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Le strip-tease imposé à ma femme – Chapitre 1




Après l’incroyable scène qui s’était produite chez le couple Jacques et Myriam, les semaines et les mois sont passés ou à la fois ma femme refusait de se montrer nue ou en sous-vêtement dans la vie de tous les jours mais acceptait certains petits jeux en prélude aux cunnilingus qu’elle me réclamait .. Mais au bout d’un moment il lui arrivait de freiner son plaisir pour aller s’enfermer dans la salle de bain .. Par ailleurs il m’était presque impossible durant tout ce temps de lui faire l’amour sans la revoir se tortillant sur la table d’auscultation.. alors qu’elle même n’arrivait pas à retrouver ces sensations qui lui semblait interdites et honteuses. Au point, je l’appris plus tard qu’elle se confia à son amie, Catherine, collègue de travail dans l’entreprise pharmaceutique où elle était secrétaire.. Bien sûr fasciné par le souvenir de cette soirée de strip-tease imposé et par ce qui avait suivi, je n’avais de cesse d’imaginer un stratagème pour retrouver toute l’équivoque d’une telle situation… Au point par exemple d’échafauder tous les scénarios possible quand par exemple nous faisions les courses au supermarché, j’aurais donné n’importe quoi pour nous voir entraîner dans le local des vigiles, qu’elle soit suspectée de vol et doivent subir une fouille qui passait forcément par un effeuillage sous la contrainte.. mais en vain, on est pas dans une histoire…car la séance d’abus physique que j’imaginais de la part de jeunes vigiles aussi bien membrés que pervers relevait bien du pur fantasme délirant et j’en étais quitte pour me tourner la scène quand ma femme acceptait de me sucer du bout des lèvres et dans le noir.

Mais la chance allait m’accompagner au-delà de toute espérance avec cette collègue de travail que je connaissais d’ailleurs à peine pour l’avoir rencontré à la maison quelque fois .. cette Catherine que je croisais en attendant Patricia dans ma voiture à la sortie de son travail …elle avait dans la cinquantaine, et était assez allumeuse dans son comportement…me brancha sur une petite soirée que le service administratif de la boite organisait la semaine suivante…

’ Patricia m’a raconté votre petite mésaventure chez le copain toubib…ça l’obsède…Elle a besoin de se changer les idées, venez-donc à cette petite soirée, on sera entre nous et on pourrait encore trouver un moyen de s’amuser… ’

Là vraiment je ne saisissait pas ou elle voulait en venir mais j’ai commencé à avoir des doutes quand dix minutes après Patricia a fini par m’avouer qu’elle lui avait aussi parlé des petites mises en scènes érotiques que j’inventais ou surtout voulait qu’elle accepte du genre se dévêtir dans des allées d’immeuble ou quiconque pouvait surgir.

Bien sûr je me gardais bien de faire allusion aux propos équivoques de Catherine sur la fameuses soirées.. les jours qui suivirent j’avais la tête en ébullition et l’imagination en cavale….mais je me raisonnais face aux désillusions quotidiennes de mes tentatives de stratagème…J’avais fini par penser qu’on allait lui faire raconter en public sa petite expérience, suprême affront avec ses collègues de travail…de toute façon ma femme ne voulait pas y aller, mais là j’avais ma petite idée.. d’autant que je m’étais fait préciser le lieu et l’adresse en téléphonant à la réception de la boite..

Le soir arriva et je réussi à convaincre Patricia de s’habiller pour sortir au restaurant… c’est à dire mettre une robe et des chaussures à talon , ce qui la connaissant était un exploit depuis notre mésaventure ou elle avait plutôt banni les jupes ou les robes…Elle portait un ensemble chasuble avec petite veste cintrée .. Le printemps approchait et allait ramener les vêtements légers, mais les femmes dans la rue étaient encore habillées comme en hiver… dans la voiture j’en profitais pour mater ses genoux …

Nous dînâmes dans un petit restos que je m’étais fait conseillé non loin de l’adresse en question et en repartant je en me souviens plus comment je me suis emmêlé les pinceaux pour lui rappeler la soirée, que je connaissais l’adresse et que justement nous passions devant la maison du lieu de la soirée..

