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Moi, Fifille mes débuts de lopette – 1ère Partie – Chapitre 4




IV    Moi, Fifille  – épilogue

Fabienne m’attendait dans le hall.  Je suis arrivé avec un bouquet de fleurs à son attention. Cela lui a fait très plaisir, j’ai lu dans ses yeux.

Tout comme la semaine précédente j’ai mis à peu près 2 heures pour faire son appartement, tout nu bien sur. Je suis allé la rejoindre dans sa chambre à l’issue de ma prestation. Elle s’était changée, portant une petite robe noire délicieuse. Je sentais son parfum fleuri mais discret. Elle ne m’a pas laissé le temps de parler, a attrapé ma petite queue pour m’entraîner derrière elle dans le salon.

Elle m’a dit d’attendre, là, au milieu.  Elle a baissé les volets, juste une lumière tamisée, puis est allé mettre un slow, un vieil air du groupe « scorpion » , Still loving you , juste pour nous deux. Elle m’a ensuite rejoint, pris par la main et m’a serré contre elle dans une étreinte enivrante. Et on a dansé.

Le contact de mon corps nu contre sa robe, son cou, ses jambes, tout cela était magique. j’avais terriblement envie de chercher ses lèvres . Elle fermait les yeux. Excitée, ma petite verge toute droite frôlait à peine son ventre. La magie du moment, mon amour pour cette fille, le courant qui passe, une poussée d’extase, je ne sais pas, en tout cas, soudainement je n’ai pas su me retenir et j’ai jouis contre elle, sur sa robe. Elle m’a alors regardé, j’ai senti de l’agacement, la fin d’une illusion, une grande déception dans son regard et elle m’a giflée sèchement. J’ai pleuré. « Puisque c’est comme ça, décidément, tu es un bon à rien !  – Fifille on va faire autrement  avec toi !  La semaine prochaine on va rigoler tous les deux !- Allez dégage ! »

En rentrant, j’ai chialé comme une gonzesse.

C’est la 3ème fois que je vais chez Fabienne je me suis garé au même endroit ; j’espère que les voisins ne vont pas remarquer mon manège hebdomadaire !

J’ai sonné, Fabienne m’a ouvert, elle m’attendait sur le hall.

« Entre ! Excuse-moi pour la dernière fois je me suis emportée tu ne peux pas comprendre.

Déshabille-toi vite et viens me rejoindre dans ma chambre !

Intrigué, quand je suis arrivé dans sa chambre elle m’a tendu un gros paquet tiens c’est pour toi mon cadeau pour me faire pardonner ! J’ai rapidement ouvert et découvert mon cadeau il s’agissait d’une culotte en dentelle, d’un petit soutient gorge tous deux de couleur blanche, d’une paire de bas blanc et d’une paire de ballerines noires.  Voilà enfile le tout, que je vois ce que ça donne –  j’ai eu un mal fou pour les ballerines pour en trouver en ville à ta taille ! J’ai pensé que ça te ferait plaisir d’être un peu plus femme puisque dan les faits tu n’as pour moi plus rien de véritablement viril et que tu te complais dans ta situation de soumis, alors sois-le jusqu’au bout et assume ! »

Fabienne m’a aidée pour enfiler le soutien gorge, elle m’a précisé que j’avais des petits seins de femme et que les siens n’étaient guère plus gros. Elle a sans doute parfumé les sous-vêtements au préalable car je sens un doux parfums ; je reconnais là son eau de toilette.

« Ce n’est pas tout »  me dit-elle, « Pour samedi prochain je veux que tu sois rasé de près  y compris ton pubis » et coupe tes cheveux un peu plus court, car tu auras une autre surprise !

Bon voyons voir cette petite femme qui vient de naître .. »

Elle fait le tour du propriétaire et me dit « c’est pas trop mal mais il y a encore du boulot. Es tu heureux Fifille ?

Je réponds immédiatement « oui Madame »

— « non tu diras  Maîtresse Fabienne désormais »

« Autre chose, une maîtresse punit et doit se montrer exigeante, donc ne te rate pas ! » et elle me montre alors une petite cravache de cavalière qu’elle avait rangée à proximité. « Chacune sont outil » dit-elle, « toi c’est l’aspirateur et le plumeau, moi c’est la cravache, alors attention ! Allez assez perdu de temps va travailler ma Lopette » !

Je me suis déshabillée et suis allez faire le ménage, nu, pour la dernière fois sous mon apparence d’homme et j’ai eu droit à 20 minutes à lécher ses pieds, 20 minutes de pur bonheur.

C’est mon 4ème samedi chez Fabienne j’ai respecté ses exigences et me suis rasée de près, le bas de mon ventre également. Je me suis ainsi présentée toute nue debout dans le salon. Le regard tourné vers le sol. D’une boite ronde Fabienne à sorti une perruque auburn, les cheveux sont semi longs  avec une frange. Elle me l’a ajustée elle-même. Puis s’est approchée de moi et me disant de ne pas bouger et de tendre mes lèvres. Délicatement elle m’a passé un beau rouge à lèvres teinté amarante.  J’ai revêtu ensuite mes effets féminins et je me suis mise au travail.

