D’un doigt insidieux Dany caresse le sexe de sa voisine assise à sa gauche, par moment son majeur insiste sur le bouton et cela met la dame dans tous ses émois, plusieurs fois elle laisse échapper un peu d’omelette norvégienne de sa cuillère. Dans son fort intérieur Dany jubile, ses tentatives d’approches du début de repas sont couronnées de succès, même au-delà de ses espérances. A plusieurs reprises sa sour Lise la mariée est intriguée par l’attitude de ses deux voisins, elle s’inquiète des maladresses de sa toute nouvelle belle-mère.
— Ginette il y a quelque chose qui ne va pas, s’inquiète Lise à voix basse.
— Oui ! Enfin non ! Votre frère est un voyou se plaint Ginette.
Lise interroge son frère des yeux, elle est abasourdie lorsque Dany en guise d’explications repousse discrètement la nappe qui recouvre ses genoux ainsi que ceux de Ginette. Elle découvre les cuisses dénudées de sa belle-mère et la main gauche de Dany en son centre.
— Et vous une sacrée petite coquine répondit Lise en joignant brièvement sa main à celle de Dany.
— Oh arrêtez ! Vous êtes pareille que votre frère. Laissez-moi ! On va se faire remarquer.
Dany recouvre à nouveau discrètement les cuisses de Ginette, la nappe est suffisamment large pour les soustraire aux regards indiscrets. Il est amusé de la surprise de sa sour et de son geste vers la fourche de sa belle-mère.
Tout a commencé lorsque les invités passèrent à table, Dany est assis à droite de sa sour Lise et à sa gauche se trouve Ginette sa cavalière, il l’observe à la dérobée, c’est une accorte quadra avec de jolies rondeurs. Elle est vêtue d’une superbe robe noire avec des motifs à fleurs roses, le décolleté carré laisse deviner que madame a de la conversation. Ginette ne cessait de se trémousser sur sa chaise.
— Vous avez un souci, s’inquiéta Dany.
— C’est le pied de la table, je ne peux pas étendre les jambes, c’est très inconfortable, se plaignit Ginette.
— Rapprochez-vous un peu de moi, j’en serais ravi.
Un peu à contrecour Ginette place sa chaise contre celle de Dany, l’espace réduit entre le pied de la table et la chaise de Dany fait que les deux cuisses des protagonistes ne peuvent éviter le contact.
— Je suis désolée de vous créer cette gêne.
— Au contraire, il est très agréable d’avoir une jolie femme si proche de moi.
— Vilain flatteur vous dites des sottises !
— Attention belle-maman, Dany est un coureur de jupons, ironisa Lise qui avait vu le manège de ses voisins.
Les premiers plats furent servis, Dany était plus attentif à la cuisse de sa voisine qu’au contenu de son assiette, plusieurs fois il accentua la pression et Ginette ne fit rien pour éviter le contact. Voulant connaître la réceptivité de sa voisine Dany glisse sa main gauche sous la nappe et vient enserrer le genou de la belle. Il sent la cuisse répondre à ses pressions par des tremblements. Ginette le regarde un peu surprise par l’audace de son cavalier.
— Arrêtez ! Vous êtes fou ! Si quelqu’un vous voyait ! susurra-t-elle.
Dany est amusé par les craintes de Ginette, ce n’est pas sa main qui la gêne c’est le risque d’être vu par quelqu’un ! Discrètement il recouvre les jambes de sa voisine à l’aide de la nappe, à part sa sour personne ne peut remarquer quelque chose d’anormal, satisfait il retourne à la charge, doucement il remonte la robe pour pouvoir caresser cette cuisse convoitée, le nylon des bas est agréable au toucher, insidieusement sa main remonte, Dany est ravi, sa voisine est une adepte des bas élastiques. Sous ses doigts il sent la douceur de la peau nue. Ginette brutalement serre les cuisses pour stopper l’intrusion.
— Arrêtez donc ! Vous me prenez pour qui ? dit-elle à voix basse ne voulant pas attirer l’attention.
— Votre peau est d’une douceur ! C’est du satin !
Malgré les efforts de Ginette pour maintenir les cuisses serrées Dany peut flatter l’intérieur de la cuisse, il caresse la peau et sent la dame frémir, il parvient à remonter légèrement maintenant c’est toute sa main qui est au contact de la chair nue. Profitant que le voisin à droite de Ginette (un vieil oncle) s’adresse à elle, Dany parvient à lui faire desserrer l’étau de ses jambes, il peut désormais caresser l’ensemble de la cuisse. Ses doigts sont proches de l’aine, en se contorsionnant un peu il arrive à la lisière de la culotte d’où quelques poils débordent.
— Je vous en prie cessez ce jeu, les gens vont se doutez de quelque chose.
