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Le sperme de mon frère – Chapitre 1




Les personnages : 

–  La sur : 18 ans, 1m65, 64 kilos, 90C, blonde

— Le frère : 19 ans, 1m80, 90 kilos, 21cm, brun

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Tout cette histoire avait commencé 15 ans plus tôt. Mon frère et moi partagions alors un appartement en ville dans le cadre de nos études et autant dire que depuis le début de cette collocation improvisée, nos rapports avaient drastiquement changé. Nous avions toujours été proches, aucun sujet n’était tabou entre nous. Mais désormais, un cap avait été franchi. Un cap où nous n’avions plus aucune gêne à nous montrer nus en sortant de la douche ou à nous entendre nous masturber dans nos chambres respectives sans que cela ne nous dérange. Inconsciemment, nous avions débuté une sorte de jeu de séduction.

Cela se concrétisa véritablement lorsqu’un samedi matin, alors que nous devions nous rendre chez nos parents pour un repas de famille, une coupure de courant avaient débranché nos réveils. Pour rattraper ce temps perdu, mon frère suggéra que l’on prenne notre douche en même temps. D’abord hésitante, j’avais accepté. Et je crois rétrospectivement que c’est là où tout a basculé. Admirer l’eau couler le long du corps dénudé de l’autre, c’était à la fois totalement immoral mais aussi très érotique. Son pénis me parut alors gigantesque, bien plus que d’habitude, et je me demandais donc s’il ne bandait pas. Plutôt que de mettre fin à cette situation plus qu’embarrassante, nous avons continué à nous savonner individuellement puis mutuellement, ses mains robustes caressant d’une manière très douce le bout de mes seins tandis que les miennes effleuraient la peau de ses testicules. Vers la fin, je lui demandais de me frotter le dos et son sexe alla alors s’accoler entre mes fesses rebondies. J’aurai juré qu’il en profiterait pour passer à l’acte, mais il n’en fit rien. 

Ce tripotage heurta tant notre pudeur que le trajet en voiture jusqu’à la demeure familiale fut en grande partie silencieux. Néanmoins, il ne marqua pas la fin de notre relation immorale, mais bien son commencement. En arrivant chez nos parents, nous simulâmes la plus parfaite innocence. Nos parents n’émirent pas le moindre doute quant à la raison de notre retard et la journée se déroula sans encombres. Mon esprit s’égarait occasionnellement dans le souvenir des événements du matin mais je revenais assez vite à la raison. Quand minuit sonna à l’horloge, je regagnais ma chambre d’adolescente, celle où j’avais grandi, pour y passer la nuit. Je présageais, ou du moins j’espérais, une visite nocturne de mon frère et mon souhait fut exaucé quand je le vis débarquer une demi-heure plus tard en tenue d’Adam, le pénis fièrement dressé.

Excitée, mais encore raisonnée, je savais que nous ne pourrions pas coucher ensemble sans réveiller nos parents puisque leur chambre se situait juste en dessous des nôtres. Ce soir-là, notre rapport se résuma à une fellation et une cravate de notaire. A peine le pénis fraternel avait-il effleuré mes lèvres que ma bouche l’engloutit intégralement. Il m’apparut plus gros et savoureux que tout ceux auxquels j’avais pu goûter auparavant. L’adrénaline suscitée par la peur d’être découverts devait y être pour quelque chose dans le décuplement de notre plaisir. Son gland prenait un malin plaisir à venir frapper le fond de ma gorge au rythme de mes sussions lascives. Ma langue quant à elle s’efforçait de récolter les quelques gouttes de liquide pré-séminal que son urètre avait déjà commencé à évacuer. Au bout de quelques minutes, mon frère se retira et vint placer son engin entre mes deux seins. Les compressant de mes mains, j’étouffais cet organe audacieux. J’appris bien des années plus tard de son propre aveu que mon frère rêvait depuis longtemps de cette "branlette espagnole". Son pénis faisait des va-et-vient incessants le long du passage que je lui avais dégagé entre mes seins depuis déjà un bon quart d’heure quand son sperme vint éclabousser ma poitrine, mon cou et une partie de ma mâchoire. Après cette éjaculation à laquelle je n’avais pas été préparé, mon amant repartit aussi vite et discrètement qu’il était venu, me laissant dans un piteux état.

