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Morgane, ma patronne – Chapitre 3




Je fais ce qu’elle me demande et lorsque je suis nu, sur ses mains et ses genoux elle rampe vers moi sur le lit, la croupe ondulante comme une petite chatte en chaleur, avec un petit sourire sur son visage qui en dit long !

Morgane semble apprécier ce qu’elle voit et une de ses mains caresse mon sexe en pleine érection. Je n’ai pas une grosse bite comme dans certaines vidéos du Net cependant elle semble impressionnée. Elle passe sa main dessous pour prendre mes couilles dans sa paume et en souriant, elle me dit.

— Belle bite, Alex. Oui, elle me plaît bien…

Elle me branle légèrement et levant ses beaux yeux vers moi, avec un sourire malicieux, elle me dit.

— Alors Alex… tu veux que je suce ta belle bite ?

— Morgane… j’en rêve depuis que je travaille avec toi.

Elle enveloppe ses doigts sur la base de ma bite, se penche pour mettre mon gland devant sa bouche, et elle l’embrasse à plusieurs reprises. Du présperme scintille sur ses lèvres qui lèchent toute la longueur de mon sexe. Quand elle arrive en bas, juste au-dessus de mon scrotum, elle l’embrasse avant de caresser de sa langue le dessous de ma bite. En m’entendant gémir, elle relève sa tête, sourit, puis elle ouvre sa bouche pour gober mon gland.

Je geins plus fort sous le plaisir qu’elle me donne quand elle suce le bout de ma bite tout en utilisant sa langue pour encercler et masser mon gland. Puis, lentement, elle commence à prendre ma queue de plus en plus dans sa bouche. Pendant que mon pénis s’enfonce lentement comme si elle l’aspirait, sa langue tapote le dessous de ma bite. Je me suis déjà fait sucer la queue plusieurs fois, mais jamais je n’ai ressenti les sensations que Morgane me procure. Elle me regarde, et malgré mon sexe qui remplit sa bouche, je peux quand même voir un petit sourire sur les côtés de ses lèvres.

Ma queue va de plus en plus profondément dans sa bouche, jusqu’à ce que je sente mon gland buter sur sa gorge. Elle retire sa main de la base de ma bite, prend une profonde inspiration par le nez, et elle enfourne complètement mon sexe dans sa bouche avec mon gland dans sa gorge et ses lèvres sur mon scrotum.

Elle a maintenant ma bite tout entière dans sa bouche et dans sa gorge. Elle laisse échapper un long gémissement de satisfaction qui vibre tout du long de ma queue et contre mes couilles. Je gémis de plus en plus fort car mon corps est traversé par des petites décharges électriques lorsqu’elle attrape mon cul avec ses deux mains pour me tirer vers elle et me forcer à aller encore plus loin dans sa gorge.

Je n’arrive plus à me contrôler et je gueule.

— OOOoohhhh, Putain ! Morgane ! Tu suces beaucoup mieux qu’une pute !

Heureusement qu’elle a mon sexe dans sa bouche car je me rends compte que je viens de la traiter comme une pute ramassée dans la rue près de l’hôtel.

Elle laisse ma queue glisser hors de sa gorge, mais elle continue d’aspirer mon gland en me souriant.

Ouf… elle n’a pas fait attention… ou ça ne la gêne pas. Elle referme ses yeux et reprend sa turlute avec ardeur. Sa bouche se déplace rapidement, d’avant en arrière sur mon gland prisonnier de ses lèvres rouges, avant de prendre encore ma bite profondément dans sa gorge et refaire le chemin en sens inverse en léchant merveilleusement ma queue. Elle recommence son manège plusieurs fois avec une de ses mains sur mon cul et l’autre qui enserre mes couilles. La sensation est incroyable.

Je gémis en disant son nom.

— Morgane, oooohhhh, Morgane… Morgane, ouiiiiiii…

Je sens que je ne vais pas résister bien longtemps si je ne l’arrête pas. Je prends son visage entre mes mains et je le repousse doucement de ma queue.

