Je m’accroche à son cou, lui embrasse le visage à multiples reprises.
Nous sommes fous mon chéri, ce que nous faisons c’est de l’inceste !
Je m’en moque, je t’aime, c’est tout ce qui compte pour moi !
Je soupire, et me couche sur le ventre la tête posée sur mes avant-bras.
Il s’agenouille à côté de moi, pose ses mains sur mes épaules et commence un massage en profondeur.
Détends-toi maman, tu es toute nouée !
Tu sais, je suis un peu honteuse, faire l’amour avec son fils, c’est immoral !
Comme pour me faire taire, il me donne une claque sur les fesses.
Ses mains atteignent le bas de mon dos, ils pétrissent longuement mes deux lobs fessiers, avant de descendre sur mes cuisses, un frisson de fébrilité parcourt mon corps. Maintenant, Marc me caresse l’intérieur des cuisses, souvent sa main s’égare sur ma chatte, ce qui n’est pas pour me déplaire.
Tu sais maman que tu as un sacré cul, il me rend fou, comme j’ai envie de le fouiller !
Papa te sodomisait ?
Oui quelques fois !
Tu aimais ça ?
Je trouvais ça pas désagréable, il etait doué pour ça, ton père !
Sans gêne, il écarte mes deux demi-sphères et contemple mon anneau. Il le taquine avec un doigt avant de faire entrer la première phalange.
Il est gourmand, il avale tout ce qui passe à proximité ! dit Marc en riant.
Il est bien souple, tu sens comme cela rentre tout seul !
Je souffle un peu et agite ma croupe doucement.
Mais elle aime ça, ma petite salope de maman, je vais te dilater un peu, après, je passe à l’action !
Fais ce que tu veux mon chéri !
Il ressort son doigt, crache sur mon anus et le badigeonne amplement de salive, il présente deux doigts à la petite porte et appuie, je me cabre légèrement, les deux intrus s’enfoncent sans brusquerie dans mon conduit anal.
Je pousse un:
Huuuum ! qui en dit long.
Les doigts continuent leur progression, et ne s’arrêtent que lorsque les troisièmes phalanges sont à l’intérieur.
Marc tourne lentement ses doigts dans ma gaine étroite.
Il commence un très lent va-et-vient, et ajoute de subtiles demi- rotations, la pénétration est délicieuse. Je geins de bonheur à chaque enfoncement des doigts en moi.
Marc accélère, je me contorsionne en gémissant.
Il retire ses doigts, je me sens frustrée, je veux protester, mais un troisième se joint à eux, il les réintroduit doucement dans mon cratère, je soupire de plaisir.
Il me ramone énergiquement, il tourne les doigts en moi, je sens que je vais exploser, je grogne, il me donne une tape sur les fesses, je sursaute et pousse un :
Oui oui, encore mon chéri !
Mais je rêve, tu es maso maman ?
Ne discute pas et fesse-moi, punis ta salope de maman qui baise avec son fils !
Marc, étonné, abat plusieurs fois sa main sur mes fesses qui ne tardent pas à rougir.
Oui mon chéri, c’est bon, ajoute un autre doigt, éclate le cul de ta maman !
Marc ne se le fait pas dire deux fois, ses quatre doigts me fouillent sauvagement, je râle à chaque pilonnage.
Prends-moi, prends-moi vite, je vais jouir !
Il remplace ses doigts par sa queue, c’est sans difficulté qu’il s’enfonce dans mon fondement jusqu’à la garde.
Ses couilles frappent mes fesses à chaque coup de reins, les coups sont si violents que j’ai l’impression qu’il veut y faire entrer ses couilles aussi.
Le pilonnage est sévère, les coups de reins puissants ont vite raison de moi.
Je me cabre et me mords le poignet tellement ma jouissance est terrible, je gicle comme une fontaine, Marc se bloque et me remplit l’intestin de sa semence épaisse.
Il me laboure encore un moment avant de retirer sa queue gluante de mon cul et de l’enfoncer dans ma chatte détrempée.
Il s’accroche à mes hanches et me démonte sauvagement, je pousse des couinements affreux.
Sa bite vigoureuse me laboure comme un soc, je triture l’oreiller, je plaque ma tête dedans pour étouffer mon cri de chienne en rut.
Le gourdin entre et ressort à vive allure, il accélère au rythme de mes gémissements.
Marc se raidit et déverse son sperme brûlant dans les entrailles, il ressort entièrement de mon antre et replonge à fond, je hurle:
Oui oui, encore mon chéri !
Marc, à ma demande s’acharne sur moi, il retire sa bite de ma chatte et la replonge dans mon cul violemment, il réitère souvent ce mouvement que j’adore.
Je finis par exploser bruyamment, ma cyprine gicle presque en continu, je halète et souffle fortement.
Maman, tu es un vrai volcan, oui, gicle encore, vide-toi !
OOOH mon chéri, c’est trop bon, démonte-moi encore, je veux mourir de plaisir !
Il délaisse mes orifices, sa queue est gluante, il l’offre à mes lèvres, je la gobe comme une affamée, je tète et suce sa bite comme un sucre dorge, je la dévore littéralement.
Elle ne débande pas, au contraire, elle enfle encore, je mordille le gland et aspire tout ce qui sort du méat.
Oh maman, comme tu suces bien, je vais jouir, attention !
J’accélère, je veux qu’il me remplisse la gorge de son nectar.
Il se raidit, tire sur mes cheveux et envoie plusieurs giclées au fond de ma gorge, je m’évertue à avaler jusqu’à la dernière goutte toute la quantité envoyée.
Je le suce encore en lui triturant les couilles, il se cabre à nouveau et envoie d’autres giclées que je déguste avidement.
Maman, tu es trop bonne, je t’aime !
Mets-toi sur le dos que je bouffe ta chatte, elle est juteuse comme un fruit trop mûr !
Il écarte les grandes lèvres de ma chatte, et aspire mon clito qui est devenu énorme, il le suce longuement comme un bonbon, je jouis encore et encore.
Enfin il me délaisse, je suis épuisée.