Il y a six mois j’ai eu un accident de la route, je m’en suis sorti avec quelques éraflures mais j’ai surtout eu une sacrée frayeur et ma voiture était tellement endommagée que mon assurance n’a pas voulu la réparer. Hasard du calendrier, on venait de m’annoncer au travail que j’allais bénéficier d’une promotion et disposer d’un véhicule de fonction si bien que je n’avais besoin de retrouver une monture que pour trois mois.
J’ai été raisonnable et je me suis contenté d’une Clio d’occasion achetée quatre mille euros. Elle m’a bien dépanné même si mes amis, habitués à me voir conduire des modèles plus haut de gamme, en ont profité pour se moquer gentiment pendant plusieurs semaines.
Lorsqu’enfin j’ai récupéré ma berline toutes options du travail, j’ai mis ma citadine en vente en espérant en tirer la même somme d’argent que celle investie au départ. Je n’ai malheureusement eu aucun appel durant une semaine et je commençais à me dire que j’avais dû me faire rouler à l’achat. Je m’apprêtais à baisser le prix quand le téléphone sonna pour la première fois.
C’était un dimanche et c’était un homme. Nous avons convenu d’un rendez-vous l’après-midi même et nous nous sommes retrouvés sur le parking d’un cinéma. Il devait avoir vingt-cinq ans et il avait l’allure d’un jeune diplômé plutôt sympa; il avait emmené sa copine: une jeune femme d’un mètre soixante menue et toute timide qui a à peine parlé à part les "bonjour" et les "au revoir" de rigueur.
J’ai laissé mon acheteur potentiel essayer la voiture puis ils m’ont tendus leurs permis pour que je note leurs noms; lui s’appelait Émilien et elle Marion. Ils m’ont dit qu’ils devaient encore réfléchir puis nous nous sommes souhaité une bonne fin de weekend.
Le mardi soir il m’a rappelé pour me proposer trois mille cinq cents euros. Nous avons négocié un peu; Cela m’ennuyait de brader ma Clio mais il était la seule personne à m’avoir contacté. Jallais me contenter de ce qu’il proposait mais juste avant que je ne dise "d’accord", il a un peu amélioré son offre:
— "Trois mille six cent euros et je vous paie le champagne !"
J’ai accepté et convenu de leur livrer la Clio à leur domicile le weekend suivant.
Le samedi, à midi et après un ultime passage au car-wash, j’étais donc devant une petite résidence légèrement à l’écart de la ville. Mon acheteur m’a ouvert la porte de son appartement avec un grand sourire et une fois dans son salon, comme promis, il nous a servi deux coupes.
Il n’y avait qu’un grand canapé, nous étions donc tous les deux installés dessus, chacun à une extrémité. Sa petite amie était présente aussi, elle se tenait en retrait dans l’embrasure de la porte qui menait à la cuisine. Elle était pieds nus et ne portait qu’un petit short beige très court et un top assez large qui dévoilait son ventre plat: C’était très décontracté mais c’était le weekend après tout. Je l’ai trouvée encore plus jolie que la dernière fois avec ses taches de rousseur, son maquillage léger, ses longs cheveux châtains et son air toujours aussi timide.
Le garçon m’a tendu une enveloppe en me disant:
— "J’ai une mauvaise nouvelle…"
Je l’ai regardé l’air interrogatif alors il a continué:
— "Il n’y a que trois mille euros. Je n’ai pas pu réunir toute la somme".
J’étais hors de moi: Il aurait dû m’appeler avant; Il n’était pas question que nous recommencions à négocier ou que je lui laisse mon auto à ce tarif. Autant la garder comme seconde voiture dans ces conditions. Je me suis levé en lui disant que ce n’était pas des façons de faire mais il a insisté pour que je me rasseye.
— "Ne partez pas, j’ai une solution à vous proposer".
Il a fait signe à sa compagne et elle est venue prendre place sur ses genoux face à moi. J’attendais que l’un des deux m’explique comment ils allaient régler les six cents euros supplémentaires mais la proposition fut bien différente.
— "Pour vous remercier d’être conciliant, Marion pourrait faire de son mieux pour vous être agréable"
Il me disait cela en caressant le haut des cuisses de la jeune femme pour me faire comprendre qu’il n’y avait pas de quiproquo… Il me proposait bien les charmes de la jeune femme.
— "Hein ma puce ? Qu’est-ce que tu en penses?"
Elle m’a regardé en se mordant les lèvres avant de souffler.
— "Ça pourrait être amusant"
Je n’en revenais pas de la tournure que cela prenait. Elle avait l’air tellement jeune; Si je n’avais pas eu son permis de conduire entre les mains une semaine plus tôt je n’aurais même pas été certain qu’elle était majeure. J’ai regardé son petit corps doré: elle me plaisait vraiment… et soyons honnête, à 40 ans passés je n’aurais sans doute plus eu beaucoup d’opportunités de poser les mains sur une jeune femme aussi fraîche et charmante.
