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Histoire imaginaire dans une ville perdue. – Chapitre 4




Il est 8 heure passé. Le soleil s’est déjà levé bien haut sur cette petite île qu’on appelle Santa Picardie.

Cependant, certaines personnes ne semblent pas pressées de sortir du lit.

Prenez Henri par exemple, dans sa petite maison, planquée au milieu de la banlieue nord  de l’île, cachée parmi toute les autres maisons  qui se ressemblent au final. Henri donc, n’a pas envie de se lever.

Aujourd’hui ,il est vrai, c’est jour de repos. Pourquoi s’embêter à se lever?

Et bien, pour répondre à votre question, il pourrait sortir de sa chambre et aller saluer ses 2 enfants, Jessica et la plus grande, Monica. Ou encore il aurait pu se glisser sous la douche pour accompagner sa femme. Toutes plus ravissantes les unes que les autre, on peut dire sans se tromper qu’Henri est bien entouré. Et puis aujourd’hui est un jour spécial il faut bien le dire. Mais non, Henri n’a pas envie de se lever.

Une petite furie envahit la pièce et investit le lit parental :

— Papa!! Debout!

Il fait mine de ne pas l’avoir entendu. Il manque de mourir étouffé, grimpant le lit, elle bondit sur le bassin de son père.

-PAPA, Debouuuuut!!!

Ne pouvant plus feindre le sommeil profond, il se débat mollement.

-Laisse papa dormir encore un peu. Jessie, laisse moi dormir…

Jessica en a décidé autrement et commence à frétiller de manière obscène sur son bassin. Pénis et testicules stimulés, le résultat ne tarde pas à émoustiller Henri. Si elle continue comme ça, son érection va se sentir.

-Jessie, s’il te plaît arrête, tu me fais mal. Se plaint le père de famille.

Jessica, qui n’est pas si ingénue que cela, commence à se frotter langoureusement contre la couverture de son père.

-Ah oui? Et comme ça c’est mieux?

Henri panique, il ne faudrait pas que sa femme ou sa deuxième fille ne les surprenne. Il prend une voix plus sourde.

-Ah, non, ne fais pas ça.

-Ah oui? Pourquoi, tu n’aime pas?

-Si , mais… Merde…

Il aurait le temps de la baiser sur le lit parental. Il aurait le temps de mettre ses mains sur tout le corps de sa petite princesse. Personne ne va les surprendrait. Cela fait plusieurs semaines qu’ils le font. Personne ne se doute, qu’Henri entretient des relations plus qu’affective avec sa petite Jessica

-Hey, vous faites quoi là?

Monica ouvre la porte en grand. Henri a juste le temps de retirer ses mains de la menue poitrine de Jessica, qui est assise sur la bassin de son père, son père allongé sur le lit, recouvert d’un drap observe un peu surpris Monica.

-Jessica, papa, vous faites quoi?

Jessica un peu figée comme un chat qui vient de se faire surprendre, hésite à répondre.

C’est le père qui finit par prendre la parole.

-Jessica a essayé de me réveiller, et j’étais en train de me battre contre elle.

Monica semble exaspérée.

-Jessica, tu devais le réveiller depuis plus longtemps déjà. Descend, maman a besoin de ton aide.

Jessica obéit à sa grande sur et file de la chambre. Elle marmonne quelque chose avant de disparaître.

Monica s’en va également de la chambre.

-N’oublie pas que tu dois emmener Jessica à son cours de danse cet après midi n’est ce pas ? Maman et moi, on sera trop occupées.

Plus occupé à cacher son érection, Henri fait mine d’avoir écouté.

Une fois seul, il s’en va vers la  salle de bain. Un peu échaudé , il décide se laver et de se délivrer de cette érection.

 Sous la douche, il empoigne son pénis et entame sa masturbation. Il repense aux petits seins pointus de Jessica. Le désir vient. Il s’imagine en train de la déboîter contre le mur de la salle de bain. Il va bientôt jouir.

Il se retourne et se retrouve nez à nez avec sa femme, lui toujours avec son pénis dans la main.

-Mon chéri, tu te fais plaisir? Demande sa femme d’un air accusateur.

-Martine?? Ha tu m’a fais peur!

-Et bien, la prochaine fois, pense à fermer la porte. Tu te rends compte qu’une de nos filles aurait pu te surprendre.

