Hervé et Véro, vingt deux ans, sont à dix jours de leur mariage. Tout est prêt. Hervé demande à Véro si elle peut récupérer son cousin Ludo à la gare.
-Mais, je le connais pas, dit Véro, et lui non plus.
-Tu peux pas te tromper, ironise Hervé. Il y aura qu’un beau gosse à la gare. Ce sera lui.
Véro enfile un short blanc moulant, et une chemise nouée à la taille. A cause des bouchons, elle arrive en retard.
Du coup, elle ne peut pas se tromper, il reste qu’une personne dans le hall.
"Putain, pense Véro, si c’est lui, c’est vrai que c’est un super canon".
Ludo est vêtu d’un bermuda, chemise blanche, tennis, et lunette noire. Il est assis sur sa valise.
-Vous êtes Ludo, je suppose. Je suis Véro.
-Dit dont, dit Ludo, Hervé m’a dit qu’il allait épouser une bombe, mais là, il est en dessous la vérité.
Véro rougit devant tant de compliments. Ludo le remarque.
-Bon, demande-t-il, vous m’emmenez ou? On peut se tutoyer.
-OK, répond Véro, je t’emmène à l’hôtel pour cette nuit.
Arrivé dans la chambre, Ludo quitte sa chemise, découvrant un torse musclé, et légèrement poilu. Il va au frigo.
-Tu me sers à boire, s’il te plait.
En se penchant pour servir, Ludo aperçoit les seins de Véro.
-Joli poitrine, remarque-t-il. Ils ont l’air d’être ferme.
J’aimerai bien les caresser. Dommage que tu sois ma cousine.
-Je ne le suis pas encore, répond Véro.
Elle fait face à Ludo, provocante. Elle ouvre sa chemise. ses seins pointus jaillissent dans la chambre.
-Si tu en as envie, te gène pas, dit-elle en s’approchant.
Ludo as l’habitude de ce genre de situation. Il ne se démonte pas, bien que surpris par tant de toupets. Il saisit les seins de Véro, en fait rouler les bouts entre le pouce et l’index. Ils doublent de volume. Véro glousse de plaisir.
Elle passe une main derrière la nuque de Ludo,l’attire à elle, et l’embrasse. D’une main, elle écarte le bermuda pour en libérer un sexe de vingt centimètres.
-En plus du physique, tu as ce qu’il faut, dit-elle, je n’aurai pas çà la semaine prochaine.
Elle prend la queue, l’excite un peu, se penche, et la prend dans sa bouche, jusqu’à ce qu’il soit tendu au maximum.
Elle le pousse sur le lit, et quitte son short.
-Tire moi, dit-elle, vite fait.
Elle s’empale sur le membre de Ludo en poussant un cri de plaisir, et commence ses va et vient.
-Caresse moi les seins, regarde comme tu les as fait durcir salaud. Et cette grosse queue qui va me faire jouir, hein?
Ouais, régale moi, vas-y.
Véro se penche sur son partenaire, et lui mord les lèvres.
-A toi maintenant, lui dit-elle.
Elle glisse le long de son corps, avale sa queue, et lui taille une pipe. elle pousse des petits cris tellement elle prend plaisir à le dominer. Elle sait qu’il va la supplier, qu’il ne pourra pas se retenir. Il est à sa merci.
-Tu m’as eu salope, hurle-t-il. Quelle pipe, oh putain.
Elle a tout avalé mais continue à l’aspirer. Elle veut le vider complètement.
-Arrête, je t’en prie, tu me crèves, assez, implore Ludo
-Alors, on est cuit. Tu as de la chance que le temps presse, je t’aurai sécher les couilles.
Elle se rhabille, l’embrasse avec force, et se sauve.
"Pauvre Hervé, tu as intérêt d’assurer, pense Ludo, tu es déjà cocu avant d’être marié".
Nous sommes le samedi du mariage. Véro est d’une beauté à couper le souffle. Hervé est fier d’avoir une telle femme pendu à son bras. Ludo, lui, ressemble a un mannequin.
"Quel beau mâle, se dit Véro les yeux humides".
A travers ses lunettes noires, Ludo admire Véro.
"J’espère qu’on dansera ensemble ce soir, pense-t-il".
La première danse est pour les mariés. L’ambiance est à son comble.
-Ludo, tu feras danser ma femme, dit Hervé un peu éméché.
C’est ta cousine maintenant.
-Mais bien sur cousin, tu viens Véro?
-Quelle Question, répond-elle en lui prenant la main.
Elle passe ses deux bras autour de son cou, et lui murmure à l’oreille.
-Tu as vu l’état de mon mari. C’est toi qui va me niquer cette nuit. Rien que d’y penser, je suis toute mouillée.
-Déconne pas Véro, dit Ludo, tu es mariée maintenant.
-Tais toi ou je fais un scandale. Laisse ta porte ouverte.
En effet, cette nuit, Ludo est hébergé sur place.
Il regarde Hervé l’air triste. Il est ivre. Il va manquer sa nuit de noce.
Ludo est allongé sur le lit, recouvert d’un drap. Comme promis, Véro se pointe vêtue d’un peignoir.
-J’espère que tu sais ce que tu fais, dit-il.
-Je sais simplement que je vais me faire baiser toute la nuit, répond- elle.
Elle se déshabille et se glisse sous le drap.
-Ce que j’aime, avoue-t-elle, c’est ta grosse queue, et tes couilles bien pleines qui demandent à être vidées.
Elle enjambe Ludo, et coulisse sur le membre en érection.
-Je suis à toi mon chéri, fais moi oublier mon mariage.
Bourre-moi la chatte.
Véro est en surchauffe. Ludo a besoin d’être au mieux de sa forme. C’est lui qui vient le premier.
-Ha, salope, tu me tiens là, ha..ha.
la semence gicle dans la chatte de Véro par longs jets chauds, interminables. Leurs langues sont enroulées une à l’autre. L’orgasme de Véro est puissant, total. Mais elle en veut encore. Elle se soulève, et sort la queue toujours en érection de sa chatte. Elle dirige le gland et le frotte contre son clitoris, juste sur le méat.
-On m’a jamais fais çà, soupire Ludo.
-Moi non plus, je l’ai jamais fais. C’est toi qui me donne des idées. Tu veux voir ce que je te fais.
-Oui, s’il te plait, gémit-il.
Elle se met face à lui.
-Regarde, tu sens mon bouton contre ton gland. tu vas voir comme je vais le faire pleurer.
On dirai que Véro veut rentrer son clitoris dans le méat de son amant.
-Mon dieu, je joui salaud. Joui avec moi, ha, ouii.
-Moi aussi je viens. Comme tu sais te servir d’une queue.
Oua.
Ludo éjacule sur le clito de Véro qui, elle aussi, recouvre le gland de cyprine. les deux amants sont en nage. Leurs corps, épuisés sont allongés un contre l’autre.
-Il faut regagner ta chambre, dit Ludo, il est tard.
-Tu vas partir, répond Véro en larmes. Si on partait tout les deux. Je te rendrai heureux tu sais.
-Tu sais bien que c’est impossible, mon amour. Embrasse moi et rejoint Hervé.
Le baiser est torride, mais sent la rupture. C’est avec regret et en pleurs que Véro quitte la chambre.
Ils promettent de s’appeler.