Je me dirige, sous l’impulsion d’une bonne fessée, vers la cuisine afin d’assouvir la soif de houblon de mes deux mâles. J’en profite pour mettre des pizzas au four. Je reviens vers le salon avec les trois bières décapsulées qui seront très vite suivies par d’autres… Au fur et à mesure que les minutes et les bières passent, l’alcool commence à monter dans les cerveaux. Nous rigolons beaucoup sur tout et n’importe quoi et nous commençons à nous dandiner sur la musique techno crachée par les grosses enceintes du salon malgré les accès d’euphorie je veille à garder une posture impeccable. Jambes toujours croisées ou au moins serrées, le dos bien droit tout en n’oubliant pas de creuser mes reins quand je me penche sur la table. Enivré par le houblon, je gagne en confiance en moi, j’adopte un comportement complémentent différent de celui du début de soirée à l’encontre de Guillaume. Mes regards envers lui sont de plus en plus coquins et assumés, je veille à mettre le maximum sensualiste dans chacun de mes gestes.

Cela semble marcher. Du moins Guillaume m’adresse enfin la parole, nous parlons musique métal que nous aimons tous les deux et il rigole même avec moi en me racontant plein d’anecdotes sur Romain. De même, je le sens de plus en plus captivé par mon physique et ma tenue :

— C’est très sexy ce que tu portes Nina, j’adore tes chaussures

6Contente que ça te plaise, mais je n’en douter pas au vu des quelques photos sexy disséminées au travers des posters de ta chambre. Lui dis-je.

— Oui… Oui c’est vrai que j’aime bien les meufs Emo ou gothique. Répond-il un peu gêné.

Je le regarde langoureusement, fais glisser lentement ma main à l’intérieur de sa cuisse. Il se crispe un peu. Je continue lentement mon chemin vers sa braguette. Il me laisse faire. Ma main atteint sa braguette, je peux sentir un début dérection, le désir commence monter en moi, tout comme l’alcool qui me désinhibe de plus en plus :

— J’espère, alors, être à la hauteur de tes fantasmes. Lui dis-je avec une voix chaude les yeux dans les yeux.

Je retire lentement ma main de son entrejambe, la faisant glisser le long de sa cuisse. Je me lève et, dans la continuité du mouvement, remonte avec mon doigt la courbe de mon cul et de mes hanches. Je passe devant guillaume, en tendant légèrement mon séant vers lui, toujours assis, afin qu’il soit une bonne vue sur ce qui pourrait lui appartenir toute la soirée.

— Hep là ! T’as pas eu ta fessée avant d’aller à la cuisine vilaine. Lança Romain.

— Il est vrai maître

Je n’ai même pas le temps de tendre mon cul vers mon maître pour recevoir ma punition que Guillaume vole la priorité à Romain et vient flanquer sur mon boule.

— C’est ça que je veux voir, laisse sortir la bête qui est en toi cousin ! Hahaha tape m’en cinq cousin. Vociféra Romain déjà bien entamé.

Surprise, mais aussi motivée par ce qui vient de se passer, je rentre à la cuisine en me déhanchant au son de la musique. Je prépare les pizzas et retourne au salon.

— Regarde ce que j’ai trouvé pour toi, ça irait à merveille avec ton collier et collerait parfaitement à ce que tu es. Jubila Romain, qui se trouvait à l’entrée de la maison la laisse en cuir du chien de Guillaume à la main. Je dépose les pizzas sur la table basse et me dirige vers Romain qui accroche le mousqueton de la laisse à mon collier.

— Hmmm comme ça j’ai une bonne prise ferme pour te diriger où je veux.

Il tira sur la laisse pour me ramener dans le salon

— Maintenant, danse pour mon cousin, montre-lui comment tu bouges ce cul de salope

Il me tire jusqu’à Guillaume, assis sur le canapé. Je commence à me déhancher devant Guillaume. Je parcours mon corps avec mes mains, tout en regardant d’un regard de feu Guillaume qui ne semble plus effrayé par moi. Je m’assois sur lui et commence à masser son entrejambe avec mon cul, je gémis exagérément afin d’exciter encore plus Guillaume qui commence une de ses mains dans mon dos jusque dans mes cheveux. La deuxième vient malaxer le semblant de poitrine formé par mon soutien-gorge. Je sens qu’il commence à se lâcher un peu plus. Je me relève, toujours dos à lui, pour le guide vers d’autres contrées plus charnues de mon anatomie. Ni une ni deux il se saisit de mes deux fesses à pleines mains pour les malaxer, les fesser et les faire rebondir à sa guise avant de lâcher à Romain :

— C’est vrai que c’est une chienne sacrément bien foutue que tu nous as dégotée là Romain

— Et encore dans mes souvenirs les chiennes marchent à quatre pattes.

Romain tira sur la laisse, m’enlevant à Guillaume. D’un mouvement vertical, je me retrouve forcé à me mettre à quatre pattes.

