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Vacances de Noël avec Malya – Chapitre 2




Chapitre 2 :

Le lendemain matin, après une bonne nuit de sommeil, je me réveille dans les alentours de onze heures du matin à cause des rayons du soleil venus m’aveugler. Je suis fort étonné d’ouvrir les yeux sur les cheveux de Malya à seulement quelques centimètres de mon visage. Mais ce n’est pas tout, Malya me tourne le dos et est bien plus proche de moi que la veille au soir lorsque nous nous sommes endormis. Elle est si proche que son dos touche mon ventre. Nous sommes en cuillère et ma jeune cousine me semble être en train de dormir paisiblement. Pour couronner le tout, Malya a, visiblement, attrapé mon bras et le tient contre elle, tout proche de sa poitrine que je peux sentir au bout de mes doigts. Si nous n’étions pas cousins, on pourrait croire que l’on forme un très beau couple ainsi disposés dans mon lit.

En me levant, j’essaie de débloquer mon bras sans réveiller ma belle. Cependant, cela n’est pas aussi simple que je le pensais. A peine ais-je bougé de quelques centimètres que Malya tire sur mon bras tout en gémissant doucement.

— Mmmmh reste, m’implore-t-elle sans même ouvrir les yeux.

— Euh Malya ?

— Mmmh ? Gémit-elle.

— Il est bientôt 11 heures, lui dis-je un peu gêné. En se réveillant et en tirant sur mon bras, Malya s’est encore rapprochée de moi, si bien que je sens ses fesses collées sur le bas de mon ventre. Mon érection matinale n’aidant pas, je trouve notre posture de plus en plus excitante et gênante.

Je finis par réussir à me dégager lentement alors que Malya continue de paresser dans le lit. Avant de sortir de ma chambre, je la regarde quelques instants. C’est fou ce qu’elle est sexy, à moitié endormie et arborant un sourire de bien-être terriblement provocateur. A ce moment là, je n’ai qu’une envie : retourner illico dans ce lit chaud et accueillant et serrer cette bombe dans mes bras. Mais je me résonne, cette fille des plus excitantes est ma cousine et je ne peux pas me permettre d’avoir de telles pensées.

— Qu’est-ce que tu regardes comme ça ? Me demande-t-elle d’une petite voix qui trahissait son amusement alors qu’elle s’étire lentement tout en dévoilant son corps peu à peu.

— R Rien bégayai-je avant de sortir à toute vitesse sans me retourner.

Je n’ai plus de doute, Malya essaie clairement de me séduire. Après le petit « incident » de ce matin, j’ai compris que ma cousine avait clairement envie de profiter de moi autant que de ces vacances.

Je me dirige immédiatement dans la cuisine pour préparer un petit déjeuner copieux à ma cousine et moi. Elle ne tarde pas à me rejoindre à la table. Tout comme moi, elle a préféré garder la même tenue que celle utilisée pendant la nuit. Je suis donc assis en caleçon face à ma cousine en nuisette presque transparente. Mon érection qui s’était calmée pendant la préparation du repas reviens aussitôt. Je m’en veux d’être aussi faible mentalement mais je n’y peux rien. Cette magnifique créature qu’est ma cousine est tout simplement irrésistible et elle le sait bien. Je dirais même qu’elle ne le sait que trop bien car elle n’hésite pas un seul instant à user de ses charmes.

— Pourquoi tu fais cette tête ? Me demande-t-elle en passant une main dans ses longs cheveux bruns.

— Que Quelle tête ?

— Tu me regardes bizarrement.

— Je ne vois pas de quoi tu parles, esquivai-je en me réfugiant dans mon bol de céréales.

Malya rit de bon cur à cause de ma réaction ridicule qui en dit long sur la situation. Je ne sais vraiment pas comment réagir avec elle, Malya semble maîtriser la situation alors qu’elle m’échappe complètement. Je suis chez moi et elle est mon invitée mais pourtant cela semble être l’inverse tellement je suis mal à l’aise depuis qu’elle est arrivée.

Durant tout le petit déjeuner, Malya me fixe dans les yeux sans jamais quitter son sourire narquois comme si elle avait manigancé un plan machiavélique et qu’elle voyait que tout se passait comme prévu.

— Tes parents ne sont pas présents ?

— Non, ils ne sont pas à la maison la plupart du temps, lui répondis-je. Même si c’est les vacances pour nous, ce n’est pas le cas pour eux. Tu ne les verras que le soir pendant ton séjour chez nous normalement.

