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De bien belles vacances – Chapitre 7




— Vous n’allez pas me laisser dans cet état…

— Julie chérie, nous allons maintenant préparer le salon pour tout à l’heure ! Nos amis arriveront vers 20 heures, je pense…

Je me remets doucement debout, soutenu par Madame.

— Je voulais aussi m’assurer que tu étais prête pour ce soir. Tu sais, tous ceux qui vont venir voudront te… connaître.

Je suis encore frissonnant de plaisir… mais plaisir frustré, interrompu si près de l’aboutissement… si je n’avais pas cette cage, je me masturberais tout de suite. Tant pis pour la soirée ! Mais je suis contraint d’attendre, de rester dans cet état !

J’aperçois Monsieur passer dans le couloir. Je n’ai d’yeux que pour sa queue. Je la veux… que m’arrive-t-il ? Je suis une vraie salope en chaleur !

Madame semble lire dans mes pensées.

— Non non ! Je te défends de te soulager avant l’arrivée de nos invités !

Je rougis de m’être fait démasquer de la sorte.

— Je sais dans quel état tu te trouves ma chérie ! C’est bien ce que je voulais.

Elle me prend dans ses bras. Je sens sa poitrine contre la mienne, son pubis contre ma cage.

Depuis plus d’une heure, je trotte dans la maison pour disposer ici des verres, là des bouteilles, des bougies,…

Un livreur est venu déposer des plateaux de nourriture. Monsieur l’a reçu avec juste un bermuda qui dissimulait mal son érection.

La cloche de l’entrée résonne alors que je dispose des assiettes sur la grande table de la terrasse. Des éclats de voix montent de l’entrée. Monsieur arrive accompagné d’un couple, la petite quarantaine. L’homme, Franck, est plutôt pas mal, assez musclé et apparemment bien membré, uniformément bronzé comme sa compagne Annie. Brune aux cheveux courts, celle-ci vient embrasser Madame à pleine bouche. Les tétons de sa généreuse poitrine sont ornés d’anneau, tout comme ses grandes lèvres.

— Vous n’êtes jamais en retard vous deux leur dit Madame

— Surtout que Jacques nous a parlé de votre nouvelle soubrette !

— Soubrette que voici. Je vous présente Lucie, notre employée dévouée.

Si je n’avais pas de cage, ma queue serait déjà bien raide devant ces deux corps superbes. Franck est déjà tout près, une main sur mes fesses alors qu’Annie me fait la bise.

— Comment faites-vous pour trouver des petites merveilles comme ça ?

— Et tu ne l’as pas encore vu à l’uvre !

Jacques retourne accueillir de nouveaux arrivants. Léa et Marie font leur entrée. Léa est une grande femme blonde un peu enrobée, aux formes généreuses. Sa grosse poitrine au téton sombre et développé contraste avec celle de son amie Marie plutôt menue. Complètement imberbe, cheveux et sourcils compris, elle est totalement dévouée à Léa comme m’a expliqué Madame.

— En fait, Marie est complètement soumise à Léa. C’est son esclave.

Je suis en train de servir les premiers verres lorsque Madame me présente les trois derniers invités. Patrick et Jean se tiennent par la main alors qu’ils me regardent tous les deux des pieds à la tête avec un large sourire. J’ai du mal à ne pas fixer leur sexe déjà dressé à tous les deux. Ils sont plutôt bien gâtés par la nature. Mon envie de queue vient de repartir au maximum. Mais lorsque je vois Carole derrière aux et que je découvre entre ses cuisses une verge tout aussi belle que les deux précédentes alors que sa poitrine pointe fièrement avec des tétons gros comme mon pouce, je ne peux cacher mon intérêt pour elle.

Dans un premier temps, je circule entre tout ce petit monde pour distribuer boissons et amuse-gueules. Les mains se font vite baladeuses et je m’arrête souvent pour profiter pleinement de leurs caresses. Lorsque Madame propose de passer à table, je comprends vite que je ne vais pouvoir faire le service facilement.

Je suis à genoux entre les cuisses de Franck pour le prendre en bouche et Patrick et Jean se sont installés de chaque côté. Je le suce tout en branlant les deux autres. Léa m’interpelle pour la faire profiter à son tour de ma bouche.

— Sarah vient de me dire que tu suces comme une fille ! me lance-t-elle avant de plaquer ma tête contre son pubis.

C’est dans la cuisine que Carole me retrouve.

— Alors ma belle, tout se passe bien ? me dit-elle en se collant dans mon dos. Tu sais que tu es bien mignonne.

Je sens sa queue grossir entre mes cuisses et venir se coller contre mon périnée.

