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Comment ma femme s'est dévergondée – Chapitre 6




L’angoisse remonte immédiatement. Les larmes également.

SMS !

"Maintenant, c’est fait. Tu es vraiment cocu. Tu vois ce que ça fait de découvrir sa femme, nue, dans le lit d’un autre mec !"

"Si tu n’avais pas eu une petite bite, et que tu aies su t’en occuper, ce ne serait peut-être pas arrivé".

"Ta femme s’est faite baiser toute la nuit. Mais tu sais, ce n’est qu’un début, crois-moi. Il va falloir t’habituer à bien d’autres choses !".

Il m’envoie un nouveau SMS.

"Ah ! Petite précision que tu vas apprécier ! Avons pratiqué plusieurs fois la sodomie ! Sa petite chatte est déjà "bonne", mais alors, j’ai adoré prendre son petit cul ! J’ai adoré défoncer son petit trou, il est bien serré, quel pied !".

" Je lui ai même jouis une fois dans le cul !".

Je fonds en larmes. J’essuie vite ces larmes et vais pleurer dans les toilettes.

SMS !

"Et puis, elle "bouge" bien ! Avons fait toutes les positions ! Au lit, elle est vraiment déchaînée ! Avons baisé à peu près de 22 heures à 6 heures du matin, quasiment sans interruption, juste attendre que je recharge les batteries, lol !".

Je continue à pleurer, assis sur l’abattant des toilettes.

SMS !

"Tu ne réponds pas ??".

Je tape sur le clavier.

"Que voulez-vous que je vous dise ? Que j’ai honte ? Que je pleure ? Que je suis jaloux ? Que j’ai mal ? Vous le savez déjà !".

SMS !

"Tu me fais rire. Oui, tu peux avoir honte ! Savoir que sa femme se fait défoncer la chatte et le cul par son voisin qui a 30 ans de plus qu’elle, et qu’elle jouit, tu peux vraiment avoir honte !"

"Jaloux ? Ma pauvre soumise, ça c’est fini ! Tu es cocu, alors ta jalousie, tu peux l’oublier."

Je ne réponds pas.

Je n’irai pas à la cantine. Mes collègues sont partis déjeuner, je m’enferme dans mon bureau.

12h 50.

SMS !

Deux photos.

Sandra sous la douche. Sur une photo elle fait "coucou" de la main.

13 h 20. SMS ! 

Deux photos.

On voit Sandra assise sous la tonnelle, seins nus, juste vêtue de la culotte noire en dentelle qu’elle portait hier. Elle lève son verre de champagne sur la première, et mange une tartine de foie gras sur la deuxième.

Nouveau SMS.

"A ta santé et bon appétit ! Après le repas, allons sans doute aller faire une petite "sieste crapuleuse", je crois que Sandra en a très envie d’après ce qu’elle vient de me dire !".

"Elle me charge aussi de te dire qu’elle a passé une très bonne nuit, et que ça ne lui était pas arrivé depuis longtemps".

Je fonds en larmes.

Nouveau SMS.

Deux photos.

Les seins à Sandra en gros plan, et un gros plan de son entrejambe, la culotte noire en dentelle.

Et ce texte : "Avec ça, tu peux aller aux toilettes et te faire du bien, lol !".

SMS !

"Au fait, pendant les pauses de baise, avons beaucoup parlé de toi, Sandra et moi. Tu sais, beaucoup de choses vont changer te concernant. De nouvelles choses, de nouvelles règles qu’il faudra respecter".

Je lui réponds.

"Qu’est ce que vous avez encore inventé ? Vous voulez quoi ? Encore me soumettre plus ? Me faire encore plus mal ?".

SMS !

"Déjà, tu ne me parles pas sur ce ton ! Tu seras puni pour ça. Et puis vu ta nouvelle situation de cocu, tu dois comprendre que ta vie, notamment de couple, va changer. On en parlera ce soir".

"Quant à te soumettre, bien sûr que ta soumission va évoluer. Tu es encore bien rebelle, et tu as des tas de choses à apprendre. Je vais m’en occuper sérieusement, crois-moi !".

"D’ailleurs, Sandra a son portable sur la table, tu vas immédiatement lui envoyer un texto pour lui dire que tu es heureux d’être cocu, lui demander si tout va bien, etc Dépêche toi d’envoyer ça, ne me fais pas attendre !".

Le salaud. Jusqu’où ira-t-il ?

Je commence à rédiger le texto. Je vais mettre ce qu’il veut. Les larmes coulent.

"Bonjour ma chérie. J’espère que tout va bien et que tu as pris du plaisir à cette soirée. Tu me manques terriblement. Je t’aime. Bisous.".

J’envoie.

Quelques minutes passent. SMS !

"Sommes écroulés de rire, Sandra et moi ! Vraiment ptdr ! Qu’est-ce que c’est que ce texte ? Une carte de Saint-Valentin ? Tu lui envoie un texto HARD, compris ?? Avec ce que je t’ai demandé, et des détails. Si tu ne fais pas ca tu seras puni encore plus durement".

Je fonds en larmes.

J’écris.

