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week-end à la ferme – Chapitre 20




"j’ai l’impression qu’ Hercule veut avoir sa part du gâteau,je te conseille de ne pas bouger car il peut devenir méchant quand il n’a pas ce qu’il veut"

Le pauvre, s’il savait à quel point mon épouse adore ça

"ohh c’est bon, il me lèche toute la raie je sens sa grosse langue qui me fouille ma rondelle, c’est génialllllllll"

La langue du chien descend plus bas à certain moment pour venir me lécher mes testicules ainsi qu’une partie de ma bite, c’est divin. "tu sais que tu le fais bander mon clébard, tu verrais la bite qui pend sous son ventre, je crois qu’il va te la mettre" dit le routier à Francine qui n’a pas le temps de répondre, le chien est déjà sur son dos donnant des coups de bassin dans le vide pour l’embrocher

"on dirait qu’on a trouvé une bonne chienne pour nous deux, vas y baise la mon chien, fais toi du bien avec cette femelle"

Les coups de bassin du chien redoublent, il cherche un orifice, je sens sa bite venir au contact de la mienne quelques fois. Enfin le cri de mon épouse m’annonce qu’il a trouvé la bonne porte

"ahhhhhhh il me l’a mise dans le cul, ohhhhhh comme il est grosssssssssss! il me remplitttttt, c’est bonnnnnnnnn!"

Le chien se démène à présent sur le cul de Francine à un rythme dont seul sont capables les canidés.

Francine est comme folle, elle a les yeux et la bouche grands ouverts. Moi j’ai repris mon pilonnage de sa chatte aussi et c’est la bite du chien que je sens actuellement. D’ailleurs celui ci ne bouge plus, il est certainement arrivé à la fameuse phase du noeud, les cris de ma femme m’ont donnés d’ailleurs la confirmation

"IL ME MET SON NOEUD CHERI, IL EST GROSSSS ,IL RENTREEEEEE AHHHHHHHH, JE JOUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII"

Au même moment le routier, qui a repris de la vigueur, lui attrape la tête des deux mains pour la bloquer et lui fourrer son pieu dans la bouche

"vas y pompe moi chienne"

Francine ne pouvant s’exprimer grogne plus qu’elle ne gémit pendant qu’il lui viole la bouche. Elle a attrapé mes mains et me sert par convulsions presque à me faire mal. Notre ami, qui n’a jamais été à pareille fête sans doute, ne tarde pas à jouir une seconde fois. Il a enfoncé toute la longueur de son sexe dans la bouche de mon épouse pour se vider dans sa gorge. Dès qu’il se retire elle s’écrie

"je jouiiiiiiiiiiiiiis, il coule dans mes fesses, ohhhhhhhh que c’est bonnnnnnnn"

une partie du sperme du routier s’écoule de ses lèvres pour venir s’écraser sur ma poitrine, elle n’arrête pas de gémir son corps agité de soubresauts. Je n’y tiens plus, je lâche mon jus également dans son ventre.

"oh ouiiiiiii, je te sens aussi giclé en moi mon amour, oui vas y vide toi en moi" un énième orgasme la terasse. Le chien continue à se déverser en elle

Je glisse sous elle, puis me relève pour regarder la scène. Le routier est à genoux à côté de son chien, il regarde au plus près la pénétration n’ayant certainement jamais assisté à pareil copulation. Il me regarde et me dit

"c’est fou, il lui a tout rentré dans l’anus, il est collé à elle littéralement"

"dans peu de temps il va pouvoir se retirer, on va le tenir tous les deux pour qu’il ne la blesse pas" lui dis je

Je me penche vers ma femme

"ça va ma chéri?"

"j’ai joui comme une folle je ne sais plus combien de fois, c’était énorme"

Soudain un gros bruit de succion

"ça y est il s’est décollé" dis je à notre ami

Nous lâchons le chien qui part faire sa toilette, sortant de l’anus de Francine commence alors un écoulement de sperme ininterrompu

"la vache, je savais pas qu’un chien pouvait donner une telle quantité de foutre" s’éberlue le routier

Francine se met en position comme si elle voulait faire pipi afin de vider au maximum son conduit anal. Elle fixe le routier

"c’était très bon, j’ai adoré votre sperme il a vraiment un goût exotique, il faudra trouvé une compagne pour votre chien il est vraiment très doué"

"oui je pense que je vais me mettre à en chercher une, vous ne seriez pas disponible par hasard"

"non, désolée, je suis déjà dans de bonnes mains" lui répond elle en souriant

Tout le monde se rhabille puis nous descendons de la remorque. Petite scène d’adieu ou Francine ne manque pas de flatter Hercule qui le lui rend bien en lui léchant la main et les jambes et nous nous quittons.

