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Vers de nouvelles découvertes ! – Chapitre 2




Le lendemain soir arrive, heureusement, plus vite que nous ne l’aurions pensé. La vie familiale étant ce qu’elle est, nous avons été pris dans un tourbillon d’obligation et activité jusque presque 21 heures trente.

 Petit brin de toilette rapide et nous voilà en route pour rejoindre Mathieu sur la terrasse du café où nous nous sommes donné rendez-vous.

  

 Il nous attend, sirotant un verre de spritz. Nous reconnaissant, il se lève pour nous accueillir, il te fait la bise, me serre a main en nous nous asseyons, tu occupes la place centrale.

 Il est un peu plus grand que moi, beau gosse, bien habillé. Nous commandons à notre tour et le silence se fait. Les premières minutes sont toujours particulières, entre peur et impatience, il faut trouver l’accroche pour lancer les discussions.

 C’est notre camarade qui lances les premiers sujets, des banalités, mais au fur et à mesure, nous enchaînons, et nos apéritifs aidant, nous finissons forcément par aborder des sujets plus intimes et sexuels.

 Mathieu en premier te complimente sur ta tenue, une robe ample et légère, avec un charmant décolleté. Assise, elle te permet de dévoiler tes cuisses sur lesquelles il lorgne. Puis il tourne la tête vers moi me disant qu’il me trouve tout aussi à son goût. Tu lui retournes le compliment et précise que tu es quand même curieuse de voir « ce qu’il se cache en dessous de tout ce tissus ».

 Une certaine tension sexuelle commence à se sentir à notre table. Tu me questionne alors sur mon appréciation de notre invité.

 Dans ce contexte si particulier et compte-tenu de nos discussions d’hier, je dois bien avoué que je suis plus excité qu’intimidé. Mathieu est bel homme, il a de bonnes manières. Sans être attiré par lui, je suis excité par les expériences nouvelles qui nous attendent a priori. Ce qui m’excite vraiment, c’est de partager cet instant avec toi. Seul, je ne pense pas que j’aurais réussi à franchir le pas.

  

 Suite à ce court échange, Mathieu s’avance vers nous et déclare :

  

 –          Et bien, si nous sommes tous sur la même longueur d’onde, je vais aller régler et on va dans un endroit plus intime ? Vous avez réservé quelque chose ou une idée d’où nous allons ?

 –          Oui, nous connaissons un petit hôtel pas loin, on s’y avance, je t’écris l’adresse avant d’y aller. Tu nous rejoins ? lui dis-je ?

  

 Nous partons donc moins de 5 minutes devant lui, ce qui nous permet d’échanger tous les deux.

  

 –          Ca va mon chéri, tu es sûr de vouloir continuer, il y aura au moins des tentatives d’attouchement de sa part. Je ne veux pas que tu te forces !

 –          Ne t’en fait pas, je dirais stop si je ne le sens pas, mais étrangement, je suis plus tenté que réticent !

 –          Mmmm, la soirée s’annonce intéressante !

  

 Nous arrivons à l’hôtel, prenons une chambre. Et y filons très rapidement. La personne à l’accueil, nous voyant arriver si tard (il est presque minuit), prendre une chambre sans avoir réservé, doit penser que nous sommes un couple illégitime venu se cacher ici. Si elle savait, ça ne serait pas un sourire en coin que nous aurions eu, mais bien autre chose je pense.

  

 Bref, cet hôtel a l’avantage de proposer un accès aux chambres sans passer par l’accueil, je textote le numéro de notre chambre à Mathieu qui pourra nous rejoindre en toute discrétion. Nous nous engouffrons rapidement dans la chambre.

  

 A l’intérieur, tu te jettes sur moi, nous nous embrassons fougueusement, et tu me déshabille, déboutonnant ma chemise et mon pantalon. Ta robe tombe à tes pieds, seule ton boxer en dentelle rouge cache ton intimité. Lorsque je suis nu, tu l’enlèves et me pousse, avec toi sous la douche.

 Au moment où je commence à faire couler l’eau, nous entendons frapper à la porte.

  

 –          J’y vais ! me dis-tu.

  

 J’imagine Mathieu te voir nue lui ouvrir la porte, au moins il sera immédiatement dans le bain. Après tout, nous ne sommes pas ici pour faire du tricot !

  

 Je me glisse sous l’eau chaude, tu me rejoins et te blottis contre moi.

  

 –          Il arrive, je lui ai dit de vite nous rejoindre. Tu as toujours envie de continuer ?

 –          Oh que oui !

  

 Et je t’embrasse, empoignant une de tes fesses à pleine main.

