Histoire de sexe fétiche Histoires gays

comme promis… – Chapitre 1




Bonjour tout le monde,

Vous trouverez ci-dessous un texte de mon jardin secret que j’ai envie de partager avec vous. Je finissais à Paris, j’avais 25 ans à l’époque, et je fréquentais un site de rencontre qui commence par A. J’y ai fait de très belles rencontres dont une avec une certaine L. Après avoir échangé par email, nous être rencontrés d’une façon tout à fait classique, nous nous sommes vus chez elle. Nous avons de nouveau discuté une bonne partie de la nuit sur nos activités, et c’est à cette occasion qu’elle m’a confié qu’elle écrivait des nouvelles érotiques/pornographiques. Après lecture d’un de ses textes sur son lit, je me suis finalement lancé, je l’ai embrassée et nous avons fait l’amour le reste de la nuit et du petit matin. Au lieu de vous raconter, cette femme m’a écrit un email le jour suivant pour me faire part de ses sensations, une sorte de débriefing que j’ai envie de partager avec vous.

Sa plume est extraordinaire et j’ai envie de publier son texte pour lui rendre hommage (malheureusement sans citer son nom).

Bonne lecture et en attente de vos commentaires :

"Comment vous dire, cher ami, ce que votre image et votre souvenir, ce que la moiteur de votre peau lorsque le plaisir vous saisit, ce que la puissance de vos pulsions, ce que la profondeur de votre regard qui s’intensifie à la contemplation de mes convulsions orgasmiques, ce que vous, mon cher, vous, tout entier, procurez à mes sens lorsque le désir vient à chatouiller la paisibilité endimanchée de cette soirée ?

Jusque-là, les mots m’ont toujours été d’un secours fort appréciable, mais il arrive que lorsque le corps s’éprend d’un déhanché, d’une caresse, de la fougue d’une passion répétée, des orgasmes que l’homme a su lui offrir dans une générosité qui n’a pas de bornes, l’esprit ne peut trouver le moindre réconfort que sous l’intensité des furies de ce sexe qu’il réclame. Vous n’êtes, mon cher, bien évidemment pas qu’un simple sexe, car souvent, c’est l’illusion de votre regard qui me fait déborder le con. Vos baisers me font saliver et là où mes lèvres jolies s’assèchent, les quatre autres que vous explorez à grandes lampées lorsque vous me rendez visite s’humectent de ce liquide que vous aimez à sucer, après en avoir trempé votre doigt. Le simple souvenir de ce geste fait frétiller mon antre gourmand de vous…

Le souvenir de votre vit bien dur effleure le bout de mes doigts et engourdit mon bras qui ne peut agencer ses va-et-vient adorés, car il n’y a rien d’autre que le foutre de ma chatte sous la main et là où vous grossissez, je me resserre…

Ah ! j’aurais aimé que vous tâtiez de ce délicieux gonflement dont vous êtes le maître…

Je suis bien naïve…

Là où je crois me procurer un peu de douceur et de calme, c’est fusion de toute part et spasmes à m’en couper le souffle. Je vous vois, malgré moi, entrer dans ce salon où trônent, sur ce lit que vous connaissez, les restes de ma personne, soumise à tant d’excitation qui nest qu’un large corps contracté, les mains coincées sur mon sexe pétrifié et mon anus grandement dilaté. Saisi par cette vue, vous vous précipitez sur ces sexes aux abois et d’une main ferme, mais habile, vous m’en dégrafez les doigts pour y plonger votre langue et sucer ce con en ébullition. Adouci par ce massage, mon corps s’attendrit et détend ses membres pour les laisser onduler sous la pression de votre bouche experte. Bientôt, je fonds dans mes draps, je soupire suavement, cherchant votre crinière de mes doigts hagards pour presser avec tendresse cette toison d’or sombre qui ondule d’entre mes cuisses.

De là où je suis, le mouvement de votre tête sous les pulsions de votre langue est un ravissement et votre croupe se dresse sous les impulsions de votre membre qui gonfle dans votre pantalon.

Oh, comme j’aimerais en saisir la toile à pleines dents et libérer ce délice qui comble mes ardeurs endiablées. Mais vous savez bien que ce n’est là que le début, l’entrée, la mise en bouche, car vous levez votre regard pour pénétrer mes yeux abrutis et percer l’abcès de mes désirs. Vous voilà souriant d’entre mes cuisses et contemplez l’uvre de vos pressions. La folie de mon état vous excite et vous fait presque rire tant je convulse sous l’ampleur de mes jouissances récriées. C’est alors que vous soulevez la puissance de votre corps pour m’en couvrir et sentir les nervosités de ma transe et d’un geste brusque, vous me pénétrez sauvagement par là où encore vous n’êtes allé. De larges cris s’échappent de ma gorge, mes serres se crispent sur votre dos, mes jambes s’agrippent à vos reins, ma poitrine presse la vôtre.

Vous pressez méthodiquement votre cadence, si bien que vous endiablez mes entrailles et alors que nous jouissons de tant d’extase, votre semence se répand en moi, me faisant expirer sous la magnificence de cet orgasme que je louais, faisant subir à votre douce face les torsions d’un orgasme hurlant.

Sous l’expiration de ce dernier cri, vous glissez suavement hors de moi, faisant hurler mon anus et décharger mon con en pleine frénésie. Alors que cette dernière étreinte finit de m’achever, vous disparaissez dans les profondeurs d’une volupté trop longtemps enlacée. Fidèle à vos délices, vous passez une langue engourdie dans la cavité de mon intimité pour en goûter le jus et m’étreindre de langoureuses délectations qui pénètrent mon corps et mon âme pour enfin me délivrer de tant de jouissance.

Ah ! Si seulement vous aviez pu ouïr l’emballement de mon cur à vous conter ceci… Si seulement vous aviez pu vous trouver le nez collé à la dentelle de mon entrejambe… Mes draps ne pourront tenir la nuit, je suis trempée de tant d’excitations contenues et du désir de vous susurrer les vocalises que vous m’inspirez. L’image de la pénombre d’une petite rue parisienne vient à me faire de l’il… Vous savez comme ces interdits m’enivrent. Vêtue simplement, perchée sur de hauts talons, rouge de désir, vous n’aurez qu’à vous glisser au fond de moi et de savourer l’uvre de votre présence du bout de votre bâton. J’ai omis de vous dire qu’un condom ne sera peut-être pas nécessaire: l’endroit que vous convoitez est aussi pur que le lys…

Laissez-moi vous lécher pour vous souhaiter la douceur de ma nuit. Car satinée et onctueuse elle sera, connaissant les frivolités de mon imagination et la volupté de nos souvenirs communs.

Je vous baise, mon cher, et vous envoie mes frétillements les plus humides.

Votre enragée"

Elle m’a écrit un autre email… donc peut-être à suivre !

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