Le lendemain, nous quittâmes la maison de notre enfance afin de regagner notre appartement. L’ambiance du trajet de retour était plombée par le désir sexuel que nous ressentions l’un envers l’autre et l’impatience de passer à l’acte une bonne fois pour toute. Le regard de mon frère s’attarda d’ailleurs souvent sur ma poitrine que j’avais volontairement laissé à l’air libre, ce qui nous valut quelques frayeurs. En montant les escaliers de l’immeuble, sa main caressa à plusieurs reprises mon fessier dont mon pantalon avait échoué à cacher les formes. La peur d’être surpris par nos voisins, qui étaient pour la plupart au courant de notre filiation, ne nous inquiétait guère plus. Nous n’avions qu’une seule idée en tête : faire l’amour.

A peine entrés dans notre logement, nous entreprîmes de retirer tout nos vêtements et de les balancer aux quatre coins du salon, pour finalement se précipiter sur le canapé. Mon frère bandait déjà rudement, à tel point que son gland me parut plus rouge qu’il ne l’avait jamais été. J’écartais immédiatement les jambes, ne souhaitant pas m’encombrer des traditionnels préliminaires, car je savais que mon vagin transpirant d’excitation n’attendait qu’une chose : qu’on le pénètre. Par ailleurs, cette pénétration fut dans un premier temps péniblement douloureuse, les parois de mon antre ne semblant pas capables d’accueillir un hôte si volumineux. Je criais pour exprimer ma douleur mais cela ne faisait que renforcer l’euphorie sexuelle de mon frère qui accéléra ses coups de reins. Il fallut une bonne minute à ma fente pour s’habituer au traitement que l’on lui infligeait mais une fois cela fait, cet acte sexuel me parut des plus divins. En position du missionnaire, mon frère faisait frémir chaque centimètre carré de ma peau, tandis que ma voix crevait le plafond, confirmant à nos voisins la nature de notre acte si immoral. 

Il ne portait pas de préservatif mais cela ne me gênait guère. A l’époque, je sortais avec un garçon qui n’a, au passage, jamais rien su de cet adultère incestueux, donc je prenais la pilule. De plus, j’avais toujours préféré les rapports non-protégés, malgré le risque qu’ils présentaient. J’étais donc aux anges quand mon frère m’annonça qu’il sentait sa semence venir, et qu’il ne comptait pas se retirer. Le plaisir éprouvé par son sperme chaud se répandant dans mes entrailles était indescriptible. Je crus un temps m’évanouir, avant qu’un sursaut du phallus fraternel encore en éjaculation ne me ramène à la réalité. Mon frère était en train de jouir en moi, et il en était très heureux. A la fin de ce rapport sexuel qui m’avait donné un orgasme à en faire rougir mes précédents partenaires, son pénis resta planté en moi pendant de longues minutes. J’aurai alors tout donné pour que jamais cette fusion corporelle ne cesse, mais elle cessa belle et bien. Il quitta ma fente en douceur, en veillant bien à caresser mes lèvres vaginales une dernière fois, puis assista au débordement du trop-plein de foutre qui s’écoulait le long de mes cuisses. Peinant à reprendre mon souffle, je lançais à mon amant improvisé un regard qui en disait long sur le bilan à dresser de cet événement à jamais décisif dans nos vies respectives.

Toutefois, au grand dam de la bienséance, notre relation ne s’arrêta pas là et prit même une curieuse direction par la suite. Mais ça, je le raconterais une autre fois. 

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