— Maintenant tu vas montrer ton vrai talent à Guillaume, histoire de finir de le convaincre de s’occuper de toi aussi. Ordonna Romain en sortant sa bite déjà bien dure.

— À vos ordres maîtres !

— Tu sais pourquoi le qualificatif de chienne lui va si bien ? Demanda Romain à Guillaume.

— Non, mais tu vas me le dire, ou le montrer plutôt hahaha. Répondit Guillaume

— C’est parce qu’une fois que tu lui as donné son os…

Romain frappe mon visage avec sa queue gonflée

-…-… Tu peux lui demander tout ce que tu voudras. Car c’est ce à quoi tu sers, non, petite chienne ?

— Je suis né dans l’unique but de satisfaire tous les désirs des vrais hommes, être un seau à sperme pour mâle alpha Maître !

— C’est bien petite chienne. Il frotte son gros gland sur mon visage de nympho en manque. Malgré l’envie j’attends son ordre pour gober sa trique dominatrice ; puis il arrête son manège et s’adresse de nouveau à Guillaume.

— T’as vu ? Comme une vraie chienne de cirque, elle attend l’ordre avant de gober l’os.

Romain agite sa queue à quelques centimètres de ma bouche salivante d’envie. Je le regarde dans les yeux, le suppliant du regard. Il maintient la distance en me tenant fermement les cheveux. Futile garde, car j’attendrais les ordres comme une salope bien élevée. Jusqu’à ce qu’enfin, il me délivre de l’envie en pénétrant ma bouche avec son chibre qu’il vient faire racler contre l’intérieur de ma joue. Je lâche des gémissements de soulagement en regardant Guillaume qui est captivé par ce qu’il voit ; sans lâcher ma chevelure, Romain remet son engin dans l’axe de ma gorge. Il lâche mes cheveux et m’ordonne de lui lustrer la bite avec ma bouche de salope. Je m’exécute. Je lui lèche les couilles, le gland et m’affaire à grand coup de va-et-vient gluant le long de sa tige le tout dans une frénésie qui impressionne Guillaume. Mais je remarque qu’une de ses mains a glissé sous son pantalon, peut être aurais-je bientôt le plaisir d’avoir une bite dans chaque main… Romain reprend le contrôle, il sonde du bout de sa queue turgescente les méandres de ma gorge.

La salive accumulée produit de grands bruits de succion ultras excitant pour moi. Mais pas que, en effet Guillaume se lève et défait sa ceinture tout en se dirigeant vers nous

— Regarde petite chienne, il semble que tu as fait effet. Je te la laisse cousin ?

Il ne répond rien et finis juste de déballer son paquet. Quoique physiquement peu attirant Guillaume peut se targuer d’avoir une verge plus que convenable. Je suis tout émoustillé à la vue de cette bite. D’une longueur d’à peu près 17 cm. Elle surpasse celle de Romain en longueur, mais pas en largeur. Il possède ainsi une jolie longue et fine, sans être un cure-dent, bite agrémenté d’un gland rose allongé. Je me saisis de son engin avec ma main libre ; j’ai l’impression d’être sur un nuage, je ferme les yeux et apprécie la sensation chaude de ses deux verges que je parcours de mes mains frêles. Je descends de mon nuage et repends mon devoir de salope. Je commence par lentement faire de petits va et viens avec ma bouche sur le gland de Guillaume pour ne pas trop le brusquer. Il laisse s’échapper de lourds râles de satisfaction à mesure que ma langue vient frotter son gland. Je continue de branler Romain de mon autre main. Je décide d’explorer plus en longueur cette nouvelle trique dominante.

Je remplis ma bouche de suceuse avec sa tige ; sa longueur me permet de continuer de branler le bas de sa bite avec ma main :

— Tu kiffes mon salaud ? Lança Romain.

— Grave, merci Romain t’est le meilleur

— Mets-toi à l’aise dans sa bouche. Crois-moi le meilleur c’est pas la langue le dedans, mais sa gorge toute serrée.

Guillaume suit son conseil et m’attrape par les cheveux afin d’avoir une bonne prise. Je place ma tête en bonne position et ouvre grand la bouche pour y laisser rentrer l’engin de Guillaume. Il est plus facile à gober que celui de Romain, c’est donc facilement que la bite de Guillaume commence à pénétrer les premiers centimètres de ma gorge :

— Rhaaa j’avoue c’est cool

— Maintenant, baise-lui la bouche comme si c’était une chatte

Guillaume suivit son conseil et entama de petits va-et-vient dans ma gorge… La salive commence à couler des commissures de mes lèvres, les allers et retours se font plus fluides et plus assurés. J’expire des gémissements, étouffés par le mur de salive s’échappant de ma bouche et dégoulinant sur mes cuisses.

— Oh putain que j’aime te voir dans cet état ma p’tite salope. Branle-moi pendant que je le regarde user de ta bouche comme une vulgaire chatte de putain. !

J’attrape la grosse bite de Romain pour lui donner ce qu’il veut et astique frénétiquement sa verge aux veines gonflées à bloc.

