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Baby-sitting – Chapitre 2




2

Ghislaine rentra à 23H30. Elle était toujours aussi belle, et en la regardant, je pensai "Cette femme est un vrai canon. Le pied, c’est qu’elle a les mêmes mensurations que moi, je peux porter ses vêtements, mettre ses chaussures; elle n’en sait rien bien sûr, mais je le peux, et en plus, je l’ai fait, waow!".

— Comment s’est passée la soirée, Florian a été sage, il n’a pas fait trop de comédie?

— Absolument pas, il a à peine rechigné à aller au lit, non, non, il ne m’a posé aucun problème. Il dort comme une souche depuis plus de trois heures.

— Bien, tant mieux… Donc vous ne garderez pas un trop mauvais souvenir de cette expérience. Si je ressortais un autre soir, vous accepteriez de revenir?

Elle marqua un court instant de silence, puis ajouta avant que je n’aie le temps de répondre :

— Vous voulez prendre un dernier café, je n’ai pas envie de me coucher tout de suite? Remarquez, vous devez être crevé, vous. Excusez-moi.

— Non, non, je vous en prie, ça va. J’accepte votre café avec plaisir. Et oui, bien sûr que j’accepterais de revenir. Si ça vous peut rendre service

Elle avait posé le long manteau gris sur un portant à coté du canapé. Pendant qu’elle se rendait dans la cuisine pour préparer le café, je ne pus résister à la tentation de l’enfiler, juste pour quelques secondes. Je frottais mon visage contre le col, autant pour en sentir la douceur que pour renifler le parfum de la jeune femme mêlé à la senteur du cuir. Elle revint bientôt et s’assit à coté de moi. Je répondis à ses questions sur mon parcours professionnel et ma reprise d’études.

— Ah, vous êtes dans l’informatique! Ben, justement, depuis quinze jours, j’ai des problèmes avec mon micro, vous pourriez m’aider? Pas ce soir, bien sûr, mais un autre jour? Vous pourriez? Evidemment, je vous dédommagerais!

Je lui répondis que je ne lui garantissais pas de réussir, mais que cela ne me dérangeait pas d’essayer.

— Par contre, pas question que vous me payiez pour ça. Je me contenterai d’un sourire! Ecoutez, demain soir, je ne peux pas, mais si vous voulez, vendredi, je termine les cours à la fac à 17H30.

— Moi, je termine à 17 heures le vendredi.

— Bien, alors disons vers 18 heures chez vous, ça va?

— Ca va pour l’heure, mais ça me gêne pour l’argent.

— Pas moi.

Elle me régla "les frais de garde" en y incluant même la demi-heure passée à boire le café et je rentrai chez moi, repensant à cette soirée extraordinaire au sens étymologique du mot! J’étais ravi à l’idée de retourner chez elle, en fait, j’aurais fait n’importe quoi pour la revoir.

Seul dans mon lit, j’essayai de trouver quel prétexte me permettrait de mettre à nouveau ses vêtements.

Le vendredi, je me présentai à l’heure dite avec deux disquettes dans une main et un bouquet dans l’autre. Sa surprise provoqua une réaction aussi spontanée qu’inattendue : elle me fit la bise en disant "C’est trop gentil, merci beaucoup, mais vous n’auriez pas dû!". Je n’osai pas lui répondre que le contact de sa joue sur la mienne valait largement quelques fleurs! Elle s’effaça pour me laisser entrer et me demanda si je préférais boire un café ou un apéritif. "Comme vous" lui répondis-je en pénétrant dans le salon. Pendant que j’allumai l’ordinateur, elle revint avec deux verres et des amuse-gueule posés sur un plateau. Elle portait les boots noirs, ceux qui avaient le moins de talons. Elle était vêtue de son jean en cuir et d’un pull rose très court qui laissait voir son nombril. Le pantalon la moulait, soulignant ses hanches et mettant en valeur ce qu’il est convenu d’appeler "un cul de reine"!

Elle vint s’asseoir à mes cotés devant le micro. Pendant qu’elle exécutait devant moi la manipulation qui provoquait le plantage, je réussis à effleurer un court instant son genou. J’avais un mal de chien à me concentrer pour analyser le problème, j’avais envie de la prendre dans mes bras, de caresser tout son corps. Heureusement pour moi, il s’agissait d’un problème à la fois mineur et connu, et je pus le corriger rapidement à l’aide d’une des disquettes.

— C’est sûr que globalement, il marchait quand même, mais ça plante toujours au mauvais moment ces engins là! Vraiment, je ne sais pas comment vous remercier!

— Ecoutez, il y aurait bien quelque chose, mais je ne sais pas si je peux

— Je vous en prie, dites.

— Et bien, voilà, vous me refaites la bise et on est quitte! D’accord?

— D’accord.

Elle sourit et se pencha vers moi. Elle ne me fit pas une bise "à la sauvette", non, elle posa délicatement ses lèvres sur mes joues à quatre reprises.

Tout en sirotant nos verres, nous parlâmes de choses et d’autres. Elle m’expliqua qu’elle était divorcée depuis un an, qu’elle travaillait dans une maison d’édition, mais qu’elle avait parfois du mal à concilier ses exigences professionnelles avec son "job de maman".