Soulagée mais coupable le mari cache son sexe.

-Oui tu as raison. Je vais arrêter ça tout de suite.

— Non non, continue.

Elle va fermer la porte et revient vers la vitrine de la douche.

-Allez branle toi bien mon trésor. Vide toi bien les couilles.

Elle soulève son pull et on peut admirer son immense paire de pastèques massive et ronde se presser contre la vitre.

-Martine?

-Oui  ?

-Tu n’as pas mis de soutien gorge?

Sa femme sourit et balaie la vitrine avec sa paire de seins énormes.

-Ç’a t’excite ?

Oui, ça l’excite, elle a sans conteste infiniment plus de poitrine que Jessica et Monica réunis.

Elle commence à jouer avec ses seins. Et il n’en faut pas plus pour Henri d’atteindre l’orgasme.

-Oui vas y je te voir éjaculer.

— J’arrive ma chérie, regarde ce que je vais vider.

Il se vide contre le vitre intérieure. Elle jubile et lèche la vitre extérieure.

— Oh, toi, tu en avais du foutre dans les couilles.

Il coupe le jet et sort. Toujours avec le pénis dans ses mains. Elle s’agenouille pour le nettoyer.

En deux ou trois coups, son pénis est reluisant. Elle se relève, alors qu’il pensait qu’ils allaient passer à la suite.

-Désolé mon trésor, je dois y aller. Tu n’oublie pas d’aller emmener Jessica à son spectacle?

-Heu oui, d’accord.

Martine s’en va bientôt dans le salon et avec Monica, elles commencent à ranger des affaires.

Henri, assez satisfait mais un peu sur sa faim, s’habille et emmène Jessica qui s’est préparée depuis tout ce temps. Ils embarquent dans la voiture et quitte la maison.

                            **

Henri conduit. Il coupe le silence

-Alors?

Jessica semble surprise. Elle lâche son téléphone un instant. Assise sur le siège passager tandis que son père, Henri, conduit, elle semblait absorbée par son téléphone.

-Heu de quoi?

-On va-t’on?

-Hey bien au magasin…

Henri n’est pas très réceptif lorsque ses 3 femmes lui adressent la parole, mais il est certain d’une chose : Elles lui cachent quelque chose.

-Maman a parlé de spectacle, Monica a parlé de cours de danse, et toi m’invente autre chose. Qu’est ce qui se passe?

Jessica n’a pas le temps d’inventer quelque chose et joue la carte de l’ignorante ingénue.

Ce qui ne passe pas chez son père.

-Jessica, qu’est ce qu’on a dit sur les mensonges?

Elle craque sous la pression  et dévoile toute la vérité, d’un ton affolé et sans prendre le temps de respirer.

-Ben voilà: c’est ton anniversaire on voulait te faire une surprise et je devais t’emmener loin de la maison pour te faire la surprise mais en fait on s’est pas mise d’ac… (elle reprend son souffle) On s’est pas mise d’accord sur l’excuse bidon à te raconter. Voilà, achève Jessica soulagée d’avoir pu se débarrasser d’un tel fardeau.

Henri semble ravi de ces petites manigances, mais maintenant il culpabilise d’avoir du mettre Jessica sous pression.

-Excuse moi ma princesse, je ne voulais pas te faire peur.

Elle fait la moue.

-Princesse, pour me faire pardonner, où voudrais tu aller?

Jessica reprend des couleurs, et commence immédiatement à élaborer un plan pour profiter de ce souhait. Henri regrette presque immédiatement cet accès de gentillesse.

-Je sais, prenons l’autoroute.

-Quoi?

-Prends l’autoroute papa!

Il s’exécute, un peu inquiet des "idées géniales" de sa fille.

Les voilà sur une grande autoroute qui longe l’île de Santa Picardie. On a une belle vue sur l’océan.

-Très bien Jessica, nous y sommes. Tu peux me dire qu’est ce que tu mijote?

-Ralentis un peu. Mets toi sur la file la plus lente.

Il s’exécute encore. Impatient, il redemande ce qu’elle a en tête. Il n’aura pas à attendre longtemps sa réponse. Jessica a reculé le siège passager et commence à prendre ses aises. Elle soulève sa jupe et découvre sa culotte en dentelles. Écartant les jambes, on peut mieux la voir. Elle commence à se caresser. Henri tente de garder les yeux sur la route. Il fait de son mieux.

