Bonjour,
Voici le premier chapitre de la suite de "Année de terminale". Cette histoire fera souvent référence à la première. Si vous ne l’avez pas lue, vous risquez de ne pas comprendre certaines choses.
Bonne lecture.
Chapitre 1
J’étais à genoux dans cette salle obscure, les mains ligotées dans le dos, face à ces trois types cagoulés. Ils se tenaient face à moi, l’air menaçant. D’après leur forme, il y a une fille et deux mecs. L’un d’eux commença un interrogatoire :
T’es arrivée quand ?
Hier dans l’après-midi.
T’as bien dormi ?
Bof, à côté, il y avait une fête.
Et tu n’as pas voulu y aller ?
Non.
Tu préférais rester seule à pleurer ta séparation avec ton papa et ta maman ?
Non. Ma mère s’est barrée il y a un an et mon père est assez grand pour se démerder tout seul.
Alors, t’as fait quoi ?
Ca ne vous regarde pas.
Mes réponses sèches et désintéressées semblaient les énerver. Ils commencèrent à se déplacer, tournant autour de moi, tapant des pieds pour m’impressionner. L’un d’eux se baissa devant moi, me prit le menton, et m’hurlant dessus me fit :
Qu’est-ce qui te donne l’impression que tu as le droit de ne pas répondre ?
Ben, c’est évident, non ?… La mise en scène est pourrie… Ho, je ne dis pas que certains doivent être drôlement impressionnés. J’ai même entendu une fille chialer tout à l’heure. Ca vous a amusé ?
Je dois avoir un don pour énerver les gens, car le type m’a lâchée le menton pour appuyer sur ma tête afin que je la couche sur le sol. Je n’ai pas résisté, je ne voulais pas avoir mal.
Je vais t’apprendre à faire la maline, sale conne. Lorsque tu t’adresseras à moi, tu m’appelleras maître ! Compris ?
Oui, maître. Mais ça ne changera rien… Maître.
Ca ne changera pas quoi ?
Qu’il ne s’agit que d’un bizutage.
Et tu te crois plus forte parce que tu as trouvé ça toute seule ?
Non, pas du tout. Mais c’est juste que je ne suis pas impressionnée et que je n’ai pas peur.
Je me suis alors prise une claque sur les fesses qui me fit sortir un gémissement de surprise à défaut qu’elle ne fasse mal. Et une voix féminine, sur un ton sec, fit "t’as oublié de dire maître". Ce à quoi je répondis : "heu, oui… pardon…", une nouvelle fessée, "…maître…". Et le premier mec reprit, mais avec un ton plus doux :
Bien Pauline. Histoire de te motiver un peu plus, dès que tu ne répondras pas aux questions, mes collègues se feront un plaisir de s’occuper de ton cul. C’est compris ?
Oui, maitre.
Comment t’appelles-tu ?
Ben… Tu le sais déjà, tu viens de m’appeler… Aïe ! Pauline… Je m’appelle Pauline… Aïe ! Maitre.
Orientation sexuelle ?
Ca ne te regarde pas.
Et je me pris deux fessées : une pour ne pas avoir répondu correctement et l’autre pour avoir oublié "maître". Et les autres questions étaient encore plus intimes : combien de mec je me suis tapée, combien de fois je me masturbais par semaine, comment s’est passé mon dépucelage, mes pratiques sexuelles, sexe de groupes… Tout y passait, je ne répondais à aucune d’entre elles. Et à chaque fois, mon postérieur se prenait deux nouveaux coups.
La fille ne tapait pas fort, mais à force, mes fesses commençaient à chauffer… Et pas qu’elles d’ailleurs. La situation devenait excitante, de plus en plus excitante même. Je tentais de me contrôler, mais chaque coup me faisait pousser un gémissement mélangeant la douleur et le plaisir.
Et, au bout d’un moment, je lui ai dit :
Je ne crains pas la douleur.
C’est ce qu’on va voir.
Quelques secondes après, elle avait baissé mon jean’s jusqu’à mi-cuisses, mon string cachant alors ce qu’il pouvait, et elle me donnait une dizaine de fessées rapidement sans s’arrêter. Cette fois, j’ai poussé quelques cris, et des larmes ont commencé à couler.
Et puis, plus de questions, plus de coups. Je suis restée la tête sur le sol, les fesses levées en attendant la suite. Je les entendais parler entre eux à voix basse, puis on me détacha les mains. Je me suis levée péniblement, l’esprit embrumé par une excitation qui ne m’étais pas arrivée depuis bien longtemps. Ils avaient retiré leur cagoule et me regardaient avec un petit air de honte. J’ai remonté mon pantalon, la fille prit la parole
Excuse nous Pauline, on est allé un peu trop loin… On n’a pas su se contrôler. Ca va ?
Oui… Un peu de Biafine sur mes fesses et tout rentrera dans l’ordre.
J’ai fantasmé un instant sur une réplique qu’aurait pu sortir l’un d’eux, qui m’aurait proposée de m’en enduire et à qui j’aurai dit oui… Mais non. Et l’un des mecs reprit
Heu… Si ça pouvait rester juste entre nous… Que ça ne s’ébruite pas…
Ok…
Et ça… Normalement on ne le donne jamais à la première épreuve, mais c’est un laisser-passer pour sauter les autres épreuves et pour dire que t’es acceptée à la soirée de réconciliation de ce soir.