Je réussi à la convaincre que si tout le monde était là, la seule absente se ferait allumer le lundi suivant…

’ Juste un petit quart d’heure, le temps de dire bonjour… ’ Je vous épargne la suite car je sens que vous avez très envie d’en venir au fait… Nous fûmes reçus avec des cris de bienvenue, visiblement on s’amusait bien dans cette atmosphère vaporeuse provoquée par les fumées des cigarettes et une musique de salsa qui faisait se trémousser quelques couples au centre d’un vaste salon .. je ne connaissais pas la moitié des invités.. peut-être une trentaine de personnes, surtout des couples…moyenne d’âge quarante ans.. donc pas vraiment de minettes à part une ou deux stagiaires plutôt mal habillées…Je sentais les regards des hommes sur ma femme presque la mieux vêtue de cette soirée avec sa robe et ses chaussures à talons.. il faut dire et je ne l’avais pas précisé auparavant qu’elle est plutôt mignonne, cheveux châtain blonds mi longs, yeux noisettes, un mètre 68, le genre poupée réservée avec un voix très douce qui traîne sur les labiales.. depuis peu elle devait porter des lunettes pour la fatigue des yeux, elle les avait mise puisque nous étions en fin de soirée…des petites lunettes rondes qui lui donnait un air un peu intello…de plus elle était assez gironde avec des fesses rebondies et du 95D de poitrine et comme elle est assez cambrée, sa poitrine forte ressort en général.. là sa robe la moulait plutôt très prés…et je pris un grand plaisir a voir les regards masculin suivre le mouvement de ses jambes quand elle s’assit dans un des sofa et que la robe remonta presque à mi-cuisse . Patricia le remarqua aussi et s’empourpra, elle connaissait tous ces mâles qui avaient plus l’habitude de la voir en pantalon ou avec des vêtements assez flou. Catherine qui nous avait rejoint enfonça le clou :

’ elle est très coquette , notre Patricia …ce soir ! ’

Elle avait dit cela très fort avant de disparaître vers un groupe voisin. Le premier quart d’heure fut assez long et après trois biscuits et un jus d’orange Patricia voulait partir.. Jean Bernard surgit alors, je savais que ce cadre avait tourné autour de mon épouse au boulot, il fit taire l’assistance en déclarant : ’ je propose puisque l’ambiance retombe que l’on rejoue a nouveau au jeu de la vérité et je propose que ce soit la dernière arrivée qui s’y colle pour commencer ’ Et de designer Patricia qui faillit en renverser son verre.. Malgré une bonne minute de négociations et d’hésitation, elle put évidement rien faire pour refuser face à l’assistance qui approuvait, elle concentra ses efforts pour se lever de ce sofa bien bas sans que le bas de sa robe ne remonte trop.. je la reconnaissais bien.. et c’est toute confuse qu’elle prit place au centre du vaste salon emmenée par Jean Bernard. J’avais entendu parler de ces petits jeux de société entre collègues relancé sans doute par ’ les lofteurs ’, mais j’imaginais mal ce qu’elle allait bien raconter.

Catherine l’invita a quitter sa veste, la aussi son refus initial fut balayé par l’insistance des premiers rangs et c’est dans sa petite robe crème , les épaules nues qu’elle se retrouva debout, très gênée parce qu’elle a horreur de s’exprimer en public , pour subir l’épreuve du jeu de la vérité.. Catherine pris le relais en interrogeant tout haut l’assemblée :

’ Qu’est ce qu’il faut demander à Patricia ? ? ’ ce jeu dans sa version branchée veut que l’on pose des questions très précises en général tres intime et qu’une fois la réponse apportée selon le sujet le groupe clame :

’Prouve le !’