  

 La porte de la salle de bain s’ouvre, et notre camarade de jeu, déjà bien en forme, nous rejoins sous la douche. A trois, nous sommes un peu à l’étroit. Je suis face à toi, il se colle dans ton dos, sa queue déjà dure entre tes fesses. Tu gémis de plaisir en le sentant se coller contre toi.

 Mais très rapidement, tu t’extirpe de notre étreinte pour laisser à cet homme la possibilité d’explorer également mon corps, et tu attrapes ma main pour que nous empoignions sa tige bien dure ensemble.

  

 C’est une étrange sensation pour moi, la première fois que je découvre le sexe d’un autre. Il est dur, la peau fine, il palpite sous mes doigts. Doucement, je commence à la masturber. Il a l’air enchanté. Tout en t’embrassant, il glisse une main sur ta chatte et l’autre sur mon sexe. Nous n’avons pas perdu de temps, nous sommes ici depuis moins de cinq minutes et déjà nos corps se mélangent.

  

 C’est très excitant ! Dans ma main gauche je tiens sa queue, dans ma main droite, je glisse sur tes fesses délicieuses.

  

 A cet instant, tu choisis de t’agenouiller devant nous, et alors que je branle toujours Mathieu doucement, tu commences à nous sucer alternativement. Tes lèvres, douces mais gourmandes, aspirent nos glands. Tu te régales de nos queues.

  

 Puis tu attrapes ma main et m’attire à toi afin que je m’agenouille également. Quand je suis à ton niveau, tu m’embrasses. Ce baiser à le goût de la queue de notre hôte. Tu glisses ta main dans mes cheveux,  et me glisse à l’oreille :

  

 

–         Goute le, profite

  

 Alors, doucement, j’approche ma bouche de cette queue tendue vers le plafond. Doucement, je l’embrasse pour commencer. Sur cette tige bien dure.

 Tu attrapes mon membre que tu caresses tu m’encourages.

 Mes baisers remontent, je me rapproche de son gland, et j’y dépose un dernier baiser. Sa peau est douce, très fine. Je décide de l’aspirer doucement. Quelle étrange, mais délicieuse sensation ! C’est doux et dur à la fois. La chaleur de son corps se retrouve contre mon palais. Mes lèvres glissent sur sa tige bien raide. Je coulisse le long de son membre tout en jouant avec ses bourses. 

  

 Jamais je ne me serais cru capable de telles pratiques. Mais te sentir près de moi, m’encourageant et me caressant fait tomber mes barrières. Je me sens libre de donner de la place à mes envies les plus folles. D’ailleurs, c’est à ton tour de descendre tes lèvres sur moi et de me sucer délicatement en même temps que je prodigue cette caresse à notre ami.

  

 Je le suce maintenant avec assurance et envie. C’est une belle sensation, très excitant de le faire ainsi à trois.

  

 Il nous invite à aller sur le lit, nous y serons plus à l’aise. Nous nous séchons alors en silence. L’atmosphère est très sexuelle, la tension palpable, nos envies sans limite occupent toute la place de nos esprits.

  

 Mathieu le premier va s’allonger sur le lit. Tu m’embrasse tendrement et me dis : 

  

 

–         J’adore te voir te laisser aller moi aussi. Fais toi plaisir mon chéri, ça m’excite comme jamais !

 –         Merci mon amour !

  

 Nous nous dirigeons vers le lit et sans hésiter, je me dirige à quatre pattes vers Mathieu et recommence à le sucer, j’y prends goût ! Tu te glisses derrière moi pour m’observer, je sens tes doigts sur mes fesses, puis entre elles. Tu me caresses et me titille le petit trou. C’est un délice, tu sais parfaitement comment m’exciter.

 Mais tu as aussi envie qu’on s’occupe de toi, tu viens t’assoir sur le visage de notre amant du soir, lui offrant ta fleur dégoulinante comme jamais de ton désir. Tournée vers moi, tu me regardes le sucer, tu poses tes mains sur ma tête pour m’accompagner. Nous prenons ainsi beaucoup de plaisir.

  

 Avec une petite idée derrière la tête, tu t’allonges à côté de Mathieu et me demandes de venir te lécher. Immédiatement je m’exécute. J’ai beau avoir beaucoup aimé le sucer, rien ne rivalise avec le plaisir de lécher une chatte, et tout particulièrement la tienne. 

 Je me glisse alors entre tes jambes, et ma bouche, encore empreinte du goût de ce délicieux gland, vient aspirer ta fleur ouverte et luisante.

 Je sens notre amant qui se relève et vient derrière moi. Ainsi positionné, à quatre pattes, mon cul lui est totalement offert. Comme toi tout à l’heure, il vient glisser ses mains sur mes fesses, mais il reste beaucoup moins explorateur, avant de me demander : 

  

 

–         Je peux ?

