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Ma filleule m'a manqué – Chapitre 2




Nous avons passé la journée ensemble, sans parler de ce qui s’était passé la nuit avant. Comme si c’était naturel, pas de tabou, on s’est mutuellement fait plaisir. On avait besoin l’un et l’autre de quelque chose pour pouvoir s’endormir et on s’est en quelque sorte rendus service.

Le soir arrivait, et inconsciemment nous étions tous les deux impatients d’aller nous coucher. On ne pouvait pas parler d’excitation, car ça aurait été un peu malsain malgré tout. Même si nous n’avons pas été gênés, c’est quand même une relation parrain/filleule qui n’était pas à proprement parler standard.

Chloé a mis un pyjama pour regarder la télé. Un petit débardeur légèrement moulant et un pantalon tout doux qui mettait son fessier en valeur.

— Tu es toute belle ma chérie, lui fis-je.

— Bohh, c’est juste un pyjama Dadou, il te plait ?

— Il est très sexy.

— Ah oui ? C’est vrai ? Quest-ce qui te plait ?

— Ben je sais pas, ça met tes formes en valeurs

— Mes formes ? Tu veux dire mon cul, fit-elle en se moquant de moi

— Et ta poitrine aussi, lui répondis-je directement pour ne pas perdre la face

— T’aimes bien mes seins Dadou ?

— Je sais pas, je les ai pas vus mais ils ont l’air jolis.

— On verra si t’es sage, peut-être que je te les montrerais. Mais en attendant si tu veux, tu peux mettre ta main où t’as envie pendant qu’on regarde le film, ça te plairait ?

— Ben oui, où je veux ?

— Oui Dadou où tu veux. Tu choisis quoi alors ? Mes fesses ?

— Ah et ben oui par exemple

— D’accord, me fit-elle en souriant

Je m’installe sur le canapé, et Chloé s’allonge, la tête sur mes genoux. Je commence alors à poser ma main sur son postérieur que je caresse doucement. Le pyjama étant relativement moulant, je peux glisser mes doigts un petit peu dans sa raie.

A force de la peloter, je me rends compte qu’elle ne porte pas de sous-vêtements. Tout cela combiné me procure une érection que je ne peux contenir. Savoir la tête de Chloé à quelques centimètres de ma queue n’arrange en rien la situation.

— Pfff, le film est nul, Dadou, on va se coucher ?

— Si tu veux ma puce, effectivement il nest pas bon le film.

Nous nous dirigeons vers ma chambre et Chloé s’allonge sur le lit.

J’allumai la lumière un peu tamisée et commençai à enlever mon pantalon et mon t-shirt.

— T’es tout beau aussi, parrain

— Merci Chloé

— Si tu veux, je pourrais être ta peluche d’abord ce soir.

— Euh… Comme tu veux

— Ben apparemment, vu ton caleçon, t’en aurais bien besoin, hihi !

Oui effectivement, je nai pas pensé à mon érection une fois le pantalon enlevé. J’étais grillé et je ne pouvais pas du tout cacher mon excitation.

— C’est moi qui te mets dans ces états, Dadou ?

— Oui c’est toi ma chérie, c’est ton pyjama moulant, le fait de te voir dans ta tenue sexy, le fait de pouvoir te caresser aussi.

— Ah ouais. Allez viens Dadou, je vais faire en sorte que tu puisses te soulager, viens t’allonger près de moi.

Je n’en croyais pas mes oreilles, c’est elle qui prenait les choses en main, c’est encore plus excitant et troublant à la fois.

— Tu veux te frotter un peu contre mes fesses ?

— J’en meurs d’envie ma chérie

— Attends tu seras plus à l’aise sans ça

Sur ces paroles, elle descendit mon caleçon et le jeta à l’autre bout de la pièce. Elle se plaça sur le côté et tendit son postérieur vers moi. Je me collais à elle et caressa ma queue sur son pyjama tout doux.

— Ca te plait Dadou ?