Elle gémit de plus en plus dans la voiture, et regarde son père pour voir si lui aussi est excité. Henri tente de calmer le jeu. Sans succès. Il tente de poser sa main sur l’épaule de Jessica, mais finit par toucher son sein gauche. Jessica exagère sa réaction.

-Mmm oui. Caresses moi.

-S’il te plaît. Jessica, ne fais pas ça ici… Il ne lâche pas sa main cependant, et caresse un peu  cette délicate petite poitrine.

-Ha mais c’est excitant. Et puis il n’y a personne sur la route.

C’est vrai qu’ils sont quasi seuls sur la route. Il sent une main étrangère au niveau de son entrejambe. C’est Jessica qui commence à palper le sexe de son père.

-Et puis toi aussi, tu commences à être excité.

Il ne peut pas nier qu’il est assez émoustillé par tout ceci. Et de plus en plus, ils commencent tout les deux à se mettre dans "l’humeur".

La route est bien dégagée, la circulation inexistante. Il peut se permettre de doigter sa princesse, tandis qu’elle , de son côté, joue avec son pénis à lui.

Alors que la température monte dans la voiture, Henri suggère l’idée de se faire sucer.

-Comme ça le sperme n’ira pas dans mes yeux.

-Oui , c’est bien vrai.

Elle  passe sa tête vers le coin conducteur et avale un pénis bien tendu. Elle continue de le sucer, alors que son père, Henri continue de conduire sur l’autoroute. Il aime ce plan.

-Continue comme ça. Papa aime beaucoup.

Elle  marmonne quelque chose sur un ton très enjoué et continue de sucer. Malheureusement, elle n’a pas beaucoup de marge de manuvre, ne voulant pas gêner son père pendant qu’il conduit, Jessica se contente de donner des petits coups de tête. Elle se retire un petit instant pour demander.

— Et si on continuait quelque part? J’ai aussi besoin de me faire dorloter.

Henri n’a pas besoin qu’on lui répète une deuxième fois. Il prend la première sortie pour trouver un coin près de l’océan. Un petit coin pour garer la voiture. Un petit parking improvisé près de l’océan suffira. Et les deux amants se mettent en chemin. Le soleil tape fort et un coin à l’ombre serait tout indiqué. L’arbre derrière lequel il s’est garé est parfait. Assez grand, assez touffu, ils se mettent à l’ombre.

Henri s’allonge dos contre l’arbre. Jessica le rejoint s’allonge à ses côtés.

-Tu ne m’en veux pas?

-Non, Jessica, c’est ma faute, j’étais un peu stressé.

Sachant cela, elle se love contre son père. "Tant mieux."

Il lui caresse les cheveux, D’un brun comme le sien, ils sont soyeux et assez long. Elle le laisse faire et observe l’océan. Il fait beau, le ciel bleu s’étend au loin rencontre l’océan à l’horizon. Les vagues s’échouent par fine lamelles au loin.

C’est un pur moment de bonheur pour elle. Perdue au beau milieu de nul part, en milieu de la journée. Sa seule mission était d’occuper son père avec n’importe quel prétexte. Elle ne pouvait pas rêver mieux.

Elle rompt ce moment de contemplation pour demander

— C’est beau n’est ce pas?

Il lui caresse les mèches.

-Oui, c’est magnifique.

Très inspirée, sa fille continue en prenant une grande inspiration.

-On pourrait regarder ça toute la journée, tellement c’est beau.

Il caresse ses joues et réponds.

— Oui, c’est très ravissant.

Elle se tourne vers lui et constate qu’il ne regardait pas l’océan, mais qu’il a les yeux sur elle. Depuis combien de temps?

-Hey! Tu te moque de moi.

Il enchaîne sur un ton faussement serein.

— Ravissante , mais pas très futée…

C’est la remarque de trop, elle se relève d’un bond et lui saute dessus. Comme ce matin, elle est assise cette fois ci sur les cuisses de son papa.

-Ne te moque pas de moi!

Elle l’attaque à coups de poings très légers et inoffensifs sur la poitrine.

Ils rient.

Ils s’amusent.

Ils sont heureux.

Il réalise à un moment à quel point elle est réellement radieuse et s’arrête pour l’admirer. Elle en est mal à l’aise.

-Qu’est ce qu’il y a?

-Je t’aime.

