Leila : On n’irait pas prendre une douche puis faire un petit sauna ?
Lilou : OK pour moi, ce sera plus relaxant.
David : Je vous passe vos maillots.
Moi : n’oublie pas ton sac Lilou
Nous remettons chacun notre maillot et allons vers les douches. Je ferme la marche, je peux ainsi voir le superbe corps de Leila, je n’avais, jusque-là, vu que des morceaux. Mais l’ensemble était vraiment magnifique. Un cul pulpeux, des jambes fines et très longues et pourtant musclées. Je voyais sa poitrine dépasser de chaque côté confirmant ma vue de tout à l’heure. David, quant à lui, était un peu plus petit que moi, mais très sportif aussi. Il avait de bras et des pectoraux bien plus développés que les miens même après transformation. Mais mon cul préféré était celui de Lilou. Rien qu’en le regardant, je recommençais à bander. Nous voilà dans la salle des douches. David prit la première, Lilou et Leila le suivirent. Je me suis dit : "Bon, cette fois-ci je serais tout seul". En m’apprêtant à rentrer dans la deuxième douche, Lilou me tira par le bras.
Lilou : Vient, on va se serrer un peu.
Leila : ben oui, on ne va pas te laisser tout seul.
Nous commençons à nous savonner, nous étions tellement à l’étroit que les contacts avec les voisins étaient presque permanents, sans même pouvoir dire qui on venait de toucher. Cette proximité fit reprendre de plus belle mon érection. Mon maillot ne put contenir cette nouvelle érection et le bout de ma bite sorti une nouvelle fois au grand jour. Leila et David avaient vu la scène
David : tu déjantes mon gars.
Leila : ou ton maillot a rétréci.
Je ne sus quoi répondre. J’avais remarqué que David commençait à bander aussi. Nous terminions sagement de nous rafraichir quand je sentis un truc dur et chaud contre ma cuisse. Un coup d’il, et je vis que c’était la bite de David qui bandait à fond. Le gland sortant légèrement derrière son élastique de maillot.
Moi : tu n’es pas mieux !! Ton maillot aussi a rétréci
David : ça m’arrive souvent : il n’y a qu’un modèle de maillot qui ne me pose pas de problème, mais il est à la lessive.
Moi : il faudra que tu me montres ça.
Les filles étaient déjà sorties de la douche pendant notre discussion. On les suit une vingtaine de mètres derrière elles. Elle s’engouffre dans un sauna. On ouvre la porte, Lilou et Leila sont déjà installées et complètement nues sur la banquette du dessus. David referme la porte derrière lui tire le loquet et pose son sac et son essuie sur la petite étagère. David et moi nous mettons en position assise sur la banquette du bas appuyé sur les murs.
Leila : pas de triche les garçons, vous aussi, à poil.
Nous nous exécutons. Cette chaleur alourdit mes paupières, je sens que je vais repartir dans le bras de Morphée. Je me conditionne pour faire un rêve qui pourrait m’apporter une transformation intéressante. J’étais mince et musclé, j’avais un gros sexe. Qu’aurais-je encore voulu avoir ? J’essayais m’imaginer en professeur d’université. Peut-être que je pourrais profiter de son savoir. Mes pensées continuèrent quelques instants puis je m’endormis. Le rêve arriva
Je me vois à l’université, sur les bancs d’un auditorium. Je regarde autour de moi. Je remarque David et Leila assis à quelques rangs de moi. Je suis donc en architecture. Le Professeur commence à interroger les élèves. Première question : définissez les caractéristiques d’un système de treillis au niveau stabilité. Le professeur se tourne vers l’auditoire et appelle Monsieur Lombard. L’élève répond avec brio. Deuxième question : Citez-moi les caractéristiques liées à une transformation élastique et non fragile. De nouveau le professeur appelle un élève à répondre. Mlle Marcis. Silence dans la classe. Le professeur répète plus haut Mlle Marcis, toujours rien. Ma voisine me fait un coup de coude et me dit « c’est à toi de répondre ». Je gardais le silence n’y connaissant absolument rien. Un sentiment de honte montait en moi renforcé par les regards de chacun. Le professeur agacé commenta : « de toute évidence, vous n’avez pas étudié vos sujets. Si vous croyez pouvoir réussir ainsi, vous faites fausse route. Il est grand temps de vous bouger très chère amie ». La cloche sonna. Ouf. Je sortis de l’auditorium et essayai de rattraper Leila et David.
Leila : Et bien Justine, on se fait remarquer ?
David : on a révisé ça ensemble hier ce n’était pas compliqué.