Très en vogue dans les fin de soirée mondaine…

Age, défaut principal, manie, passion en dehors du boulot, Patricia passait le cursus habituel et se détendit quand il fallu prouver que le chant était son dada ( elle fait partie d’une chorale ) et nous en poussa une.. tout cela était finalement bon enfant, et j’en vins presque à regretter mes pensées obscènes du début.. pourtant je ne pouvais m’empêcher dans certains regards de deviner quelques arrières pensées en la voyant là avec robe couleur crème, toute gentille et timide à la fois… mon regard croisa celui de Catherine : j’eus la sensation qu’elle devinait mes pensées et elle s’adressa à moi :

’ à présent demandons à Patrick quelle serait la dernière question à ne surtout pas poser à sa femme devant tout le monde ? ’

Alors là… déjà électrisé sans doute en voyant celle-ci blêmir comme si elle s’attendait à ce que j’allais dire , et je ne sais toujours pas comment j’ai pu dire ça, mais je le dis à haute voix :

’Lui demander ce qu’elle porte sous sa robe.. ’

Il y eut comme une chape de plomb .. personne ne s’attendait à ce que je dise cela : mais quand on jette un os dans l’arène ça peut transformer une foule…quelques ’haa’ de stupeur’ et quelques rires étouffés…D’autres indignés, surtout des dames me semblait-il.. mais Catherine rebondit aussitôt :

’Voilà une bonne question.. qui va mettre du piquant au jeu, bravo Patrick !’

J’étais tétanisé, tout le monde me regardait à présent…J’avais oublié Patricia, quand je revenant sur elle attiré par sa voix :

’ Arrête, Patrick ; je t’en prie et toi Catherine ce n’est pas drôle !!’

— C’est le jeu…ma chérie..

Patricia renchérit en disant qu’elle ne jouait plus mais ce fut un tollé dans la pièce..

Catherine la mit devant le fait accompli :

’ Tu vas pas encore jouer la sainte nitouche ici, ça suffit au boulot.. hein, qu’est ce que vous en pensez tous ? ’

Patricia ne savait plus que faire face à une déferlante de huées la concernant.. Elle resta finalement muette comme en signe d’acceptation..

De nouveau je ressentais cette atmosphère particulière qui m’avait subjugué durant l’expérience précédente : j’imaginais ce qui pouvait arriver mais ce qui allais suivre dépassera mon imagination …Comme Patricia restait totalement muette aux invitations de Catherine et des autres pour décrire ce qu’elle portait sous sa robe, ce que j’ignorais dans le détail également.. Sa collègue contourna ce silence :

’ alors je pose les questions et tu réponds : tu as sans doute un soutien-gorge sous cette robe ? ’

Patricia les yeux baissés ne répondait toujours pas ..

’ Si tu ne répond pas , tu as un gage, Patricia… ’

Les autres s’exclamèrent – oui, un gage ! !-

Alors ma femme d’une petite voix prononça un ’ oui ’ imperceptible ; mais Catherine ne lui laissa pas le temps de respirer :

’ Alors quel couleur ? ’ Puis s’adressant aux autres ’ La petite Patricia doit certainement être sagement une adepte du blanc , non, c’est ça ? ’

Ma femme s’était décomposée : elle me regarda mais ne s’étonna pas de voir certainement que je commençais à jubiler. Pressée par Catherine elle hocha finalement la tête pour indiquer qu’elle portait du ’ blanc ’.

. Sa collègue de bureau leva les bras et invita l’assistance comme prévu à pousser le fameux ’ Prouve -le ! ’

Patricia s’était reculée.. On entrait dans le vif du sujet : évidemment la menace d’un gage peut-être encore plus contraignant poussa malgré tout ma femme à tenter de ’ prouver ’ en montrant le moins possible : elle tira une des épaulettes de sa robe sur un morceau de bretelle effectivement blanche.