— Oh oui j’adore ça

— Continue alors, moi ça me plait aussi

— Qu’est-ce que ça te fait ?

— Je sens mon petit minou qui mouille un peu

— C’est que ça t’excite alors

— Mmmm oui, continue comme ça

Je continuais mes vas et viens sans relâches, comme si je me masturbais tout seul

— T’aimes bien mes fesses Dadou ?

— Je les adore

— Alors enlève-moi le pyjama, tu profiteras mieux.

Elle se retourna sur le dos et je retirai délicatement son pantalon, laissant découvrir son petit abricot qui commençait à devenir tout humide.

— Et comme tu as été sage, tu peux aussi m’enlever le haut.

Je ne me suis pas fait prier. Elle s’est redressé et je lui ai retiré son débardeur, laissant libres ses deux seins magnifiques. Ils étaient bien ronds, un peu pointus et tenaient bien en place. J’en pris un en main pour le malaxer gentiment et masser un téton entre mes doigts. Elle avait le bout des seins tout dur, la coquine était vraiment excitée.

— Ben alors Dadou, j’ai pas dit qu’on pouvait toucher non plus, me dit-elle d’un ton faussement réprobateur.

— J’ai pas pu m’en empêcher désolé.

— C’est pas grave, allez viens te caresser un peu entre mes fesses, je sais que t’adores ça.

Elle se mit sur le ventre et écarta légèrement les cuisses. C’est un déjà vu de la veille dont je ne suis pas lassé. Je commence à malaxer ses fesses et balader mes mains dans sa raie, je lui titille un peu l’anus. Cela lui fait sortir quelques gémissements, elle aime autant ça que moi.

— Tu veux bien faire un peu comme hier Dadou ?

— C’est à dire ?

— Quand t’as mis ta langue et que tu m’as léchée… derrière, c’était agréable.

— Bien sûr mon bébé.

J’écartais ses fesses et posa ma langue sur son petit trou et essaya parfois de le rentrer à l’intérieur. Ses gémissements étaient de plus en plus présents, elle adorait ça. Je passais ma langue de son périnée jusqu’au-dessus de son anus. Elle avait bon goût ma filleule.

— C’est bon Dadou continue encore s’il te plait

— T’aimes ça ma chérie ? Ca t’excite ?

— Oui j’ai l’impression de mouiller encore plus qu’hier.

Je voyais son sexe et effectivement, même avec le nez dans son cul, je pouvais sentir sa cyprine de plus en plus présente. Je retirai mon visage et admirais ses lèvres qui étaient maintenant un peu plus entrouvertes.

Puis je me remis dans ma position fétiche, allongé sur elle, ma bite entre ses fesses, et commençai mes frottements.

— Mmmm, c’est bon Chloé. Tu as vraiment des fesses toutes douces.

— Ca te plait de te masturber sur les fesses de ta filleule ?

— Oui c’est excellent.

— Ca te fait bander de te masturber dans ma raie, Dadou.

— Mmm oui. Et toi t’aimes ça quand je te lèche le cul

— Oui, j’adore E tu sais Dadou, tu pourras te lâcher où tu en as envie, je suis toute à toi ce soir.

— Tu es terriblement excitante.

Cette situation me mettait dans tous mes états. Je continuais de me caresser et à un moment j’ai reculé un peu trop mon bassin et ma queue alla se plaquer contre le minou de Chloé.

— Ben Dadou !!??

— Excuse-moi, j’ai pas fait exprès ma chérie

— C’est pas grave, c’est pas désagréable non plus.

— Ah oui, je peux changer de position si tu veux.

— D’accord, comment ?

— Reste comme ça, prend un coussin et mets-le sous ton ventre.

— Comme ça

— Oui c’est ça

Chloé était maintenant allongée sur le ventre, le cul tendu vers moi et sa chatte ouverte. Je m’allongeais sur elle et commença mes vas et viens tout doucement sur son sexe mouillé.