Je commençais à répondre et m’arrêta au son de ma voix, une voix de fille. Je courus dans les couloirs à la recherche des toilettes. Je suivis les panneaux et m’engouffrai dans les toilettes des hommes. Je me regardai dans la glace et vis une magnifique brune avec une poitrine énorme, un décolleté qui ne cache qu’une infime partie des seins. Les auréoles étaient visibles jusqu’à la limite du téton. Des longues jambes fines garnies d’une minijupe avec inserts transparents. Un visage magnifique, des lèvres pulpeuses d’un rouge éclatant de grands yeux d’un gris profond. Bref une fille à tomber par terre. Après analyse des mouvements, je remarque que cette fille plantureuse n’est autre que moi. Drôle de sensation. J’ouvre mon sac d’école et y trouve un portefeuille. Je louvre et y trouve la carte d’identité ; Justine Marcis. Une carte de fidélité indique : adresse client : rue des peupliers 8 à Namur. Je continue mon investigation : je vois trois cartes de crédit 2 gold et une platine, la quantité d’argent dans le portefeuille est impressionnante. Je commence à compter et m’arrête avant la fin 2 billets de 500, 8billets de 200 et 4 billets de 100 euros, il y avait encore des billets de 50 et de 20. Plus de 3000 euros. Je dois être assez riche. Je ressors des toilettes des hommes pour aller chez les femmes puisque j’en suis une. Un garçon me voit sortir et me dit : « Alors qu’as-tu fait chez les hommes » je vois qu’il mime une pipe faisant faire des mouvements de sa langue sur sa joue. Je n’y prête pas attention. Je dois faire pipi et j’ai l’impression que je ne saurais pas me retenir. Je me précipite vers la première cabine libre. Je baisse ma mini-jupe puis me redresse pour baisser ma culotte. Je m’aperçois que je n’en porte pas. Je reste un long moment à admirer ce que je vois. Une chatte toute lisse et douce. J’en ai presque oublié que je dois faire pipi et reste en pleine contemplation debout devant la cuvette. J’ai comme une boule de chaleur dans le bas entre. Une excitation inexplicable. Je remarque que mes lèvres s’humidifient. Devant cette situation inconnue. Je suis perplexe. Est-ce que j’ai lâché quelques gouttes d’urine ? Je fini par m’assoir pour libère ma vessie. La sensation est vraiment bizarre. Plutôt inhabituelle. Ma vessie vide, je prends quelque feuille de papier pour m’essuyer. Devant la nouveauté de cette action, j’écarte les jambes au maximum pour tenter de voir ce que je fais. Je passe les feuilles en partant de mon anus en allant vers l’avant. C’est là que je sens une pièce métallique, je me penche un peu plus, et m’aperçois que je porte un plug anal couronné d’un faux rubis rouge écarlate. Je continue à m’essuyer et passe sur mon clitoris qui dépassait de plus d’un centimètre de mes lèvres. Une décharge électrique me parcourut le corps. Je jette les feuilles dans la cuvette. Et repasse ma main sur mon clitoris. Je découvre la sensibilité et le plaisir qui me submerge à chaque caresse. Je continue mes mouvements pour explorer cette nouvelle sexualité. Le plaisir monte, mais l’orgasme ne vient pas. Je retire malgré tout un grand plaisir de ces caresses. Je n’insiste pas et me dis que j’expérimenterai ça plus au calme et confortablement installée. Je remets ma mini-jupe, je sors et me dirige, je ne sais pourquoi, vers les miroirs. L’instinct féminin probablement. Je me recoiffe un peu et ajuste mes vêtements. J’en profite pour mater ce corps magnifique. C’est grandiose de pouvoir s’exciter sois même. Je sors des toilettes et parcours les couloirs. Il n’y a presque plus personne. C’était la fin de la journée. Je trouve la sortie et retrouve David et Leila sur un banc en train de s’embrasser.
David : Aujourd’hui, tu n’as pas besoin de nous ramener. On part directement à la piscine. On prendra le bus jusqu’au périphérique.
Leila : sauf si tu veux nous accompagner.
Moi : pas aujourd’hui. Je vais aller me reposer, ce n’est pas la grande forme. J’ai la tête en pagaille. Je ne sais même pas comment je vais rentrer.
David : pourquoi ? Tu ne te sens pas capable de reprendre ta voiture ?
J’analyse la situation et comprends que j’ai une voiture qui m’attend. Mais où est-elle et à quoi ressemble-t-elle ?