’ Non, ma chérie, on ne voient rien du tout comme ça… ’

Moi, d’où j’étais placé j’avais bien vu qu’elle était bien simplement en soutien-gorge sous le haut de sa robe…C’est Jean-Bernard qui s’étant approché, a conduit les invités en leur désignant du doigt la fermeture à glissière dans le dos , à réclamer que celle-ci soit descendu pour avoir réellement une preuve… Patricia ne savait plus quoi faire, elle s’empourprait de plus en plus.. La situation glissait vers sur un terrain plus qu’excitant… Elle supplia les premiers rangs d’arrêter cette comédie , mais sa supplique déclencha plutôt une franche hilarité..

Elle voulut quitter le centre de la pièce mais un mot glissé à l’oreille la retint ; une menace ?

Elle comprit sans doute qu’il n’y avait plus grand chose à faire que de céder à cette soi-disant dernière épreuve…

Jean Bernard s’était attaqué au bouton dans le haut du dos et puis a commencé à descendre le zip, lentement, plusieurs personnes se sont alors déplacé pour regarder..

Patricia croisait ses mains nerveusement en sentant sa fermeture descendre.. Jean-Bernard paru déçu de ne pas pouvoir aller plus loin qu’à moitié du dos : le zip ne descendait pas plus bas.. On apercevait cependant très nettement l’attache du soutien-gorge avec une double agrafe.. Catherine leva les bras pour inviter le groupe a réclamer plus… ’ On ne voit toujours rien !! ’ ce fut en gros ce qu’elle incita tout le monde à crier…Cette petite séance semblait vraiment beaucoup amuser tous ces gens…Autant les hommes que les femmes d’ailleurs…Patricia était loin de s’amuser, elle réagit très mal à cette harangue de l’assistance :

’ C’est terminé ! Vous me laissez tranquille maintenant.. ’

Elle était furieuse… Selon l’expression ses yeux lançaient des éclairs derrière ses petites lunettes…

Je tiens maintenant à préciser que ce qui va suivre s’est déroulé très vite…Tout va basculer en moins d’une minute peut-être, je n’ai pas calculé… tout le contraire de ce qui s’était passé chez Jacques et Myriam où l’exhibition de ma femme avait duré un long moment au fur à mesure qu’elle étaient dénudée.. Ici tout a été très rapide dans une ambiance non plus lourde mais électrisée, mais la sensation était pourtant décuplée avec tout ce monde , et en plus des gens qui connaissaient très bien ma femme…

C’est Jean Bernard qui se trouvait toujours derrière elle qui a saisi la balle au bond : ’ Non, ce n’est pas terminé, puisqu’on te dis qu’on ne vois rien.. ’En même temps qu’il parlait il s’est accroupit ..je ne comprenais pas son geste puis en prononçant je crois un truc du genre : ’ maintenant on va voir ! ’ il a brusquement écarté et tiré sur les deux épaulettes et tout en pliant les jambes descendu d’un coup sec le haut de la robe jusqu’à l’estomac de ma femme, dévoilant pour de bon le soutien-gorge blanc qui enfermait sa poitrine : elle poussa d’abord un petit cri aigu sous l’effet de la surprise, suivi d’un cri plus rauque qui modulait un ’ non ! ’ plaintif…

Elle secouait la tête en essayant de se débattre parce que la robe baissée lui avait enfermé les avant bras et elle était offerte en soutien-gorge sans pouvoir se rhabiller : les rires fusaient dans l’assistance mais aussi les commentaires des hommes en découvrant le soutien-gorge de marque qu’elle portait : toujours à armature sous les bonnets, galon de dentelles sur les bretelles et sur le décolleté, et des broderies qui dissimulait les pointes de ses seins : ma femme se contorsionnait sous l’effet de la honte et elle se mit a vociférer en traitant Jean-Bernard de salaud.. tandis que Catherine tout en la désignant du doigt à la cantonade se moquait d’elle apparemment.. tout cela encore une fois en quelques secondes .. car en s’attendant traiter de salaud Jean Bernard qui était toujours accroupi derrière a dit quelque chose comme :

