Paris. XVIème arrondissement. Il n’est que 18h mais le soleil commence déjà à décliner. Claire gare calmement sa voiture devant un petit immeuble blanc de 3 étages. Elle regarde sa montre et pense à son mari.
Il ne sera pas à la maison avant au moins 2H30, ça lui laisse tout son temps.
Elle sort de sa voiture et s’approche du portail qui lui fait face. Après l’avoir ouvert doucement, elle suit l’allée jusqu’à une petite porte, sur le côté droit, cachée par les ombres. Au moment où elle saisit la poignée, elle sent un frisson la parcourir. Ils l’attendent. Elle ne devra pas les décevoir. Elle sait ce qu’elle risque dans le cas contraire. Une fois à l’intérieur, elle emprunte l’escalier. L’ascenseur lui est interdit.
2ème étage. La porte de Mme F est fermée. Elle se place bien en face pour qu’on puisse la voir. Elle en profite pour replacer sa jupe. Elle aime bien les porter courtes, ça fait ressortir ses longues jambes. Ses cheveux blonds sont soigneusement coiffés en arrière mais elle préfère tout de même vérifier que toutes les mèches sont bien tenues. Elle lisse une dernière fois son chemisier blanc et frappe à la porte. 2 fois. 2 coups brefs. Elle ferme aussitôt les yeux et écoute les bruits de pas se rapprocher, de l’autre côté. Ils s’arrêtent. On l’observe, elle le sait.
La porte s’ouvre et elle sent qu’on l’attrape par le bras pour la faire rentrer. Elle est plaquée contre le mur tandis qu’une seconde personne lui bande les yeux. Elle n’a rien le droit de voir. Une fois le bandeau mis en place, on la pousse pour la faire avancer. Au bout de quelques pas, elle pénètre dans une grande salle. Des personnes murmurent à quelques mètres d’elle.
— Bonjour Claire. Tu es à l’heure, c’est bien. Tu es très jolie, j’aime beaucoup cette jupe.
Elle reconnaît cette voix. C’est Mme F. Elle a commencé par un compliment ! La séance devrait donc bien se passer. Enfin, en principe…
— Bonjour Madame, répond-elle en baissant la tête.
— Bien, à partir de maintenant, tu te tais. Enlève ton chemiser et ton soutien-gorge. Je veux que mes invités te contemplent.
Ses invités… Ils sont plusieurs avec elle. Claire frissonne à nouveau. Elle se sent excitée. Savoir que plusieurs personnes vont assister à la séance lui plaît beaucoup, même si elle se sent quelque peu intimidée. Elle retire donc ses habits et laisse l’assemblée libre de regarder ses seins. L’excitation les a rendus fermes. Elle sent ses tétons pointer. Ca tombe bien, se dit-elle, je les préfère comme ça, ils sont plus jolis. On murmure. Les invités semblent tous assis en face d’elle. Ils la regardent.
— Enlève le reste maintenant. Commence par tes escarpins et le dernier sous-vêtement qu’il te reste.
Docilement Claire commence par retirer ses chaussures, les blanches, celles avec des talons de 8 cm. Elle fait ensuite glisser son string le long de ses jambes. Elle ne porte plus que sa jupe et ses bas. Elle la fait maintenant descendre jusqu’au sol. Elle n’a plus que ses bas. Elle sait que Mme F aime la voir ainsi. Elle les retire également et se retrouve entièrement nue. Elle tourne sur elle-même afin que les invités puissent la voir sous tous les angles. Mme F reprend la parole :
— Parfait. Tourne nous le dos et penche-toi en avant, que l’on puisse profiter un peu du spectacle.
En entendant ces mots, Claire sent son sexe devenir plus chaud. Elle commence à mouiller. Elle obtempère donc et effectue son demi-tour. Elle recule de deux pas afin de se rapprocher et se penche langoureusement vers l’avant. Ils sont donc entièrement libres de regarder son sexe et son anus. Elle prend ses fesses entre ses mains et les écarte afin de tout exhiber devant eux.
A ce moment, quelqu’un qu’elle n’avait pas entendu vient se placer à ses côtés. Sans doute un des deux hommes de l’entrée, pense-t-elle. Il pose alors sa main sans ménagement entre ses fesses et la laisse glisser jusqu’à sa chatte rendue humide par l’excitation, en effleurant son petit trou plissé. Il entreprend de la doigter au vu de tous.
