Ma main palpe les seins parfaits de ma fille. Soudain, pris de remords, je m’écarte d’elle et lui demande d’aller se coucher. Elle regagne sa chambre en claquant violemment la porte. Je pousse un ouf de soulagement puis rejoins ma femme dans notre chambre. La fermeture violente de la porte de Cloé a réveillé mon épouse ; elle se dresse sur le lit et dit:

Qu’est-ce qui se passe ? Pourquoi tout ce bruit ?

Je vais t’expliquer ma chérie ! Eh bien, Cloé est rentrée de sa soirée entre amis, elle a bu, elle s’est assise sur mes genoux, malheureusement, cela a dérapé, nous nous sommes embrassés et je l’ai même caressée ! J’ai vite compris que c’était pas bien, je l’ai renvoyée dans sa chambre !

Mais qu’est que tu me racontes ? Tu as caressé notre fille, j’hallucine ou quoi ?

Je sais que c’est mal ; je dois t’avouer qu’elle me trouble !

Ma femme pousse un bruyant soupir et ajoute :

Je ne sais que penser, reprends-toi mon chéri, allez, viens te coucher, demain sera un autre jour !

Toute la nuit, je me suis retourné dans mon lit, je me vois faisant l’amour à ma fille ; mon membre se dresse rapidement et devient très dur, il me fait tellement mal que je l’extirpe de mon slip.

Mon Dieu ! Je bande pour ma progéniture, je suis un malade.

Ma femme aussi a du mal à trouver le sommeil ; elle se redresse sur ses coudes, me regarde longuement.

Je transpire, et respire bruyamment.

Elle comprend rapidement que je ne suis pas dans un état normal, je penche la tête vers elle, la fixe du regard, et repousse violemment les couvertures

Regarde mon amour, dans quel état elle me met !

J’exhibe sans honte ma queue, j’ai l’impression qu’elle est devenue énorme, je la presse si fortement d’une main que le gland en devient violacé.

Ma femme pose sa main sur mes bourses et les tritures longuement, elle saisit mon énormité et la branle doucement.

Je geins en fermant les yeux.

La tension monte en moi, je murmure :

Cloé Cloé !

Pour me faire taire, ma femme pose ses lèvres sur les miennes, sa langue se noue à la mienne.

Soudain, elle sursaute, décolle ses lèvres et tente de couvrir ma verge avec les draps.

Cloé vient de rentrer dans notre chambre sans crier gare, elle est encore embuée d’alcool.

Elle est nue.

J’écarquille les yeux pour bien admirer son corps de jeune adulte.

Elle dit en riant:

Maman, tu peux reprendre ce que tu faisais sinon, c’est moi qui le fais !

Elle arrache les draps que ma femme tente de retenir en vain.

Cloé, va te coucher stp !

Oui, maman ; mais avec vous !

Tu n’y penses pas, papa n’est pas bien !

Moi, je reste coi… sans aucune réaction, j’admire le corps superbe de ma fille.

Cloé lui répond du tac au tac en riant aux éclats.

Pas bien pas bien, il bande comme un cerf oui, et en plus, il en a une bonne, mon petit papa ! Tu dois pas t’ennuyer avec ça, maman ?

Oh ! Ca se voit que tu as bu ; tes paroles sont vulgaires ! répond sèchement ma femme.

Cloé s’assied, sur le bord du lit, elle regarde avec insistance la verge tendue que ma femme n’a pas encore lâchée.

Elle pose sa main sur la sienne et commence à branler mon engin.

Mais Cloé, qu’est que tu fais ? Tu es folle ? C’est ton papa.

Elle sourit et répond sans se démonter :

Et alors maman, une queue c’est une queue non !

Sur ce, elle branle plus énergiquement mon membre, ma femme suit la cadence, car sa main est emprisonnée dans celle de Cloé.

Mais ma femme commence à se prêter au jeu ; de sa main libre, elle malaxe mes bourses velues.