’là je suis un salaud ’ tout en saisissant à nouveau les deux pans de la robe qui faisaient des plis tout autour du ventre de Patricia et en tirant à nouveau pour amener le vêtement sur ses pieds .. il du s’y reprendre à deux fois car Patricia ayant compris la manoeuvre avait tenté de s’écarter, mais elle ne put éviter le pire : la robe entraînée toute entière à ses pieds la dévoilant en collant ! Elle cria encore plus fort je me souviens et libérée de ses mains essaya de rattraper sa robe , mais en sursautant sous l’effet de la surprise, elle l’avait enjambée et ce qui n’était plus qu’un morceau d’étoffe avait déjà été poussé du pied par Catherine sous les hourras du groupe..

Voyant qu’elle ne pouvait plus se couvrir, Patricia se baissa maladroitement tout en tournant et couvrant de ses mains son bas ventre et de ses avant-bras sa poitrine…Beaucoup riait aux éclats, un voisin s’exclama : ’Génial !’.. une femme plus loin : ’ elle est pas gênée de se montrer comme ça !! ’

Patricia ne savait plus ou se mettre en pleine lumière au milieu de la pièce, elle était à moitié recroquevillée tentant de cacher comme elle le pouvait le haut de son collant et la culotte qu’il couvrait mais de par sa position , le buste en avant, sa poitrine débordait du soutien-gorge et la rendait encore plus excitante et ridicule à la fois :

de plus elle se mit je crois à dire ’ au secours ! ’ ou encore ’ ne me regardez pas !’ ce qui eut pour résultat d’accentuer les rires et moqueries à son égard, aussi comme si elle prenait conscience de sa situation elle se mit ensuite à trépigner en fermant les poings…découvrant pour de bon le bas de sa personne et les hommes purent à loisir détailler le collant chair à démarcation, plus sombre au dessus des cuisses et dessous en transparence la gaine culotte blanche qu’elle portait : un losange unis au dessus du bas-ventre et le reste de la culotte chamarré de motifs fantaisies…sous un collant ma foi très sobre dont l’élastique remontait pratiquement jusqu’au nombril… J’hallucinais, ma femme en sous-vêtements devant tous ses collègues de travail.. Certains cris ’ A poil ’ commençaient à se faire entendre …Patricia injuria ceux qui avaient crié sans trop discerner d’où cela venait…Je n’en revenais pas , elle employa des mots que je n’avais jamais entendu dans sa bouche…Cela eut pour effet de réveiller le fameux Jean-Bernard qui s’était relevé et reculé pour contempler son oeuvre et mater celle qu’il avait dépouillé de sa robe, rejoint par un petit groupe d’homme qui voulait voir de plus prés la gentille secrétaire en petite tenue… Jean-Bernard dit quelque chose à l’oreille de Catherine qui fila dans une autre pièce tandis qu’il faisait signe aux hommes d’attraper Patricia par les bras .. Ils la maintirent avec un plaisir non dissimulé, et en voyant ma femme se faire tenir les bras en collant et soutien-gorge par quatre ou cinq homme et continuer à la fois à grogner et pleurer de dépit je sentis une onde parcourir toute ma colonne vertébrale jusqu’à mon sexe ; c’était trop bon, et j’ai carrément senti cette sensation se multiplier quand Catherine est réapparue avec une paire de ciseau..

Encore une fois les secondes s’écoulaient à toute vitesse mais la scène est imprimée dans ma tête … Jean-Bernard alors raconta un truc sur les injures de ma femme lui demandant de les retirer, elle lui cracha au visage !!! Je répète : elle lui cracha au visage tenue par les deux bras, incroyable, c’est alors que sous les bravos il coupa la bretelles droite du soutien-gorge, son sein gauche entraîné par les mouvement brusques de Patricia sortit presque du bonnet libéré..

