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Isabelle, grosse et petite mais belle – Chapitre 25




Quand son père arrive, elle continue à me donner la « becquée ».

— Voilà mon chiant de père. 

Il me sourit, et se présente. Il s’appelle Robert, Bob pour les intimes. Il s’assied avec nous, entre sa fille et moi. 

— Alors mon garçon, on a flashé sur ma fille ?

— Non, oui, euh, c’est-à-dire que…

— Non, papa, c’est moi qui ai flashé sur lui et c’est marraine qui m’a emmené rencontré ce bel homme.

— Tu as bon goût et excellent choix, dit-il en regardant ma queue.

— Tu peux nous laisser tranquille ? Aller, s’te plaît !

— Bon, je bois un verre avec vous et je vous promets de vous laisser tranquille.

Il boit son verre quand Isa arrive.

— Bonsoir, c’est vous Bob ?

— Oui ma chère, que me vaut l’honneur ?

— J’ai tiré votre nom au sort, mon chère. Lui répond-elle en lui souriant.

Il la dévisage et semble ravit. Il commence à bander, on en serait à moins au vu de la tenue d’Isa. Il se lève, la prend par les hanches et ils s’éloignent tout en discutant. Je questionne Salam sur ses rapports avec son père. Sa réponse est sans ambiguïté, elle n’a pas de rapport avec lui. Ils sortent ensemble très souvent, ramènent des filles et des garçons chez eux mais ça s’arrête là. Quant à sa présence ici, c’est elle qui a entraîné son père dans ce genre de réunion trois ans après le décès de sa mère. Au début, il n’osait pas trop. C’est sa sur (Nat) qui nous a invités à une petite sauterie. Il est venu, a aimé et voilà.

— Ça ne te dérange pas de voir ton père faire l’amour à des femmes devant toi ?

— Non, il ne fait pas l’amour, il tronche comme il dit. Je veux son bonheur et il le trouve ainsi.

J’admire le corps de cette fille. Ses seins ni trop gros ni trop petits avec de grosses auréoles et des petits tétons. Ses hanches, son cul, ses longs cheveux noirs qui sont lissés. Son sexe glabre avec un petit V indiquant le chemin à suivre. Ses mains, petites et impeccablement manucurées. Sa bouche aux lèvres pulpeuses sans être trop grosse. Son sourire d’un blanc capable de vous aveugler. Mais ce sont ses yeux. Ils sont d’un bleu profond, ils brillent comme des diamants. Elle est le portrait incarné de la reine qui a rendu fou d’amour le roi Salomon.

Salam, reprend sa becquée et regarde ma queue. On se sourit puis sans échanger un mot, elle me gobe le gland. Son jeu de langue est efficace. Sa petite langue rose s’amuse sur mon champignon, mon méat et mon frein. Les deux mains posées sur mes cuisses, elle joue sensuellement à me les caresser. Je me penche légèrement en arrière en me posant sur mes coudes. Elle me regarde. Je me délecte de cette vision. Elle s’est assise face à moi, jambes écartées, me laissant une vue sur son petit minou rose pâle. Elle monte et descend sa langue sur toute la longueur de ma bite, me gobe les couilles au passage puis remonte vers le gland. Elle suce divinement bien. La douceur de ses gestes et impressionnante. Ensuite elle m’avale, d’un coup en ouvrant la bouche, jusqu’à la garde. Elle reste un petit moment dans cette position, puis remonte en m’aspirant. Elle entame de lents va-et-vient. Elle est attentive à mes réactions. Chaque descente et faite bouche ouverte. Chaque remontée est accompagnée d’un bruit de succion. 

— Ça te plaît ? Me demande t elle.

— Humm, divin…

Elle arrête sa douce torture. Je lui dis que ce n’est pas bien gentil d’abandonner un travail. Elle me répond que l’on a toute la nuit, que c’était une mise en bouche. Elle se lève et saisit nos deux verres vides.

— Une pipe au champagne, on t’a déjà fait ?

— Non mais je crois que je ne vais pas tarder à découvrir.

— Attends-toi à de nouvelles sensations.

Elle s’éloigne. Je regarde autour de moi. Ça discute, ça rigole et bien évidemment, ça baise. Je regarde Isa qui est installée de l’autre côté de la piscine. Elle est à califourchon sur son mâle du jour. Lui faisant face, je devine qu’elle caresse l’objet du désir. Ils sont en grande discussion. 

