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La gérante de la galerie d'art – Chapitre 17




Jenna n’a pas eu le temps de s’éloigner de la table devenue établi d’enculage : la maîtresse de maison lui a doucement mais fermement saisi l’épaule. Elle est affublée d’un impressionnant gode-ceinture dressé devant son ventre et l’admoneste d’un ton qui ne donne pas envie de rigoler :

« – Remets-toi en place, petite pimbêche. Tu vas voir qui commande ici. Je suis sûre que tu n’as jamais été enculée par une femme. Me trompé-je ?

— Réponds, petite grue !

— Non jamais, Madame Maîtresse ! » répond-elle en tremblant.

« – C’est parfait ! Tu vas savoir l’effet que ça fait. Et franchement, tu vas savoir ce que tu as perdu jusqu’à aujourd’hui. Une fois que tu y auras goûté, tu viendras me revoir en me suppliant, te frottant la chatte contre le coin des tables, tu me tendras ton cul dénudé, me priant pour que je te prenne encore et encore ! »

Jenna, qui semble avoir compris, déjà se cambre, présente sa croupe bien ronde en reposant ses mains sur la table, comme dévorée par l’envie de se faire fourbir le cul par la maîtresse des lieux.

Une main sur sa nuque la maintient fermement tandis que l’autre présente l’objet à son orifice encore ouvert. Mais la disproportion entre le l’olisbos renflé et le trou de Jenna semble vouer à l’échec cette opération.

Mais elle se met à crier, beugler, émettre des sons déchirants tandis que la brune sexagénaire investit son sphincter par la force. Celui-ci, sans doute déjà bien ouvert par le mari qui est passé juste avant, cède et on voit la maîtresse s’enfoncer de plus en plus profondément dans son cul. Elle va aussi loin qu’elle peut, comme si elle voulait la fendre en deux.

Voyant qu’elle ne peut décidément pas progresser davantage elle recule mais pour mieux se lancer à nouveau à l’assaut du cul de Jenna. Ma parole, elle va la détruire.

Comme un homme elle se met à la besogner lentement et en profondeur sans se soucier de ses cris, de ses protestations, de ses supplications.

Avec une joie sadique, elle lui déclare assez fort pour que tout le monde autour l’entende :

« – Je t’avais prévenue, ma petite. Tu m’excites avec ta gueule de bourgeoise et tes bottes de pute de luxe : je vais tellement t’ouvrir la rondelle que tu vas pouvoir te prendre tous les mâles présents ici ce soir et ça va rentrer comme dans du beurre ! »

En effet, après une sodomie longue et besogneuse par la maîtresse de maison, on ordonne à Jenna de se mettre à quatre pattes sur le tapis.

Et sans qu’elle ait le temps de souffler, on voit les hommes l’un après l’autre lui prendre le cul ! Elle gémit, mais comme elle a tout le temps la bouche pleine occupée par un autre membre, le spectacle est moins sonore.

On entend seulement les commentaires salaces, les gloussements de contentement des mâles qui se régalent de son cul, confirmant ce que tous ceux qui ont juste fini de la pratiquer viennent de déclarer, à savoir qu’ils n’ont jamais baisé un cul aussi bon et aussi serré surtout pour une femme de son âge !

La maîtresse de maison qui a enlevé son gode-ceinture assiste à cette séance lubrique, et comme une metteuse en scène ou un chef d’orchestre, semble diriger tout le monde.

Elle est terriblement excitante, debout, avec ses hautes cuissardes ; et alors qu’une bonniche à genoux lui bouffe la chatte par devant, elle a sans cesse une queue dans chaque main qu’elle branle lentement une vraie reine !

Aussi, quand gémissant, la tête en arrière, elle réclame qu’on lui bouffe le petit, c’est avec honneur que je mets à genoux derrière sa croupe, lui écarte doucement les fesses et lui lèche sa petite rondelle avec application.