Je me faisais tout petit imaginant qu’on allait me dire – Patrick fais quelque chose mais personne ne se préoccupait de moi à ce moment là, d’ailleurs aussitôt Patricia hurla de rage mais le ciseau avait déjà sectionné la bretelle gauche ayant le même effet pour l’autre sein, mais les armatures maintenaient encore les bonnets à galons de dentelle.. ce qui surpris un peu Jean-Bernard, un répit où une voix s’éleva : une femme brune plutôt plantureuse qui se leva en criant ’ assez ! ’

Elle exigea que Patricia soit libérée et se rhabille : ce devait être un cadre, mais ce silence qui s’était établi comme si l’assemblée reprenait ses esprits, fut troublé par une gerbe de sanglots : Patricia comme soulagée de sentir la fin de son calvaire proche pleuraient à chaudes larmes…

Ce fut au contraire un stimulant pour les hommes qui la maintenaient toujours : l’un d’eux apostropha la brune :

’ D’ accord, Laurence, mais tu prends sa place ! ’

Elle recula … Jean-bernard la toisa : ’ Alors ?’

Cette Laurence eu une hésitation puis avec un air de défi elle lança :

’ S’il le faut ! ’

Jean -Bernard s’approcha en posant son regard sur les rondeurs que laissaient deviner son pull moulant :

’ Donc tu vas retirer ton chandail et descendre ta jupe… ’

Laurence eut un sursaut puis esquissa un geste vers son pull quand un homme la rejoignit en lui ordonnant d’arrêter ses conneries et la prenant par la main il l’entraîna vers le vestiaire puis la sortie.. sans doute son mari.. le couple fut suivi d’une demi-douzaine de personne qui protestaient mais qui ne levèrent pas le petit doigt en passant près de Patricia toujours maintenue, sanglotante, les seins a demi pendants dans son soutien-gorge relâché et les jambes à moitié pliées dans son collant comme si elle était sans force.. les rires réapparurent à cause d’un autre couple : la femme tirait vers la sortie son mari qui voulait lui rester au contraire… Quant ils furent tous partis, il y avaient encore plus d’une vingtaine de personnes dans la pièce .. et un coup d’oeil sur les visages laissait voir une certaine avidité à regarder la suite..

<cette suite c’était la poitrine de Patricia que Jean-Bernard libera du soutien-gorge blanc par un dernier coup de ciseau non sans que celle-ci se soit mise à s’excuser très vite avec des mots hachés quand elle vit le ciseau s’approcher de son aisselle tandis qu’un de ses -gardien- lui levait le bras gauche .. elle eut beau crier , le ciseau glissé sur sa peau trancha la matière élastique et les seins apparurent enfin : sa poitrine était plus forte que la dernière fois parce que Patricia avait pris de nouvelles rondeurs à cause de médicaments : les deux globes se balançaient aux yeux de tous avec leur pointes bien charnues : j’ai cru entendre alors autour de moi des phrases comme ’ sacrés nichons ’ ou bien ’ baisable ’ je les adorais ses seins, et de les voir ainsi exposés alors qu’elle avait fermés ses yeux sous l’emprise de la honte me procurait à nouveau un plaisir sans limite : des hommes sifflèrent avec leurs doigts cette mise à nue : Patricia avait glissé des bras de ses gardiens à genoux sur le sol, comme abandonnée, la bouche ouverte , la tête en arrière avec des hoquets provoqués par les larmes qui ne venaient plus… cette image me transperça, en une fraction de seconde je passais du plaisir à la pitié, ou plutôt à l’amour et voulut me lever pour la secourir, arrêter enfin ce spectacle qui me rabaissait autant qu’elle .. mais des mains bien ou mal intentionnées me retinrent, mes voisins avaient anticipé mon mouvement et ne voulaient pas que je bouge.. le jeune homme le plus proche me rentra même ses ongles dans la chair, d’une seul main, et je remarquais que son autre main était plongée dans sa braguette…Je n’étais pas maîttre de la situation et je ne l’avais peut-être jamais été…