Ok… Cool… Du coup, je peux rentrer chez moi ?
Ben, oui… Le BDE organise un apéro ce soir à 19h00.
BDE ?
Bureau des élèves. Si tu viens, je t’offrirai un verre.
Ok.
A peine arrivée dans mon petit studio de cette résidence étudiante, je me suis déshabillée et me suis jetée sous la douche. Sous l’eau, mes mains parcouraient mon corps, mon esprit imaginait des scénarios très cochons en prenant comme base ce qu’il s’était passé peu de temps avant.
Puis je me suis préparée pour le soir, mettant une mini-jupe et un débardeur, l’esprit pas totalement calmée de mes émotions. Tout le monde semblait être déjà présent depuis un moment, certains avaient visiblement trop bus. Ca discutait, je sentais que j’avais peut-être loupé quelque chose, je ne connaissais personne.
On me tapota sur l’épaule, le mec qui m’avait donné le laisser-passer. Il me dit
C’est cool que tu sois venue. Ca va mieux ?
On dirait que je suis en retard.
Ben, ça a commencé plus tôt que prévu. Tu bois quelque chose ?
Ok.
Tu veux quoi ?
Je ne sais pas. Je n’ai pas trop l’habitude de boire de l’alcool.
Ok, ne bouge pas de là.
Le mec traversa la masse humaine. J’observais le comportement des autres. On reconnaissait facilement les premières années, ma promo, plus sage que les autres. Des anciens se lâchaient totalement : des mecs étaient torse nu, des couples se roulant des pèles devant tout le monde… Et l’autre revint avec un verre pour moi. J’ai bu une gorgée…
La vache, c’est fort.
Ha bon ?
Il prit mon verre et y goûta avant de dire : "non ça va. Tu veux gouter le mien ?". Ce n’était pas la peine, l’odeur d’alcool qui en sortait ne faisait aucun doute sur la dose que son gobelet en contenait. Je repris une gorgée du mien et lui demanda
Tu t’appelles comment ?
Thomas… Je suis en deuxième année. T’as un copain ?
Au moins t’es directe.
Oui, pardon, je devrai réfléchir avant de parler… C’était pour ouvrir la conversation.
Je bus une nouvelle gorgée. Je sentais déjà l’effet de l’alcool, j’avais chaud aux joues.
Thomas, lorsque je suis venue aux portes ouvertes, je n’ai pas eu le temps de visiter… Et c’est plutôt un labyrinthe ici. Ca te dérange si tu…
Ok, pas de problème. Je suis ton guide.
On s’éloigna des autres, il commença la visite… J’avais chaud, j’avais la tête qui tournait un peu, nous étions seuls… Je tentais de me contrôler… Repensais à la promesse que j’avais faite à mon père "promis, je serais super sage, je ne coucherai pas avec le premier venu, je n’allumerai pas…".
Il y a quoi en haut de ces escaliers ?
Des salles de cour.
J’ai commencé à monter, me déhanchant au passage. Il me rattrapa en me disant
Il ne vaut mieux pas que je reste derrière… Je ne voudrai pas que tu me surprennes à regarder sous ta jupe et que tu me prennes pour un pervers dès le premier jour.
C’est-ce que tu as fait ?
Heu… Non… Juste vu un petit peu, presque rien.
J’ai encore les fesses rouges ?
Heu Je n’ai pas vu jusque-là J’ai juste aperçu le haut de tes cuisses.
Ha ok. Tant mieux, je ne porte rien sous ma jupe.
Heu Ha ? Vraiment ?
Je lui ai souri, je vis une bosse gonfler dans son pantalon Pardon papa, je ne tiendrai pas ma promesse… Mes mains glissèrent sous ma jupe et firent tomber mon string jusqu’à mes pieds. Je me suis accroupie pour le récupérer tout en regardant Thomas droit dans les yeux. Puis, je me suis approchée de lui jusqu’à ce que ma poitrine touche son torse, glissant mon sous-vêtement dans la poche de son pantalon, et lui ai dit « Oui, vraiment ». A cela, j’ai ajouté
Et toi, t’as une copine ?
Pas depuis quelques temps.
Ha ?… On continue la visite ? Il y a quoi au deuxième étage ?
Les salles informatiques.
J’ai commencé à avancer, à monter les marches, relevant ma jupe jusqu’à libérer entièrement mes fesses. Cette fois, il ne me rejoignit pas, il restait bien derrière, concentré par ce que je lui montrais.
Les salles étaient verrouillées, mais pas les toilettes. Ce fut assez rapide, mais bien agréable tout de même. Une chose est certaine, je lui ai fait beaucoup d’effets, il resta bien prêt de moi durant tout le reste de la soirée, ainsi que les jours suivants. Il devint ma première relation sérieuse. Il devint le seul avec qui je couchais C’était plus par principe que par envie, mais je ne l’ai jamais trompé.