Même pas une minute de ce traitement et elle se met à jouir à grands bruits, éclaboussant de cyprine expulsée avec force le visage de la servante mûre qui n’en perd pas une goutte : elle doit avoir l’habitude, la bougresse !

J’avoue que j’enculerais bien cette belle femme dominatrice, mais en tant qu’hôtesse et maîtresse du jeu, elle n’y consentirait pas, et cette faveur ne doit être accordée qu’à ses courtisans et plus serviles admirateurs, et encore.

Trois quarts d’heure plus tard, j’aidai Jenna à se relever, en véritable gentleman. Elle n’était plus vêtue que de ses bottes. Son anus était béant et dégoulinait de foutre.

Elle avait du sperme sur le pourtour de la bouche ainsi que sur ses gros seins. Ces messieurs, en effet, ne s’étaient pas gênés pour la souiller de toute part et pour se soulager dans sa gorge. Elle avait beau eu déglutir, ils s’étaient succédé tellement vite qu’elle n’avait pas pu tout avaler.

Je l’accompagnai dans une salle de bain que les maîtres de maison, dans leur grande bonté, et un peu touchés par l’état pitoyable dans lequel elle était, avait laissé à sa disposition.

Elle s’étonna que je n’eusse pas pris de photos.

Je lui expliquai que j’avais été moi aussi bien occupé, et que, franchement ça aurait été un peu déplacé, et qu’il m’aurait fallu obtenir le consentement de tous ceux qui auraient risqué de se retrouver en photo (le droit à l’image, vous comprenez) et vu le statut social des participants à cette soirée, je pense qu’ils n’auraient pas apprécié.

Elle sembla presque déçue ; j’étais touché par son espèce de candeur ou de naïveté, je ne sais pas.

Au sortir de la salle de bain où je l’avais conduite, je fus surpris de voir Madame la sous-préfète qui semblait m’attendre, avec un grand sourire. Elle avait dû apprécier mes doigts lui fouaillant le cul et comment je m’étais vidé dans sa bouche alors qu’elle était de service « toilette ».

Nous discutâmes très civilement, comme deux personnes du monde, et elle orienta imperceptiblement la conversation vers la fessée. Je ne m’étais rendu compte ni comment ni pourquoi notre discussion avait glissé vers ce sujet. Mais je commençais à comprendre.

Je lui demandai si elle appréciait. Elle me dit que oui, que c’était un peu son péché mignon.

Je lui répondis qu’avec de pareilles fesses elle était bien servie et que ses fesseurs devaient s’en donner à cur joie.

Elle n’osait pas me demander de lui rendre ce service, mais ça devait lui brûler les lèvres.

Elle me regarda un moment en silence, un petit sourire d’attente. Alors je lui posai franchement la question :

« – J’ai l’impression que vous avez envie que je vous fesse, Irène ? Me trompé-je ? »

Elle rougit un peu, mais avec un sourire de contentement et sans baisser les yeux elle me répondit :

« – Oui j’avoue. J’en meurs d’envie Vous accepteriez de me rendre ce « service » ?

— Vous êtes une inconditionnelle de la fessée ? Cela vous procure donc beaucoup de plaisir ?

— Oh oui !

— Alors j’y consens. Mais où ?

— Par là, venez. »

Et elle m’emmena vers un salon, me prouvant par là sa préméditation.

« – On dirait que vous connaissez parfaitement la maison ? Et vous avez l’autorisation des maîtres de lieux ?

— Oui bien sûr. Je suis une habituée de cette demeure et ce sont mes amis !

— A la bonne heure. »

Elle me fit rentrer dans ce salon rouge, tout habillé de tentures, de fauteuils et de banquettes anciennes garnies de velours rouge sombre.

Je pris place en m’asseyant au bord d’une confortable banquette.

« – Allez Madame la sous-préfète, on se met cul nu ! On ôte sa jupe et on vient s’allonger à plat ventre en travers de mes genoux.

