4 semaines sans osé retourner la voir. Javais violé le cul de Marie, avec son consentement bien sur, mais elle avait tout de même franchement dégusté. Cette amie de longue date sur laquelle je fantasmais depuis si longtemps avait accepter de devenir ma soumise, pour retrouver un plaisir sexuel quelle avait perdu. Elle était devenue tout simplement accroc à ma queue.
Javais des remords de lui avoir fait subir cela, je lavais sodomisé violemment et ensuite elle mavait nettoyé la queue encore pleine d’excréments sans rechigner. Chaque fois que je la croisais, je la sentais mal et je dois bien avoué que je nétais pas très à laise non plus… Mais je nen laissé rien paraitre.
Elle nétait jamais venue vers moi pour prendre sa dose de sexe, peut être avait elle peur de subir des choses encore bien pire que la dernière fois, et elle avait raison. Mes fantasmes envers elle était sans limites. Ses cheveux blonds jusquaux épaules, son corps long, un peu sec dune femme de 35 ans, sa bouche pulpeuse, ses yeux clairs, son cul bombé dans ses jeans moulant, son visage dange, autant de choses qui minspirait tant et tant d’humiliations possibles… Mais après 4 semaines sans nouvelles, jai pensé quelle avait eu son compte et ne voulait plus continuer cette aventure.
Je me trompais !
Un matin, ma femme venait de partir au travail et je m’apprêtais à partir également, lorsque jai ouvert ma porte, elle était la devant moi, dans un imperméable, du rouge à lèvres (elle nen mettait jamais) et en me voyant, son visage sest detendu, elle sourit et ouvrit son manteau… Elle était entièrement nue.
Baises moi, sil te plait ? Je nen peu plus, je me masturbe 6 fois par jours en pensant à nos dernières fois. Sil te plait, je ten prie. Pourquoi nes tu jamais revenu ? Jai besoin de jouir maintenant, vite.
Elle enchainait les mots qui soulignait son manque, son entre cuisse était déjà toute mouillé. Je suis resté le visage impassible, elle était vraiment toute à moi.
Tu es prêtes à tout pour sentir ma queue en toi nest ce pas ?
Oui, sil te plait, je ten prie !
Entre !
Elle était la au milieu de mon séjour, dans une totale détresse. Elle voulait jouir par tous les moyens, son corps avait oublié le sexe depuis longtemps et je lui avait fait un electro-choc. Elle me faisait pensé à une drogué, son visage soulignait le manque quelle affrontait.
Tu es prête à tout nest ce pas ?
Oui ! Oui ! Fais moi tout ce que tu veux, mais je te veux en moi.
Je me suis approché delle, avancer ma main vers son sexe et lai à peine touché quelle lança sa tête en arrière en gémissant. Elle était trempé ! Jintroduit sans mal mon majeur dans son sexe, elle ne se tenait plus, elle sappuya sur une chaise et jouis dans la seconde…
Et bien, dire que tu aimes le sexe est un mensonge, tu es prêtes à tout pour le sexe !
Cest bon, encore ! Baises moi sil te plait baises moi !
Pourquoi est ce que tu ne vas pas te prostitué dans les bois, tu auras toutes les bites que tu veux ?
Je ne veux pas que lon me reconnaisse, jy ai bien pensé, mais je perdrais tout à faire cela… Jy ai pensé ! Sacrifier ma vie pour jouir encore et encore.
Et tu étais au le bord de le faire nest ce pas ?
Oui jallais le faire, mais avant je voulais savoir pourquoi est ce que tu mavais abandonné ?
Le plaisir monte si on attend, visiblement lattente à été un peu longue pour toi.
Je mentais, tandis que je voulais arrêter cette histoire passionnelle, de son coté lattente lavait rendu totalement folle, elle navait pensé quà cela et été prête à se faire limer par nimporte qui pour assouvir son désir. Désir que javais contribué à déclencher.
Mets toi à quatre pattes au sol, la tête par terre.
Elle savait que jallais la sodomisé violemment, cest ainsi que javais procédé la dernière fois, et elle avait souffert. Mais elle s’exécuta immédiatement, une fois de plus le désir était bien plus fort que l’appréhension.
Elle était là par terre attendant mon bon vouloir, son cul en offrande. Elle poussa même le vice jusquà faire des mouvements que je ne lui demandais pas. Elle positionna ses mains sur ses fesses et les écarta tout en ondulant sa croupe.
Défonces moi ! détruit moi le cul ! Je suis ta chienne, ta salope. Je suis ta pute.
elle qui ne voulait pas de vulgarité lors de notre dernière fois, elle avait passé un cap !
Elle introduisit un doigt dans son anus puis le porta a sa bouche.
La scène était surréaliste, je restais debout à côté et seule elle se faisait son film porno. Elle navait plus besoin de personne pour sexciter.
Jai juste ouvert ma braguette sorti ma queue qui commençait à raidir et je lui ai envoyé un grande claque sur les fesses. Elle a poussé un cri
Oui !!!
Jai ensuite posé mon gland sur son anus, je navais pas fait de mouvement quelle commençait à vouloir sempaler seule. Je lui ai renvoyé une claque !
reste à ta place ! Cest moi qui dirige la séance !