-Chut! Dis pas ça comme ça.

Elle cache son visage sous ses cheveux.

— Tu m’aime plus que maman?

Il est un peu pris au dépourvue. Que dire? Cette situation n’est pas naturelle, mais il doit répondre.

-Je vous aime toutes.

Elle soulève sa jupe légèrement, on peut apercevoir les bords tout en dentelles de sa culotte.

-Ah oui, et comme ça?

-Tu triches!

Elle l’embrasse sur les lèvres.

-Et maintenant?  demande la jeune fille.

Il ne dit rien et poses ses mains sur les hanches de sa petite chérie. Elle pose ses deux mains à elle sur la poitrine de son grand amour pour pouvoir garder l’équilibre quand elle lui embrasse à nouveau la bouche. Un baiser plus tendre et plus animé par la passion que par la luxure. Ils ferment les yeux. Le vent souffle. On n’entend que le bruit des vagues du vent dans les feuillages et de temps à autre, des goélands qui passent.

Elle se retire encore une fois pour respirer. Tout sourire, elle redemande.

— Alors?

Elle n’a pas le temps de réaliser ce qui se passe. Henri a repris l’initiative. Une de ses mains  la pousse gentiment  vers lui, l’autre main maintient son visage. Ainsi il pourra la diriger vers ses lèvres . Elle se fait entraîner dans un autre baiser. Avec la langue. Elle ne dit mot, elle ferme les yeux, se laisse aller. Elle ne remarque que quelques minutes plus tard, qu’il a déjà la main sur ses fesses. Elle couine un peu quand il joue avec. Échappe quelques mots confus lorsqu’il joue  avec son sein. Il glisse sa main sous le polo pour atteindre plus facilement le soutien gorge et commence à le mettre sans dessus dessous.

Elle laisse faire. Elle passe ses mains autour de lui et l’enlace.

Sans dire un mot, ils se caressent et s’embrassent. Quand il passe ses lèvres sur son cou, elle gémit. Quand elle mordille l’oreille de son amant, il exulte.

-Fais moi l’amour.

Il passe sa main dans la culotte de sa princesse et la doigte. Elle est toute mouillée.

                                                                                                                      ****

Monica et Martine s’affairent à préparer le gâteau. C’est un gâteau fait maison.  

-C’est bientôt prêt. Et pour le reste?

-Tout est bon maman! Manque plus que quelques minutes avant qu’il soit prêt.

-Tu peux appeler ta petite sur, ils peuvent revenir maintenant.

Monica prend son téléphone.

                                                                                                                       ****

Le téléphone sonne. Encore et encore.

-Jessica, on t’appelle.

Jessica est en train de chevaucher son père. Bien empalée sur son sexe, elle monte et descend, encore et encore. Trop absorbée, elle n’entend pas.

Finalement, il répond pour elle. Il met le haut parleur.

-Nini?

-Heu… Papa?

-Oui.

-Je peux parler avec Jessie s’il te plaît?

-Au revoir Nini.

-Bye… Jessica, tu as coupé les hauts parleurs?

Henri est obligé de cesser tout mouvements pour qu’elle reprenne un peu ses esprits.

-Boui…

-Jessica, tout est prêt chez nous, tu peux dire à papa de te ramener. Tu as compris ?

-…

-Jessie?

-Vi, bai combris…

-Tu va bien?

Papa fais exprès de la pousser bien vers la bas pour qu’elle s’empale davantage sur son sexe bien lubrifié. Elle manque de succomber à une vague de plaisir si soudaine qu’elle reste bouche bée sans possiblité de réfléchir. Elle lâche :

-Haaa- Vi, va ben.

-Tu as l’air fatiguée, tu as couru ?

Papa décide de passer de la position en lotus pour la poser sur son dos. Ainsi il pourra contrôler la fréquence du coït à sa guise. Jessica tente de ne pas se trahir et masque dans sa voix toute trace de jouissance.

-Vi… Jy bouru… Elle salive et n’arrive plus à parler.

-D’accord, ménage toi petite soeur. On doit préparer la fête pour papa d’accord? Tu peux revenir donc. Tu as compris? Papa  ne se doute de rien?

-…nnnn nnnn.

-Jessica?

Papa entre et sort à sa guise dans cette nouvelle position et ne se retient pas de mettre la misère à sa princesse. Il lui défonce bien la chatte. Elle a du mal à parler, et tente une dernière fois de répondre. Seule sa tête, et sa croupe gigotent.