Une femme s’était approché de Patricia prostrée avec les bras croisés sur ses seins : je la reconnus ; Odile, une peste , une commerciale que ma femme détestait : elle l’apostropha :

’ Tu ne fais plus ta mijaurée.. Patricia.. maintenant que tu les seins à l’air et je suis sûr que ça te plait d’exciter les mecs avec ta frimousse de fille modèle à moitié à poil !!! ’

Catherine s’approchant :

’ Oui, elle doit mouiller, c’est une habituée maintenant.. on va vérifier… ’

Patricia ne cessait de répéter ’ -arrêtez, arretez… ’

Invités par les deux femmes, le même groupe d’homme la saisit une fois encore et le releva tant bien que mal : elle était comme un poids mort à présent …Catherine avait repris le ciseau :

’ Tu vas d’abord mieux nous montrer ta culotte, ma vieille .. ’

Elle parlait avec une voix perçante, emportée par la situation , se régalant de la détresse de mon épouse.

Patricia avait trouvé la force de dire :

’ je vous en prie, j’ai trop honte d’être comme ça… ’ puis ’ Pas devant les hommes… ’ Ma femme avait toujours le mot de l’évidence, mais certaine femmes présentes , ça se voyait, prenaient autant leur pied de la voir ainsi bafouée et humiliée…

Catherine tira l’élastique souple du collant et tailla dedans malgré les coup de jambes que lui donnait ma femme, elle arracha le collant par lambeau sur la gaine culotte qui révéla enfin toute sa blancheur puis encouragé par l’assistance elle essaya de passer sa main entre le tissu et le ventre, mais le sous-vêtement était très tendu et Patricia recommençait à se débattre en poussant de petit cris affolés : alors aidée d’Odile elle roula le bord de la culotte renforcée et la glissa par saccade jusqu’à la lisière du pubis : je me disais dans ma tête : est-ce bien possible ce que je vois : deux femmes en train de déculotter mon épouse maintenue par quatre homme qui n’en perdaient pas une miette…De plus pendant que les deux femmes s’affairaient à baisser la gaine-culotte Jean Bernard et les autres s’étaient mis à lui peloter les seins sans retenue, titillant les bouts bien érigés et faisant pousser de petits cris à Patricia…

Finalement à mi-course Odile glissa sa main vers le sexe de Patricia qui se mit alors à gémir mais de honte et en agitant sa main elle s’exclama :

’ C’est ça , elle mouille, la garce !!! ’