— C’est de votre faute ! Avancez-vous sur votre chaise, ce sera plus facile pour moi.
— Oh ! Vous alors vous ne manquez pas d’air !
Ginette s’assure qu’aucun convive ne leur prête attention et discrètement avance son bassin au bord de la chaise, cette position permet à Dany de peloter sa voisine en toute discrétion, sous la nappe il remonte la robe et plonge sa main jusqu’au mont de vénus, ses doigts parcourent l’entrejambe la moiteur qu’il y règne prouve que ses privautés sont appréciées malgré les dénégations de la dame.
Ce petit jeu dura pendant tout le repas, Ginette ne disait plus rien, elle se contentait de répondre aux investigations de son cavalier par des mouvements de bassin les plus discrets possibles, au moment du dessert Ginette ainsi que d’autres convives quittèrent la table pour aller converser avec des gens de connaissance.
Dany remarqua que le beau-père ainsi que le mari passaient de table en table pour trinquer avec différents invités. « Si ces deux là continuent à cette cadence ils ne finiront pas la soirée » pensa-t-il. L’arrivée du plateau de dessert scintillant de mille feux sonna le retour à table. Lise la première est de retour.
— Tu es magnifique lui dit Dany.
— Merci, tu as très bien tenu ton rôle de père substitutif, encore que. peloter ma belle-mère, tu es gonflé !
— Je suis pour le rapprochement des familles.
— Tu y vas fort quand même ! La belle-mère a l’air d’être chaude comme de la braise ! Enfin avec ce que mon beau-père a bu pendant le repas tu aurais tort de ne pas pousser plus loin ton avantage.
— C’est bien ce que je compte faire. Ton mari a l’air de bien lever le coude lui aussi !
— Je lui ai pourtant dit d’y aller mollo. Quel con !!!
Pour la cérémonie, Dany s’est substitué à leur défunt père pour accompagner Lise devant monsieur le maire de ce fait il est le chevalier servant de la mère du marié. Elle aussi d’ailleurs regagne sa place, elle se rassied auprès de Dany et les jambes sont de nouveau en contact.
— Votre présence me manquait, ma main est impatiente de retrouver le contact de votre peau !
— Soyez gentil, laissez-moi en paix, je suis mariée et je suis une femme sérieuse !
Dany ne tient pas compte des réticences de la belle-mère, sitôt assise il recouvre les genoux de celle-ci avec la nappe et replonge sa main dans l’entrejambe, il sourit intérieurement, malgré ses jérémiades Ginette ne fait rien pour échapper à l’intrusion, elle garde les jambes légèrement écartées cela lui permet d’atteindre directement la fourche. La surprise est de taille, Dany regarde sa voisine il n’en revient pas, ses doigts lui confirme l’absence de culotte, sa cochonne de voisine a profité de l’intermède d’avant le dessert pour ce débarrasser du dernier rempart la protégeant de ses caresses.
— Mais vous êtes une petite polissonne! On a envie de caresses plus approfondies ?
— Taisez-vous ! C’est de votre faute, vous m’avez mis les nerfs en pelote !
— Il n’y a pas que les nerfs ! ajouta-t-il en branlant le bouton de la belle.
— Oh ! Doucement, je ne vais pas pouvoir me retenir, doucement !
Pendant la fin du repas Dany s’occupa doucement et discrètement de sa voisine, plusieurs fois elle eut beaucoup de mal à rester impassible, elle ne réussit même pas à finir son omelette norvégienne.
Le personnel a finit de libérer la salle, toutes les tables ont disparues, les frères de Dany : Gérard et Jeannot préparent la sono pour le bal. Ça et là de petits groupes se félicitent de participer à cette cérémonie, la mariée est sollicitée de toute part. Soudainement un air de valse invite les mariés à ouvrir le bal, Lise a des difficultés pour maintenir son époux aviné dans le rythme, l’effet de l’alcool rend hasardeux la démonstration. La première danse terminée Lise se débarrasse de son encombrant mari pendant que Dany entraîne Ginette sur la piste. Les danses se succèdent, Dany ne lâche pas sa compagne il la serre de près et en profite pour la peloter discrètement, elle a le front perlé par la sueur, il faut dire qu’avec tout ce monde il fait assez chaud dans la salle.
— Arrêtons un peu ! J’ai vraiment trop chaud ! dit Ginette en s’épongeant le front.
— Venez prendre l’air cela vous fera du bien.
Sans attendre l’assentiment de la belle-mère Dany entraîne celle-ci vers l’extérieur, ils traversent le bar où se trouve la sortie. Ils doivent jouer des coudes car le bar est plein de monde, il passe devant le mari de Ginette qui est attablé avec des amis, comme le marié lui aussi est dans un triste état. « Il sera incapable de conduire pour rentrer en fin de soirée» pensa Dany.