Moi : si, ça devrait aller maintenant que j’ai pris un peu d’air, ça va un peu mieux. Je roulerai la fenêtre ouverte.
David : tu rigoles ou quoi, par ce temps-là décapote ta voiture tu auras de l’aire.
J’ai donc une décapotable. Mais où est cette voiture ? En jetant un il autour de moi, je ne vois que 3 voitures décapotables, une Peugeot, une Audi et une Bentley. Reste à bien choisir. Je me dis que si j’actionne la clé je devrais la repérer ; je fouille donc dans mon sac et sors un trousseau. Ce sont des clés assez épaisses et sécurisées, mais pas de clé de voiture. Je fouille encore et trouve comme une petite télécommande ornée de 2 ailes surplombant un « B » encerclé. C’était bien la Bentley.
Moi : Bon je me mets en route alors. À demain
David : à demain
Leila : à demain repose-toi bien.
Je me dirige vers la voiture et appuie sur le bouton de la télécommande. La voiture s’ouvre, une lumière rose s’allume à l’intérieur et une voix d’homme électronique prononce : « Bonjour Justine ». Je m’installe dans la voiture. En m’asseyant, je sens mon plug s’enfoncer. Ça m’excite. Je fais de petits mouvements pour le faire bouger. Quel plaisir ! La voix continue : « Ou veux-tu aller ? ». Je réponds : « À la maison ». Le GPS se met en route. Je démarre la voiture et suis l’itinéraire. Je regarde l’intérieur de la voiture. Quel Luxe ! Je n’ai jamais vu une telle voiture même dans les salons. Quelques kilomètres plus loin, le GPS dit : « vous êtes arrivé à destination ». Je suis devant une grande barrière métallique moderne. Je regarde autour de moi et trouve une télécommande fixée près du changement de vitesse. J’appuie sur le premier bouton et la barrière s’ouvre. Je m’engage dans la propriété et parcours plusieurs centaines de mètres dans une allée bordée d’arbres avant d’arriver devant un énorme bâtiment composé de plusieurs volumes cubiques. Je me gare devant ce qui ressemble à la porte d’entrée. Je descends de la voiture et sens le plug revenir en position normale. Je rentre dans la maison. Juste derrière la porte surgit un jeune homme d’une trentaine d’années et d’une taille imposante. Il porte un costume bien taillé gris très clair et porte un badge sur lequel on peut lire Justin.
Justin : Mademoiselle va bien.
Moi : super journée. Et vous ?
Justin : étonné de la question répond : « très bien mademoiselle »
Comment allais-je m’y retrouver dans cette grande maison que j’étais censé connaître ? Je dus donc ruser pour en apprendre un peu plus.
Moi : j’ai quelque chose à vous montrer dans ma chambre. Il y aura un petit travail à réaliser.
Justin : très bien, je vais regarder à ça de suite.
Je suivis Justin qui allait ainsi me montrer où se trouvait ma chambre. Sur le parcours, nous sommes passés dans une multitude de pièces, une salle de billard, la piscine intérieure, une salle de fête. Un jardin d’hiver avec Spa ; une bibliothèque, et bien d’autres encore. Nous arrivons enfin dans ce qui était ma chambre. Une pièce immense digne des suites des plus beaux hôtels de paris. Un lit magistral à baldaquin, mais au look moderne, un coin salon composé d’une surface impressionnante de coussin posé au sol. Une baignoire à débordement encastré dans le sol, une douche à l’italienne d’une surface indécente. En fait tout était indécent dans cette pièce.
Justin : Que fallait-il faire dans votre chambre ?
J’étais un peu prise au dépourvu et devais trouver rapidement quelque chose à faire faire.
Moi : je voudrais déménager ces meubles-là.
Justin : pas de problème mademoiselle.
Il retire sa veste, retrousse ces manches. Ces avant-bras sont énormes et striés. Il commence le déménagement pendant que je lui donne les instructions. Les meubles semblent assez lourds et je vois qu’il commence à transpirer. Il continue, soulève les meubles, les déplaces, les repose. Sa chemise est complètement trempée et colle à sa peau et laisse apparaitre un vrai corps de bodybuilder. À chaque mouvement on voit la mécanique s’actionner, les muscle se bander les veines se gonfler. Je ne comprends pas pourquoi, mais cette vision m’excite au plus haut point. Je sens une chaleur montant dans mon bas ventre. Lorsqu’il a fini, sa chemise goutte littéralement.
Moi : vous pouvez prendre une douche dans ma chambre, vous en profiterez pour vérifier le mitigeur qui ne fonctionne pas toujours
C’est une panne que j’invente pour assouvir mon envie incontrôlable de le voir nu sous la douche.
