Cette histoire est dédiée à deux personnes, elles se reconnaitront
Alberto, Al pour les intimes, le bel italien musclé à la peau ambrée par le soleil de Toscane, regardait sa femme se faire masser et étirer les muscles par l’ostéopathe.
Françoise, en tanga et soutien-gorge bordeaux à liserés noirs, était placée couchée sur le ventre, sur la table.
L’ostéopathe, Phil , presque un ami de longue date du couple, faisait glisser les muscles du dos de Françoise .
Celleci exhalait parfois des soupirs de contentement tellement les doigts de fée de Phil lui faisaient du bien.
Arriva le moment qu’Al attendait le plus, quand Phil redressait le bassin de sa femme, couchée sur le ventre
Pour cela il devait placer sa main gauche directement sur le pubis de son épouse, exercer une poussée un peu violente tandis que la droite, placée sur les cervicales poussait doucement vers l’avant du cou. Parfois, un petit craquement se faisait entendre, en même temps que Françoise devait exhaler l’air de ses poumons en une sorte de gémissement.
A chaque fois cette opération excitait Al et lui provoquait une érection.
Il s’imaginait que sa femme, même si elle ne lui en parlait pas, devait ressentir une excitation sexuelle, à sentir cette main d’homme virile et puissante contre son sexe, même si la fragile barrière de tissu empêchait les doigts de fureter plus avant sur le pubis et les nymphes de sa femme.
A chaque fois il se promettait d’en parler à son épouse, de savoir ce qu’elle ressentait à ce moment-là, mais une espèce de pudeur l’empêchait d’aborder le sujet. Cette fois-ci il se promit que le soir même sur l’oreiller, il allait lui poser la question.
Il s’imaginait la même opération, mais avec cette fois-ci sa femme complètement nue, et la main peut-être même enfoncée dans le vagin de sa femme jusqu’au poignet.
Il se voyait lui-même sur le fauteuil, le sexe à l’air en train de se caresser devant les râles de son épouse soumise au fistfucking du praticien.
Le soir venu après avoir fait l’amour de façon relativement conventionnelle, Al exposa le sujet à sa femme :
« Dis-moi Fanfan, (c’est ainsi qu’il l’appelait dans l’intimité, ça te fait quoi quand Phil te fait la manuvre ou il pose sa main sur ton pubis
— Je ne comprends pas le sens de ta question Al
— Ben je ne sais pas moi, mais la main d’un inconnu sur ton sexe ça doit bien te faire un truc, non ?
-Tu veux dire si ça m’excite ??
— C’est ça, alors ça t’excite ?
— Ben oui, un peu, mais c’est médicalalors
— Mais imagine la même séance mais complètement nue.
— Nue ?? Tu voudrais que notre ostéopathe me fasse une séance complétement nue ?? Tu te sens bien Al ??
— Ne prends pas la mouche, voyons, on fantasme alors ça te ferait quoi.
— Eh bien (se prenant au jeu) je suis sûre que mes seins pointeraient, surtout qu’il y a pas mal de manuvres où il m’effleure la poitrine.
Et puis oui, sa main sur ma chatte raséehhuumm ; surtout qu’il est pas mal ce mec, il a une poigne puissante, ses mains sont carrées, belles et très douces.
-Et puis ??
— Et puis quoi, tu voudrais qu’il me baise devant toi, c’est ça ??
— Ben peut être pas jusque-là, mais il pourrait te faire des trucs, il doit en connaitre des trucs sympas avec sa science du corps humain, différentes façons de te faire jouir rien qu’avec ses doigts.. .
— Et tu m’imagines à poil, ma chatte brillante de mouille, mes seins turgescents, offerte aux mains de ce mec, en train de jouir, de crier et toi qui te branlerait en me regardant ?? C’est bien ce à quoi tu penses ?? »
Al s’était rapproché de sa femme allongée sur le ventre, il se plaça sur elle.
Il rebandait à nouveau et le sexe de son épouse encore lubrifié par sa propre cyprine et son sperme à lui, encore dilaté des assauts de son époux, n’offrit aucun résistance quand la verge du bel italien se plaça a l’entrée de la grotte.
Un bon coup de rein et il était dans sa femme en train de la besognercelle- ci surprise par cet assaut inattendu et excitée par le fantasme, commençait à ahaner et à gémir.
Al continuait son délire en baisant sa femme de plus en plus fort.
« Alors il te rentre ses doigts dans ta chatte humide, tu es sur le ventre, le cul en l’air offerte comme une chienne en chaleur, il te fait quoi après ?
— Hummmouii ses doigts ils me massent l’intérieur de ma chatte, j’ai l’impression de pisser tellement je mouillecest bon, il sait y faire le salaud !
— Tu as combien de doigts en toi ?