Salam passe près d’eux, se penche et embrasse Isa dans le cou.

Sa démarche est la plus sensuelle qu’il m’est été donnée de voir et sa cambrure magnifique. Pas besoin de porter des talons hauts, ses fesses et son galbe naturel en font qu’elle n’en a pas besoin. Elle me sourit, pose les verres sur la table et se rassied face à moi, écartant les jambes plus que de raison. Elle pose ses mains sur mes épaules et me tire à elle. On dit que les noires ont un parfum particulier, c’est vrai. Une odeur me vient aux narines. Senteur musquée et bestiale. Ma main droite part à l’aventure sur son pubis et descend lentement vers ce puits qui m’attire. Un doigt s’immisce dans ce four chaud et humide. Je le porte ensuite à mon nez puis à ma bouche. C’est fort, aphrodisiaque. Je la regarde. A-t-elle oublié le champagne, la pipe tant espérée ?

— J’ai envie de te sentir en moi. Allonge-toi au bord du transat, Encore, voilà comme cela.

J’ai le cul dans le vide. Elle se lève et vient au-dessus de moi me prenant ma verge en main. Elle descend lentement et met mon gland au contact de ses petites lèvres. Mon sexe est en ébullition. Elle se pénètre lentement en fermant les yeux. Je regarde mon phallus disparaître dans cet antre accueillant. C’est doux, chaud, humide et étroit à la fois.Elle est assise sur moi. Elle passe sa langue sur ses lèvres et rouvre les yeux.

— Humm, Qu’elle est bonne ta bite. Je sens que nous allons prendre notre pied. Vas- y, baise moi.

Je commence une descente de mon bassin. Pas très confortable ni pratique mais diablement excitant. Je ne peux retirer que la moitié de mon sexe, l’autre restant bien au chaud. Elle soupire. Elle pose ses mains sur mon torse et plante ses ongles dedans. Sans serrer, elle me martyrise les tétons. Elle se penche en avant.

— Oui, c’est bon, ta queue me remplit bien, HUMM, je la sens bien… AHHH… Doucement… va doucement… voilà… comme cela…

Je la tiens par les hanches. Mes mouvements sont courts mais pleins de puissance. Elle coule, elle m’inonde de son jus d’amour. Elle se triture les seins. Elle jouit.

— Oh, que c’est bon, OUI, OUI, OUI, ARGH…

Elle se calme, reprend sa respiration. Elle se lève et me demande de m’allonger complètement. Elle essaie de me chevaucher mais ça ne lui va pas. Elle prend un matelas et le jette par terre. Elle prend son verre et me tend le mien.

— Waouh, tu as une queue !!! Après tu t’allongeras là. Me dit-elle. Tu me fais mouiller grave… regarde…

Effectivement, elle a du jus d’amour qui lui coule le long des cuisses. Je m’allonge et sans quitter son verre elle vient au-dessus de ma bite tendue. Elle s’accroupie et elle me prend, de sa main libre, mon chibre qu’elle guide jusqu’à la porte de son puits. Elle pose son verre, s’appuie en arrière en posant les mains sur mes chevilles.Je peux voir mon gland englouti dans son fourreau. Sa chatte rose pâle me le mange. Elle commence à bouger. Comme une furie, elle monte et redescend dans des mouvements rapides et désordonnés. Ma bite est traitée comme un vulgaire gode. Elle se déchaîne comme une folle, elle est en transpiration. Je lui prends les fesses dans mes mains. Qu’elles sont douces et fermes. Elle s’active toujours avec autant de frénésie comme les catins sur le sexe de Priape (dieu grec de la fertilité). Elle se penche sur moi, m’embrasse, ou plutôt me mange la langue. Elle crie son plaisir sans aucune retenue et ce qui devait arriver arriva, j’inonde son réceptacle de mon jus. D’interminables jets de sperme viennent tapisser son utérus. Elle blottie son visage dans mon cou. 

— Putain trop bon… Me dit-elle. Vivement que l’on remette ça !

— Tu veux de la queue, tu vas en avoir…

— Oui, mais… Avant… Laisse-moi reprendre mon souffle, s’te plait. 

Elle se relève et c’est un bruit de succion qui se fait entendre. Elle éclate de rire.

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