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Ma mère est une chaudasse – Chapitre 3




Depuis mon expérience sexuelle avec ma mère, je ma languis de remettre ça, même sans mon père. Ayant interrogé ma mère à ce sujet deux jours après, elle m’a répondu que cela prendrai un peu de temps.

Du temps, pourtant, c’était trop pour moi. Je suis devenu dingue de ma mère et de sa lubricité.

Pourtant, une nouvelle surprise m’attendait le soir même.

Papa était tellement crevé par de gros travaux effectués dans la maison et au jardin qu’il s’était couché tôt.

Je suis assis sur le divan d’angle, à côté de ma sur Caroline et de ma mère, occupés tous trois à regarder le téléviseur. Il était environ 22 heures quand, tout à trac, voilà que ma sur déclare, en ricanant :

▬ Alors, vous avez remis ça, tous les deux ?

Je la regarde, stupéfait, et bafouille :

▬ Que… que… que veux-tu dire… par…là ?

▬ Tu peux t’expliquer, Caroline, dis ma mère, étonnée elle aussi.

▬ Et bien, l’autre jour, j’ai dû revenir à la maison plus tôt car j’avais oublié des documents. Quelle n’a pas été ma surprise quand j’ai entendu des gémissements venant de l’étage. Sur le coup, j’ai cru que c’était papa qui était revenu plus tôt, lui aussi, et qu’il était bien occupé avec toi maman.

«Je suis donc montée doucement et vous ai découverts bien occupé, toi et maman. D’abord choquée, j’ai très vite apprécié le spectacle. Ensuite, m’étant cachée, je vous ai vu dans la cuisine remettre ça et maman se faire pénétrer par toi, Pierre.»

«Je suis partie avant que cela ne se termine, mais je dois vous dire que j’ai été salement excitée. A un point que j’ai eu du mal à ne pas me toucher.»

▬ Ben ça alors ! Si je m’attendais à ça !… Et cela ne t’as pas choqué… Serait-ce que tu ne serais pas contre ?

▬ Non frérot, je ne suis pas contre et d’ailleurs, ayant constaté combien tu était bien doté par la nature, je meure d’envie de te sucer.

▬ Ah ! Euh…! commencé-je

Mais Caroline n’attends pas de réponse de ma part et la voilà qui se jette sur mon pantalon de pyjama, le descend et met à l’air ma biroute pour se mettre à la branlocher. Instantanément je grogne et mon membre se met au garde à vous.

Caroline, satisfaite de la taille de mon phallus, plonge vers celui-ci et se met à le lécher, faisant des va et vient du gland jusqu’aux burnes, n’hésitant pas à les mordiller.

Je feule de plaisir sous sa pipe.

▬ Et moi alors, déclare ma mère à ce moment.

Je me retourne et constate qu’elle a écarté ses jambes dans un angle démentiel, dévoilant son bas-ventre velu démuni de slip. Au milieu de sa foune, son sexe brille déjà de jute.

Je n’hésite pas une seconde et, alors qu’elle ouvre son chemisier pour se peloter les nichons, je m’occupe de son minou chaud et juteux, bavant dessus et le languotant comme un dingue. En même temps, je teste sa rondelle anale qui palpite déjà d’envie.

▬ Hummmmmmmm… ! lance-t-elle en se tordant de plaisir. Vouiiii…, mon fils, suce-moi bien partout, lèche mon clito et mon trou de balle aussi.

J’ai du mal vu ma posture, alors je m’allonge sur le dos, échappant quelques secondes au pompier de ma surette. Bien calé, je me remets à ma minette, dévorant presque cette escalope qui dégorge un flot de jus odoriférant et goûtu…

Caroline profite de ma nouvelle position pour me chevaucher et, bloquant mon sexe entre les lèvres de sa chatte, s’empale dessus en feulant.

▬ OuaaahhhHHH…! Quelle queue, frangin ! Bordel, c’est trop bon de se la carrer dans le con !… Oui ! Oui ! Oui ! Oui !…

Elle cavale sur mon pieu de plus en plus vite, en se branlant les tétines, à travers sa chemise de nuit.

