Au début des années 70, j’ai eu un accident d’automobile qui m’a laissé comme conséquence des séances de kiné hebdomadaires, la colonne ayant été touchée et mal soignée. Les séances consistent à me masser le dos, et a suivre le nerf sciatique gauche, c’est à dire le bas du dos, la fesse gauche et la jambe gauche jusqu’au mollet. Partout ou je passe, je recherche donc un kiné pas trop loin de chez moi. Le record a été sur le même étage. Depuis 3 ans, je passe 7 mois de l’année dans un village naturiste dans le sud de la France. Il y a 2 ans, j’ai trouvé une kiné juste à côté du village. Depuis je fais mes séances toutes les semaines chez elle.

Au premier rendez-vous, elle m’a posé les questions d’usage et m’a dit.

— Si je comprend bien l’ordonnance et vos explications, je doit vous masser le dos au niveau des dorsales, et suivre le nerf sciatique de la base de la colonne jusqu’aux chevilles.

— C’est tout à fait ça.

— Très bien, déshabillez vous et allongez vous sur le ventre.

J’ai l’habitude de me déshabiller seul dans un box de soin et le ou la kiné arrive une fois que je suis installé. Etant obligé de me déshabiller entièrement, ça peux gêner certaines personnes. Elle, non, elle reste là et me regarde. C’est une sorte de défit que je relève. Je me déshabille, pas trop rapidement, elle me regarde et une fois que je suis allongé sur la table de massage, vient me rejoindre.

— Vous avez un beau bronzage intégral.

— Oui je suis naturiste.

— Moi aussi, mais maintenant que mes enfants ont entre 10 et 13 ans, ils ne veulent plus aller sur la plage naturiste. J’y retournerai quand ils ne seront plus chez moi.

Charlotte a la quarantaine, et c’est une fille très mince, limite maigre, toujours en mini jupe et petit corsage très décolleté sur une petite poitrine ferme, à mon sens refaite à l’identique, libre de tout soutient gorge. J’ai aussi remarqué une fois, quand elle s’est penchée pour ramasser une serviette tombée à terre, qu’elle devait porter des slips de bain très échancrés car ses fesses étaient pratiquement entièrement bronzées, et qu’elle portait des strings.

L’année dernière elle m’annonce qu’elle part en vacances, mais qu’elle a trouvé un remplaçant.

— C’est un homme, ça ne vous dérange pas?

— Non pas du tout.

— Il s’appelle Jules P……..

— Va pour Jules.

Le remplacement commence, l’homme a dans la trentaine, sympa, efficace, que demander de plus. Je remarque tout de même qu’il insiste plus que de raison sur mes fesses et que quand il me masse les jambes, ses doigts s’égarent un peu vers le haut de mes cuisses et effleurent souvent mes couilles. Je ne réagis pas, mais je me pose des questions.

Un vendredi soir, dernier jour de remplacement, en aidant un ami à déménager un meuble, je me coince le dos. Je ne peux plus me redresser. Il est 19 heures et je téléphone à Jules. Très sympa, il me dit d’arriver, qu’il termine son dernier client et qu’il m’attend. J’arrive au cabinet, il m’attend et me dirige vers le box de soins. Il est déjà 19 heures 30 et mon ami ne pouvant attendre, Jules lui dit qu’il me ramènera chez moi. Venant du quartier naturiste, je ne porte qu’un tee shirt long qui descend jusqu’à mi cuisses. Lui porte une blouse blanche boutonnée devant. Je ne distingue rien de plus. Il m’aide à enlever le tee shirt, dispose un coussin sur la table de massage et m’aide à m’installer à plat ventre. En m’aidant, je trouve qu’il n’était pas nécessaire de me prendre par l’intérieur de la cuisse gauche en effleurant mes couilles. Il faudra que je mette tout ça au clair, je ne le reverrais plus après cette séance. Charlotte, rentre dimanche et reprend du service lundi.

Après deux ou trois manipulations et un long massage il me demande de rester en position pour récupérer. Cela va beaucoup mieux. Il pose négligemment une main sur le bas de mon dos. Au bout de quelques secondes, sa main commence à monter et descendre en effleurant ma peau. C’est une très agréable sensation. Je ne bouge pas. Sa main descend de plus en plus bas jusqu’à arriver sur mes fesses. Là je donne un léger coup de rein à peine perceptible mais le message passe bien et sa main se fait de plus en plus hardie. Maintenant il ne s’occupe que de mes fesses. Ses doigts se contractent, il me malaxe les fesses. Je n’ai plus de soucis à me faire, j’ai la réponse que j’attendais. Une autre main va entre mes cuisses, remonte et arrive au contact de mes couilles. J’écarte bien les cuisses pour laisser le passage. Il s’empare de mes boules et les malaxe entre ses doigts. Voyant que je réagis, il enlève le coussin et me fait retourner. Il se jette sur ma queue qui commence à se redresser. Il me branle énergiquement. Je lui fait comprendre que je préfère quand le geste est plus lent. Quand ma bite est bien raide, il l’embouche. Je veux voir ce qu’il y a sous la blouse. Je commence à déboutonner les boutons un à un en commençant par le haut. Au fur et à mesure que j’avance dans mon déboutonnage, je vois que Jules ne porte rien sous sa blouse. Jamais je n’avait constaté ça quand je suis venu pour les séances.Je pense qu’il s’est habillé de la sorte sachant que j’arrivais.Une fois tous les boutons défait, il abandonne ma bite et fait tomber la blouse à terre. Il est à poil comme moi. il va vers la fenêtre et tire les rideaux.