Dès qu’elle s’échappe de sa bouche, je me penche pour l’embrasser sauvagement en poussant ma langue qu’elle masse comme elle suçait ma queue.

Baiser voluptueux où nos langues se flagellent ou se caressent un moment avant que je m’échappe de ses lèvres gourmandes.

— Morgane, nous devons faire l’amour. J’ai tellement envie de toi.

— Ouiiii, Alex, baise-moi maintenant.

Je prends sa tête dans mes mains, savourant sa réponse crue, mais claire. Elle ne veut pas faire l’amour elle veut se faire baiser.

Son regard dégage une lubricité que je n’aurai jamais soupçonnée chez ma patronne. Presque brutalement, je la pousse sur le lit.

— Oooh, putain ! Oui ! Je vais te baiser !

— C’est ça que tu as envie… Tu veux baiser ta patronne ?

Minaude-t-elle en reculant vers la tête de lit, loin de moi.

Je rampe sur le lit pour la suivre, comme un tigre traque sa proie.

— Tu sais ce que je vais te faire ? Ce que je veux ?

— Oh oui, tu veux posséder mon corps… tu veux t’enfoncer dans ma chatte…

— Ouiiii, je veux sentir avec mon sexe ta chatte qui est si délicieuse.

Elle s’allonge sur le dos et écarte ses jambes. Je glisse entre elles et je commence par embrasser ses cuisses.

— OOOOooohhh, Alex, tu veux faire ça maintenant ? Tu veux mettre ta bite dans ma délicieuse chatte ? C’est bien ce que tu as dit, Alex ?

Je sens bien qu’elle joue avec moi, qu’elle essaye de reprendre une certaine autorité sur moi. Ça ne me dérange pas du tout car elle est tellement sexy en faisant cela. Elle a dû ressentir une certaine vulnérabilité quand je l’ai fait jouir avec ma langue et mes mains et qu’elle a eu un terrible orgasme.

Maintenant elle veut réaffirmer son autorité de patronne voir une certaine domination. C’est ma patronne et je serais même son esclave si c’est son bon plaisir.

Ma tête entre ses superbes cuisses, à quelques cm de son sexe, je lève mes yeux pour la regarder et lui dire.

— Oui, patronne, votre sexe est une putain de chatte délicieuse.

Mes yeux quittent les siens brillants de désir et ma bouche se pose sur sa chatte humide.

Je pousse ma langue aussi loin que je peux dans son vagin et son jus commence immédiatement à affluer dans sa grotte d’amour. Je la lèche vigoureusement pendant quelques instants, mais son sexe trempé et gonflé est déjà plus que prêt à se faire baiser. J’embrasse sa chatte une dernière fois et je remonte sur son corps en faisant courir ma langue sur son ventre, sur ses seins, jusqu’à son cou.

Mais elle attrape ma figure avec ses deux mains pour m’embrasser et lécher son jus. Puis en enroulant ses jambes autour de moi, sans serrer mon corps, ses yeux plongent dans les miens et elle me dit d’une voix douce, très douce, mais volontaire,

— Prends-moi, Alex.

Je bouge mes hanches à plusieurs reprises pour frotter ma bite entre ses lèvres vaginales pour bien la mouiller avec son jus, avant de placer mon gland chaud et lisse entre ses grandes lèvres, et pousser doucement mon sexe dans sa chatte brûlante.

Tous les deux, nous retenons notre souffle, anticipant avec impatience, cette union merveilleuse de nos deux sexes.

Je sens ma queue séparer ses petites lèvres intérieures qui glissent doucement sur mon gland pour m’offrir l’ouverture de son vagin.

Mes yeux dans les siens, je sais que je vais réaliser mon fantasme que je croyais impossible de vivre un jour.

Baiser ma patronne, baiser Morgane.

Sans rompre notre contact visuel, je pousse mes hanches doucement vers l’avant, et je force l’ouverture de sa chatte pour glisser lentement dans le ventre de ma patronne, centimètre par centimètre.