Moi, je suis aux anges, je ferme les yeux et savoure cet instant fabuleux.

Ma femme interroge Cloé :

Tu veux faire quoi avec ton père ?

Elle répond en cessant de me branler.

L’amour maman, l’amour !

Tu es quand même gonflée ma chérie ; vouloir faire l’amour avec son père, c’est pas moral, tu sais !

Moral moral, je m’en moque ; je veux que ce soit lui qui me déflore ! Tu sais, le soir, je vous entends faire l’amour, et cela m’excite tellement que je me masturbe férocement en pensant à sa queue qui te perce les entrailles, et je jouis comme une folle ! J’ai trop envie de lui, c’est grâce à ce verre de trop que je me suis lancée !

Avec tes envies d’inceste, tu as perturbé ton papa, il a passé une drôle de nuit, tu sais !

Eh bien, je vais me faire pardonner, na !

Il ne me reste donc que d’accepter ta volonté ma chérie ; je pense que j’ai pas le choix !

Pas vraiment le choix, maman, je suis bien décidée !

Bon, dans ce cas, je m’incline, vas-y, prends du bon temps, c’est un expert en la matière ton papa !

Je réagis sèchement, mais heureux.

Bon, les filles, arrêtez vos palabres, occupez-vous de moi, puisque vous êtes tombées d’accord !

Ma femme pousse un soupir de résignation et retire sa nuisette.

Elle reprend mon sexe en main, elle le branle en prenant soin de bien décalotter le gland à chaque descente de son poignet.

Ma fille ne peut s’empêcher de me triturer les bourses, elle les presse jusqu’à m’en faire mal.

Elle ne peut s’empêcher de dire :

Mon Dieu, qu’elle est grosse la queue à papa et si belle à la fois !

Je grimace en faisant une moue qui déforme mon visage.

Doucement, c’est pas du béton ! que je dis.

Ma femme ajoute en riant :

Ma chérie, ne casse pas les bijoux de ton papa ; ces choses-là sont sensibles !

Puis, elle se penche en regardant notre fille, et commence à lécher mon gland à grands coups de langue ; elle titille le frein de nombreuses fois, avant d’engloutir le mat gorgé de sang dans sa bouche.

Elle suce et tète goulûment le cèpe qui a encore pris du volume pendant la succion, elle ne quitte pas des yeux Cloé, qui ne perd rien du spectacle.

Enfin, elle recrache le manche de chair et dit:

C’est à ton tour ma chérie, surtout applique-toi bien, papa aime ça !

Cloé saisit ma queue en imitant sa maman, elle s’évertue à me sucer le gland du mieux qu’elle peut.

Elle apprend vite la coquine.

Je geins comme un animal, je me cambre à chaque coup de langue.

Oh ! C’est trop ma chérie, arrête, je vais jouir !

Non, continue, remplis-toi la bouche de sa semence, vas-y, suce plus fort ma chérie !

Je ne peux résister plus longtemps, je me raidis et envoie plusieurs giclées gluantes dans la bouche de ma fille.

Elle est tellement surprise de la puissance des jets qu’elle lâche mon mandrin.

Avale ma chérie, avale, c’est très bon ! lui demande ma femme.

Cloé déglutit difficilement et finit par avaler le nectar jusqu’à la dernière goutte.

Mon Dieu, maman, il a mis la dose, papa, j’ai cru étouffer !

Ma femme a repris le relais, elle lèche le mat gluant avec des hum de délectations.

Tu aimes ça, maman, le sperme de papa ?

Entre deux lèches ma femme répond :

Oui, j’adore ce goût suave, c’est un régal pour moi, tu verras, tu l’aimeras aussi la crème de papa ma chérie !

Ma queue commence à baisser de la tête.

Ma chérie, pendant que papa recharge ses batteries, je vais m’occuper de toi et bien te préparer pour la suite !

Allonge-toi et ouvre largement tes cuisses !

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