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Initiation d'un ado par un senior – Chapitre 1




Je m’appelle Jim et j’ai 18 ans. Jeune homme timide, je suis attiré par les filles de mon âge, mais je fantasme honteusement depuis plusieurs années sur des hommes bien plus âgés que moi à qui je me soumettrais avec docilité.

Nous sommes fin juin et c’est le début des vacances d’été. Je suis seul à la maison puisque mes parents travaillent tous les deux. La veille, je me suis endormi après m’être caressé en pensant à cet homme autoritaire d’une cinquantaine d’années qui éjaculait dans ma bouche. Une histoire qui sort de mon imagination quand je ne trouve pas de vidéo porno à mon goût. Il est maintenant 11 heures du matin et je bande avec force en repensant à ce délicieux scénario.

Il se trouve que depuis quelque jours, je songe de plus en plus à passer à l’acte. Je suis tombé sur un site de petites-annonces qui comportait une rubrique "homme cherche homme" et dont la lecture m’a émoustillé. La semaine dernière, j’ai finalement passé une annonce :

"Moi : jeune homme de 18 ans, cherche première expérience avec homme plus âgé, idéalement 45-65 ans.

Pouvez-vous me recevoir chez vous? Si oui, voici quelque fantasmes que j’aimerais partager avec vous pour ma première expérience avec un homme :

— je me déshabille devant vous, et m’allonge sur vos genoux, vous caressez mon cul, vous pouvez me fesser, masser mon entrejambe.

— je m’agenouille devant vous, lèche vos bourses et votre tige sur tout son long avant de la prendre en bouche

— je vous branle, avec de l’huile si vous le souhaitez.

— Vous me faites éjaculer à mon tour, comme vous le souhaitez.

Vous êtes directif et moi docile, mais il y a du respect. je suis ouvert à beaucoup de chose mais pas de sodomie pour le moment, et je ne suis pas trop branché baisers.

Discrétion et propreté offerte et demandée."

Jusque là, je n’avais reçu que des réponses qui m’excitaient mais qui me faisaient également un peu peur, et ne me donnaient pas envie d’aller plus loin. Ce matin là pourtant, une réponse avait particulièrement retenu mon attention :

Salut Jim

Belle annonce, ça change des "plans suce-branle" habituels.

Le fait que tu sois inexpérimenté est un vrai plaisir pour moi… j’adore initier en douceur un homme plus jeune que moi…

j’aime caresser lécher sucer..je ne fais rien contre ton grès, mais j’aime dominer, et j’aime qu’on m’obéisse. Je te reçois volontiers ce soir chez moi… le style de corps compte moins que la personnalité … mais étant moi même corpulent… je préfère les hommes jeunes fin…. (c’était mon cas)

voilà je crois que je réponds à tes attentes… ne t’en fais je suis discret et respectueux de la personne qui est avec moi

si tu veux on peut faire connaissance par Skype avant la rencontre

bise en attendant mieux.

Le message datait de ce matin, un peu avant 9h. Alain avait 53 ans, il m’avait laissé son numéro de téléphone pour que je puisse lui répondre… ce que j’étais en train de faire par SMS : "Bonjour Alain, c’est Jim. Je pourrais venir ce soir normalement. Quelle heure vous conviendrait ?"

Sa réponse ne se fit pas prier : "Super, j’aimerais que tu viennes pour 19 heure, lavé et rasé. Sois à l’heure."

La lecture de ses directives provoqua une excitation fantastique. J’avais une forte envie de me branler mais je décidai de me retenir. "OK" répondis-je avant d’aller prendre une douche.

La journée fut longue, j’alternai entre peur et excitation. J’hésitai plusieurs fois à annuler. Mais j’en avais vraiment envie, j’étais mort de honte et en même temps cela me paraissait tellement évident.

A 17 heures, je pris une autre douche et insista sur mes parties intimes. Alain avait été clair et je ne voulais pas qu’il soit déçu. N’ayant pas encore de barbe, je n’eu pas besoin de me raser. Je partais de chez moi à 18 heures 30.

Alain habitait à 15 minutes de chez moi. Dans un immeuble que je connaissais bien puisque l’un de mes oncles y habitait aussi, heureusement pas au même étage. Alain R. habitait au 4ème. Arrivé devant sa porte, je sonnai immédiatement. Je savais que si je commençais à réfléchir je risquais de me dégonfler. Une quinzaine de secondes plus tard, aucun signe de vie derrière cette porte, mais mon cur battait toujours aussi fort. Une partie de moi espérais qu’il s’agisse d’un canular, et que j’allais rentrer comme si de rien n’était. Mais l’autre partie voulait entrer coûte que coûte.