Morgane reprend sa respiration qu’elle a bloquée pendant ma pénétration et elle gémit en même temps que moi.

— OOOOooohh, Ouiiiiiiii, Alex…

— Morgane ! Ooohhhhh, mon Dieu…

Mon sexe est complètement englouti par sa chatte brûlante et je savoure quelques secondes cet instant unique qui hantait mes rêves érotiques.

Je me retire lentement sans sortir de son sexe et je repousse ma queue dans cette gaine si douce, si chaude. Morgane gémit de nouveau en prononçant mon prénom et ses mains se crispent sur ma taille.

Tout en commençant à la baiser à coups de bite longs et profonds, du bout de mon gland à la base de mon pénis d’une dureté jamais atteinte avant ce jour, je mets mes deux mains sur ses seins pour les presser et les repousser vers le haut,

Elle enroule ses mains autour de mon cou quand j’augmente le rythme de mes coups de queue pour s’en servir d’ancrage et bouger ses hanches afin de s’emmancher le plus loin possible à chacune de mes poussées, dans un claquement humide.

Je la pilonne maintenant comme un marteau-piqueur avec l’unique pensée que je baise cette putain de femme, ma patronne, que j’ai désirée pendant des mois.

Morgane se lâche totalement et elle me dit des choses qu’elle n’imaginait sûrement pas me dire, ou dire un jour à un homme.

— Ouiii, Alex, plus fort ! Ouiiii, bien à fond ! Putain qu’elle est bonne ta queue. Pourquoi on n’a pas fait ça plus tôt ! T’as une grosse bite qui remplit bien ma chatte mon salaud ! OOOoohhh, je te sens bien !

Jusqu’à maintenant je me passais bien de commentaires pendant un rapport sexuel, mais avec Morgane c’est très différent. Tout d’abord, je sens que ça vient du cur… ou de son ventre qui se crispe sans arrêt suivant les mouvements de mon pénis. Mais ce qui m’excite le plus c’est la différence de son comportement entre son langage professionnel et la Morgane sexuellement active qui se trouve sous moi.

Elle n’a jamais dit, ou fait quoi que ce soit, qui aurait pu me révéler qu’elle avait un côté salope qui cachait une lubricité latente prête à exploser.

Toutes ses pensées font que je ne vais pas pouvoir me retenir longtemps et je retire ma queue inopinément du sexe avide de Morgane. Je veux garder le contrôle mais Morgane s’écrie.

— Ooooh, NON ! Ne te retire pas ! Reviens dans mon con ! Baise-moi encore !

Avec un sourire vicieux je lui réponds.

— Désolé Morgane, tu n’es plus ma patronne. C’est moi qui commande maintenant

Surprise une fraction de seconde, elle sourit et d’une voix soumise elle dit.

— OK, patron, qu’est-ce que vous voulez me faire ensuite ?

Sur cette question, elle redresse ses jambes, tire sur ses genoux pour bien écarter ses cuisses et présenter sa jolie chatte grande ouverte devant mes yeux.

De toute évidence, elle est à l’aise dans ce jeu érotique. Je prends une profonde inspiration pour sentir le parfum aphrodisiaque de sa cyprine avant de lui dire.

— C’est le moment de monter sur ton étalon, Madame.

Elle a une sorte de roucoulement de gorge en se glissant sur le côté pendant que je m’allonge sur le dos, ma bite en l’air.

En se mettant en position de cavalière, elle me surprend en tombant sur moi pour prendre ma bite dans sa bouche pour la sucer sauvagement. Elle la ressort bien baveuse, se positionne au-dessus d’elle et elle s’empale lentement dessus. Une douce chaleur, maintenant familière, entoure et absorbe toute ma bite.

— Baise-toi sur ma queue, Morgane.

Elle ne perd pas une seconde pour m’obéir et ses hanches pivotent dans un petit mouvement circulaire à chaque descente de son cul. Tous ses muscles, abdominaux, fessiers et vaginaux, sont en action chaque fois qu’elle rebondit sur ma queue en gémissant.