Ma Maitresse n’a jamais eu l’occasion de se servir de sa cravache, je ne sais pas si elle en serait capable d’ailleurs. En fait je ne crois pas , mais elle est toujours là sur la commode en ma présence.

Cela fait bientôt 3 mois que chaque samedi, je deviens  femme au service d’une maîtresse dont je suis amoureuse.  

Ma Maîtresse m’a fait un beau cadeau aujourd’hui ; Quand j’ai eu fini son ménage, elle m’a tendue un pied à lécher, puis soudain elle a relevé sa jupe et a avancé le bassin et sans rien dire  m’a montré son entre-jambes. Elle était nue elle aussi sous sa jupe, Elle a écarté les cuisses et m’a permis de lécher son sexe. Elle a écrasé mon visage contre sa chatte. Nous somme restées tous les deux un long moment dans cette position je l’ai léchée jusqu’à ce que tous les deux nous en soyons dégrisées.

On s’est quitté ce jour là tous les deux à regret, j’en suis certaine en ce qui me concerne mais pour elle j’en suis aussi convaincu.

Depuis, et progressivement Fabienne a pris le pli de m’aider à faire son ménage pour que je passe plus de temps à m’occuper d’elle. Elle m’a demandé ensuite de l’aider à préparer le repas et nous déjeunons souvent ensemble, comme 2 copines. Depuis quelque temps elle me demande de la masser et de la caresser et souvent nous passons ensemble une grande partie de l’après midi. Elle m’a avoué qu’elle préférerait que je sois un Homme, mais qu’elle me comprenait et que cette situation la satisfaisait. Elle manque à son rôle de Maîtresse, mais je sais que cela ne l’intéresse pas et que c’est définitivement pas son trip D’ailleurs il n’y a plus ni maîtresse ni esclave entre nous, simplement une grande complicité. Dernièrement c’est moi qui lui ait donné une légère fessée car elle venait juste d’un peu me provoquer et je crois qu’elle a apprécié d’être docile et d’avoir les fesses qui ont chauffé quelque temps. Et moi aussi. Souvent je viens la retrouver en semaine le soir et on se tient compagnie.

Patrick vient d’appeler au téléphone Je suis chez Fabienne presque 1 an qu’il n’avait pas donné de ses nouvelles et qu’il n’était pas revenu en France. Il vient de se manifester ; Fabienne a décroché, elle a simplement dit « Patrick ? » puis pendant un long moment aucun son n’est sorti de sa bouche.  A sa façon de se tenir  sans cesse en train de chercher l’équilibre ou une position de confort,  de jeter vers moi des regards furtifs, j’ai compris qu’elle n’était pas à l’aise.  Elle s’explique maintenant auprès de lui,  et s’excuse, elle l’appelle Maître à nouveau. Elle parle de moi, « oui Fifille est là » . Elle raccroche et s’approche de moi, visiblement gênée. « Patrick vient demain me voir,  je lui ai dit pour nous deux,  mais il vient quand même, je ne sais pas quoi faire,  je n’ai pas osé, tu comprends. Il m’a juste dit que tu sois là toi aussi. – je sais comment il va agir pour moi et pour toi pourtant j’ai besoin de ça  .. toi tu n’es pas obligé, »  elle a quitté la pièce pour se réfugier dans sa chambre.

Cette nuit on est resté ensemble tous les deux.

Patrick a débarqué sur le coup de 11H00. Fabienne l’a accueilli. Il est entré et on l’a suivi dans le salon tous les deux. Il a réclamé un verre. On a compris que nous devions nous déshabiller et venir s’agenouiller à ses pieds. Fab comme Fifille. Il a simplement dit « C’est bien ! » et nous a demandé de lui présenter nos fesses on les lui a offertes toutes les deux. Il a commencé par Fabienne a qui il a infligé la fessée la plus dure qui soit en la traitant de « Salope, indigne de confiance »  puis ça été mon tour « moi j’ai eu droit à sous-homme et lopette et pleins d’autres noms d’oiseaux »

Ensuite il a sodomisé Fabienne dont il a littéralement cassé les reins puis m’a demandé  de lui nettoyer sa verge. Je l’ai pris dans ma bouche pour le sucer longuement, comme avant .  cela me manquait de retrouver cette sensation de soumission et de ressentir la vigueur et la virilité d’un véritable homme. Il a utilisé Fabienne toute la nuit sous mes yeux, moi j’ai assisté à l’humiliation de ma bien aimée, prêtant ma langue et ma bouche pour assister mon Maître quelque soit sa demande.  Au petit matin il m’a simplement dit que j’étais née pour lécher des culs et sucer des verges et que  Fab étaient une pute de luxe qui s’ignorait. Puis il est parti non sans laisser un billet de 50 Francs à Fabienne elle ne méritait pas plus selon lui.

Patrick est notre Maître à toutes les deux, il vient régulièrement nous rendre visite, au moins une fois par an, et tous les deux nous nous mettons de nous-même au service de son plaisir et accessoirement du notre.

C’est pour Fabienne, mon épouse, comme pour moi,  notre besoin de soumission qui se trouve ainsi satisfait. Quand Patrick arrive nous sommes ses choses on ne se pose plus la question. Fabienne me dit à l’oreille qu’elle en a très envie.

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