Justin : je ne peux pas prendre une douche devant vous mademoiselle.
Moi : Ne vous inquiétez pas, je vais aller courir une petite heure dehors. J’aurai bien besoin d’une bonne douche en rentrant.
Justin : Bien mademoiselle. Je vais chercher me outils et je remonte.
Dès qu’il est parti, je fouille dans chaque armoire pour trouver un short, un top et des chaussures de sport. Il me faut 5 bonnes minutes pour trouver ce dont j’ai besoin tellement il y a d’armoire, de commode et de placards. Je me déshabille ce qui est vite fait, juste une minijupe et un top, pas de culotte et pas de soutient. Une fois nue, je vais me mettre devant un grand miroir pour admirer mon superbe corps. Je reste là à me regarder. Quel corps magnifique ! Encore une fois, cette vision m’excite au plus haut point. Je me retourne pour voir mon cul. Wouah, magnifique petit cul bien rond orné d’un plug. Je sens des trainées humides entre mes cuisses. Je comprends que je mouille et depuis un bon moment. Je prends un mouchoir en papier pour essuyer ma chatte et mes cuisses. J’enfile mon short et au moment je terminais de lacer mes chaussures, Justin rentre dans la chambre, sa boîte à outils en main. Il me vit donc torse nu, enfin, disons plutôt seins nus. Cette vision sembla le troubler. Il resta une seconde comme immobilisé puis tourna la tête.
Justin : pardon mademoiselle. Je pensais que vous étiez habillée.
Moi : ne vous inquiétez pas, je vais vite enfiler un top.
Je vis au passage qu’une belle bosse sétait formée dans son pantalon.
Moi : voilà, vous pouvez venir.
Justin : Encore pardon. Dites-moi, qu’y a-t-il avec votre mitigeur ?
Moi : Venez voir je vais vous montrer.
Il me suit dans la douche, je prends le pommeau et le dirige vers lui avec une idée derrière la tête, ensuite j’ouvre le mitigeur. Il se retrouve trempé de la tête au pied en quelques secondes.
Moi : Oh, pardon, j’ai fait une mauvaise manipulation.
Justin : ce n’est pas grave mademoiselle, c’est un accident. Je devais quand même me laver.
Cette situation n’avait, évidemment, rien d’accidentel.
Moi : vous feriez mieux d’enlever cette chemise et ce pantalon.
Au début, il rechigna, puis sentant le froid arriver, il se déshabilla pour ne garder que son boxer. Je vois enfin ce corps sans camouflage. Un physique incroyable. Encore une fois, j’ai des envies inhabituelles. Je me vois blottie dans ces énormes bras musclés sentant le relief et la fermeté de ces abdominaux, sentant la force et le volume de ces bras. Je vois que la bosse dans son boxer a encore pris de l’ampleur pour atteindre une taille inhabituelle. Il faut dire que je me trouve sexy dans cette tenue : un short moulant laissant apparaitre la forme de mes grandes lèvres, un top très près du corps épousant ma poitrine imposante et marquant me tétons durcis par l’excitation. Tout en gardant les yeux sur son anatomie grandissante, je lui invente une panne
Moi : vous voyez, quelquefois quand je tourne vers plus chaud, la température diminue et quand je vais sur plus froid, c’est l’inverse. Ça n’arrive pas tout le temps, mais ça arrive.
Justin : OK je vais regarder.
Moi : Je serai de retour dans plus ou moins une heure.
Justin : OK mademoiselle, ce sera fait
Je fais semblant de partir pour courir et attends derrière la porte 2 minutes. J’entends l’eau couler. Puis le bruit de l’eau change. Il est sous l’eau. Je rentre discrètement dans la chambre et regarde le spectacle à travers les vitres de la douche. Quel morceau ! Un corps incroyable. Les muscles aussi marqués que les miens (en homme), mais avec un volume beaucoup plus important. Sa bite également était impressionnante. En semi-érection elle avait déjà la largeur d’un poignet et faisait bien 18 à 20 centimètres. Elle était parcourue par plusieurs veines énormes et gonflées. Je m’approchais discrètement sans un bruit. Il se retourna pour mouiller ces cheveux. Quel cul musclé ! Un dos taillé en « V ». Je sentais encore ma chatte dégouliner. J’arrivais juste à l’entrée de la douche quand il me vit, il mit vite ces mains devant son sexe, ce qui ne cachait pas grand-chose vu l’ampleur que sa verge prenait.