Etait-ce vrai ? Patricia ne me le dira pas … Puis Odile dit un truc comme ’ on va la contenter ’, là je ne me rappelle plus, tant j’étais sous le coup de cette situation…mais cette phrase déclencha une véritable scène d’hystérie, plusieurs hommes et femme se précipitèrent sur ma femme , elle fut emmenée , portée vers un des sofas au fond la pièce : j’aperçu qu’on la déculottai pour de bon tandis qu’elle suppliait le contraire : je voulus me lever mais les mêmes mains ou d’autres me saisirent encore pour me retenir, sauf que cette fois c’était pour aller voir… Tout cela se passait très vite…il avait tout un groupe autour du sofa ,je ne voyais que des dos , les femmes riaient tout ce qu’elles savaient tandis que les hommes faisaient des plaisanteries : tout cela couvrait les cris de Patricia , des cris qui se transformèrent petit à petit…J’aperçu sa culotte qui était passé de mains en mains…puis ma femme se mis à glousser de sa façon si caractéristique quand elle commence à avoir un plaisir intense … je ne voyais toujours rien et l’on me tenait toujours bien que je réclamais pour aller voir : c’était atroce de ne rien voir après avoir justement vu tout ce qui s’était passé…Les femmes riaient de plus belle, l’une d’elle était penché entre les jambes de Patricia, je ne distinguais pas qui.. Patricia haletait à présent , j’aperçus Jean-bernard qui se vautrait sur sa poitrine et qui lui suçait un bout de sein, puis à nouveau rien, seulement les gloussements de plaisirs qui prenait de l’amplitude.. Quelqu’un apporta ce qui me semblait être un vibro-masseur… ce devait être ça car juste après j’entendis des ’ non, non ’ répétés de Patricia puis une longue plainte …quelqu’un cria à peu prés : ’ on va la faire jouir par tous les trous ’ et puis plus rien…Patricia m’expliqua après qu’elle avait du s’évanouir tant la jouissance qu’elle ressentit fut forte…En tout cas ils prirent peur et l’on m’appela…je trouvais ma femme nue sur le sofa les yeux fermés en train d’haleter doucement, les jambes très écartées au point que malgré sa pilosité rien n’était caché de son sexe ouvert surtout au niveau du vagin d’ou s’écoulait un liquide jaunâtre.. je m’apprêtais à lui demander si elle avait mal quand au contraire elle me répondait qu’elle avait joui comme jamais.. Je me suis demandé si je ne rêvais pas …Une femme m’a proposé alors de me sucer devant Patricia…J’étais pourtant encore bien raide mais j’aurais préféré m’enfuir.. On me posa dans les bras sa robe déchiré et sa culotte…ainsi que ses lunettes, je n’avais pas remarqué quand elle les avait quitté…

Je l’ai rhabillé tant bien que mal sous les quolibets…la musique avait repris et une fille s’était mis seins nus au milieu du salon en criant ’ Regardez , je suis Patricia… ’ Seulement cette parodie n’intéressais plus personne.. beaucoup d’homme avaient disparus et deux femmes étaient en train de se caresser mutuellement sur un des fauteuils..

J’ai trouvé tout ça difficile à croire…

Patricia rhabillé tant bien que mal , nous avons pris un taxi car j’étais incapable de me rappeler ou nous étions garé : elle tremblait de froid..

Cette soirée l’a anéanti mais a développé son envie de retrouver un plaisir défendu parce que lié à des situations extrêmes … arrêt maladie, puis prolongation et démission, elle n’a remis les pieds qu’une fois à la boite pour l’entretien de préavis : elle m’avait demandé de l’accompagner …au delà de la honte de traverser l’accueil et les bureaux administratifs, le plus difficile fut de se retrouver face à face dans un bureau avec un des hommes qui l’avait maintenu lorsqu’on la dénudait…

Il l’a obligé devant moi à ouvrir son chemisier et à baisser son pantalon à mi-cuisse pour voir son soutien-gorge et son slip … je ne plaisante pas …C’est un monde de dingue et quand on y prend du plaisir on trouve des alliés partout…et ce connard lui a sucré une partie de ses indemnités par la suite sous la menace dans un courrier manuscrit que la petite soirée avait été filmé avec un caméscope…et qu’il fallait peu de chose pour que la cassette circule …C’était des bobards en fait, j’en ai eu depuis la preuve..

Par contre la publication sur le site Xstory de notre mésaventure initiale a attiré l’attention d’un couple qui a prévenu Jacques et Myriam et j’ai reçu un e-mail de Jacques : il m’explique que ce couple fait partie des nombreuses personnes a avoir pu visionner un enregistrement de strip-tease de ma femme, parce que Jacques aurait un dispositif pour filmer certaines de ses patientes…Le couple en question qui a reconnu l’histoire les a prévenu et Jacques souhaite nous revoir au plus vite …Intox à nouveau… ?

Patricia n’a pas du tout apprécié et veut savoir si ce film existe. Mais que faire ?

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