11ème jour:
Aujourd’hui encore une longue journée de marche devant nous, mais il faut l’avouer, le paysage est magnifique le long de cette falaise. En haut de celle-ci la végétation est plus dense avec plus de rochers, tandis qu’en bas, après une barrière végétale de 200m environ, le début du Sahara est net.
Mis à part mes aventures avec Karim, ce voyage était fabuleux. Mon mari et moi savourions chaque km de notre trek, beaucoup de couleurs et les Maliens, malgré leur pauvreté sont très accueillants et souriants.
Même si Alain était un mauvais coup au lit, l’amour qu’il me donnait me rendait heureuse. Je n’aurais jamais pensé être nue devant des inconnus avant ce voyage et pourtant Karim m’avait fait franchir cette étape, j’en étais même venu à me faire baiser devant une foule de témoins…. et j’aimais sentir les yeux braqués sur moi. Karim, qui savait, qu’il avait décoincé une petite blanche en profitait un maximum. Il me savait soumise et était fier de mieux me baiser que mon mari, heureux de rendre cocu Alain, de l’humilier à son insu.
Toute la journée, je marchais à côté de mon mari. Il savait que j’étais nue sous mon short et ma chemise et je sentais que ça l’émoustillait un peu. Ce qu’il ignorait, c’est que nos 6 porteurs, Karim et Boubakar le savaient aussi. Ces mêmes porteurs que je regardais sous un il diffèrent maintenant, les sachant bien montés eux aussi.
Je fus sage toute la journée, ne voulant en aucun cas mettre le doute dans l’esprit d’Alain. Je pouvais bien attendre le soir pour rejoindre Karim. Je n’étais quand même pas la dernière des salopes.
La fin d’après-midi fut bien longue. Alain avait décidé de rester avec moi tout le temps. Comment lui en vouloir, il prenait soin de sa femme après tout. Je ne trouvais aucune excuse pour m’éloigner pendant une heure et faute de mieux, je partis 2mn sous la tente cuisine où je vis Karim et Boubakar en train de cuisiner. Les deux savaient pourquoi je venais. Je n’avais plus à me cacher après tout, j’étais complètement soumise et leur fit part de mon problème. Je n’arrivais pas à détourner l’attention de mon mari. Karim me dit qu’il avait un plan. Il devait envoyer quelqu’un acheter des poules pour le repas du soir. Boubakar et Alain pourraient y aller. Il me dit de rester sous la tente et je vis les deux mâles en sortir. Je les entendis parler avec Alain juste derrière la tente. Lui proposant d’aller au village acheter la viande pour ce soir.
Faisant dos à l’entrée de la tente, j’entendis juste Karim entrer et senti rapidement ses mains caresser mes seins pendant qu’il couvrait mon cou de bisous. Ses mains s’aventurèrent rapidement sous ma chemise directement au contact de ma peau. Toujours de dos, il me fit lever et me dévêtu entièrement. Sans un mot il me fit mettre à quatre pattes et commença à me lécher mon petit minou. Il était bien inspirer ce jour-là avec sa langue qui se glissait à l’intérieur de mes lèvres intimes. Je fus très déçue et sur ma faim quand je ne ressentis plus sa langue sur moi. J’essayais de tortiller des fesses pour lui montrer mon envie.
Après une attente qui me parut infinie, je sentis son gland glisser entre mes lèvres et lentement glisser au fond de moi. Je fus surprise mais sans plus lorsqu’il butta contre mon utérus, de ne pas sentir son pubis contre moi. Je le trouvais plus grand que d’habitude, mettant ça sur son excitation. Je le sentais me limer sur toute la longueur, ressortant son gland pour mieux replonger en moi. Avec son pouce, il s’amusait avec mon petit trou, rajoutant même un deuxième doigt, ce qui m’envoya rapidement au 7ème ciel. Toujours en levrette, il changea de trou pour me sodomiser. Décidément j’aimais ça. Sentir son sexe dans mes intestins était fantastique et tant pis si ce nétait pas catholiquement correcte. Je n’étais plus à ça près.
Il décula et je l’entendis me dire se s’embrocher sur lui. En me retournant, je fus sous le choc, ce n’était pas Karim! Maintenant je savais pourquoi je le sentais plus long que d’habitude. Son sexe était plus étroit mais bien plus long. Je pensais que ce n’était pas possible un sexe d’une telle longueur, j’en avais la preuve vivante en face de moi. Très longue et assez étroite, presque aussi fine que mon mari, mais la longueur……
Que faire ? Laisser l’homme qui avait abusé de moi à mon insu et m’enfuir de la tente?
Je regardais le sexe de Boubakar avec envie malgré moi. Lui me souriait content de sa surprise. Je le voulais tant pis !
Me dirigeant vers lui, je pris son long sexe avec ma main et le dirigea vers mon illet et me laissa glisser sur lui. Il était au plus profond de mes intestins pourtant il manquait encore 10cm. Boubakar me maintenait les fesses avec ses deux mains pour imprimer le mouvement. Je devais me mordre les lèvres pour ne pas crier ma jouissance.
Boubakar enleva ses deux mains et je sentais les derniers centimètres entrer entièrement en moi. J’étais maintenant assise complétement sur lui. J’avais l’impression d’avoir son sexe dans mon estomac. Mais c’était un délice quand même.
Tandis que les mains de Boubakar étaient sur mes fesses et que je me caressais mes deux seins, la tente s’ouvrit. Karim avait fini ses courses avec mon mari. Il vint directement vers moi pour me rouler une énorme pelle puis ressorti de la tente et je l’entendis appeler mon mari pour lui dire qu’ils allaient tuer les deux poules en dehors de la tente pour ne pas me choquer. J’entendais Alain répondre si près de la tente.
Alors que je continuais de chevaucher Boubakar le plus silencieusement possible. Alain demanda ce que je cuisinais. Au moment où je lui répondis des bananes, je sentais Boubakar se vider dans mes intestins. Après lui avoir nettoyé son sexe avec ma bouche, je remis ma tenue en ordre et sorti de la tente pour venir embrasser mon mari pendant qu’il finissait de plumer les deux poules avec Karim. S’il savait comment sa femme venait de se faire déplumer…