— "Et on ferait ça comment ?"
Marion baissa les yeux dans un sourire moqueur: elle avait compris que dans ma tête j’avais déjà accepté le deal. Lentement, elle enleva son t-shirt et dévoila des petits seins qui se dressaient avec fierté.
Son homme a caressé ses côtes puis il a répondu:
— "On peut faire cela ici, on est bien tous les trois dans le salon".
Il a dû voir ma surprise alors il a clarifié les choses.
— "Je resterai avec vous mais je ne ferai rien. Je veux juste être près de Marion et la regarder".
C’était étrange et un peu glauque… mais je n’avais jamais fait cela et puis elle était vraiment jolie: Pourquoi ne pas vivre de nouvelles expériences, même à la quarantaine ?
Les premiers doutes qui me sont passés par l’esprit étaient plutôt des questions pratiques: Ai-je pris une douche avant de venir ? Quel caleçon ai-je sur moi ?
Ce n’est qu’après que j’ai posé la question qui aurait dû être ma première réaction.
— "Et vous mademoiselle, vous êtes certaines que cela vous convient ?".
Elle a fait "oui" de la tête en caressant doucement ses seins et son amant a complété:
— "Ce n’est pas exactement la première fois que nous faisons ce genre de choses…"
Je n’avais plus de raison de résister, j’ai dit "Alors nous sommes d’accord" et je me suis appuyé contre le dossier du canapé. Marion s’est déplacée avec élégance pour aller de son amant jusqu’à moi et elle m’a embrassé. C’était un vrai baiser comme ceux qu’échangent les amoureux et cela m’a cueilli immédiatement, je ne m’attendais pas à quelque chose d’aussi tendre.
J’ai bandé instantanément quand j’ai senti ses tétons rosés frotter mon bras et mon torse; j’avais terriblement envie d’elle.
Sa main a caressé ma nuque puis elle sest écartée de moi avec un sourire intriguant pour se placer à quatre pattes entre son homme et moi, le visage à hauteur de mon entrejambe et les fesses du côté du garçon.
J’ai défait ma ceinture et elle fit le reste, je me retrouvais avec mon jean et mon caleçon aux genoux alors qu’elle commençait déjà à caresser ma virilité. Sa petite langue a flatté mes testicules puis la base de ma verge avant de remonter. Elle a pris mon gland entre ses lèvres comme pour m’embrasser tout en me branlant avec sensualité: elle était douée.
J’ai poussé un soupir et machinalement j’ai tourné la tête vers son compagnon. Il me fixait, sans doute depuis le début: c’était gênant mais pas assez pour me déconcentrer. Il m’a envoyé un clin d’il:
— "Avouez qu’elle sait y faire !"
Je n’ai répondu que d’un signe de tête et je me suis autorisé à caresser le dos et les épaules de la jolie suceuse. Elle est descendue petit à petit tout en soupesant mes testicules avant de se redresser une première fois pour reprendre ses esprits.
Son homme lui a ôté son short ainsi que sa culotte noire en dentelles et pour mon plus grand bonheur, Marion a replacé ses lèvres sur ma verge juste après.
Je ne savais pas jusqu’où me permettre d’aller mais j’ai tout de même placé ma main droite sur sa nuque. J’ai serré un peu et ne la sentant pas réagir j’ai commencé à prendre le contrôle de ses mouvements. Son homme caressait ses cuisses et ses fesses de l’autre côté; elle a vite été réceptive et ses gémissements ont augmenté de volume. J’en ai profité pour placer ma seconde main sur son crâne et cette fois vraiment piloter les lèvres de ma partenaire d’un jour.
Le garçon m’a laissé faire un temps puis il a envoyé une claque sonore sur le postérieure de son amie en semblant s’exciter de la situation.
— "Je vais la diriger un peu si cela ne vous gêne pas".
Il m’a fallu quelques secondes pour comprendre ce qu’il avait en tête mais tout fut plus clair quand il se déplaça près de moi et qu’il me fit retirer les mains de la tête de sa copine pour y placer les siennes.
— "Chérie. Tu te laisses faire et tu ne paniques pas; Tu te rappelles ?"
Je l’ai sentie pousser le visage de la jeune fille une première fois, déjà nettement plus loin que je ne me l’étais permis puis après un instant de répit, il la força quasiment à m’avaler en entier. Elle avait vraiment du mal mais elle faisait de son mieux. Ses yeux coulaient un peu et elle avait dû déglutir mais déjà son homme revenait à la charge et appuyait sur le crane de la jeune femme jusqu’à ce qu’elle me prenne en bouche en totalité.