— Ohhh !! Continue 3 peut être 4 maintenant, il s’est passé une huile parfumée sur sa main et il revient à l’assaut, son assistante a placé un coussin sous mon ventre, elle est devant moi, elle me tient les deux mains, je suis prise, offerte, il va non il ne peut pas Oooh mon dieu !! Il a fait rentrer ses doigts serrés dans ma vulve et il fait un effet tire-bouchon en tournant à droite ahhhhhh ça y est !! Il est en moi sa main est dans ma chatte il va et vient doucement pour dilater un peu plus
— Putain il te fiste !!!
— Ouiiiiiii !!! il me fiste le salaud, il me pistonne de plus en plus vite je perds pieds , je crie c’est trop bon ahhhhhahhh »
Sous l’évocation de son fantasme Fanfan a un orgasme formidable, elle se cambre, Al a du mal a rester sur elle tellement ça vient de loin !!
Une fois leurs sens apaisés, les deux s’endorment.
Mais Al, lui, les jours suivants repense à son fantasme et il voudrait bien le réaliservoir sa femme se faire tripoter et peut être baisée par Phil, cela l’excite de plus en plus.
Au début ce ne sont que quelques petites pensées, de temps en temps, mais bientôt cela devient une obsession.
Deux jours avant leur séance suivante chez l’ostéo, Al s’en entretient avec sa femme.
« Tu te souviens de notre fantasme avec Phil ?
— Tu veux dire « ton » fantasme, oui alors ?
— Tu as vu comme tu as pris ton pied ?
— Bon accouche Al, où tu veux en venir ? Ce n’est pas ce que je crois quand même ?
— Ben si, tu pourrais le faire non, une séance nue, ce n’est pas trop demander ?
— Écoute je savais que tu avais parfois des idées bizarres mais là tu te rends compte que je suis une honnête mère de famille, cadre dans un hôpital, infirmière respectée, et tu voudrais me voir jouer un rôle de putain avec un étranger ??
— Ah non les putes, on les paye Toi tu ferais ça pour le plaisir de ton mari
— Pour le plaisir de mon mari tu me prends pour qui, Al , ton "sextoy", ta courtisaneécoute tais-toi maintenant , ça pourrait mal finir cette histoire..
— Mal finir commentécoute Fanfan, tu te chies dessus, tu as les foiesou peut être que tu ne sens plus ta séduction auprès des hommes autant que quand nous étions plus jeunes
— Ah donc tu penses qu’à plus de 50 ans, je ne suis pas capable de faire craquer un mec de 35 ans comme Phil ??
Bon j’arrête ici cette discussion, tu m’as beaucoup déçue, mais crois-moi on en reparlera !! »
Deux jours après le mutisme de Françoise, qui n’avait pas desserré les dents, le couple se retrouva dans le cabinet de Phil, celui-ci derrière son bureau .
Al faisait un peu la gueule et Françoise, étonnamment de bonne humeur, tripotait avec un peu de fébrilité la ceinture de son pardessus beige.
« Ah, Françoise et Al, mes plus fidèles clients, qui commence ?
— Si vous permettez Phil, j’ai une petite demande de la part de mon mari
— Je vous écoute Françoise.
— Alors voilà, mon mari est un pervers candauliste, qui désirerait me faire masser et tripoter par vous complètement nue, lui étant dans le rôle du voyeur.
Évidement si vous êtes d’accord, après la séance vous auriez tout loisir de me baiser de la façon qu’il vous plaira, seulement il se demande, en bon goujat qu’il est, si je suis encore capable, à mon âge de plaire à un homme comme vous.
Alors je pense qu’il n’y a qu’une façon de le savoir »
Françoise se leva de sa chaise, elle se positionna devant son mari en face du praticien, défit la ceinture de son pardessus qui glissa par terre, révélant son corps nu, revêtu seulement d’un porte-jarretelle, et de bas de soie noir.
Sa chatte était rasée de près et ses seins, un magnifique 100C avec des pointes tendues par le désirFanfan était excitée comme une puce de s’exhiber ainsi devant un inconnu et devant son mari
« Alors je vous plais ??
— Vous êtes une très belle blonde comme je les aime, j’avoue que je ne m’attendais pas à ça, mais vous êtes sûre de vouloir cela ??
Qu’en pense votre mari ?
— Il n’a pas son mot à dire, il voulait que sa femme se transforme en salope, je pense que je vais aller au-delà de ses désirs »
Et Françoise se dirigea le plus naturellement du monde vers la table et s’y coucha, sur le dos, les jambes légèrement relevées et écartées.
Phil se dirigea vers elle un peu fiévreux et commença à disposer doucement sa patiente sur le bord de la tableles gestes restaient malgré tout professionnels, pour le moment
Phil commença à décoincer le haut de la nuque et les épaulesnéanmoins son regard était rivé sur les seins magnifiques de Françoise :
« Dites moi Phil, pourriez vous vérifier si ma femme n’a pas une grosseur anormale au niveau des seins, elle angoisse toujours par rapport au cancer du sein ?
— Une palpation mammaire, avec plaisir. »
Et Phil d’abord professionnel plaçait ses deux mains sous les seins pour chercher une éventuelle tumeur, mais peu à peu les choses dégénéraient, il les prenait carrément dans leur ensemble et les caressait.