▬ Ouais ! Vas-y, surette, fais-moi jouir ! Oh, comme ta chatte est accueillante, chaude et lubrifiée !… Mmmm ! Mmmm ! Mmmm !…

Tout en suçant ma mère, je la vois, elle et ma sur qui se rapprochent et se languotent avidement, toute langue dehors.

Est-cela qui me fait exploser ou le fait d’enconner ma sur, je ne peux le dire. Je suis surpris de la rapidité de mon orgasme mais le savoure.

▬ Ça y est… Je… jouiiiiiiiii…!

Caroline se retire au moment où ma trique se met à pisser ses jets de foutre qui viennent lui enfoutrer les poils du pubis et son bas-ventre.

Maman s’est alors jeté sur mon dard afin de profiter de cette manne gluante. Elle aspire les dernières gouttes et me nettoie le gland à coups de langue.

Alors que dans la cuisine, l’autre jour, je n’avais pas débandé, cette fois-ci, voilà que ma verge baisse pavillon.

Sachant qu’il me faudra un peu de temps pour être de nouveau dispos. Maman saute du divan, pousse ma sur et l’allonge sur le dos. Puis, ayant grimpé sur le sofa, elle se positionne au-dessus d’elle tête-bêche, lui offrant sa cramouille et son fion à déguster.

Caroline, surexcitée à présent enfonce sa tête entre les cuisses maternelle et y va d’une mignardise baveuse.

Les deux amours de ma vie se mettent à gigoter et à bramer leur plaisir en se tordant lascivement.

▬ Oh oui, ma fille, vas-y…! Suce-moi bien ! Bouffe-moi toute entière ! Hummmmmmmm…! Vouaaa…!

Le spectacle qu’elles donnent agit sur moi comme un aphrodisiaque car, très vite, je sens que mon chibre va reprendre des couleurs. Je pense fortement aux images de ma mère et moi forniquant dans la cuisine et cela marche : mon membre se met à grossir et se dresse lentement.

Alors je me décide à les prendre toutes les deux, à tour de rôle.

Me plaçant derrière ma mère, j’enfile mon engin viril entre ses fesses. Je n’ai pas besoin de pousser car elle a compris et, d’un coup de cul, s’empale sur mon vit et le fait entrer dans son derge.

▬ Ouah, Caroline, y a Pierre qui vient de me mettre au cul ! Et c’est trop boooonnnn…!

Je la lime pendant deux minutes, lui ramonant sa boyasse chaude puis me retire et vais me mettre derrière ma sur.

Elle m’a vu venir et lance :

▬ Oui, frangin ! Moi aussi je veux que tu m’encules ! Vas-y et défonce-moi le trou de balle !

Je pensais que son cul allait résister et que j’allais lui faire mal, mais non : son fion avale mon pieu sans rechigner, et jusqu’aux burnasses.

Alors j’y vais à fond et sans hésiter je la ramone comme un fou, lui pistonnant sa rondelle à grands coups de rein.

Pendant presque dix minutes, je m’amuse à ce petit jeu, passant de l’une à l’autre, les sodomisant avec de plus en plus de fougue, les faisant jouir analement pendant qu’elles continuent à se gouiner comme des lesbiennes.

Quand enfin je leur annonce que je vais éjaculer, elles se tournent vers moi et me branlent en plaçant leurs bouches grandes ouverte près du mufle viril de mon zob.

▬ OuaaahhhHHH…! Ça… y …essssstttt…! Je paaarrrsss…!

Avec des regards plein d’extase, ma mère et ma soeur prennent ma jutée dans la bouche, avalant presque toute mon éjac.

Pendant encore quelques longues secondes, elles me tripotent et me sucent afin d’extraire tout ce qui reste de foutre.

Exténué, je m’affale sur le divan, repus et comblé.

▬ Et bien, dit maman, y a plus qu’à convaincre papa, les enfants…

A Suivre…

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