— Rhaaa salope, j’ai envie de te la faire bouffer jusqu’aux couilles. Lança Guillaume en se retirant de ma gorge pour venir frapper, de sa matraque, ma gueule couverte de filaments de salives qui viennent se déposer à chaque coup de boutoir de la verge de Guillaume tout en avec la salive dans ma bouche, le regardant torridement dans les yeux.

— Te gêne pas, elle en est largement capable. Regarde c’est pas compliqué. Tu lui tiens la tête de façon à ce que l’angle entre sa gorge et sa petite bouche de pute soit le plus plat.

Il tira sur la laisse afin que je sois toujours à genou, mais un peu plus penché vers l’avant. Puis il saisit ma chevelure brune et vient planter d’un geste assuré sa bite dans ma gorge jusqu’à que ses couilles viennent se coller à mon menton. Il expulse un lourd râle viril puis dit :

— Et là tu restes dans cette position. Et tu attends, jusqu’à ce que les larmes viennent faire briller ces yeux de salope soumise, pour enfin te retirer et lui laisser quelques secondes de répit…

En effet je sentais les larmes couler sur mes joues alors que l’air commence à me manquer. Romain se retire, je reprends ma respiration, expulsant des filets de salive à chaque fois que je tousse.

-… Regarde si elle n’est pas mignonne avec ses yeux de panda. Sois-tu fait ça deux ou trois fois de plus soit tu peux lui baiser la gorge de tout ton long chibre.

Romain fit trois va-et-vient, pour la démonstration, je suppose, avant de me rendre à Guillaume qui, ni une ni deux, reproduit les gestes de son cousin. Il le loge toute sa bite en un seul coup dans ma gorge sans sy attarder. Il choisit de directement me baiser la gorge. Faisant entrer et sortir entièrement sa bite de ma gorge, me laissant le temps de prendre des petites inspirations et de maintenir la cadence. Subitement, il accélère le rythme et s’affaire à faire aller et venir son gland à l’entrée de sa gorge. Je sens ses jambes qui commencent à tressaillir, il va bientôt littéralement me gaver comme un canard avec sa semence divine. Je sens un premier jet qui vient remplir ma gorge, le deuxième vient faire déborder ma bouche de sperme guillaume décidé de se retirer et m’envoie les trois derniers jets de foutre sur ma gueule et ma langue déjà fortement souillée. Il laisse s’échapper un grand râle, teinté d’une grosse note de soulagement.

— Merci petite pute, même si j’aurais bien continué plus longtemps. Soupira-t-il en tapotant sa bite remplie de sperme sur mon visage qu’il n’était pas en reste non plus. J’avale ce qui l’en reste afin de pouvoir nettoyer cette grande et belle verge pâle.

— T’inquiète, ça viendra avec le temps. En parlant de temps, il va bientôt falloir aller voir Axel non,

— Ouais t’inquiète, il est dans un bar pas loin sur la grande place et il est juste 22h

— Très bien, ça me laisse donc le temps de venir donner une deuxième fournée de friandises à notre petite chienne.

— Ne te gêne pas, je vais me changer pendant ce temps

J’avale la bite de Romain et le laisse aller et venir, je ferme les yeux pour apprécier pleinement le moment. Les gouttes de sperme ruisselant sur mon vissage, la poigne ferme de Romain maintenant mes cheveux, ses couilles frappantes sur le bas de ma bouche et cette sensation plaisante de dégradation, là le visage plein de foutre en train d’avaler une bite en entière sans sourciller, laissant loin derrière le temps où j’osais à peine me branler en pensant à d’autre bite que la mienne.

— Regarde-moi dans les yeux petite pute. M’ordonna-t-il par une petite gifle sèche. Je veux voir ton regard de chienne entouré de foutre me supplier pour que je remplisse ta sale bouche avec mon sperme. Regarde-toi, couverte du foutre de mon cousin en train d’avaler ma bite !

Je ne peux lui répondre que par des gémissements aigus jusqu’à qu’ils soient totalement étouffés par le sperme de Romain se déversant sur ma langue :

— Aaaaaahhh putain c’est bon ! Va à la salle de bain : nettoie-toi, maquille-toi bien et surtout ne traîne pas. Et surtout… Interdiction de changer de vêtements. On n’est pas chez nous alors tu n’as aucune excuse pour ne pas sortir habiller sous ton vrai jour de salope.

— Oui maître

Tout en me lavant le visage, je réfléchis à propos de ce nouveau défi. Mais étant déjà pas mal bourré et surtout très excité par le devenir de cette soirée, je n’éprouve aucune crainte à l’idée de me rendre dans un endroit bondé habillé comme ça. Romain a raison, on n’est pas chez nous et puis j’ai envie de tromper le regard de tous ces mâles chauds, attablés en terrasse, avec mes courbes androgynes… Je refais mon maquillage, nettoie les gouttes de foutre et de salive sur mon collant et je rejoins les garçons dans l’entrée…

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