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Qui est le plus chien ? – Chapitre 1




Qui est le plus chien ?

Après celui de Julie, Médor fait le bonheur de Louise. Le mari les surprend en situation et impose un choix à sa femme. Ce sera lui ou le chien. Mais

Après «  Un chien pour ma chienne», «  Un chien sympathique» « Un chien si sympathique», « Le chien de ma chienne », «  Ma femme est-elle une chienne? »

-Lequel gardes-tu ? Médor ou moi, lun de nous deux est de trop ici ?

Louise prend un air stupéfait. Mettre son chien en balance avec son mari lui paraît une incongruité absolue. Elle na jamais imaginé davoir à choisir entre les deux. Pourquoi, semblent dire ses yeux incrédules, mettre en concurrence lhomme quelle a épousé et ce malheureux chien en rien coupable de la relation sexuelle unique dans laquelle elle a entraîné lanimal ? Pourquoi chasser la bête qui a obéi à son instinct lorsquelle lui a tendu les fesses consentantes ? Linnocent a vu un cul en transe, a flairé des odeurs de femelle pleine de désir, a léché un sexe excité par la possibilité dêtre envahi par un membre différent de celui de lépoux. Alors sa langue a suivi son museau, a léché en long et en large ces chairs gonflées denvie, a trouvé un bouton plus dur à leur sommet, les a préparées à laccueil de sa tige, a fait saliver ce con de femme en chaleur. Le moment venu, comme la femme en position ly invitait du geste et de la voix, poussé par des forces irrésistibles inscrites dans sa nature il sest posé sur la croupe offerte, a encerclé les hanches, a cherché en tâtonnant louverture promise. La pointe de sa lance a fini par la trouver, a frappé à coups brefs et répétés dans les pétales ardents de la fleur parfumée et il a plongé dans ce puits humide et chaud.

Sous lui le corps a tremblé, autour de son pieu enfourné des chairs chaudes se sont resserrées, convulsées, la maîtresse a gémi de bonheur comme nimporte quelle chienne. Pourrait-on le blâmer davoir au contact du vagin ressenti la nécessité de bouger, de sagiter, daller et venir au prix defforts essoufflant, de se contorsionner pour aller toujours plus profond, davoir cherché les limites extrêmes dun fourreau de femme ? En bon chien obéissant il a sailli cette femelle si aimable. Il na connu aucune déconvenue : elle soffrait et contrairement à certaines chiennes capricieuses elle na pas cherché à se dérober à son approche, au contraire elle se tapait sur la fesse pour lappeler, pour linciter à grimper sur son dos. Il a même reçu de laide pour trouver le trou, il a bien senti ces doigts qui le guidaient alors que son écouvillon hésitait entre la chatte et le petit trou situé plus haut dans la raie des fesses. Il na pas eu à courir après elle, il y a mis toute son énergie, a risqué la chute à droite ou à gauche, a serré puissamment les flancs, na ménagé aucun effort, a abondamment lubrifié le conduit assailli, sy est courageusement secoué puis vidé en saccades infernales de ses réserves de liquide séminal. Enfin il ne sest senti satisfait que lorsquil a forcé le passage du vestibule et a pu introduire la totalité de sa trique y compris cette boule imposante de la base dans la femme qui le voulait. La boule sest gavée de sang, a grossi énormément, a communiqué dindicibles frissons à sa proie : ainsi sont faits les chiens. Médor nest pas coupable. Son affaire faite, sa maîtresse comblée, il a produit dincroyables efforts pour reculer, pour libérer la place. Il laurait voulu, sest malheureusement pris au piège habituel dune turgescence excessive qui la maintenu collé aux fesses de limprudente dame.

