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Plaisirs de l'onanisme – Chapitre 1




Précoce, je l’ai été. Grâce à un souvenir très précis (une opération de l’appendicite), je peux affirmer que je me suis masturbé pour la première fois à 8 ans. Depuis j’ai toujours eu un goût immodéré pour ce plaisir que l’on dit solitaire. Même marié et satisfait dans le domaine des rapports sexuels, je n’en ai pas moins continué à me branler. À présent, je suis veuf et cela ne fait qu’accentuer mon penchant.

À ce penchant s’en ajoute un second : je suis voyeur. Oui j’aime apercevoir, entrevoir, non pas en regardant des exhibitionnistes, mais en comptant sur la chance et le hasard pour pouvoir satisfaire mon goût pour les petites culottes entrevues. Je dois dire qu’en ce domaine, je suis plutôt veinard et je ne puis résister à l’envie de vous raconter mon dernier coup de chance qui fut particulièrement bandant et qui m’a procuré un plaisir extrême.

Je poussais tranquillement mon caddie dans une allée d’un supermarché, il était 8h30 et à cette heure ce n’est pas la foule, j’étais donc seul dans cette allée que j’avais empruntée parce qu’elle était libre et dégagée, sans gondoliers en train de recharger les rayons, comme c’est souvent le cas. Je n’avais pas fait attention et je m’aperçu soudain que je déambulais entre des rangées de lingerie. Soudain une jeune femme arriva devant moi et, en tirant un mouchoir de la poche de sa veste, elle fit tomber des pièces de monnaie. Elle s’accroupit aussitôt pour les ramasser et là mes amis ce fut un magnifique spectacle. Sa petite culotte ne cachait pas grand chose et le fond en était si étroit que des mèches de poils passaient sur les côté. Bonheur ! Moi qui ai horreur des minous glabres ou juste soulignés d’un trait de quelques poils, j’étais servi ! J’étais médusé, pétrifié, scotché par cette vision bandante… C’est le cas de le dire car je fus pris d’une érection spontanée.

L’une des pièces avait roulé jusqu’à mes pieds et, à peine relevée, elle s’en aperçut. Qu’allait-elle faire? Contre toute attente, elle vint jusqu’à moi et s’accroupit à nouveau, mon sexe en eut un tressaillement au moment où, relevant la tête, elle vit mon émoi. Elle rougit, se releva vivement et disparut.

Je fis mes emplettes, toujours avec une trique pas possible, et me pressai de sortir. Après avoir chargé ma voiture je remis le caddie en place au moment où mon inconnue ramenait le sien. Nos yeux se sont croisés. Je ne pus m’empêcher de lui dire :

— Je m’excuse pour ma réaction très masculine, mais ce n’est pas contrôlable. Elle sourit en me disant qu’après tout, cette réaction était normale car elle avait conscience que le spectacle qu’elle m’avait involontairement offert en était la cause. Comme elle ne manquait pas d’humour elle ajouta :

— J’espère pour vous que votre femme ou votre amie, sera là pour vous guérir.

Quand je lui appris que j’étais veuf et seul elle me dit :

— Mais alors ?

— Alors ? Eh bien je vais me débrouiller seul.

— Vous voulez dire que vous allez vous…

— C’est cela, répondis-je.

Elle me tint alors ce langage stupéfiant :

— Je suis fautive, même involontairement, en conséquence je vous dois réparation. Seulement comme je suis fidèle, je ne puis vous offrir plus que ma main. Ma voiture est tout près, ses vitres noires nous mettront à l’abri des regards.

Je la suivis, nous montâmes à l’arrière, j’ouvris ma braguette et sortis mon sexe hyper tendu qu’elle prit aussitôt en main. Cerise sur le gâteau, elle releva sa robe pour me montrer le corps du délit et commença à me masturber, doucement pour commencer, puis elle accéléra son allure et me mena ainsi au plaisir, un plaisir sublime, matérialisé par trois jets saccadés suivis de quelques gouttes. Elle reçut une partie de mon hommage sur sa cuisse. Je pus m’apercevoir que sa petite culotte avait une tache sur le fond, elle mouillait. Je reprenais peu à peu mes esprits et elle ne relâcha sa prise que lorsque j’eus débandé.

— C’était bon ? Me demanda-t-elle.

— Merveilleux, répondis-je.

Et j’ajoutai :

— À présent, à chaque fois que je me procurerai ce plaisir, je penserai à vous.

Et après nous être dit aurevoir, sans plus, je suis sorti et j’ai regagné ma voiture, la tête pleine de musique.

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