Lola était une fille d’une vingtaine d’année, brune, les yeux verts, assez grande. Sa peau mate la rendait très belle. Elle venait de finir son DEUG d’anglais. Elle avait donc deux mois devant elle et décida d’aller les passer dans la maison familiale en bord de mer. Sa famille n’y allant plus depuis le décès de la grand-mère maternelle et n’ayant aucun ami(e)s de libre c’est seule qu’elle partit se reposer. Cela ne la gênait pas elle aimait la solitude.

Elle prit donc le train au début du mois de juillet. Ce début d’été était chaud comme tous les étés mais il y avait en plus, une atmosphère moite très présente qui donnait aux gens une brillance sur la peau, comme si un fin filet d’eau venait enrober les corps. Lola ne dérogeait pas a la règle. Malgré sa robe légère, ses cuisses et son décolleté étaient ruisselants. Sur son visage l’humidité ambiante venait là encore déposer sa trace. Même ses fesses étaient humides et parfois une goutte ruisselait entre elles deux. Ceci avait pour effet de lui envoyer un frisson glacial qui parcourait tout son corps et l’apaisait ainsi quelques secondes de toute cette pesanteur. Cette petite goutte, Lola, l’attendait donc avec impatience.

Elle avait pris place dans le train face à un jeune couple. Son siège se trouvant à l’endroit du train ou l’on peut se mettre par quatre. La jeune fille était très belle et se trouvait juste face à Lola. Le garçon était quelconque. Le reste du wagon était clairsemé de personnes âgées, de couples, d’hommes et de femmes seuls. Le train ne tardât pas à démarrer et plus personne ne viendrait à côté de Lola, ce dernier ne faisant pas d’arrêt. Lola observait discrètement le couple qui s’embrassait, caché derrière un des livres qu’elle avait décidés de lire pendant ses vacances. Les deux jeunes tourtereaux, ne remarquant pas les petits coups d’?il furtif de Lola, se câlinaient tendrement et sans réelle retenue, car la personne se trouvant de l’autre cote du couloir dormait à point fermé. Ainsi l’homme ne se gênait pas pour passer délicatement sa main sur la robe de son amie, lui frôlant tantôt les cuisses, tantôt les seins. Ceux ci menus mais fermes ne tardèrent pas à se dresser fièrement sous la robe. Lola put alors constater que la jeune fille ne portait aucun soutien à cet endroit de son corps. Gênée, elle se replongea dans son livre et sentit alors, une fine goutte partir de sa nuque humide pour se diriger le long de sa colonne vertébrale. Elle arriva rapidement en haut de ses fesses, là où naît la séparation de la chair. Déjà un léger frisson parcourait son corps. La goutte quant à elle continuait son trajet et Lola émoustillée par le jeune couple écartait un peu plus son fessier pour laisser, à cette représentante de la moiteur, un plus large passage. Cette dernière, ne se laissât pas prier, pour emprunter le chemin qu’on lui offrait. Elle s’y engouffra avec tout le plaisir qu’une simple goutte peut avoir dans pareil cas et vint mourir avec bonheur au point central du postérieur de son hôte. Lola sentant alors la goutte arriver là où elle souhaitait, gonflât le buste et du retenir le soupir qui montait en elle.

Elle releva alors la tête de son livre, qu’elle ne lisait plus depuis longtemps et s’aperçut que la jeune fille face à elle la fixait, toujours avec ses deux mamelons pointant dans sa direction. Aussitôt Lola qui venait de croiser le regard de sa vis a vis replongea, rouge de honte, dans son livre. C’est alors, qu’elle se rendit compte que sous sa robe à fleurs rouge, ses seins se dressaient eux aussi. Elle décida donc de se lever et de se rafraîchir un peu. En partant, pour retrouver son calme, elle sentit que la jeune femme l’observait la ou la goutte avait échoué, pendant que son compagnon lui soulevait la robe.