J’avoue que j’aime beaucoup punir une femme avec une strappe en cuir, mais une fessée à la main procure des sensations tactiles et un plaisir irremplaçable. »

Visiblement très excitée, la rombière aux très larges hanches s’était débarrassée prestement de sa jupe et s’allongea le plus confortablement possible de tout son long en travers de mes cuisses, m’offrant le spectacle indescriptible de son somptueux fessier parfaitement offert.

Je me mis à caresser la peau douce et souple de ces masses fessières, en appréciant la mollesse.

Elle frissonna, la peau se hérissa de chair de poule. Elle aurait presque tremblé de ce contact qu’elle avait tant attendu.

« – Posez le bout de vos doigts sur le sol. Et interdiction de les lever ne serait-ce que d’un millimètre. Au moindre manquement je serai obligé de finir la punition en vous zébrant ce fessier avec ma ceinture.

— Entendu Maître ! »

Et là, la fessée commença.

D’abord doucement, faisant bien claquer la chair, à un rythme très lent presque solennel, comme une marche militaire, puis plus rapidement, alternant fesse gauche, fesse droite, de temps en temps les cuisses.

Elle poussait des soupirs qui accueillaient les claques.

Je faisais des pauses brèves mais régulières, mes doigts s’égarant entre ses fesses, ou effleurant la naissance de ses babines vulvaires. Puis je reprenais.

Elle comprit, avec satisfaction je pense, qu’elle avait affaire à un expert et qui aimait prendre son temps.

A la pause suivante je lui demandai d’écarter un peu les cuisses.

J’en profitai bien évidemment pour insinuer le bout de mes doigts entre ses nymphes que je trouvai toutes humidifiées de mouille.

Comme c’était une bonne soumise, amatrice de fessée et de domination, et qui semblait endurante, je la branlai un peu.

Elle se mit à gémir en commençant à tortiller les reins.

Je repris la fessée.

Cette fois la grêlée qui tombait sur ses fesses devenait plus rapide, plus cuisante. Sa peau devenait chaude et virait au rose.

Nouvelle pause. Mes doigts s’insinuaient lentement entre ses grosses fesses, en en caressant la peau tendre ; j’y trouvai la rosette déprimée et toute fripée que j’agaçai légèrement, je la sentis palpiter immédiatement en retour.

Elle s’attendait sans doute à ce que je la doigte à nouveau la grosse poule, mais il fallait qu’elle le méritât.

Je caressai la cupule avec mon pouce puis sortis à nouveau de la vallée encaissée et repris la punition par de petites claques bien sèches, lentes, qui la faisaient sursauter à chaque fois.

La peau devenait bien cuisante.

Je lui pelotai ses grosses masses fessières à pleines mains, lentement, en prenant mon temps.

Puis je repris la claquée plus sévèrement : cette fois on ne rigolait plus !

La force de mes claques était de plus en plus importante, elle subissait, elle gémissait, commençait à se tortiller, à geindre, à pleurnicher, poussant des petits cris de désespoir.

La fessée était sérieuse, méchante, sans pitié, plus prolongée cette fois. Les claques tombaient par salves, groupées, puissantes, rapides, telles des doubles croches.

Elle commençait à beugler.

Excité et énervé par cette grosse bourgeoise avachie, je sentais la moutarde me monter (la colère est une émotion utile pour administrer une punition appréciée et efficace à une salope soumise) :

« – Allez, debout ! On se relève, et vite ! Et on se fout complètement à poil ! Une fessée humiliante se reçoit totalement à poil ! »

La bonne femme adipeuse se releva avec peine mais énergiquement dès lors qu’une violente claque envoyée avec élan atterrit sur son gros fessier pour lui servir de starter.

En un clin d’il elle enleva tout le haut, envoya valser gilet, chemisier, soutien-gorge. Elle garda bien entendu ses chaussures rouge sombre à hauts talons je n’avais pas eu besoin de lui ordonner : en femme de goût et en bonne soumise elle savait ce qu’un homme attendait elle !

Je lui marmonnai :

« – J’espère que vous savez où trouver du gel dans ce bureau enfin, je l’espère pour vous parce que pour terminer votre punition et vous récompenser bien entendu, je vous enculerai avec force !

