses chevilles, elle trouve ça "chelou", à quoi je joue là, mais elle continue de rire et à se vautrer sur moi. Je sors alors un foulard, et je lui bande les yeux, elle entre dans le jeu, toujours en riant. Doucement je lui mets les deux mains dans le dos, puis je relie les deux bracelets avec les mousquetons, et la voilà entravée les mains dans le dos.

Héééé, c’est quoi ça, qu’est-ce que tu fais ? Mais ça va pas, dis ?

Je ne lui réponds pas, je la caresse, elle finit par en rire, comme toujours, et reste comme ça sur moi, les yeux bandés (elle ne peut plus enlever son bandeau) et les mains entravées dans le dos. Bien sûr, elle pourrait défaire elle-même les mousquetons, mais elle ne le tente pas. Doucement je me dégage et l’aide à se lever du siège, puis je la guide à travers la pelouse jusqu’à la pergola. Elle n’a rien remarqué des préparatifs bien sûr, et n’avait aucune raison de s’intéresser à ces trucs qui traînaient sous la pergola. Là, sans qu’elle ne voie quoi que ce soit, je la fais brusquement basculer en avant sur la bûche posée sur l’établi, en prenant soin qu’elle ne se cogne pas. Elle crie, mais se retrouve donc le ventre sur l’arrondi de la bûche, les mains dans le dos, un bandeau sur les yeux. Elle se débat un peu des jambes, mais je lui saisis les chevilles et je fixe les bracelets aux anneaux du gros bastaing au pied de l’établi.

Elle se retrouve alors incapable de bouger, pliée sur un chevalet, les fesses bien en l’air et les jambes maintenues écartées, et sans rien voir de ce qui se passe autour. Elle pousse encore quelques cris, me dit "Non, non, arrête, c’est quoi ce truc, qu’est-ce tu vas me faire, putain, c’est relou ton truc, c’est pas vrai …", mais je ne dis toujours rien, j’attends, elle finit par ne plus rien dire, ne rit plus, me demande si je suis toujours là, je perçois un début de crainte dans sa voix, "Fais pas l’con, allez, qu’est-ce qui se passe ?".

Après quelques minutes où elle tente vainement de se détacher, de bouger, de se relever, je pose simplement ma main sur sa fesse. Elle tressaille, retient son souffle, ne dit plus rien. Je commence à la caresser, une fesse, puis l’autre, elle commence à se trémousser, elle se remet à rire quand je chatouille très légèrement son sexe, elle se rebiffe quand j’appuie un doigts sur son anus largement offert, mais elle finit manifestement par apprécier mes caresses et commence à geindre à chaque fois que je les appuie un peu plus.

Soudain, la claque ! Elle pousse un cri, tout son corps se contracte "Ah ! Non mais ça va pas ? Non, non, arrête, c’est pas drôle.", alors je la caresse à nouveau, et à nouveau elle se tortille et le plaisir revient sous mes caresses sur ses fesses, dans son dos, sur le haut de ses cuisses, sur sa chatte qui commence à bien dégouliner ou sa petite rondelle sans défense, elle ne sait pas où ma main va se poser, elle est soumise au supplice du plaisir inattendu.

Une autre claque ! Elle geint, mais ne se rebiffe plus, elle a compris. Caresses, et …

Claque ! Elle crie à chaque claque, mais c’est plus un râle qu’une révolte. Je la caresse et la claque de plus en plus, pas très fort, ses fesses rosissent et s’échauffent, elle se tortille comme pour se dégager mais rien n’y fait, elle est bien prisonnière. Je prends le petit vibro, je le mets en marche et je le place sur sa peau, je le fais glisser entre ses fesses, elle sursaute lorsqu’il passe sur son anus et arrive sur sa chatte qui mouille abondamment. Du doigt je parcours sa fente et remonte mon doigt jusqu’à son petit trou, où je l’enfonce à peine un peu, elle crie à nouveau, essaye encore de se dégager puis renonce. Je m’amuse comme ça avec elle pendant au moins une demi-heure, elle est surexcitée, la couverture est trempée sous elle, alors je lui mets un doigt, deux doigts dans la chatte et je les fais aller et venir de plus en plus vite tout en appuyant sur son anus de mon autre main.

A ce rythme là elle ne tarde pas à venir dans une gerbe de plaisir, et je me baisse et bois à sa fontaine, plaquant mes lèvres sur sa chatte et ma langue allant fouiller aussi loin qu’elle le peut. Elle devient une source intarissable, elle pousse une longue plainte, je continue de la butiner plusieurs minutes, j’ai tout mon temps et elle est ma captive, elle ne peut pas échapper à ma torture.