— Jacques m’a vanté ton petit cul… que tu sais déjà bien t’en servir…

Les mains sur la desserte, je me cambre tout en ouvrant un peu mes cuisses. J’écarte mes pieds avec les talons vers l’extérieur. Je me sens m’ouvrir. Carole se colle dans mon dos, frottant sa verge maintenant bien dure le long de ma raie. Je sens ses tétons dressés dans mon dos. J’ai tellement envie que j’ai l’impression que je suis déjà ouvert, que je mouille. Son gland s’arrête sur ma rondelle et s’y introduit. Je pousse mes sphincters pour mieux l’avaler. Son pieu glisse en moi, frottant mes chairs intimes. D’une seule traite, Carole plaque son pubis contre mes fesses. Ses mains me tiennent fermement les hanches et me plaquent contre elle. Empalé sur sa queue, j’ai la bouche grande ouverte, les yeux fermés et la tête en arrière. Quelle merveilleuse sensation que cette bite au plus profond de moi ! Je me contracte sur elle pour bien la sentir. Carole semble apprécier. Elle geint à son tour avant de reculer doucement. Elle me maintient contre la desserte alors que sa queue ressort, poussant avec elle les lèvres de mon cul devenu chatte.

Je sens la corolle de son gland au bord de mon anus résister un peu. Elle pousse pour revenir en moi, faisant monter ses mains jusquà ma poitrine où elle se saisit de mes tétons entre le pouce et l’index. Alors que son gland passe sur ma prostate, elle tire sur mes tétons durcis en les tournant. Je lâche un gémissement de plaisir. Elle me lime maintenant plus vite, faisant claquer son ventre sur mes fesses. Mon gémissement est presque continu quand je sens des mains dans mon dos. Madame et Annie nous ont rejoints.

— Essaye de ne pas jouir tout de suite ma chérie, dit Madame à Carole

— Elle a un cul de reine cette petite salope, je passerai bien toute la soirée dedans.

— Laisses-en un peu aux autres lui dit Annie en se mettant dans son dos pour lui caresser le cul. Ton cul aussi est bon…

Madame m’embrasse et me tend un plateau

— Apporte donc ceci sur la table !

Carole se recule, laissant un grand vide dans mon cul, et je me dirige vers la terrasse.

Monsieur est en train de sucer Jean pendant que Patrick l’encule. Franck, assis sur une chaise, se caresse doucement en me regardant approcher. Il m’attrape le bras et me positionne au-dessus de lui dès que j’ai posé le plateau. Il guide sa queue dressée sur ma rondelle et je m’empale sur lui. Je lui tourne le dos et je peux regarder Monsieur se faire limer par Patrick. Monsieur bande fort, même avec cette grosse bite dans le cul.

Marie a été attachée sur un fauteuil avec les pieds ligotés aux accoudoirs. Ces deux orifices sont remplis par des godes.

Franck me pousse devant lui. A quatre pattes sur le tapis, je suis à hauteur pour prendre Monsieur en bouche qui a toujours la queue de Patrick dans le cul. J’attrape celle de Jean pour le branler alors que Franck revient me prendre. Madame, Annie et Carole reviennent de la cuisine et Carole me tend sa bite pour la branler aussi.

— Notre petite soubrette est une vraie femelle en chaleur, s’exclame Sarah, une bite dans le cul, une dans la bouche et une dans chaque main !

Annie se glisse sous mon ventre et me lèche les couilles. La pression de ma cage est forte. Madame s’approche pour s’occuper de mes tétons.

Pris au milieu de tous ces sexes, sollicités de toute part, le plaisir me gagne rapidement. Je suis un pantin entre tous ces corps. J’explose en criant sur la queue qui me remplit la bouche. Je sens ma queue couler. Celle qui me lime le cul me lance des frissons dans tout le corps. La bite dans ma bouche éjacule de longues giclées de semence épaisse. Je ne sais pas combien de temps cela dur mais les étoiles dans mes yeux mettent du temps à se dissiper.

Jean m’aide à me relever du tapis où je me suis allongé.

— T’as pris un sacré pied ! me dit-il en me guidant vers un divan.

A peine assis, il se penche vers moi pour m’embrasser. Je sens sa verge dressée contre mon ventre. Je la saisis pour la caresser. Il s’écarte un peu. Je plonge sur cette queue gorgée de sang. Je la suce un bon moment avant qu’il me fasse me redresser. Il me retourne et guide sa verge vers ma chatte. En quelque coup de reins, il est en moi. Il se met alors à me labourer les reins avec des coups rapides. Sa bite est assez longue et je la sens loin dans mon ventre. Il jouit en poussant un long gémissement. Sa queue s’est durcie encore un peu et je sens son foutre me remplir.

Quand il se dégage pour regagner la terrasse, Carole finit de faire jouir Marie toujours ligotée à son fauteuil. Elle lui lèche la vulve tout en lui fistant le cul. Elle bande fort et son gland perle de plaisir.

Elle me fait mettre debout et m’entraîne vers la piscine. Un transat est déjà occupé par Monsieur qui se fait prendre par Patrick. Carole m’embrasse puis me fait mettre à genoux pour la sucer. Sa queue est bonne, juteuse déjà. Je ne parviens pas à la prendre toute en bouche et je lui caresse ses grosses couilles toutes lisses. A quatre pattes sur le transat, la tête dans les coussins, je lui offre mon cul. Sa langue plonge dans mon trou alors qu’elle me tient les bourses. A peine redressée, elle plonge sa bite dans mon fondement et après quelques pénétrations lentes mais fermes, elle me baise violemment en me tirant contre elle avant de me repousser. Je sens ses couilles frapper les miennes. Son gland turgescent frotte mes chers intimes. Elle me retourne pour me mettre sur le dos. Je me tiens les genoux largement ouverts alors qu’elle me reprend en tenant le haut des cuisses. Sa poitrine bat la mesure, accompagnant ses puissants coups de reins propulsant sa grosse queue au fond de ma chatte.