Lola revint à sa place un ? d’heure après. L’homme dorénavant était assoupi et la femme quant à elle semblait rêvasser par la fenêtre du train. Lola repris sa place sans la regarder et décida de dormir un peu. Mais elle n’y arrivait pas et avait beau tourner dans tous les sens sur son fauteuil, le sommeil ne voulait pas la prendre. Elle décida alors de s’allonger sur les deux sièges qu’elle disposait puisque personne ne se trouvait à cote d’elle. Sa tête contre la paroi du train et ses pieds sur le siège près du couloir, elle semblait enfin pouvoir sombrer dans les bras de Morphée. Dans la position ou elle était, elle pouvait voir les genoux de l’homme à gauche et ceux dénudés de la jeune fille à droite. La robe de celle ci remontant juste au-dessus de ses genoux, Lola dut admettre qu’elle avait de belles jambes. Elle les tenait à demi clos. Elle ne s’en rendit pas compte tout de suite mais le sommeil, malgré sa position confortable et le petit air provenant du couloir, qui lui effleurait l’entre cuisse, ne venait toujours pas. En réalité elle était encore perturbée par sa vision de tout à l’heure. Elle ne cessait de revoir les deux mamelons de sa voisine pointer dans sa direction. C’était surtout le fait que le buste de la fille soit à même sa robe qui, en fait, l’avait ébranlée. Elle aurait aimé en faire de même mais sa poitrine, présente, l’en empêchait. Soudainement, sans savoir pourquoi, elle eut envie de savoir si cette femme, était vêtue ou non au niveau de son entrejambe. Mais, dans la position dans la quelle elle se trouvait, elle ne pouvait rien voir, du fait que. Les jambes de la fille étaient à demi ouvert. Lola se déplaçait légèrement dans tous les sens, pour arriver à percer le secret de cette inconnue qui la troublait. Elle était d’autant plus émoustillée que le frottement de sa peau sur les sièges ne manquait pas à nouveau de faire dresser ses formes voluptueuses. De même que l’air, qui entrait puis repartait, toujours à cause de son déplacement, entre ses cuisses, lui était de plus en plus agréable.

Son rythme cardiaque, elle s’en rendait compte, s’accélérait et son corps devenait de plus en moite. La fille face à elle, dut, au bout d’un certain temps, comprendre ce qu’elle cherchait à faire car elle écartât légèrement les jambes. Mais pas assez pour que Lola puisse voir si oui une ou non, son entre cuisse était à l’air libre. La jeune femme reprit comme dans un jeu ce mouvement plusieurs fois ce qui avait pour effet de frustrer Lola, qui était de moins en moins discrète quant a ses déplacements sur la banquette. Après quelques instants, la fille qui semblât avoir bien joué avec les émotions de Lola lui accorda enfin ce qu’elle désirait depuis le début. Elle cessa son mouvement de va et vient et remis ses jambes dans leur position initiale. Lola, qui maintenant sentait une goutte, tout à fait différente a celle qui lui parcourait le dos tout à l’heure, à hauteur de son sexe ne tenait plus.

La fille mit alors ses deux mains sur ses genoux et releva doucement, trop doucement pensait Lola, sa robe. Cette dernière se trouvait à mi-cuisses mais Lola ne pouvait toujours pas voir ce qu’elle désirait connaître et écartait un peu plus les jambes pour laisser passer l’air provenant du couloir mais aussi le liquide qui s’échappait de plus en plus de son corps. Enfin la fille releva complètement sa robe et Lola put découvrir qu’un string noir peu opaque la recouvrait. Elle ouvrait alors, complètement les cuisses laissant à Lola le loisir, de deviner l’organe sculpté de sa voisine. Celle ci, ensuite, fit passer sa robe au-dessus de ses fesses et se retrouva ainsi en contact avec le siège. Lola qui n’en tenait plus descendit sa main a l’endroit le plus humide de son corps et commença à se caresser par-dessus sa robe.

