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ma cousine, la plus belle histoire de ma vie – Chapitre 2




cette histoire s’est déroulée il y a quelques années, nous avions tous deux la trentaine

nous sommes resté tous les deux confident avec toutes ces années, nous nous étions perdus de vues, mais nous continuons toujours à entretenir cette relation interdite,

Delphine m’invita à passer une soirée chez elle un soir de Décembre, ma compagne n’avais pas pu se libérer ce soir la, j’étais tout excité de la retrouver, cela faisait quelques années que je ne l’avais revu,

plusieurs centaines de kilomètres nous séparait l’un de l’autre, a mon arrivé tardive, je fut accueilli par son mari Stéphane, un bellâtre plus âgé qu’elle avec qui je n’ai jamais vraiment eu daffinités, quelqu’un de très sympathique au demeurant;

Stéphane m’a accueilli les bras ouvert, il étais ravi de me revoir, nous ne nous étions recroisés depuis leur mariage, une fois entré je suis tombé face à elle, une superbe femme sculpturale, elle connaissais mes goûts et mes penchants, mais ce soir la elle était vêtu d’un bustier noir brillant, qui faisait ressortir une paire de seins refait, une mini-jupe de cuir, ou j’arrivais à entrevoir le porte jarretelle, perché sur une paire de bottes talons aiguilles noire, je suis resté figé devant elle, je ne m’attendais pas à la voir vêtu ainsi pour me recevoir,

"Mon Benoit" elle se jeta sur moi et me serra contre elle

"je vois que tu est contente de me revoir" je lui fit un baiser sur la joue avec insistance et elle m’embrassa sur le coin de la bouche, j’étais mal à l’aise avec son mari derrière moi, qui rétorqua:

"et bien Benoit tu vois tu as énormément manqué à ma femme, ça fait plaisir de t’avoir enfin à la maison" puis il s’adressa à Delphine" pendant que je prépare l’apéritif fait visiter la maison à benoît"

sans dire un mot elle me pris la main et me fit faire le tour de la propriété, c’était un vieux mas provençal, sur deux niveaux, s’approchant de l’escalier elle se tourna vers moi en criant vers son mari:

"je commence par le haut chérie" elle me jeta une regard et commença à monter, je ne pu m’empêcher de lui mater le cul, cette mini-jupe me faisait un effet dévastateur, le bruissement du cuir à chaque marche, faisait apparaître le haut de ses bas, j’étais excité mais aussi gêné par la présence de Stéphane,

arrivé à la porte d’une des chambres, à l’abris des regards, elle sarrêta, je me suis collé à elle, j’étais en pleine érection, elle se frotta à moi, me pris les main et les posa sur ses seins,

tout en lui mordillant l’oreille, je lui susurre:

"tu es envoûtante et laisse moi te dire que tu es atomique dans cette tenue"

elle se retourna, posa sa main sur mon pantalon, tout en me malaxant le sexe:

"je me suis habillée pour toi, et j’ai encore plein de surprise"

"plein de surprise, mais ton mari"

"ne tinquiète pas, c’est moi qui décide", elle se baissa en dégrafant mon pantalon, et commença à me sucer langoureusement, je n’arrivais plus à bouger, tétanisé en imaginant son mari monter, je prenais mon pieds, pendant que lui préparais l’apéritif…

et son mari se fit entendre:

"chérie", elle se retira, mon sexe entre ses main, elle s’écria:

"encore quelques minutes mon amour, met le rôti au four nous allons descendre", en se levant elle me pris par le sexe et me fit entrer dans une grande chambre, ou elle se jeta sur le lit tout en mentraînant avec elle, elle remonta sa jupe délicatement, je vit apparaître le haut de ses bas un porte jarretelle et rien en dessous, elle me tira vers elle, toute excitée:

"prend moi la tout de suite"

"arrête on peu pas faire ça, tu es déjà aller trop loin la"

"pénètre moi", elle entoura ses bottes autour de moi, avec l’excitation, je m’exécutais, avec délicatesse afin d’éviter le moindre bruit, et elle complètement déchaîné, elle poussait des petits cris à chacune de mes pénétrations, ça m’excitais encore plus, et je ne pouvais me contenir, elle le ressentie et s’empressa de se retirer pour prendre mon sexe en pleine bouche, mon éjaculation fut instantanée, et elle n’en perdis aucune goutte, j’étais frustré, en la regardant se lécher les doigts, je ne pu mempêcher de lui dire:

"excuse moi, je suis confus mais je n’ai pas pu me contenir"

"c’est exactement ce que je voulais" elle se leva, s’essuya la bouche, descendis sa jupe, tout en me tenant la main, nous sommes descendu,

à suivre….

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