Quand il fut bien prêt, que son anus se montra suffisamment souple et ouvert pour accepter l’intromission du gode, j’ai discrètement laissé filer mon autre main sous le lit et je me suis saisie de l’engin que j’ai enfilé sans même qu’il ne s’en rende compte.

Je me suis retrouvée montée comme un homme de robuste constitution. Les deux doigts qui lui fouillaient le cul sont sortis pour être aussitôt remplacés par la bite artificielle.

Il n’a pas eu le temps de se plaindre. J’ai planté le gode dans ses fesses d’un coup sec et il a ouvert de grands yeux étonnés, presque apeurés, en me regardant.

Bien vite, sa surprise s’est transformée en satisfaction quand il a compris tout le bien qu’il commençait à retirer de l’action du pal dans son cul. Tout en le baisant comme un homme, je me suis emparé de sa bite et j’ai débuté une langoureuse masturbation…….

J’ai d’abord pris Jonathan par devant, dans la position du missionnaire. Mon pubis butait contre le sien à chaque coup de boutoir que je lui donnais. Le gros gode rentrait dans son cul sans discontinuer, à chaque fois jusqu’à la garde.

C’était nécessaire si je voulais ressentir le maximum de plaisir à le sodomiser ainsi. L’autre extrémité du godemichet était en effet solidement plantée dans ma chatte et me procurait un bonheur indicible en me cognant au fond du trou.

J’étais bien remplie. Sans doute pas autant que le cul de mon amant, mais suffisamment pour sentir monter en moi le désir de jouir. Je calmai un peu mes ardeurs pour ne pas exploser trop vite et laisser le temps à mon homme de bien profiter des attentions délicieuses que je lui accordais.

J’avais trop attendu cet instant pour le gâcher faute de précipitation ou parce que je n’aurai pas été capable de surmonter mes pulsions.

De ma main droite je masturbais mon partenaire tout en lui labourant les fesses. Sa verge était très grosse et vigoureuse dans ma main. Il jetait son bassin en avant pour que je le branle bien.

Il baisait ma main comme je taraudais son cul. Je ne l’avais jamais vu aussi déchaîné que cette nuit. Ma main gauche vient rejoindre l’autre sur son manche. Je joignis mes doigts pour former une sorte de corridor dans lequel la pine de Jonathan se retrouva emprisonnée.

Mon sexe était occupé et il lui faudrait donc se contenter de cet orifice simulé. Mes pouces se joignirent au sommet de cette gangue de chair et en profitèrent pour lui caresser le bout du gland, qu’il avait énorme à ce moment-là. Il ne se gênait pas pour dire tout le plaisir qu’il prenait à se faire enculer tandis que je le pognais. Ses râles et ses gémissements me comblaient au-delà de tout ce que j’avais pu imaginer. Je me sentais vraiment maîtresse des évènements et ça ajoutait beaucoup à mon excitation.

Au bout de quelques minutes de ce traitement, je décidai de me faire encore plus dominatrice. Je voulais réellement posséder Jonathan et qu’il me soit soumis totalement.

Je pensais déjà plus loin que cette nuit, au moment où nous remettrions cela tous les deux. Je désirais tellement qu’il prenne goût à cette pratique nouvelle pour lui. Il fallait que cette première fois soit exemplaire et inoubliable, pour qu’il en redemande lui-même à l’avenir.

Je voulais qu’il devienne accro et me supplie de l’enculer à nouveau bientôt. J’ai donc interrompu les agissements de mes mains sur sa bite et, d’un geste précis et sans équivoque, je lui ai signifié ma volonté. Il fallait qu’il se retourne et se place à quatre pattes devant moi s’il souhaitait que je continue à lui faire du bien.

Sans cela, il devrait se contenter de se finir tout seul en me regardant me branler. Je n’ai pas eu besoin d’user de cet ultime argument car il s’est plié à ma demande sans rechigner.

J’ai veillé à ce que le gode ne sorte pas du logement où il était fiché pendant la manuvre délicate qui amena Jonathan sur les genoux. Je suis resté en contact avec lui pendant son déplacement alors que l’engin tournait dans son cul.

En fait, c’était plutôt son anus qui tournait autour du manche de plastique. Je lui ai écarté les fesses pour bien jouir du spectacle. Un frisson me parcourut l’échine quand j’aperçus la corolle plissée complètement écartée par le faux sexe qui la distendait.

Dans cette position, je voyais beaucoup mieux le traitement que j’étais en train d’infliger au postérieur de mon mec. Je saisissais ainsi vraiment toute la charge sexuelle de la situation.