C’est à ce moment que le téléphone se mit à sonner. Elle décrocha le combiné et son visage s’éclaira lorsqu’elle reconnut son interlocuteur. Puis je la vis se renfrogner en répondant :

— Ce soir? Merde! Non, je suis désolée, ce n’est pas possible

— Tu sais, avec mon fils, je ne peux pas me libérer comme ça.

— Mais non, c’est pas de la mauvaise volonté, mais comment veux-tu que je trouve une baby-sitter comme ça, au pied levé. Et en plus, dans une heure!

— Et bien, tu l’annules la réservation, qu’est-ce que tu veux que je te dise.

Attends. Ne quittes pas, une seconde, s’il te plait.

Ce changement de ton soudain était dû au fait que depuis sa dernière réplique, je lui faisais de grands signes. Elle mit la main devant le micro du combiné et je lui dis :

— Je ne voudrais pas que vous puissiez croire que je me mêle de ce qui ne me regarde pas, mais si ça peut vous rendre service, je peux garder Florian. Je vous jure que je n’avais rien prévu de spécial ce soir.

— Non, je ne peux pas vous demander ça, c’est pas possible. Pas, comme ça, "à l’arrache" !

— Je vous promets que ça ne me dérange absolument pas. Si vous voulez sortir, allez-y.

Elle reprit le combiné et dit

— Je peux te rappeler dans cinq minutes?

— OK, donne-moi ton numéro.

— Cinq minutes. Merci. A tout de suite.

Elle raccrocha et se tourna vers moi :

— Vous êtes sérieux?

— Ecoutez, vous venez de me dire que vous sortiez trop rarement à votre goût parce que ce n’est pas toujours facile de faire garder son enfant. On s’est plutôt bien entendu lui et moi l’autre soir, je vous trouve très sympa, et je vous répète que moi, je n’avais rien de prévu.

— Mais cette soirée risque de se terminer tard, peut-être deux heures ou trois heures du matin! Et puis je n’ai même pas de quoi vous faire à manger, j’avais prévu de commander une pizza pour Florian et moi ce soir!

— Et bien, vous commandez la pizza pour Florian et Sam, c’est tout. Je ne vois pas quel est le problème!

— Bon, j’accepte, mais à une seule condition : je vous offre la pizza et je considère que votre séance de baby-sitting a commencé à 18 heures. C’est à prendre ou à laisser!

— Daccord, je prends

Elle avait fini par se rendre à mes arguments. J’avais fait le maximum pour la convaincre, et j’avais réussi! Mieux, elle m’avait fourni elle-même le prétexte que je cherchais pour me retrouver à nouveau seul chez elle!

Elle rappela son mystérieux correspondant et lui fixa rendez-vous au restaurant pour une heure plus tard. Elle appela ensuite pour se faire livrer une pizza, puis me dit :

— Je ne sais même pas quoi me mettre. Ah! Je déteste me préparer en quatrième vitesse comme ça. Merde! Euh, pardon zut! Je n’aurai pas du accepter.

— Si je peux me permettre, vous êtes parfaite comme ça; le cuir et la fourrure, pour moi, c’est le top de l’élégance pour une femme.

— Pour ça, je suis d’accord avec vous. Personnellement ce sont des matières que j’adore. Mais je veux porter une jupe. Alors, voyons voir ce que nous avons, vous me direz ce que vous en pensez, OK?

Sur son invitation, je la suivis dans la lingerie. Elle ouvrit la porte de la penderie et me demanda mon avis en sortant la jupe longue en cuir blanc et un chemisier en soie noire.

"Stop ! Ne cherchez pas plus, je pense que vous serez absolument superbe, je ne sais pas quoi dire d’autre. Et ce n’est pas de la flatterie" ajoutai-je en lui faisant un clin d’il malicieux.

— Allez, c’est vendu. Je vous laisse vous occuper de Florian, je prends une douche et je file.

Elle nous retrouva vingt minutes plus tard attablés devant la pizza. La jupe semblait vouloir s’enrouler autour d’elle chaque fois qu’elle se tournait pour se montrer sous tous les angles! Elle constituait un ensemble avec un spencer en cuir blanc qui faisait plus encore ressortir les courbes de ses hanches et de son fessier. Elle avait aux pieds ses bottes bleues. Cette femme était vraiment définitivement canon! Je jalousai un instant l’inconnu qui aurait le plaisir de passer cette soirée avec elle, mais me consolai en pensant qu’à défaut de la tenir dans mes bras, moi, je passerai quelques heures dans ses vêtements!

"Vous êtes superbe" lui dis-je en insistant sur le présent du verbe être. J’ajoutai en souriant :

— Et ce n’est toujours pas de la flatterie, mais juste une constatation.

— Merci, c’est gentil. Tenez, je vous redonne le numéro du portable, on ne sait jamais.

Elle enfila le maxi manteau de fourrure qu’elle avait déposé dans le salon et, la main sur la poignée de la porte, elle ajouta :

— Je pense rentrer vers deux heures, deux heures et demie, ça ira?

— Je vous le promets. Tout ira bien, ne vous occupez pas de l’heure et profitez de votre soirée.

Comme la veille, j’attendis l’heure où Florian serait couché et endormi pour assouvir mes fantasmes.

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