Que c’est bon ! Après ces épreuves au combien excitantes, Claire ne rêvait plus que de ça ! Elle a besoin qu’il lui caresse le clitoris mais ne peut lui demander, faute d’être autorisée à parler. Il retire son doigt et écarte violemment ses lèvres afin d’exhiber son sexe. Elle sent sa chatte palpiter doucement sous l’effet de l’excitation. Il remonte maintenant son doigt encore humide et entreprend de lui caresser l’anus. Elle frissonne de plaisir. De sa main libre l’homme recommence à lui doigter la chatte, en même temps. Un deuxième doigt pénètre dans son sexe humide et effectue quelques mouvements. Les deux phalanges remontent vers son anus et remplacent celui qui la caressait. Il force un peu l’entrée, lui enfonce son doigt dans son cul et effectue des va-et-vient de plus en plus rapides. Les spectateurs n’en loupent rien. Elle sent sa main libre qui lui malaxe une fesse tandis que les mouvements continuent de s’amplifier. Elle sent qu’elle va jouir.
Mme F s’en est rendu compte. Elle dit à l’homme d’arrêter et de placer Claire à 4 pattes devant eux, les fesses vers le haut. Notre soumise se demande ce qui va se passer. Elle entend les convives se lever. Plusieurs mains s’affairent autour de son sexe et de ses fesses. Plusieurs doigts la pénètrent. Elle les sent aller et venir dans sa chatte. Des doigts s’insèrent dans son anus. Ils profitent de la vue de Claire ainsi exposée à leurs envies.
— Arrêtons, les interrompt tout à coup Mme F. Toi, demande-t-elle à l’homme qui s’est occupé de Claire en 1er, prends ceci et mets lui dans la chatte. Occupe toi d’elle ensuite, fais lui ce que tu veux.
L’homme semble ravi d’obtempérer et ramasse l’objet en question. Claire sent alors un gode de belle taille la pénétrer subitement. Elle est au comble de l’excitation. Se faire goder devant tous ces gens, pense-t-elle alors, ça ne devrait sans doute pas, ce n’est pas bien, mais qu’est ce que ça m’excite ! Le gode effectue des allers-retours de plus en plus rapides, de plus en plus puissants. Un doigt s’aventure dans son anus et entreprend de le dilater. Le gode quitte sa chatte humide et s’enfonce violemment dans son anus, lui arrachant un cri de surprise. Il la bourre sans ménagement, la secouant au rythme du gode s’enfonçant dans son cul. Il lui donne une fessée. Le claquement sec qui en résulte la fait sursauter. Elle sent que sa fesse picote, elle doit rougir. L’homme retire soudainement le gode, plaque une main sur son dos et lui agrippe la hanche afin de l’attirer contre lui.
La sensation de son sexe la sodomisant lui arrache un orgasme d’une violence inouï ! Elle serre les dents pour ne pas crier, s’agrippe à la moquette et se cambre au maximum afin de sentir sa bite jusqu’au plus profond d’elle. Il la culbute avec force, la secoue à chacun de ses coups de reins. Les invités n’émettent aucun son. Ils ne doivent rien louper du spectacle. Il se retire alors subitement et attrape les fesses de Claires entre chacune de ses mains. Elle comprend. Il offre son anus béant à la vue de tous. Son trou dilaté palpite doucement devant eux. Une nouvelle fessée claque. De la part d’un des convives.
L’homme la retourne alors et la somme de le sucer. Sa bite ressort à peine de l’anus de Claire. Elle l’attrape à pleine main et entreprend de le lécher sur toute sa longueur. Elle la prend dans sa bouche, la suce et la masturbe en même temps. Il lui tient la tête l’oblige à l’avaler profondément. Elle augmente la force de ses lèvres sur son sexe. La pression de l’homme augmente. Il va jouir. Il la retourne alors à nouveau et, sans l’y préparer, lui renfonce sa bite dans le cul. Il lui agrippe les hanches de toutes ses forces et lui donne des coups de reins tellement forts qu’ils la font vaciller. Chaque coup est plus puissant que le précédent.
Tout à coup, l’homme se crispe. Il jouit à l’intérieur d’elle. Dans mon cul, se dit-elle. Elle sent son sperme jaillir. La puissance du jet est impressionnante. Il la lâche, la laissant tomber sur le tapis, épuisée.
— Lèche-moi la bite, lui ordonne-t-il. Qu’elle soit propre quand t’as fini !
Cet ordre ne souffre aucun refus. Elle entreprend sagement de lui nettoyer le membre à l’aide de sa langue. Quand elle a fini, Mme F reprend la parole :
— C’est très bien Claire. Rhabille-toi maintenant. Tu vas garder son foutre en toi jusqu’à ta maison. Tu n’as pas le droit de te laver avant. Tu le feras dans ta douche, celle-là même que tu partages avec ton mari. Vas-y, je te ferai savoir la date de notre prochaine séance.
Une fois sur le perron, Claire peut enfin retirer son bandeau. La lumière du couloir l’éblouit. Il semble faire nuit dehors. Elle doit se dépêcher de rentrer avant son mari. Elle sent le sperme de l’Inconnu couler lentement entre ses fesses, imbibant son string de sa semence. Elle se presse de rejoindre sa voiture, avant de repartir, chez elle, rejoindre cet homme qui partage sa vie.
Ou tout du moins une partie de sa vie…
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