Je me sens alors tellement femelle ! Annie et Léa sont venues s’assoir de part et d’autre de ma tête. Elles parlent mais je ne comprends rien, tellement secoué par Carole qui est en train de faire à nouveau grimper le plaisir du creux de mon ventre. Mes tétons me tirent. Madame s’est approchée. Je la devine au-dessus de moi. Soudain ma queue se libère. Madame a ouvert ma cage. Ma verge se gonfle instantanément, suintant de plaisir. Les doigts d’Annie et de Léa me caressent. Carole accélère encore et explose. Je crie. Ma queue s’enflamme et crache. Je me vide sur mon ventre quand Carole se répand en moi. Essoufflé, je reste sans bouger un moment. Je laisse descendre mes jambes. Carole est toujours profondément logée entre mes fesses. Mes sphincters se contractent par à-coups de façon incontrôlée autour de son pieu de chair qui garde encore de la vigueur. C’est bon de le sentir encore en moi. Annie et Léa étalent doucement ma semence sur mon torse du bout des doigts qu’elles me tendent de temps en temps pour les lécher.

Carole me branle doucement tout en bougeant doucement dans ma chatte.

Les esprits s’apaisent tranquillement. Franck, Annie, Patrick et Jean prennent congé. Madame demande à Léa, les yeux brillants, de rester pour la nuit. Léa accepte bien volontiers en l’embrassant à pleine bouche.

— Laisse Marie aller se coucher avec Jacques, lui dit-elle, il trouvera bien un peu d’énergie pour la sauter !

— Je pensais la faire dormir au pied du lit… tant mieux pour elle !

— Et toi Carole, tu restes aussi ? Je pense que Julie ne va pas se coucher seule, n’est-ce pas ?

— Tu as tout compris ma chérie ! Cette petite me plaît bien !

Carole s’approche de moi et me prend dans ses bras.

— Tu veux bien, me glisse-t-elle à l’oreille… j’ai encore envie de toi…

— Oui… moi aussi…

Son corps contre le mien me fait frissonner de plaisir. Cette… femme m’attire. J’adore son corps, sa poitrine, son sexe… Elle est toute douce, attentionnée.

— Viens, allons nous coucher…

Elle m’entraîne vers l’escalier, en souhaitant une bonne nuit aux autres.

— Tu sais quelle chambre nous pouvons prendre, lui dis-je

— Oh oui ! Tu sais ce n’est pas la première nuit que je passe ici. C’est vrai que c’est le plus souvent dans celle de Sarah et Jacques que je dors mais je connais toute la maison !

A peine dans la chambre, elle me couche sur le lit et m’embrasse. Très vite, nous sommes en 69. Au-dessus de moi, elle me baise littéralement la bouche en me forçant à avaler sa belle queue au fond de ma gorge. Plusieurs fois j’ai l’impression que je vais étouffer. Je finis par la prendre entièrement. J’ai les yeux remplis de larmes, la bouche dégoulinante de salive. Carole me retourne sur le ventre en mettant un oreiller sous le ventre. En se posant sur mon dos, elle m’ouvre les cuisses en écartant ses genoux. Sa queue semble trouver le chemin de ma chatte toute seule. Elle me prend d’un coup alors qu’elle se couche sur moi. Sa poitrine s’écrase sur mon dos. Elle passe ses mains sous ma poitrine pour me saisir les pectoraux fermement. Elle donne de profonds coups de reins, plaquant son bassin contre mes fesses, poussant sa verge au plus profond de mon ventre. J’écarte largement les cuisses pour m’offrir encore davantage. Ses va-et-vient sont lents mais puissants. Complètement dominé sous cette femme phallique, je la laisse bien volontiers profiter de moi.

Couché sur ce lit, je peux apprécier pleinement cette situation. Ma poitrine malaxée me donne l’impression d’avoir des seins aux tétons sensibles. Lorsque les coups de reins accélèrent, je sens un gain de vigueur dans ce pieu de chair qui me lime. Le gland se fait plus gros et masse mieux ma prostate. Ma queue durcie sous mon ventre frotte le drap au rythme des coups de reins. Son souffle court dans mon oreille ponctué de mots crus intensifie encore mon excitation. Elle se raidit soudain, poussant encore plus fort sur mes fesses, inondant mes entrailles de sa semence. La mienne coule aussi sous mon ventre. Je lâche un cri, la tête pleine d’étoiles.

Couchés sur le côté, sa queue toujours en moi, nous récupérons doucement de ce dernier coït. Nous sombrons toutes les deux dans les bras de Morphée alors que d’autres cris s’élèvent de la chambre voisine.

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