— Il n’y a pas de vis à vis mais on ne sait jamais.

Il revient vers moi et me présente sa bite, moyenne mais avec un gros gland. Il est épilé comme j’aime. Je la prend en bouche et lui fait un pompier dont j’ai le secret. J’avoue que j’adore sucer une bite et qu’au fil du temps, et avec les conseils de certains hommes, je suis arrivé à une technique très au point. Je les fait monter au ciel un un tour de main si je le veux. Là je ne veux pas le faire jouir, je veux qu’il me baise. Il comprend et va vers le bureau, prend sa sacoche et en retire des préservatifs et du gel. Sa queue étant en forme, il enfile une capote et revient vers moi avec le gel. Le voyant arriver je me retourne et me positionne en travers de la table de massage, les jambes pendantes. Il ajuste la hauteur de la table, me badigeonne le cul avec le gel et pose sa bite sur mon petit trou. Je le laisse me pénétrer doucement en savourant le plaisir de se faire mettre un pieu dans le fion. Son gland se fraye un passage dans mon fondement comme une tête chercheuse. Ses va et vient sont lents et profonds comme j’aime. Le plaisir monte petit à petit et son rythme accélère. Je sent sa queue palpiter, je me laisse aller au plaisir et je joui en même temps que lui. Heureusement que la table de massage est en sky, elle sera facile à nettoyer. Je lui enlève le préservatif et le nettoie comme un sou neuf. Le fait que je le lèche le fait repartir de plus belle, je vois sa bite enfler et se redresser une nouvelle fois. Il me fait signe qu’il a besoin de repos et va s’asseoir derrière le bureau.

— Un apéro?

— Oui, volontiers

— Whisky, pastis, porto, gin, vodka?

— Si il y a du perrier, ce sera un whisky.

— J’ai ce qu’il faut. Suis moi.

Nous arrivons dans le salon de la maison. En fait la kiné lui a laissé la disposition de sa maison pendant la durée de son remplacement.

— Installes toi.

Je m’installe sur le divan en cuir, en posant la serviette qu’il me tend dessus, de manière à ne pas déposer de gel ou de sueur sur le cuir. Il n’aime pas du tout.

Il va prendre les bouteilles et sert l’apéritif avec des amuse-gueules. Nous discutons de choses et d’autre quand le sujet fini par tomber sur le sexe.

— Il y a longtemps que tu fréquente des hommes?

— Depuis 93 ou j’ai été dépucelé du cul par un mecs monté comme un âne.

— Ca ne t’a pas fait trop mal.

— Non, et ce n’est pas si étonnant que ça car il m’a longtemps préparé et il est rentré très doucement en surveillant bien mes réactions. Ca c’est très bien passé.

— Moi au contraire, à l’age de 18 ans, je suis tombé sur une brute qui m’a enfoncé sa bite d’un seul coup et j’ai eu une douleur atroce. Je l’ai repoussé violemment, ça a failli se terminer par une bagarre. J’ai été dégoûté pendant plusieurs années avant de rencontrer Pierre qui m’a initié avec douceur et amour.

— Et ce Pierre, qu’est il devenu?

— Mort du sida il y a 9 ans.

— Désolé.

— Ne pensons plus à tout ça, moi j’ai une petite faim, tu reste?

— Si tu me raccompagne après, d’accord.

— Ne t’en fait pas. Reste là je m’occupe de tout.

Il se lève, va à la cuisine et commence à préparer le repas.

Je regarde la pièce d’un regard circulaire. C’est une grande salle séparée en son milieu par une dénivellation qui sépare le salon de la salle à manger. Je tombe en arrêt sur une bâte de Baseball. Elle est négligemment plantée dans un porte parapluie. Je me lève, me dirige vers elle, m’en saisie et vérifie le diamètre de l’engin. Ca ne devrait pas dépasser les 6 à 7 cm. C’est faisable me dis je. Je vais chercher un préservatif dans le bureau voisin et le met sur la bâte. Je suis encore suffisamment lubrifié pour pouvoir me l’enfiler sans problèmes. Le pose le bout de la poignée de la bâte par terre et je m’assoie sur le sommet arrondi. Elle commence à s’enfoncer dans mon cul quand le Jules arrive.

— Mais tu es insatiable toi?

— Quand on aime on aime, et moi j’adore me faire mettre.

— Attend je vais t’aider.