"Hello Sandra ! Je suis très heureux que tu aies un amant. J’aime être cocu. Daniel m’a dit que vous aviez baisé toute la nuit et que tu avais pris ton pied. C’est tout ce que je souhaite pour toi."

J’envoie.

SMS !

"Ah, c’est déjà beaucoup mieux ! Sandra va te répondre !".

SMS !

"Bonjour mari cocu. Heureuse que tu aies enfin pris conscience de ta condition de cocu. Ca devait arriver. Tu ne te rends pas compte que tu es fais pour être cocu ??".

"Effectivement, j’ai pris un pied d’enfer cette nuit ! Nous nous sommes envoyés en l’air toute la nuit, avons fait l’amour comme des fous !".

"Daniel a vraiment une grosse et belle queue, et il sait s’en servir, LUI !! J’adore quand il me prend, je le sens bien, j’aime sa bite !".

SMS. C’est lui.

"Envoie lui en un autre. Dis lui que tu as aimé nous voir baiser".

J’écris.

"Je voulais te dire aussi que j’ai pris beaucoup de plaisir à vous voir faire l’amour, hier. J’ai aimé te voir avec Daniel, prendre du plaisir".

SMS !

"Me faire baiser à fond devant toi, c’était mon rêve depuis très longtemps. Je n’ai pas été déçue, je te le dis ! Baisée par mon amant devant toi, A POIL et à genoux, soumis, quel pied d’enfer, je t’assure !!!".

SMS. C’est lui.

"Bon. Il est 14 heures. Sandra est impatiente. Nous allons donc aller dans la chambre, "jouer au docteur".

SMS !

Aucun texte. Juste une photo.

Je regarde.

Juste la culotte noire en dentelle à Sandra, posée sur la table

Je me jette à nouveau dans mon travail.

16 h 10. SMS !

Un texte et deux photos.

"Travaux pratiques terminés".

Sur le photos, le sexe et le bas ventre à Sandra maculés de sperme.

SMS !

"Tu vois, ta formation de cocu continue !".

La journée de travail se termine.

18 heures. Je rentre ma voiture dans le garage et vais sonner chez Daniel.

Je rentre. Il me conduit sur la terrasse. Sandra est assise, en peignoir.

Je l’embrasse rapidement, un petit bisou sur la bouche.

"Et alors ? Tu n’as rien oublié quand tu rentres chez moi ?".

La mort dans l’âme, je commence à me déshabiller.

Je suis bientôt nu.

-Reste debout. Mains derrière le dos".

-Avec Sandra, nous avons décidé d’un certain nombre de choses, de mesures te concernant. Dont une immédiate que je t’annoncerai tout à l’heure".

-Tu vas également être puni pour m’avoir manqué de respect tout à l’heure".

-Mais je ne vous ai pas manqué de respect. Comprenez moi, j’étais angoissé".

-Tais-toi. Tu seras puni".

-Sandra, tu peux y aller, je vais lui parler".

Sandra se lève, s’habille et sort.

— A genoux, mains derrière le dos !".

— Bien. Donc, je t’annonce la première mesure. Nous sommes lundi. Sandra passera toutes les nuits de la semaine ici, jusqu’à la nuit de dimanche à lundi inclus.

Je fonds en larmes, me jette à ses pieds, attrape ses chevilles.

— Non ! Je vous en supplie, je vous en supplie ! Pas ça ! Non ! Je ne veux pas Je vous en supplie Je vous en supplie…".

Il dégage ses pieds.

— Dégage de mes jambes et remets toi en position ! Tout de suite !!

J’obéis, en larmes.

— Sandra sera donc dans mon lit toute les nuits de cette semaine. Et comme tu as été insolent et que tu m’as mal parlé, en plus, elle vient s’installer chez moi pour la semaine !

J’éclate en sanglots.

— Oh non..non non. NON

— J’ai dis ! Ca t’apprendra à désobéir à mes ordres ! Au départ, elle ne devait passer qu’une autre nuit avec moi, mais j’espère que le fait qu’elle couche avec moi toutes les nuits de la semaine et vienne s’installer ici te mettra un peu de plomb dans la cervelle et t’incitera à obéir !

Je pleure. Je hurle.

Il me met une gifle. Je continue.

Il rentre. Revient avec une paire de menottes.

Me prend les mains, les met devant et m’attache.

-Lève toi !

Je suis debout, en larmes, au bord de la crise de nerfs. Nu et menotté.

Il prend le tuyau d’arrosage.

L’ouvre au maximum et m’arrose. Ca dure au moins un quart d’heure.

L’eau est assez froide. Je suffoque, manque de tomber.

Il arrête le jet. Va dans la remise, revient avec une corde.

Il passe la corde au milieu de la chaîne des menottes et me conduit à l’entrée de la tonnelle.

Là, il passe la corde en haut sur l’armature. Tire dessus, mes bras se tendent, suis bras levés face à l’entrée de la terrasse. Ruisselant. Il bloque la corde.

— Bon ! Tu vas rester un moment comme ça. Et tu vas te calmer !!

Il part un moment. Me laisse en position. 

Puis revient.

— Tiens ! J’ai quelque chose pour toi, cocu !

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