Voilà lincompréhension que je lis sur le visage de ma femme au moment où je lui donne à choisir. Jai face à moi lavocat muet de surprise dun chien soumis, aimant, obéissant mais tellement innocent que toute sanction semble inimaginable pour Louise. Elle retrouve son aplomb :

— Mais je vous garde tous les deux. Toi tu es mon mari, je taime comme tel. Que reproches-tu à cette brave bête ? Dêtre une bête ? Ne me dis pas que tu es jaloux de lui. Jamais je ne lépouserai, tu le sais. Si je lui raconte tout de ma vie, cest parce quil ne rapporte jamais mes confidences à dautres, même pas à cette salope de Julie qui ta séduit quand je ne pouvais pas me défendre et qui lui a appris à aimer les femmes. Tai-je demandé de choisir entre moi et Julie ? Tu te les envoyée sous mes yeux, tu as commis hardiment ladultère devant moi, sans te gêner, sûr de nêtre pas dérangé parce que jétais coincée sous notre chien. Ta conduite est bien plus grave quun jeu avec mon chien. Alors ne la ramène pas ou je demande le divorce. Es-tu content de ma réponse ?

— Oui ! Voilà une réponse claire : tu divorces pour garder ton chien. Eh! Bien, jai été bien inspiré de photographier et de filmer ce que tu appelles tes jeux avec Médor. Ça servira au tribunal !

-Jai dit « si tu la ramènes. » Je nai pas lintention de divorcer. Ne sois pas buté. Toi et moi sommes mari et femme et nous faisons lamour aussi souvent que cela te plaît. Je suis toujours à ta disposition, reconnais-le. Ne prends donc pas ombrage de mes distractions inoffensives avec ce bon Médor. Au contraire, tu devrais y prendre part.

— Et comment sil te plaît ? Tu voudrais que je le suce ou que je me fasse bourrer le fion par cet animal fou ?

— Pourquoi pas ? Non, je ne pensais pas à ça. Quoique, si tu le souhaites, je serai toujours prête à taider à réaliser un fantasme. En réalité, je viens de faire une première expérience aujourdhui. Cela na été désagréable que parce que nous avons été dérangés.

-Donc ça ta plu, tu as joui, tu ne regrettes rien et de façon logique tu te dis : « une première expérience » doit être suivie dautres.

— Tu vois, quand tu le veux, tu comprends vite ! Bien sûr, il me reste un tas de possibilités à explorer dans ma relation avec mon ami à quatre pattes si discret.

-Discret, dis-tu ? Sa conduite passée à pourtant fait naître tes soupçons à propos de la relation de Julie avec le chien. Souviens-toi : Il prend lhabitude daller foutre sa truffe sous les jupes, de renifler au niveau des foufounes, de lécher les jambes ou les cuisses ou les goussets de culottes et maintenant de sauter sur les bonnes femmes assez distraites pour se mettre à quatre pattes devant lui. Cest discret ?

— Je vais le dresser, il apprendra à bien se conduire en société. Je le trouve discret par rapport par exemple au crétin qui est parti avec Julie. Celui-là est un bavard, qui raconte nimporte quoi et qui peut compromettre la meilleure réputation sans fondement.

-Sans fondement ? Au point de te faire délaisser la démonstration de Julie avec Médor pour le rejoindre

au vu et au su de tout le quartier dans une chambre dhôtel ?

— Pure invention ! Je voulais lui payer un coup au café pour le remercier. Il mavait rendu service, mais je ne voulais pas risquer de lui servir à boire ici, à la maison. Je ne voulais pas avoir à me défendre dune éventuelle attaque si jétais seule avec lui. Dailleurs tu as vu comme il ma sauté dessus à la salle de bain. Il est fort et je naurais pas résisté longtemps quand il me barattait la vulve tout à lheure.

— Cest vrai ce mensonge ? Tu te méfiais de ses intentions et cest la raison de votre rendez-vous au café chez Lulu ? Lui était pourtant persuadé que tu monterais à létage pour te faire ramoner la cheminée. Jespère que Julie est en train de lui faire oublier ton comportement bestial.

— Cest simple. Roméo est marié et père de famille. Sil bavarde à tort et à travers nous raconterons des choses à sa bergère. Tiens, tu devrais aller les filmer en pleine action.

— Tu es redoutable ! La fréquentation de Julie et de Médor ta transformée. Tu tiens à garder le chien ?