Myriam est à nouveau dans les vapes, inerte sur son chevalet de supplice, les mains attachées dans le dos, les yeux bandés, les jambes écartelées, le cul en l’air et la chatte dégoulinante. Je prépare la suite, je passe la corde au-dessus des poutres de la pergola. Je détache ses mains, mais je fixe ses bras à la barre ronde que j’avais préparée. Pour cela j’entoure chacun de ses bras dans une serviette de toilette, puis je fixe son bras ainsi protégé à la barre avec du film alimentaire. Elle se retrouve à nouveau entravée, les bras écartés et fixés à une barre au niveau des épaules. Je la redresse, elle se laisse faire mollement, et je passe chaque extrémité de la barre dans une bouche de la corde qui passe au-dessus des poutres. Je me rends compte que j’ai fait les boucles un peu trop haut, tant pis, je force en soulevant le poids de Myriam pour passer la barre dans les boucles, et du coup elle est suspendue, ses pieds ne touchent plus le sol.

Je retire le chevalet de devant elle, Myriam est crucifiée devant moi, les bras écartelés et fixés à une barre transversale suspendue aux poutres par une corde à chaque extrémité, les jambes écartées, chaque cheville fixée à un anneau du bastaing qui reste au sol. Elle a les pieds très légèrement en l’air, il s’en faut de quelques centimètres, mais finalement le résultat est parfait. Elle a toujours les yeux bandés, sa tête retombe en avant comme si elle était inconsciente, et des gouttes de jus coulent encore de sa chatte. Je me mets à genoux et je lèche et suce sa petite chatte juteuse, Myriam se réveille, elle gémit de plaisir. Puis je me relève et l’embrasse, elle répond à mon baiser avec passion, elle est complètement soumise et elle aime manifestement ça. Je lui masse délicatement les seins, ils sont gonflés d’excitation, les mamelons durs au point qu’ils doivent lui faire mal …

Ah, oui, voilà, je prends les pinces à seins et je le fixe à ses tétons. Elle crie encore, je m’amuse à tirer un peu sur la chaîne, je la fais bouger et elle pousse des petits cris qui ne trompent pas sur le plaisir qu’elle éprouve. Myriam est suspendue en l’air, je bécote son cou, ses oreilles, sa poitrine, chaque nouveau contact la surprend et l’électrise un peu plus, elle râle de manière ininterrompue maintenant et se tortille dans tous les sens. Je mets ma main sur sa chatte et elle couine de plaisir, je décide de l’envoyer encore une fois au septième ciel en lui mettant un, deux, trois doigts dans la chatte et en la branlant brutalement. Suspendue comme elle est elle bouge dans tous les sens mais ne peut rien faire pour échapper à la torture, et encore une fois elle jouit abondamment sur ma main, ses cuisses sont trempées et une petite flaque se répand sur le sol de la pergola.

Cela fait plus d’une heure et demi que je joue avec Myriam, et il serait temps que je me vide les couilles. Je me place devant elle, suspendue à sa potence, et je plonge ma queue dure comme rarement dans sa chatte largement ouverte. C’est à peine si je la sens, elle est liquéfiée et complètement béante, mais je la tringle brutalement, en lui disant qu’elle est une salope, une chienne en chaleur, la chaînette se balance et tire sur ses tétons, elle perd la tête, se met à jouir longuement et au comble de l’excitation j’éjacule enfin au fond de son ventre.

Et je la trouve belle !

Comme je suis vicieux, je prends des photos de Myriam suppliciée, suspendue à sa potence, les jambes écartelées, la chatte dégoulinante, la tête tombant sur sa poitrine. Puis je détache ses chevilles, je la maintiens avec mon épaule, détache ses bras de la barre horizontale (pas facile à déchirer ce film alimentaire !), elle est pantelante dans mes bras et comme la veille au soir après notre jeu je la transporte jusqu’au matelas pneumatique, où je la dépose prudemment. Je m’allonge près d’elle, la prends dans mes bras, elle réagit et se serre amoureusement contre moi en me disant que je suis fou, qu’elle a joui comme une folle et qu’elle n’imaginait même pas ça possible. On reste un long moment comme ça, l’un contre l’autre, je l’embrasse dans le cou, sur toute la peau que je peux atteindre, et nous somnolons à l’ombre du cèdre bercés par la brise qui bruisse dans les peupliers et le crissement des cigales.

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Le soir est arrivé, nous avons dîné dehors, aux chandelles et avons bu beaucoup de vin en riant.

J’en reviens pas de ce que tu m’as fait, tu es un grand malade toi ….

J’ai installé un hamac sous la pergola à la place des instruments du supplice, et nous avons passé une bonne partie de la nuit à discuter et nous taquiner serrés l’un contre l’autre dans la douceur de juin, un peu perturbés par quelques moustiques. Lorsque Myriam a commencé à somnoler nous sommes rentrés nous coucher. Le lendemain nous nous sommes à nouveau amusés de manière un peu plus conventionnelle, puis j’ai fermé la maison, nous sommes allés déjeuner à Perpignan et en début d’après midi j’ai quitté Myriam qui attendait que sa sur vienne la chercher. Je suis rentré chez moi, 7 heures de route, nous avons échangés quelques SMS, elle était en vacances, et puis … Myriam, si tu me lis, cela me ferait vraiment plaisir qu’on se revoie.

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