— Hann Dadou, c’est trop bon ça aussi. J’adore ça

— J’aime ça aussi tu sais, sentir ta mouille sur ma verge me fait bander plus fort encore

— Ohh ouiiii, continue, je sens ton gland caresser mon petit bouton, Mmmmmm t’arrêtes pas surtout.

Je continuais à prodiguer notre masturbation mutuelle lorsque j’ai craqué.

— Si tu en as envie, ma puce on peut aller un peu plus loin

— Comment ça ?

— T’as dit que je pouvais jouir n’importe où.

— Oui, tu mettre ton jus partout où tu veux.

J’approchais mon gland à l’entrée de son vagin et mettait le plus de mouille possible sur ma queue. J’enfonçais délicatement mon gland dans son minou

— Mais qu’est-ce que tu fais Dadou ?

— Chuuuuut, ne t’inquiète pas, mon bébé.

J’insérais maintenant ma queue entièrement dans son petit abricot tout mouillé et entamais une série d’aller-retour.

— Haaannn, dadouuuu. Mmmm, qu’est ce que… Hooonn… mais… Haaannn, c’est pas… mmmm

— Ca va aller ma chérie, tu vois c’est bon ?

— Mais … on peut pas ! Hann, han, han !!

Je sentais quelle aimait ça malgré tout et j’étais un peu fier d’avoir repris le dessus. Quelle sensation ! Je sentais les parois de son vagin tout serré tout autour de ma queue, j’étais au bord de la jouissance.

J’accélérais mes à-coups, Chloé gémissait de plus en plus fort

— Oh Dadou, c’est bon, haannnnn, c’est mieux que… Hannnnn, ouiiiiiii

— Tu vas jouir pour ton Dadou, ma chérie, vas-y, t’inquiète pas, crie comme tu veux. Montre à ton parrain que t’aimes ça.

— Je vais jouir Dadou, je vais jouir, rien que pour toi. Continue, c’est bon, Han han han !

J’appuyais de plus en plus fort pour aller au plus profond de son intimité et en arrivant au fond, elle cria son orgasme, je sentais son vagin se contracter autour de ma verge. Tellement fort que ça m’a terminé, j’ai tout lâché au fond de sa petite chatte, j’ai senti quatre, cinq jets sortir de ma queue pour inonder son vagin. Je m’étais vidé totalement en elle. Une fois les derniers soubresauts passés, je me suis retiré, la queue encore raide.

Chloé s’est mise sur le côté une cuisse relevée, pour reprendre son souffle. Mon sperme dégoulinait lentement de son trou, glissait sur une lèvre pour atterrir sur sa cuisse. Elle passa sa main sur son minou.

— Qu’est-ce que t’as fait, t’as éjaculé en moi ?

— T’as dit que je pouvais le faire où je le désirais

— C’est tout ton jus qui coule de ma chatte ?

— Oui, j’ai tout mis dedans

Elle ramassa quelques gouttes avec ses doigts et les portait à sa bouche

— Je peux gouter ?

— Si tu veux

— Mmm c’est bon

J’avais encore un peu de mon jus au bord de la queue :

— Tu veux finir ici, lui fis-je en tendant ma verge

— Je veux bien

Elle posa ses lèvres au bout de ma queue et je sentis sa langue lécher mon gland pour ramasser les dernières gouttes de ma semence. J’ai tenu sa tête afin de prolonger cet instant magique.

J’ai baisé littéralement ma filleule et éjaculé en elle pendant son orgasme. Quelle nuit !

— Dadou, je crois que ce qu’on a fait ce nest pas vraiment très bien.

— Peut-être, maintenant ça peut rester entre nous, tu sais. L’essentiel est d’avoir pris du plaisir. Tu as aimé ça.

— Oui, j’ai bien aimé hier quand je me suis caressé sur ton zizi hier soir et tout à l’heure quand t’as tout mis dans ma petite chatte, ça a fait bizarre mais c’était agréable. On pourra recommencer ?

— Bien sûr ma puce, quand tu veux.

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