— Avec lui je me sens plus protégée. Mais jaimerais tellement le gâter de façon à obtenir plus facilement des résultats. Toi tu devrais me seconder au lieu dêtre bêtement jaloux, à deux ce serait plus facile. Tu verras, tu tamuseras comme un fou à nous regarder. A condition dexclure Julie. Nous deux et le chien ce serait si bien.

A ce moment résonne la voix de Julie.

— Avance, vantard, grande gueule! Allez monte !

Julie et Roméo déboulent au salon. Louise a juste eu le temps denfiler une robe dhôtesse pour cacher sa nudité.

— Non, mais, vous vous rendez compte, monsieur a perdu ses moyens. Ca fait un quart dheure ou plus que je souffle dans son pipeau, impossible de le faire bander dur. Jai beau lempoigner à pleine main, le nicher au chaud sur ma langue, rien ! Il pleurniche que je ne linspire pas, quil avait envie de Louise pas de moi, quavec elle il était tout de suite devenu dur au bord de la baignoire. Alors je vous rends monsieur débandade.

— Julie, cest un homme marié; sa femme laura épuisé au lever ce matin. Dit Louise.

-Quoi, mon beau, tu es marié ? Mais tu mas juré que tu étais célibataire. Bon Louise, puisque tu « inspires » monsieur, entreprends-le. Jean après ce que tu as vu aujourdhui, permets à ta femme de

redonner force et envie au prétentieux. Je suis curieuse de connaître la raison de sa panne.

Sans nous consulter, Julie se tourne vers le type tout penaud :

— Allez baisse ton pantalon, je veux voir si Louise fait des miracles avec ton zizi tout mou. Et pendant ce temps là je vais moccuper du petit pépère qui roupille dans son panier à cause des excès de sa maîtresse

Roméo humilié baisse ses vêtements. Je veux connaître la vérité sur la relation de Louise et de son séducteur. Je lui souffle à loreille

— Ma chérie, fais un effort, suce-le mais pas plus et tu feras ce que tu veux avec Médor.

Est-ce ma promesse ou lattrait de lhomme quasi inconnu ? Louise laisse tomber sa robe qui glisse des épaules sur les seins puis sur les hanches. Quand la soie touche terre, Louise sagenouille devant le mâle à la dérive. Il baisse la tête pour découvrir les deux mains qui enveloppent son oiseau recroquevillé et ses bourses plissées. Quand du bout des lèvres Louise effleure lextrémité du pénis, Roméo se raidit, sa bite fait un bond vers la bouche, le sang afflue, une odeur âcre remplit la pièce, Julie fait :

-Oh ! Ce nest pas possible. Dis-moi ton secret.

Louise ne parle pas la bouche pleine. Elle avale quelques centimètres du braquemart ressuscité, joue à coulisser sur lembout et masturbe la partie émergeante à deux mains. Elle y met plus de cur que réclamé. Comme moi et Julie elle est surprise de prendre au fond de la gorge après deux minutes seulement des giclées de sperme blanchâtre. Des coulées décorent les commissures des lèvres. Elle sinquiète, me consulte du regard, semble désolée davoir si bien et si vite réussi. Roméo se penche, la relève, lattire contre lui et lembrasse à pleine bouche : ils partagent le fruit de leurs efforts. Ma femme est vraiment permissive, a du mal à se détacher du mec. Attend-elle que je lui demande un sacrifice supplémentaire ? Linconnu après le chien ?

Jai cependant pris trois photos pour compléter mon dossier. Louise, le chien ou Roméo : en cas de divorce. Roméo dans la bouche de Louise en cas de bavardage intempestif du loustic. A la vue de mon appareil la fièvre tombe. Je lui montre Julie occupée à caresser les flancs de Médor. La main glisse sur le pelage, frôle au passage le fourreau. Julie est plus habile avec Médor quavec Roméo : déjà entre les poils apparaît une pointe rose.

— Julie, déclare ma femme, laisse le se reposer un peu sil te plaît.

Elle est chaude, bouillante et tient à se réserver les faveurs canines.

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