Ses lèvres étaient retroussées contre mon ventre, son dos se voûtait et elle hoquetait mais il ne la libérait pas.
— "Aspire comme je t’ai appris"
La sensation de succion fut divine et la situation était tellement particulière que je n’étais pas loin de craquer. Il me fallut respirer calmement pour ne pas déjà jouir dans la bouche qui m’accueillait. Émilien maintenait fermement sa compagne, elle se laissait faire mais ne pouvait refréner quelques mouvements mécaniques de reculs. Il n’en avait que faire et semblait s’exciter de la soumission de sa maîtresse.
Quand il l’a enfin lâchée, ma verge et les lèvres de Marion sont restées liés par plusieurs filets de salive. J’étais tellement entré dans ce délire que je trouvais cela excitant.
Elle eut besoin d’une minute pour reprendre pieds mais le jeune homme ne lui en accorda pas plus. Il sassit de nouveau et il installa sa petite amie sur le fauteuil sur le dos les jambes écartées et la tête en appui sur ses propres cuisses.
Il m’a envoyé un préservatif mais je ne l’ai pas enfilé immédiatement. Après la divine fellation que ma partenaire m’avait offerte, je voulais lui rendre la pareille. J’ai approché mon visage de son intimité en la sentant pousser son bassin à ma rencontre mais son homme nous a arrêtés.
— "C’est ce qu’elle préfère alors il n’y a que moi qui lui fait cela".
Il caressait le visage de la jolie étudiante en disant cela; Je les ai trouvés mignons ! Émilien ne se réservait pas les pratiques les plus hard mais celles que sa compagne aimait le plus; C’était assez élégant et ce n’était pas ce que je m’étais imaginé dans ce genre de relation.
J’ai enfilé la capote et je me suis présenté prêt à pénétrer Marion. Par acquis de conscience j’ai marqué un temps d’arrêt pour leur laisser une dernière opportunité de changer d’avis puis j’ai lentement glissé dans le ventre qui s’offrait à moi.
Cela faisait une éternité que je n’avais pas fait l’amour avec une femme aussi jeune et la sensation était un tel délice que j’en étais moi-même surpris: elle était à la fois lisse, étroite et trempée, elle gémissait comme si j’avais été "monté" comme un acteur de film X… Que c’était bon !
Je l’ai prise d’abord doucement puis plus fermement en cramponnant mes mains autour de sa taille. Son mec semblait ravi lorsqu’elle geignait d’être visitée au plus profond, je n’étais même plus gêné de besogner sa compagne en sa présence.
Après quelques minutes, je l’ai retournée pour la mettre à quatre pattes. Le garçon m’a fait un clin d’il et il a enfoncé ses doigts dans la bouche de sa femme exactement au moment où je revenais en elle. Il lui cramponnait les cheveux pour la forcer à mimer une fellation; Quant à moi, je ne prenais plus de gants et je butais en elle à chaque vas et viens.
Cette position indécente m’offrait une vue parfaite sur la raie des fesses de Marion. Je mourrais d’envie d’enfoncer mon majeur, si pas plus, dans son fondement mais tout cela m’avait l’air "tout neuf" alors j’ai restreint mon désir. C’est néanmoins en ayant cette pensée en tête que j’ai senti le plaisir bouillir en moi. J’ai grogné une première fois puis je me suis extirpé des chairs de la jeune femme et j’ai arraché mon préservatif pour éjaculer sur les jolies petites fesses qui m’avaient donné tellement d’idées.
Je me suis rendu compte que je ne savais même pas si ma partenaire avait joui elle aussi tant j’avais été absorbé par mon propre plaisir. J’étais déçu de moi mais pas de ce moment exquis.
Je reprenais encore mes esprits quand le garçon demanda à Marion de se mettre à genoux par terre. Il sorti son sexe et se masturba devant le visage de son amie, elle ne semblait pas surprise et elle ferma les yeux un instant plus tard lorsqu’il laissa son sperme s’écraser sur les traits fins de sa complice. Cela avait été vraiment rapide: Était-ce parce quil n’avait que quelques secondes d’endurance qu’il offrait sa femme à d’autres ? C’était possible mais je me voyais mal lui en demander confirmation.
Les minutes qui suivirent furent plus gênantes: Le retour au monde réel s’imposait et il fallait faire le deuil de la folie que nous venions de vivre. J’ai appelé un taxi et avec maladresse je les ai quittés en leur serrant la main.
Par la suite, j’ai souvent repensé à cette étrange journée et je dois avouer que je ne pouvais m’empêcher de fantasmer sur la jolie Marion lorsque je croisais une Clio de la même couleur que celle que javais possédée… et pour le meilleur comme pour le pire… c’est un modèle et une teinte que l’on voit très fréquemment.