19:01. Toujours rien… je mapprêtais à repartir quand j’eu l’idée de vérifier mon téléphone. J’avais un message d’Alain qui me disait que c’était ouvert, "…entre et ferme derrière toi puis rejoins moi dans le salon, à droite quand tu entres".

J’étais effrayé. J’étais en train de le faire attendre, et surtout, j’étais en retard. Qu’est-ce qui pouvait bien m’attendre derrière cette porte ? Guidé par sentiment aussi confus que délicieux, j’ouvris la porte et la refermai derrière moi aussitôt. Difficile de faire machine arrière maintenant.

L’appartement d’Alain était grand, propre et rangé. J’avais l’impression qu’il avait fait en sorte qu’il fasse sombre. Chaque fenêtre était recouverte par des rideaux. Seule une lumière tamisée, sur ma droite, semblait m’indiquer la direction, sa direction. J’avançais lentement, mes jambes tremblaient comme jamais. Neuf fois sur dix je serais partis en courant, mais aujourd’hui l’envie était trop forte. Alain était assis dans son grand canapé en cuir beige. Il me souhaita la bienvenue avec un sourire bienveillant quand je fus à quelque mettre de lui.

"- Tu en as mis du temps, j’avais peur que tu ne vienne plus

— Bonjour, je… pardon je suis désolé je n’avais pas vu le message."

Il était visiblement plus grand que moi et un peu plus costaud, bien que je l’avais imaginé plus fort. Il avait quelque rondeurs qui ne me dérangeaient pas du tout, bien au contraire. Pour un homme de 53 ans, je me dis qu’il était encore bien en forme. Alain portait un pantalon clair en lin et une chemise foncée à manche courte. Quant à moi, après maintes hésitations, j’avais opté pour un jeans et un t-shirt blanc, assez serré qui mettait en évidence mon gabarit svelte et mince. Je n’étais pas très musclé ni très poilu, un physique presque androgyne.

"- Ce n’est pas grave. J’aimerais que tu restes debout devant moi et que tu te déshabille lentement, en me regardant."

Ça y est… la partie avait commencé. Il me fallut quelque secondes avant de réagir, ce qui me valut un rappel à l’ordre :

"- Tu m’as entendu ?

— Oui, désolé, j’enlève tout ?

— Tout. Je veux te voir nu debout devant moi, comme dans ton annonce. On verra pour la suite."

Je m’exécutai. Après avoir ôté mon t-shirt, j’ouvrai ma ceinture et retira mon pantalon, puis mes chaussettes. J’étais à présent en caleçon, et comme il me l’avait demandé, je soutenais son regard, ce qui avait le don de m’exciter. J’avais peur mais je ne me sentais pas en danger. Son regard était impassible, ferme, mais pas menaçant. Je glissai mes mains sous mon caleçon blanc et commençais gentiment à le descendre. Alain pouvait déjà remarquer que je bandais comme un fou. Quand mon caleçon fut assez bas, mon sexe se libéra d’un coup. J’avais lâché mon sous-vêtement qui était tombé sur mes pieds. J’étais nu comme un ver face à mon prédateur bienveillant, attendant avec impatience sa prochaine directive.

Alain me demanda de me tourner pour qu’il puisse voir mon cul. Je mexécutais aussitôt en me cambrant légèrement dans le but de l’exciter un peu plus. Dans ma tête, je me disais que je me comportais comme une petite salope, et j’aimais ça. Je le regardais toujours dans les yeux mais j’avais du mal à soutenir son regard de plus en plus perçant. J’avais de plus en plus honte. Dis moi ce que tu attends de moi bon sang !

"- A quatre pattes, approches toi de moi et viens renifler mon entrejambe, continue à me regarder"

Je me mis sur les genoux et posai mes mains sur le sol. J’avançais vers Alain comme un chien avance vers son maître. Arrivé à sa hauteur, je ne me fis pas prier pour répondre à sa demande. Afin de pouvoir continuer à le fixer dans les yeux tout en reniflant son entrejambe, je n’avais pas d’autre choix que de cambrer considérablement mon dos, relevant ainsi mon cul. Cette position ô combien humiliante me mis dans un état second. Je venais de glisser mon nez entre ses jambes et je sentis son sexe durcir sous son pantalon.

A suivre…

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