Maintenant c’est moi qui m’exprime crûment.

— Putain ! Ta chatte est bonne ! T’es une belle salope quand tu te baises sur moi. Ooooohh, t’es une sacrée chaudasse avec une chatte étroite. Ooohh, ouiiiiii, plus fort, Morgane… Aaaahh, c’est dingue !

Mes mots doivent augmenter son excitation car elle s’agite encore plus sur mon sexe, en équilibre sur ses deux mains écartées, ses seins balayant ma bouche suivant ses coups de reins sauvages. Par instants je peux saisir un de ses longs tétons entre mes dents pour la faire grogner comme un animal pris au piège.

Brusquement, elle se cambre et elle se penche en arrière le plus loin qu’elle le peut. Mes mains, agrippées sur ses seins tendus vers le plafond, je la maintiens dans cette position et ma bite enfouie jusqu’à la garde subit sa furie sexuelle. Elle est tordue et malmenée par ses soubresauts et ses coups de reins.

Je sens que ma salope de patronne approche d’un nouvel orgasme. Mais avant qu’elle ne se laisse aller à sa jouissance, elle se redresse brusquement, laissant ma bite glisser hors de sa chatte comme sur un toboggan ruisselant.

Elle me regarde fixement, le cur battant et la respiration lourde, et sans un mot, elle se retourne pour se mettre à quatre pattes, ses jambes largement écartées, pour me présenter son sexe.

Elle reste dans cette position et tourne sa tête pour me regarder en respirant fortement. Moi je ne vois que sa chatte ouverte qui se contracte à chaque expiration tout comme son anneau anal qui frissonne aussi.

Ayant parfaitement compris ce qu’elle désire, je m’agenouille derrière elle pour la prendre en levrette.

Comme pour m’assurer que sa chatte est toujours prête à recevoir ma queue gonflée, je caresse sa chatte avec ma main et j’introduis deux doigts dedans.

Elle gémit doucement sous mes doigts qui la fouillent et qui ressortent trempés de son jus de chatte.

Ma bite remplace mes doigts et je l’empale d’un seul coup !

— Ouiiii, Alex ! Comme ça ! Bien à fond ! Défonce ma chatte de femme infidèle.

Son vagin est brûlant, parfaitement lubrifié avec son jus, et ma bite peut aller et venir doucement dans son sexe.

Je ne peux pas garder ce rythme lent pendant très longtemps avec la vue de ses fesses qui ondulent à chaque pénétration et ses muscles vaginaux qui serrent ma queue pour mieux la sentir. Je m’agrippe à ses hanches pour baiser ma patronne de plus en plus vite et de plus en plus fort. Elle ne gémit plus elle crie.

— Oh mon Dieu, tu me baises Alex ! OUI ! AAAAAaaahhhh ! Putain qu’elle salope je suis ! Tu me baises comme une catin !

Sous mes furieux coups de bite nous gémissons de concert. Mon pubis claque sur son cul quand je lui défonce sa chatte et je vais jouir si je continue comme ça.

Bien enfoncé dans son vagin, je passe ma main droite sous elle et je caresse son clitoris du bout de mes doigts avec un mouvement circulaire.

— Oooohhhh, ouiii, putain… Alex… que c’est bon !

— Ouiii, Morgane. Mais je vais bientôt jouir.

— Attends-moi Alex. Moi aussi !

Tous les muscles de son corps sont contractés et elle me donne des coups de cul avant de mettre sa main sous la mienne, sur son clito, pour le frotter rageusement. Ma main qui ne s’occupe plus de son clito passe sur sa tête pour la tirer par ses cheveux. Elle se cambre et en tirant plus fort ses cheveux, ma bite s’enfonce encore plus profondément dans sa chatte qui se resserre dessus.

— OOOhh, Morgane… Morgane…

— Ouiiiii, je vais jouir Alex… Attends… Attends…

M’implore-t-elle.