— Oui Maître » dit-elle, en se précipitant presque vers un tiroir du bureau.

« – Ça n’est pas encore le moment. Nous verrons ça à la fin Vous ne croyez quand même pas que votre fessée est terminée ?! Il va falloir être endurante et vous en prendre encore, pendant un moment. Un aussi gros fessier on ne l’abandonne pas au bout de si peu de temps.

Et ne vous inquiétez pas pour mes mains de fesseur : elles sont résistantes, elles ont l’habitude, et quand bien même elles me brûleraient à mort, votre gros cul sera en feu avant que je ne puisse plus le supporter.

Allez, à genoux sur ce fauteuil ! En piste, en position ! Je vous promets que vous allez recevoir la fessée de votre vie, je vous garantis que vous allez être fessée comme vous ne l’avez jamais été, je vous promets que vous allez me supplier, appeler votre mère et tous vos aïeux, me demander grâce, pleurnicher comme une gamine, vos larmes vont couler, et j’espère bien entendre des sanglots avant que j’abandonne ces grosses masses fessières ! »

L’air grave, la grande et imposante femme se plaça à genoux, cuisses écartées, sur le fauteuil de style. Ses seins lourds et mous, comme des pendeloques, comme deux grosses boules de Noël, reposaient sur le haut de son ventre et me firent bander.

Je me régalai à l’avance rien qu’à l’idée de les voir se balancer en cadence tandis qu’elle tortillerait convulsivement ses reins sous les claques qui allaient pleuvoir comme une drache sur son large postérieur !

Je me plaçai derrière elle. J’étais debout et sa large mappemonde était juste à la hauteur de mes mains : j’allai ainsi pouvoir la fustiger sans me fatiguer.

La peau de ses gros hémisphères presque carrés avait déjà viré de leur teint légèrement basané au rose bien vif.

Mais je m’apprêtais à les faire virer au rouge sang !

Je commençais à les claquer l’un après l’autre, en alternant main droite main gauche, et je voyais ces joyeuses masses adipeuses valser de droite et de gauche, et revenir en place par élasticité, à un rythme lent.

Mes mains bien ouvertes touchaient le maximum de surface, comme des battoirs, et ne lui arrachaient au début qu’un petit soupir, un cri étouffé à chaque fois.

Puis je me mis à accélérer et à lui imposer une cadence plus soutenue, m’efforçant de bien couvrir toute la surface des grosses chairs.

De temps en temps je claquai en même temps les deux fesses, en synchronisant mes mains d’un mouvement parfait. Puis je reprenais l’alternance, ce qui avait comme effet d’accélérer la cadence de cette fessée.

Elle subissait bien docilement, redressant parfois les reins mais je lui ordonnais aussitôt de se cambrer à nouveau au maximum, d’offrir bien sa croupe, de la tendre vers moi et ne plus essayer de se soustraire à la punition, que, je lui rappelais, elle m’avait demandé avec gourmandise.

« – Alors, » demandais-je, tout excité par l’exercice et le spectacle de cette femme mûre mafflue, soumise et si docile, « vous appréciez ?! Vous avez ce que vous avez voulu ?! C’est ça que vous vouliez ?! C’est comme ça que vous espériez être traitée ?!

— Oh oui » gémissait-elle, presque haletante.

Je me mettais de temps en temps de trois quarts, lui attrapait le sein de ma main gauche, et tout en le pétrissant vulgairement, tout en le pelotant sans pitié, ma main droite continuait à administrer une cuisante claquée sur la fesse gauche.

Puis je me repostai derrière et reprenais mon office.

Je faisais de temps en temps une courte pause, lui écartai impudiquement et sans me gêner ses grosses fesses, histoire de l’humilier davantage, ou bien je saisissais ses mamelons tout gonflés et les étirais, les faisais rouler brièvement mais en appuyant entre mes doigts et la faisais crier elle m’excitait cette grosse chienne !

(A suivre)

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