— Ça veut dire que l’on sera seuls tous les jours ? Me demande-t-elle malicieusement. Je ne réponds pas, je n’ai pas besoin de le faire. Malya connais déjà la réponse grâce à mon regard fuyant et mes joues rosies par la gêne. C’est d’ailleurs ce qui manque à ma cousine, elle ne se prive pas à jeter quelques regards obliques sous la table pour constater les effets qu’elle produit sur moi. Bien que je croise le plus mes jambes possibles, je n’arrive pas à cacher mon érection douloureuse qui n’a plus aucun lien avec la routine matinale. A vrai dire, si Malya n’était pas ma cousine, cela ferait bien longtemps que je l’aurait attrapée et retournée sur la table pour lui faire comprendre le désir qu’elle fait monter en moi. Juste après un nouveau regard indiscret vers mon entre-jambe, Malya me semble étonnée mais son expression revient rapidement à son sourire charmeur et malicieux. Elle me dit :

— Dis-moi, est-ce le matin ou ta cousine en nuisette la cause de la bosse dans ton caleçon ?

Étonné par l’absence totale de subtilité, je ne sais absolument pas quoi répondre. Encore une fois, je n’ai pas besoin de le faire car Malya connaît déjà la réponse. Sans me laisser le temps de m’éclipser ou même de réagir, Malya glisse sa main sous la table et sous mon caleçon. Au moins, ses intentions sont claires pour nous deux et je n’ai plus aucun doute possible. Ma cousine n’hésite pas le moins du monde et semble savoir ce qu’elle fait. Hypnotisé, j’ai beaucoup de mal à m’opposer à sa folie :

— Mais qu’est-ce que tu Non Arrête, on ne peut pas faire ça.

— Faire quoi ? Me nargue-t-elle en prenant mon sexe tendu entre ses doigts accueillants. On ne fait rien de mal.

En disant cela, la coquine commençait une lente et cruelle masturbation qui détruit peu à peu mes dernières défenses morales.

— Tu Tu dois arrêter

— Tu en est sûr ? Murmure-t-elle alors que sa main gauche jusque là inoccupée vient faire tomber l’une des bretelles de sa fine nuisette. Ce mouvement délibéré dévoile peu à peu son corps déjà fort exposé. Son sein droit apparaît lentement tandis que sa main, toujours sous la table, ne cesse les allers et retours sur ma verge gonflée. Malya passe gracieusement d’un coté à l’autre de la table sans pour autant arrêter son petit manège caché. Elle se rapproche le plus possible de moi, à tel point que sa poitrine à moitié dévoilée viens se coller à mon bras.

— On est cousins, c’est mal

-Ça m’a plutôt l’air de te faire du bien, me susurre Malya dans l’oreille avant de me mordiller le lobe.

Cette salope maîtrise totalement ce qu’elle fait, elle contrôle la situation et elle me contrôle par la même occasion. Toutes mes barrières se sont effondrées, ma morale s’est évaporée et ma volonté a été absorbée par cette charmante créature aux doigts magiques. Malgré tout, je tente une dernière défense désespérée:

— C’est C’est

— Ose me dire que tu n’apprécie pas ce que je te fais, chuchote-t-elle alors qu’elle prend l’une de mes mains pour la diriger vers sa magnifique poitrine.

— Fais-toi plaisir, ajoute ma cousine qui frémit déjà sous mes doigts.

Dans un état second, je caresse ces seins tout simplement sublimes. Comme je m’y attendais, ils sont juste assez gros pour être emprisonnés dans la paume de ma main. Je sens les tétons de ma belle durcir sous l’excitation de nos caresses mutuelles. Ce petit manège qui dure depuis plusieurs minutes déjà ne tarde pas avoir raison de moi. Ma cousine, visiblement très attentive à la moindre de mes réactions, accélère le rythme de ses va-et-vient sur ma verge prête à éclater. Pour m’accompagner dans ma jouissance, Malya presse ma main sur son sein et se jette sur mes lèvres. C’en est trop, le contact de ses lèvres chaudes et douces me font éclater entre ses doigts. Je suis pris de convulsions et je suis incapable de me retenir. Pendant plusieurs longues secondes, je me vide jet après jet dans la main de Malya. L’excitation maximale de l’instant présent ne me permet aucun contrôle et cela semble plaire à ma cousine qui reçoit mon jus avec joie sur son ventre, son bras et sa main.

Lorsque Malya décide de ralentir enfin, j’ai la tête qui tourne et je ne sais plus vraiment où je suis. Elle me souris toujours, les yeux étincelants de bonheur et d’excitation. Elle regarde sa main droite quelques instants avant de lécher goulûment les restes de mon jus. Je n’en crois pas mes yeux.

— Mmmmh voilà ce que j’appelle un bon petit déjeuner, cousin !

Note de l’auteur : Voilà le chapitre 2 ! Je suis ravi de voir que la première partie a été très bien reçue et je suis content de pouvoir vous présenter celle-ci sans trop de délais. Comme vos commentaires l’ont fait remarquer, le premier chapitre semble montrer que les deux personnages vont coucher très vite ensemble. Certains trouvent cela trop rapide et bien que leur relation accélère dans cette nouvelle partie, ne vous en faites pas ! Notre cher Antoine est bien décidé à résister à sa cousine, encore un temps du moins ! 

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