Fanfan, commençait à se mordre la lèvre inférieure et lui demanda :
« Phil , occupez vous de mes pointes s’il vous plait
— Oui allez y Phil vous pouvez les tordre un peu même, ma femme est très sensible là »
Phil caressait le sein droit et du bout des doigts de son autre main, il commençait un savant massage du téton, ce qui commença à tirer des plaintes extatiques de Françoise :
« Mon Dieu, Phil c’est trop bonouiii
— Maintenant, occupez vous de sa chatte, Phil . »
Phil fit disposer Fanfan sur le ventre et passa la main gauche sous le bassin, donc directement sur le mont de Venus , lisse et offert, tandis que la gauche poussait la nuque.
Mais cette fois il fit coulisser deux doigts dans la vulve déjà ouverte et légèrement humide.
Fanfan poussa une plainte de plaisir.
Al n’en pouvait plus il était subjugué par le spectacle :
« Oui Phil allez y faites la jouir cette vicieuse, elle adore ça, branlez lui sa chatte baveuse ! »
Françoise interpella son mari, qui excité comme une puce commençait déjà à se caresser au travers du pantalon.
« Al, tu serais gentil d’attendre dans la salle d’attente, c’est une séance privéeon n’a pas besoin d’un commentateur sportif, tu commences à être lourd, là ! »
Dépité, Al ne demanda pas son reste, quitta le cabinet, et referma la porte derrière lui.
Pendant 5 minutes Al garda l’oreille contre la porte, il jouissait et se maudissait en même temps d’avoir entrainé sa femme dans cette aventureil l’imaginait en train de se faire ramoner par tous les trous par le fringuant Phil.
Malheureusement le doublage de la porte était efficace et il ne percevait que des murmures ténus.
N’en pouvant plus il ouvrit silencieusement la porte et l’entrebâilla de quelques centimètres, alors il put entendre « en live » les cris et gémissements de sa femme.
Dans la salle d’attente il n’était pas seul, un jeune homme de peut-être 20 ans, accompagné de sa mère, attendaient leur tour.
Malheureusement pour Al, la place qui était " aux premières loges" du spectacle était prise par le jeunecelui-ci allait s’en mettre plein les yeux.
A côté de lui, sa mère une vielle rombière guindée de 65 ans, lisait un magazine. Elle devait être un peu sourde, car elle ne remua pas une oreille lorsque le concert des gémissements de Fanfan se fit entendre.
Le jeune était subjugué, mais n’osait donner que des coups d’il fugaces vers Fanfan et son praticien.
Il dirigea son regard vers Al, un peu étonné, il essayait de comprendre pourquoi le mari avait ouvert la porte et pourquoi il acceptait que sa femme se fasse baiser comme ça par l’ostéopathe.
Devant le grand sourire de Al, et son invite à laisser le jeune mater, ce dernier rassuré se délecta du spectacle.
Al, lui devait se contenter des cris de jouissance de sa femme, c’était mieux que rien. De plus il s’amusait beaucoup de voir les expressions du visage du jeune.
D’après son étonnement, il en déduisit qu’il devait être puceauune idée germait déjà dans son cerveau.
Après une vingtaine de minutes, une longue plainte de jouissance très sonore se fit entendre.
La rombière étonnée par le bruit, regarda autour d’elle et vit son fils dont le regard était scotché vers l’entrebâillement de la porte.
Elle se leva et alla voir, elle poussa un grand cri de consternation :
« Mon Dieu, mais que se passe t’il ici, L’ostéopathe qui se comporte comme une bête en rut avec une cliente, mais quelle horreur !
(Et se tournant vers Al) et vous monsieur, vous êtes le mari de cette dame et vous laissez faire cela, vous êtes un monstre !
— Mais madame, voyons calmons nous, ma femme est consentante et moi aussi.
— Mon dieu, des pornographes, je vous conchie monsieur ! Viens Gustave nous quittons ce lieu de débauche. »
Pendant le court dialogue, Al s’était rapproché du jeune, et discrètement lui avait glissé un papier dans son sac.
Le jeune suivit sa mère un peu a la traine et sortant le papier, il vit griffonné à la hâte : « Al et Fanfan , si tu veux te faire ma femme appelle ! »
Et un numéro de portable. Gustave se retourna vers Al, qui le gratifia d’un grand sourire, puis disparut.
Quand enfin Fanfan ressortit les cheveux en bataille, il l’assaillit de questions sur ce qu’il s’était passé. Il voulait tous les détails
Un grand sourire aux lèvres elle ne répondait rien, mais dans la voiture, elle lui prit la main qu’elle passa dans son entrecuisse.
Al en retira deux doigts chargés de sperme.
« Alors tu as voulu jouer au con avec moi ?? Tu vas le payer très chersi tu es bien gentil avec moi, je te laisserai peut être voir nos ébats filmés sur mon portable »
Al était dans un état d’excitation indescriptible, son fantasme se réalisaitil ne savait pas encore s’il devait s’en réjouir ou s’en plaindre ?