-Vi…boui.

-Très bien, à tout à l’heure.

Jessica fait tomber le téléphone. Complètement accroc au sexe de son père, elle n’arrive plus à formuler une phrase tangible. Elle ne peut que gémir.

Son père qui prend autant de plaisir qu’elle parvient à lui demander.

— ça te plaît ma chérie? Tu aime te faire défoncer par ton papa chéri?

Il ralentit son rythme. Elle sourit jusqu’aux oreilles et regarde le ciel bleu.

— Vi c bon.. Elle rit un peu avant de gémir de plaisir encore une fois.

Il donne de grands coups pour la récompenser.

— Papa te fait bien bien plaisir? Tu aimes la bite à papa?

Elle gémit de plus en plus fort. Et tente de répondre mais se contente de hocher de la tête.

— Je vais bientôt jouir, papa va bientôt jouir. Et toi ma princesse?

Elle le capture avec ses jambes et ses bras, il se retrouve prisonnier de son étreinte et comprend qu’elle a encore un peu de ressource avant d’atteindre l’orgasme elle aussi.

— Oh mon dieu, comme je suis déçu. Tu es devenue une salope, tu aimes le sexe tant que ça?

Il accélère de plus en plus.

— Non, Jé fuis ta shalope. Ta Shalobb. Juste toi. Donn ma ta bite. Bézzz moi .

Elle réclame encore et encore. Et il donne des coups de plus en plus fort. Il la ramone comme une pièce d’usine tourné à plein régime. Il monte son cul d’avant en arrière, et elle commence à contracter des petits spasmes de plus en plus violent.

Ils vont jouir. Bientôt, encore un peu de temps…

-Jessica, Jessica, mon bébé.

-baba, baba, baba.

Ils se regardent, père et fille, complètement noyé dans la débauche, et il stoppe d’un coup net. C’était trop pour lui. Elle le suit d’une seconde à l’autre. Continuant à donner des coups en même temps qu’il éjacule, elle se contracte dans la minute et hurle de plaisir.

Bien qu’ayant tenté de se retirer, il reste bloqué. Les jambes en croix de Jessica l’empêche de se vider ailleurs qu’en elle. Il déverse un bon paquet de sperme. Il ne tente pas de résister et vide ses couilles à l’intérieur de Jessica.

Ils reste un petit instant dans cette position et finalement il se retire. Un grand flot de sperme coule de sa chatte. Ils sourient, satisfaits, heureux.

Des nuages s’approchent, il va pleuvoir.

                                                                                                          ***

La clé s’introduit dans la serrure, déverrouille la porte et bientôt la porte s’ouvre.

Henri rentre dans le salon et :

"SURPRISE!!!"

C’est le cri que poussent tout les gens qui sont réunis dans le salon.

Henri s’arrête et n’arrive pas à contenir sa joie. Quel acteur.

— Oh juste ciel??! Qu’est ce que c’est ça?

Jessica rentre derrière lui et crie à son tour.

-Bon anniversaire papa!!

Dans la joie générale, Henri va saluer tout les convives qui sont venue pour lui souhaiter un bon anniversaire.

Justine, et une de ses filles sont là. Il y a Josie, son mari, et les 2 jumeaux. Pauline et Emma :

-Bonjour, Bon anniversaire monsieur Costard.

-Bonjour Emma, tu es toujours aussi belle, comme ta mère.

Emma rougit, c’est toujours aussi facile et plaisant de la faire rougir se dit il.

-Mais toi dis donc, arrête d’embêter ma petite comme ça !

On rit, on plaisante et l’après midi se passe de façon si agréable qu’Henri a du mal à croire qu’il y a 5 heures, il était en train de faire l’amour à sa fille au bord de l’océan.

On boit ici et là. ET durant la fête Martine s’approche de son mari pour lui susurrer des mots doux.

Jessica les observe d’un il tendre.

-Petite sur ? Tu veux bien m’accorder un moment ?

Jessica rejoint sa grande sur à l’écart dans un chambre.

Monica semble un peu perplexe et décide de demander assez franchement. Elle montre son téléphone. On dirait que la conversation téléphonique n’a pas été raccrochée de façon correcte.

-Qu’est ce que vous fabriquez, papa et toi ?

A suivre…

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