Mon vagin se contracta violemment une première fois sur le petit bout de gode planté dans ma grotte. Ce n’était qu’un avertissement, fort heureusement. Je voulais encore profiter de l’ascendant que je venais de prendre sur mon amant.

Il était penché en avant, la tête enfoncée dans le creux de son bras, sur l’un des oreillers du lit. Celui-ci étouffait un peu ses cris de plaisir mais j’entendais bien qu’il appréciait d’être monté par moi.

D’ailleurs, il ne se priva pas de me le faire remarquer en faisant aller et venir sans aucune pudeur ses fesses sur le manche qui le fouillait. J’ai laissé filer une main sous son ventre dans l’intention louable de le soulager un peu.

Là, surprise, la place sur sa bite était déjà occupée !

Ce salaud n’avait pas été capable d’attendre que je reprenne les choses en main et se branlait sans vergogne à un rythme effréné. Vexée, je décidai de le laisser faire encore un peu.

Plus tard, je ne me priverai pas de lui faire remarquer son manque de retenue et la totale impudeur dont il faisait preuve. Ce petit branleur me donnait une bonne occasion de l’humilier en paroles, je n’allai certainement pas la laisser passer.

Pour le moment, quelque peu contrariée par l’initiative de Jonathan, je m’attachai à bien lui faire comprendre qui était la maîtresse. Je redoublai donc d’ardeur dans son cul. Avant de me mettre à le pistonner encore plus fort, je sortis l’engin de ses fesses.

Je voulais à nouveau le voir entrer distinctement. Je m’amusai au passage du fait que son anus restait grand ouvert une fois le gode retiré du fourreau anal. Je crachai dessus comme je l’avais vu faire dans le film porno qui avait imprimé en moi ce goût étonnant pour la sodomie.

La vision de ma salive qui coulait dans les boyaux de mon homme m’amusa et m’excita en même temps. J’enfonçai donc à nouveau le gland de plastique dans le trou du cul offert qui n’attendait que ça. J’écarquillai les yeux en grand quand le nud passa sans aucune difficulté la dérisoire barrière du sphincter qui commençait à peine à se refermer.

Pour " punir " mon amant onaniste, je me mis à lui claquer les fesses. Ca, je l’avais vu faire sur Internet, dans une vidéo que j’avais téléchargée et sur laquelle une femme mûre enculait un jeune puceau tout juste sorti du lycée.

Le couple jouait à la maman indigne qui abuse de son fils. Je reconnais que le scénario était un peu limite, mais le comportement de la femme m’avait terriblement excitée, au moins autant que le plaisir non dissimulé du puceau.

Je ne me privais pas de traiter mon partenaire de la même manière qu’elle. Les claques volaient sur son fessier au même rythme que je lui ramonais le fondement. Je le traitais de " méchant garçon, de "petite tapette " ou encore de " sale branleur ".

Il ne disait mot mais je voyais bien que ça lui convenait tout à fait car il redoublait de vigueur en se déhanchant pour mieux sentir ma pine dans son trou. Je vérifiai en me penchant un peu qu’il était toujours occupé à se branler et constatai avec plaisir que ses doigts coulissaient à vive allure sur son pieu.

Je l’ai encore piné comme ça un bon moment. Il était plus endurant que je ne le pensais de prime abord. Je ne me contentais plus d’aller et venir dans ses boyaux mais j’imprimais aussi à mon " sexe " un mouvement latéral, voire tournant.

Je lui écartais de plus en plus la corolle au fur et à mesure que le désir montait en moi. C’était autant pour le combler que pour mon propre bien.

A chaque mouvement de ma part, l’extrémité du gode plantée en moi effectuait le chemin inverse, fouillant tout le volume intérieur de ma chatte avec bonheur. Je ne regrettais qu’une chose, c’était que la gode ne soit pas plus imposant et ne remplisse pas mieux ma moule.

Je me promis de retourner faire des emplettes chez la sympathique tenancière de sex-shop qui m’avait si bien accueillie la première fois. Il me fallait quelque chose de plus consistant pour satisfaire au mieux mes nouveaux besoins sexuels.

Peut-être pourrais-je y emmener avec moi Lucie ou Jonathan afin de procéder à un essayage ? Eux-aussi méritaient ce qui se fait de mieux en la matière. Ils avaient tous deux tellement bien pris le modèle actuel que je pouvais envisager sans crainte l’acquisition d’une taille plus conséquente.

Cette idée perverse augmenta immédiatement le plaisir que je ressentais à enculer Jonathan. J’avais l’impression de devenir folle, d’autant plus que celui-ci ne se contenait plus du tout. Il se branlait à grande vitesse et je sentais bien qu’il était près de l’échéance fatale.