Je voyais son visage, sa joue droite était plaquée sur le sol, elle avait la bouche légèrement ouverte et commençait à pleurer.
Tu vois ce que tu es devenue et tu naimes pas ça nest ce pas ?
Je suis une salope maintenant, prête à nimporte quoi pour me faire baiser.
Et en disant ses mots elle a éclaté en sanglots. Cétait très excitant de voir une femme à ce point soumise et offerte à qui voulait la prendre. Cest le moment que jai choisi pour mintroduire en elle par la petite porte, son anus sest ouvert et elle a absorbé ma bite sans broncher. Ses larmes se sont arrêtés et elle a retrouvé le visage du plaisir.
Javais plein de fantasmes a réalisé avec elle, certains faisable, dautre moins, surtout quil nécessitaient la présence de plusieurs hommes…
Je vais te faire prendre par plusieurs hommes, je vais tout filmer. Des hommes bien mieux membrés que moi. Je veux te voir avec tous tes orifices ouverts et recouverte de sperme.
Javais à peine fini ma phrase quelle jouit en criant. Incroyable Marie.. En quatre semaines elle avait bien changé. Je la sodomisait et elle jouissait, surement de la pénétration mais également de mes mots qui lexcitaient.
Elle avait déjà jouis deux fois en à peine 10 minutes depuis son arrivé, elle commençait à être fatiguée et cela se voyait. Avec mes mains sur ses hanches, cest moi qui la tenais en place.
Ma queue dans son cul ne lui faisait plus aucun effet. Je me suis retiré et ma bite était couverte de sécrétions. Je lai pris par les cheveux et jai tiré dun coup sec pour la remettre à genoux. La violence de lacte lui fit pousser un cri de douleur. Jai introduit ma queue tout au fond de sa gorge sans aucun ménagement.
ton cul était sale, il faut me nettoyer maintenant. Marie ne tendort pas, je commence tout juste avec toi . Son visage marquait le dégout, mais dans sa folie sexuelle elle mastiquait le manche comme jamais auparavant, elle en voulait encore et encore malgré son état de fatigue.
Ma queue ressortit de sa bouche propre et luisante. Je me suis alors empressé de la remettre au chaud dans son cul ouvert. Elle repositionna sa joue contre le sol et saisit ses fesses avec ses mains pour les écarter, javais une vue parfaite sur ma verge qui entrait et sortait de tout son long. La folie commençait également à me gagner, elle souhaitait lhumiliation totale, elle adorait cela ! Tout en continuant de la labourer, jai placé mon visage au dessus du sien à une cinquantaine de centimètre à la verticale et jai lâché ma salive sur elle.
Lorsquelle senti mon cracha, elle ouvrit les yeux et les tourna vers moi, elle venait de comprendre ce que je lui avait fait. Je suis ressorti à nouveau, une fois de plus lai ressaisit par les cheveux encore plus violemment et jai réinséré ma queue dans sa bouche. Je tirai sur ses cheveux pour quelle me regarde, ma queue était totalement dans le fond de sa bouche et elle avait les yeux sur moi. Jai alors lâché un autre cracha qui tomba entre ses yeux.
Tu touches le fond Marie !
Ses yeux partirent en arrière, elle jouissait pour la troisième fois la bouche pleine de ma queue et le visage couvert de la salive. Jétais impressionné de limage que javais devant moi. Cette mère de famille de 35 ans était en faites une bombe qui ne demandait quà exploser… Où est ce quelle allait s’arrêter… Je me demandais si un jour, je nallais pas la retrouver dans un bordel ou pire ?
Cette pensée leva chez moi une excitation qui me fit jouir instantanément, à peine avait elle fini de jouir, vidée, que je balançait la purée.
Gardes tout dans la bouche, navales pas encore
Et Marie à bout de force se remplissait de mon jus sans grimacer. Elle avait le visage même de la dépravation.
Montres moi !
elle ouvrit la bouche remplis de sperme et me fixait avec ses yeux clairs. Linstant dura une éternité. Jimaginais tout ce quelle ne pourrait plus refuser venant de moi, lemprise que javais sur elle et lavenir sexuelle que jallais lui apporter.
Tu es belle Marie ! Tu las toujours été, mais dans cette position tu deviens une vrai icône. Gardes cela dans ta bouche jusquà chez toi, une fois chez toi, prends une photo de ton visage bouche ouverte pleine, avales et reprends une photo. Et tu menvoies les deux !
Elle était à bout, elle nen pouvait plus. Elle sest relevée, ma regardée, les joues gonflées et a remis son imperméable. Elle avait du mal à marcher, tant par la fatigue que par ce quelle sétait prise dans le cul… Et elle est partie.
Quelques minutes plus tard, je recevais un texto delle bouche ouverte remplis de sperme et de salive, elle sétait tout de même nettoyé le visage de mes crachats. Puis dans la foulée un autre texto delle bouche vide… Elle aurait pu tout recracher entre les deux photos, mais javais tellement la main sur elle, que je suis sur quelle sétait exécutée et avait avalée tout ma semence.
A peine deux minutes plus tard, je reçu un autre texto.
Je ten supplie, nattend pas trop longtemps avant de mutiliser