"belle mise en jambe pour notre week end, tu ne trouves pas mon chéri"

"mise en jambe tu dis!, je ne sais pas ce qu’il te faut"

"j’espère bien en avoir plus que ça chez Jacques" répond elle

Ça promet pour la suite, je me remet au volant songeur, que peut elle vouloir de plus. Une heure plus tard nous voilà à destination, nous entrons dans la cour de la ferme de Jacques ou sont déjà garés plusieurs véhicules.

"c’est qui tout ces gens à ton avis" me demande Francine

"je ne sais pas ma chérie, j’en ai pas la moindre idée"

Nous descendons de la voiture, Francine attend pendant que je vais sonner à la porte d’entrée. Au bout d’un moment celle ci s’ouvre sur notre ami Jacques complètement nu avec son sexe au beau fixe

"salut les citadins, je vous ai vu par la fenêtre, vous avez fait bonne route"

"oui, merci ça va, mais on est content d’être là"

Francine arrive avec notre valise

"bonjour Jacques"

"salut la Francine, on est content de te voir" lui dit Jacques

"ah bon! mais qui ça -on-"

"mais moi et elle, tu peux lui dire bonjour aussi" lui répond Jacques tout en flattant son chibre

"ah oui bien sûr" dit mon épouse en rigolant tout en allongeant le bras pour caresser la bite bandante

"c’est vrai qu’elle m’a manqué un peu "

"qu’a cela ne tienne tu veux en profiter tout de suite" lui dis Jacques

"euh! on va peut être s’installer d’abord, non! on a le temps" dis je

"oui tu as raison, allez on va rentrer"

Une fois à l’intérieur, nous déposons nos affaires, je cherche des yeux l’épouse de Jacques

"suzette n’est pas là" demande Francine

"si, si elle est là, mais c’est l’heure de la traite elle est dans la salle"

Je jette un regard plein d’interrogation à mon épouse qui lève les épaules.

"ah au fait j’ai un nouveau boulot, je suis devenu dresseur de pouliche" nous dit il

"ah bon! c’est génial pour toi, ça te permet de rester en activité et de ne pas perdre la main toi qui aime les animaux" lui dis je

" vous voulez voir"

"et si on allait d’abord voir Suzette" dit Francine

"comme vous voulez, de toute façon c’est l’heure ou je dois allé la chercher, venez on y va"

Nous le suivons jusqu’à la salle de traite

"voilà ma laitière, elle arrive à me donner 2 litres par jour maintenant, je le revends à mes copains chasseur, ils adorent ça"

Suzette est en levrette la tête baissé avec les tires lait qui pendent au bout de ses seins. La poitrine majestueuse que j’ai connue n’est plus qu’un souvenir, ce ne sont plus que 2 outres desséchées au bout desquelles pend l’appareillage. A notre arrivée elle lève la tête vers nous, son regard plein de tristesse s’illumine lorsqu’elle nous voit Francine et moi.

"je crois qu’il était temps que l’on arrive" dis je à voix basse à mon épouse

Jacques a dégagé son épouse puis l’aide à se relever

"dis bonjour à nos amis, comme je t’ai appris"

Alors là Francine et moi restons médusés, Suzette se remet à genoux, vient d’abord vers moi en jappant comme un chien et me lèche les chaussures puis elle se dirige vers mon épouse pour en faire de même.

"vous voyez comme elle est contente de vous voir, c’est une bonne chienne ça!Allez on retourne à la cuisine, passe devant" dit Jacques tout en flattant la croupe de Suzette

Suzette se déplace à quatre pattes comme un chien, suivi par Jacques et nous, une fois arrivé dans la cuisine elle va d’elle même se coucher dans son coin sur son tapis.

"au fait Paul, si tu veux lui mettre un petit coup, ne te gênes pas elle est là pour ça" me dit Jacques en désignant Suzette de la tête

"non merci ça ira pour le moment" lui dis je, vraiment pris de pitié pour Suzette

"ah au fait vous voulez voir la pouliche que je suis en train de dressée"

"oui pourquoi pas " lui dit Francine en se levant pour se diriger vers la porte

"non, non, ça n’est pas dehors, venez suivez moi"

Nous nous regardons interloqués avant de suivre Jacques. Ils nous emmènent vers la fameuse pièce que nous avons visités à notre insu lors de notre premier passage. Arrivés sur place nous constatons qu’il y a quelqu’un dans un des carcans et à voir la forme du fessier cela à l’air d’être une femme, elle a les jambes entravées avec une de ces fameuse barre ce qui lui ouvre les fesses au maximum.

"C’est un de mes amis chasseur qui me l’a confiée pour que je la dresse, elle n’est là que depuis hier matin. J’étais en train de lui donner sa seconde leçon.

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