 –         Oui, vas-y, je te dirais si je veux que tu t’arrêtes.

  

 Alors, immédiatement, je sens son doigt sur mon petit trou. Il me caresse sans appuyer. Puis c’est sa langue que je sens. Quelle délicieuse sensation. Il me lèche le cul, m’humidifie, tourne autour et de temps en temps appuie sur le centre de son désir, que c’est bon !

  

 Voyant cela, tu plaques tes mains sur ma tête « oh putain, c’est bon » lances-tu ! Tu dégoulines littéralement d’excitation ! Je sens de ma langue et de mes doigts combien tu es excitée, ça me désinhibe encore plus.

  

 Mathieu continue ses caresses et je sens de temps en temps une de ses phalanges s’introduire en moi, c’est si bon. Il me lèche goulument, ses doigts entre en moi sans forcer, il sait clairement y faire.

 Je sens soudain une grande fraicheur entre mes fesses. Il me met du lubrifiant il va m’enculer 

 A cet instant, j’avoue avoir une appréhension grandissante en moi. Mais je me dit qu’il a été si doux et que ce qu’il m’a fait a été si bon jusqu’à présent, je veux aller plus loin, dérouler cette expérience jusqu’au bout.

 Il étale le lubrifiant du bout de ses doigts qu’il glisse en moi, au moins deux à la fois si j’en crois mes sensations, toujours aussi agréables ! Il s’arrête un court instant, je temps de se couvrir, ce que je vérifie quand même, le plaisir est important, mais la santé encore plus.

 Correctement habillé, je le sens poser son gland à l’entrée de mon cul. L’instant de vérité

 Je me redresse doucement, de mes doigts, je continue de te masturber, mais je cherche ton regard, d’une certaine manière, je veux ton approbation, je ne veux pas te choquer, mais au contraire partager cet instant avec toi. Tu me lances un grand sourire, et quand Mathieu pousse doucement son gland en moi, j’ouvre grand la bouche en silence. La sensation est étrange, douce, excitante. Je n’ai aucune douleur, mais une grande excitation.

 Ton visage s’illumine en me voyant ainsi, tu dégoulines sur mes doigts que je ne peux plus bouger tellement je suis absorbé par mes sensations. Tu te serres fort sur moi

  

 Mathieu coulisse au plus profond de mes entrailles, doucement, mais surement. Il entame de petits mouvements de va-et-vient, puis après un court instant, je sens son bassin tout contre moi. Il me possède totalement. Je sens sa queue, bien dure, tout au fond de moi. 

 Effectivement, rien à voir avec les jouets que nous utilisons de temps en temps, c’est cent fois meilleur !

 Quand il sent que je me suis bien habitué à cette douce sensation, il commence à me besogner. Il ne me touche pas la queue, mais je suis déjà sur le point de jouir tellement c’est bon. Il entame ses mouvements, parfois lents, parfois rapides, courts ou longs. Je ne sais pas dire combien de temps ces instants ont duré, mais ils étaient divins. Après un court instant, je sens que je vais jouir, Je me rapproche alors de toi, et pose ma queue sur ta chatte, je l’amène sur ton ventre ce qui fait que Mathieu est sorti de moi. Il revient et me prend d’un coup. Délicieux !

 Tu poses ta main sur mon sexe et me masturbe doucement. Mathieu continue de me sodomiser avec délice, je jouis presque instantanément. De grandes saccades de sperme chaud giclent sur ton ventre, certaines giclées atteignent même ta poitrine. 

 Tu me regarde le sourire sur les lèvres.

  

 

–         C’est bon de te voir jouir mon chéri.

 –         Oh oui ! Que c’était bon !

  

 Notre camarade se retire, lui n’a pas terminé en moi. J’ m’allonge à côté de toi. Je le vois retirer sa capote, heureusement que je n’avais pas plus fait attention que ça à la taille de cette queue, sinon j’aurais eu trop peur de le laisser de prendre. Mais il a su y faire, il a pu me sodomiser sans aucune douleur, et me faire jouir d’une manière que je ne connaissais pas encore.

 Il s’avance vers toi, l’air lubrique, il commence par t’embrasser la chatte, y glisse ses doigts

  

 

–         Comme vous êtes excitants tous les deux !

  

 Puis il vient lécher mon sperme sur ton ventre. Il n’en laisse pas une goutte, et les doigts toujours profondément plantés en toi, il vient lécher les dernières traces sur tes seins avant de t’embrasser.

  

 Je suis impatient de la suite, vous regarder m’excite, je sens déjà ma vigueur revenir. Une fois ma jouissance passée, j’aurais cru que mon excitation retomberait en flèche, mais il n’en est rien, bien au contraire !

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