La fille elle, dont Lola ne perdait rien de ses faits et geste, leva légèrement ses fesses et fit glisser avec douceur son textile noir au bas de ses chevilles, puis l’enleva totalement. Elle se mit alors à caresser, avec deux de ses doigts, son très bas ventre. Elle commença tout d’abord par l’extérieur frottant de haut en bas cette partie si sensible. Elle écartait de plus en plus les jambes et Lola bientôt put voir tout de l’intimité de sa voisine qui ne tarda pas à entrer en elle-même. Ses jambes se raidir et Lola constatât qu’elle se trouvait maintenant sur la pointe des pieds. Lola, elle, suffoquait et frottait de plus en plus rapidement sa robe juste a l’endroit ou il fallait. Elle sentait que l’humidité transperçait ses tissus intime et progressait de plus en plus vers les fleurs rouges de sa robe. En face, elle regardait et admirait avec quelle dextérité la fille jouait de son corps. En plus de sa main qui effectuait un va et vient incessant entre le dedans et le dehors, son bassin avait à présent pris vie faisant des allers retours vers le fond du siège et l’avant de ce même siège. Le plaisir que lui procurait ses doigts mais aussi le siège, frottant cette partie de son corps, Lola le présumait, la rendait de plus en plus vulnérable La robe de Lola était maintenant humidifiée à souhait et elle sentait toute la chaleur de son être se fixer en dessous de sa main. Ses seins pour leur part commençaient à la faire souffrir dut au fait qu’elle n’avait pas cessé de se caresser sur la banquette. Afin de les calmer, elle décida de les palper avec sa main, jusque là, restée inactive. Quel bonheur, se fut pour elle, de sentir sous sa main la fermeté de ses tétons qu’elle se plaisait à pincer plus ou moins fortement ! Sa partenaire de plaisir, était, elle aussi, dans le même état que Lola. Continuant son double va et vient Lola vit apparaître sa deuxième main qu’elle plaça à l’intérieur de sa cuisse, et, lui imposât à nouveau un mouvement de va et vient entre son genou et le début du lieu de son émoi. Ses doigts se crispaient de plus en plus sur cette cuisse et Lola pendant un moment cru qu’elle allait défaillir avant elle, chose qu’elle ne désirait pour rien au monde ! Mais non sa partenaire tenait le coup et même repartait de plus belle. La main de Lola pénétrant alors, avec toutes les étoffes, au plus profond d’elle; elle, ne put retenir un petit cri.

La fille afin de la faire taire, pieds nus depuis le départ du train, vint mettre son pied sur le siège de Lola qui s’empressa de le prendre à pleine bouche passant sa douce langue sur chaque orteil puis revenant au plus gros qu’elle plaça à nouveau dans sa bouche, tout en l’enrobant de sa langue. Sa partenaire était dorénavant prête et c’est sans dire un mot que le plaisir l’envahit tout entière. Son corps se crispa, les ongles courts de sa main s’enfoncèrent dans sa cuisse et un large filet symbole du plaisir qu’elle venait de s’offrir se répandit sur le siège. A la vue de ceci, Lola ne tardait pas à rejoindre sa camarade dans les délices de la petite mort et dut pour ne pas crier serrer fortement de ses lèvres l’orteil de sa voisine et désormais complice. Apres avoir bien profiter de la plénitude que lui offrait ce moment de grâce elle se releva et se mit face à sa partenaire qui arborait un large sourire. Celle ci disparut sous la table qui les séparait, pour aller ramasser ce que Lola avait tant aime voir puis lui passa une main moite et humide sur sa cuisse remontant ensuite vers son entrejambe pour constater qu’elle aussi était moite et humide. Leur moiteur respective, sur chaque partie de leur corps concernés, se mélangèrent alors En se relevant, elle sourit à nouveau à Lola qui semblait perdue. Sa voisine se dressa, puis s’avança vers elle, passant le haut de son corps par-dessus la table et l’embrassa tendrement mais brièvement, puis se rassit.

Lola après avoir reçut ce baiser qui ne fit qu’accentuer son trouble vit que sur la table sa camarade inconnue lui avait déposé un superbe trophée de tissu noir. Elle s’en empara et s’aperçut qu’il était légèrement humide, puis le mit dans l’une des poches de sa robe et, tout en regardant sa complice, elle clôt les yeux en pressant fermement le tissu dans sa main.

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