Je résiste malgré la douleur qui monte dans mes couilles au bord de l’explosion. Quelques secondes angoissantes et enfin Morgane crie.

— OUIIIIIII, OUIIIII ! Ooooh mon Dieu… Je vais… ooohhh, jouis avec moi Alex, rempli moi ! Jute en moi !

Je lui donne deux coups de queue bien profondément et je laisse mon orgasme exploser dans sa chatte.

Nous jouissons ensemble et nos cris ne sont que jurons et insanités pendant que je continue de la baiser doucement en envoyant une giclée de sperme à chaque fois que je suis au fin fond de sa chatte qui se spasme sur ma queue qui tressaute.

Son orgasme n’en finit pas et elle s’effondre sur son ventre. Je tombe avec elle et nos sexes continuent de s’étreindre, à ne plus faire qu’un, dans un léger mouvement circulaire de nos bassins.

Mon sperme continue lentement de s’écouler dans son vagin en feu.

Je suis toujours écroulé sur elle et ma queue au fond de sa chatte se détend doucement pendant que j’embrasse son cou et ses épaules. Elle retire sa main sous elle et elle caresse mes lèvres avec ses doigts. Je les embrasse et je lèche ses doigts. Mon sperme épais recouvre ses doigts et je me délecte de son goût parfumé de cyprine plus liquide.

Mon sexe finit par ressortir de sa chatte et je reprends mon souffle allongé sur le dos à côté d’elle.

Morgane se penche vers moi et elle m’embrasse longuement avant de reposer sa tête dans le creux de mon épaule, avec son bras sur ma poitrine.

— Bonne nuit, Alex, toutes mes félicitations, cest hallucinant le plaisir que tu m’as procuré. Mais je suis épuisée, je n’ai plus de force.

— Tout le plaisir était pour moi, chère madame, très chère patronne.

J’embrasse son front en sueur, pose mon bras autour de ses épaules pour la serrer contre moi. Moi aussi je suis épuisé par cette baisse incroyable et je m’endors immédiatement.

Quand je me réveille, le soleil est déjà bien levé et je regarde l’heure sur ma montre posée sur la table de nuit.

— Ne t’inquiète pas, j’ai prévenu mon mari que je vais faire un peu de shopping et que je rentrerais dans l’après-midi.

Je regarde Morgane et je me demande si elle regrette ce qui s’est passé hier soir. Mes craintes s’envolent instantanément quand elle m’embrasse et qu’elle me dit.

— Tu sais… hier soir… c’était incroyable… mais…

Je pose un doigt sur ses lèvres pour l’arrêter de parler

— Oohh, ouiiii, impensable pour moi et… magique. Ne t’inquiète pas Morgane, je serais discret et je respecterais notre relation au travail. Tu seras juste ma patronne. Donc, c’est toi qui décides.

Elle me sourit

— Je sais que je peux te faire confiance, Alex. Mais c’est la première fois que je trompe mon mari.

— Tu crois que tu as commis une erreur ?

— Oh mon Dieu, Alex, non, je ne le pense pas et je ne regrette rien. Je vais t’avouer que j’ai fini par fantasmer sur toi quand je voyais que tu me dévorais des yeux.

— Oui, tu peux le dire ! Je te désirais comme un fou !

Je la fixe profondément dans ses yeux et je l’attire vers moi pour l’embrasser passionnément.

Nous n’avons jamais reparlé de cette soirée car je me suis engagé à respecter sa vie, son mariage, et notre relation de travail.

Fort heureusement (ou malheureusement) Morgane a eu une promotion et elle est partie dans une filiale espagnole. Jaurais bien sûr aimé profiter encore plusieurs fois de son corps magnifique et de sa passion amoureuse, mais qui sait… peut-être un jour…

Jusqu’à ce jour improbable, je vis avec ce merveilleux souvenir ou j’ai baisé ma Patronne, ma déesse inaccessible, Morgane, une amante exceptionnelle.

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