Il pose les assiettes qu’il avait dans la main et vient immobiliser la bâte. Il se penche pour mieux voir. La bâte entre petit à petit et progresse plus vite quand le diamètre maximum est passé. Je la bloque avec une main pour pas qu’elle ne s’enfonce trop et je lui demande de la maintenir pendant que je monte et descend. Je me masturbe en même temps, le plaisir monte, mon cul se dilate de plus en plus, je sent la bâte qui appuie sur ma prostate, ce qui déclenche ma jouissance. En voyant ça, le Jules se jette sur ma bite et avale tout. Je récupère un peu et me dégage de la bâte. Je la repose dans le porte parapluie. Voyant ça, jules me dit.

— Si Charlotte, savait à quoi sa bâte a servie, je pense qu’elle la regarderait d’une autre manière.

— Es tu sûre qu’elle n’a pas déjà servie à autre chose qu’à jouer au base ball.

— Venant de Charlotte, pourquoi pas?

— Tu lui demanderas?

— Non. Viens prendre une douche.

Je suis Jules dans une petite pièce avec uniquement une douche. Je me met sous l’eau et je profites du moment. Jules me pousse un peu pour avoir de la place. Je m’accroupie et prend sa bite dans ma bouche. Au bout d’une minute il bande comme un âne. Il me tient le tête, je sent qu’il va aller jusqu’au bout et qu’il faut que j’avale tout.

— Oui, c’est parti. Vas y Jean avale tout.

Un puissant jet envahi ma bouche, j’avale ce sperme assez salé, mais excellent.

— Décidément, tu n’arrête pas.

— Si c’est pour me faire plaisir, jamais.

Nous nous essuyons et retournons dans la grande salle.

On s’installe sur la table basse du salon et on mange un bout. A la fin du repas, Jules débarrasse la table et revient avec une bouteille de gnôle.

— C’est de l’alcool de poire de mon pays. Tu en veux?

— Avec plaisir.

Il nous sert dans de petits verres et nous dégustons cet alcool. Il est fort mais très parfumé.

En buvant, Jules laisse tomber une goutte sur son ventre. Je me penche et le lèche pour le nettoyer. Je descend petit à petit vers son sexe et arrive à sa base. Je lèche la base en remontant un peu vers le gland. Ca na rate pas, son sexe se redresse petit à petit. Je l’enfourne et le suce.

— Putain mais tu n’arrête pas.

Je continue car je pense que si il n’en avait pas envie, il m’aurait arrêté depuis longtemps. En fait il ne tarde pas à jouir dans ma bouche avec son sperme toujours aussi salé. C’est lapanage des jeunes. moi je sent que rebander une troisième fois en 90 minutes, ça devient difficile. Lui, il assure. Une fois tout avalé, je bois un petit gorgeon de gnôle.

— Tu as faim de partout toi, de la bouche, du cul, heureusement que tu n’est pas une femme, ce serait la mort.

Le téléphone sonne, c’est Charlotte qui prévient Jules qu’en fait elle sera là demain en début de matinée vers 10 heures.

Branle bas de combat, il faut tout ranger.

— Je m’excuse mais il faut que je te ramène au village, je doit tout ranger ce soir.

— Pas de problème.

L’enfile mon tee shirt et lui sa blouse. Nous montons dans sa voiture et il démarre. Arrivé à un stop Je vois des policiers municipaux.

— Attention les flics.

— J’ai marqué le stop je ne pense pas qu’il y ait un problème.

Les flics nous font signe de nous arrêter. Jules boutonne le dernier bouton de sa blouse qu’il avait laissé déboutonné. Une fliquette arrive et demande les papiers de la voiture. Jules les présente. Tout est en règle. La fliquette revient avec un éthylotest et demande à Jules de souffler. Un homme arrive et vérifie l’éthylotest.

— C’est parfait monsieur, mais attention vous êtes à 0,45, c’est limite. Vous allez loin.

— Non, j’accompagne mon ami au village et je rentre chez moi à 200 mètres.

— Très bien, bonne soirée.

Nous repartons, nous arrivons dans un endroit avec un dégagement et je lui demande de se’arrêter. L’endroit est très peu éclairé, je me penche sur lui, lui déboutonne deux ou trois boutons et m’empare de sa bite avec ma bouche.

— Je n’et jamais vu un gourmand comme toi.

Trop occupé, je ne répond pas. Il joui au bout de 4 à 5 minutes. Je le reboutonne et lui dit.

— Cette fois ci on y va.

Il redémarre avec un sourire et me dépose devant le camping.

— Adieu, je retourne en Franche Comté définitivement.

— Salut et merci pour tout.

Je n’ai jamais revu Jules.

Le lundi suivant, Charlotte maccueille en me disant.

— Alors il était bien Jules?

— Parfait, absolument parfait. Il faut en trouver un des comme ça pour l’année prochaine.

— Ca je ne peux pas vous le garantir.

— Dommage.

Charlotte n’a pas tout à fait compris le sens de cette dernière remarque. Elle m’a massé, très bien comme d’habitude et le cycle a recommencé.

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