L’oreiller ne couvrait plus ses cris de plaisir que très partiellement. Il tortillait son cul comme une bête sauvage et s’empalait toujours plus fort sur le gode qui le bourrait. Je me surpris à laisser échapper un cri moi aussi.

Le bout du gode qui cognait toujours plus fort au fond de ma vulve, la hampe qui frottait sur mon clitoris, le spectacle de cet homme à ma merci, tout concourrait à déclencher dans mes profondeurs l’orgasme le plus dévastateur qui soit.

Quand mon amant se lâcha, jutant dans ses propres doigts et s’effondrant sur le lit, je ne pus me retenir plus longtemps et le suivis dans son délire en lui criant des insanités qui augmentèrent encore d’un ou deux crans l’intensité de ma jouissance.

Après cette nuit de folie avec Jonathan, j’étais définitivement emballée par mon nouveau rôle d’enculeuse. Lui aussi visiblement. Une fois reposé, il m’avoua sur l’oreiller qu’il avait grandement apprécié ma prestation et qu’il avait joui comme jamais encore auparavant.

D’ailleurs, il me démontra que son excitation était intacte dans les heures qui suivirent. Il devait vouloir prendre sa revanche sur moi et me prouva qu’il ne manquait pas de ressort. Je me félicitais de l’avoir enculé car cela paraissait avoir décuplé ses capacités sexuelles déjà hors normes.

Loin de demeurer le soumis qu’il avait été pendant que je le sodomisais, il prit les choses en mains et me baisa comme un dieu. Les nouveaux horizons que je lui proposais d’explorer avec moi semblaient avoir augmenté sa libido dans des proportions considérables.

Il me prit par devant et par derrière à plusieurs reprises et je crois bien qu’il a joui en tout cinq ou six fois au cours de la nuit mais aussi de la journée qui a suivi. Nous avons passé un dimanche de frénésie sexuelle sans sortir de notre petite chambre d’hôtel. Le garçon d’étage qui est venu à deux occasions nous apporter le repas n’a sans doute pas pu ignorer l’odeur de foutre qui emplissait la pièce.

Quelques semaines plus tard, Jonathan a insisté pour que je vienne chez lui un samedi soir. Il m’a précisé que Eric, son meilleur ami et partenaire de triolisme serait là avec une copine pour un petit dîner entre copains et plus si affinités.

Il était toujours assez direct quand il m’invitait mais cela n’était pas nécessaire car je savais généralement à quoi m’attendre. Il était extrêmement rare que nos rencontres ne finissent pas en séance de baise débridée.

Quand c’était exceptionnellement le cas, c’était que nous nous trouvions en public et dans l’impossibilité de laisser libre cours à nos pulsions omniprésentes. J’étais heureuse d’avoir rencontré un mec aussi obsédé par le sexe que moi et, qui plus est, totalement prêt à me partager pour peu qu’il puisse participer et y trouver son compte.

Je suis arrivée chez lui avec une idée bien arrêtée derrière la tête, comme souvent. Bien sûr, j’envisageai sérieusement de profiter de la présence de notre couple d’amis pour donner un tour très libertin à la soirée.

J’étais certaine que c’était également l’idée de Jonathan et, connaissant Eric, je ne doutais pas qu’il en fut de même dans son esprit. La seule inconnue résidait dans la personnalité de sa copine et son appétence au sexe.

J’avais confiance dans les capacités de notre trio habituel à lui faire comprendre tout le plaisir qu’elle pourrait retirer de sa participation à une petite partouze improvisée. J’avais en tous les cas prévu de mettre en oeuvre les nouvelles pratiques qui me comblaient avec mes amis et mon grand sac gibecière contenait un certain nombre d’outils indispensables à cela.

J’étais allée comme prévu faire un tour au sex-shop. La vendeuse habituelle m’avait accueilli avec le sourire. Elle a compris que ses conseils avaient été judicieusement mis en pratique et s’est appliquée à m’orienter à nouveau vers les meilleurs produits correspondants à mes goûts. Je suis ressortie bien équipée.

J’ai acquis un nouveau double-gode ceinture, aux deux bouts plus massifs que le modèle d’initiation qui m’avait servi jusqu’alors. C’était autant pour bien me remplir la chatte que pour mieux combler les culs de mes proies à venir.

J’ai aussi fait l’acquisition d’un plug anal qui me permettrait d’ouvrir en douceur les anus vierges de toute pénétration. En achetant celui-ci, je pensais particulièrement à l’amie d’ Eric dont je ne savais rien et que j’imaginais, peut-être à tort, pucelle du cul.

Bonne fille, j’avais aussi acheté un tube de lubrifiant, même si j’avais pu constater jusque là qu’une bonne préparation manuelle pouvait suffire à dilater un trou de balle même novice…..

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