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La mère de ma copine Elodie – Chapitre 4




Salut c’est votre folle de lycra.

J’en arrive à avoir peur de faire une suite vu le succès des trois premiers chapitres. J’ai peur de ne pas être à la hauteur pour cette suite. En fait je vais vous avouer j’hésite entre deux suites mais je vais faire celle que manifestement vous désirez

Donc on se remémore l’histoire.

Alors que j’étais fraîchement diplômé que je travaillais dans l’optique je me suis fait courtiser par une dame de l’âge de ma mère mais d’une grande beauté d’une assurance et d’une détermination impressionnantes. Geneviève savait ce qu’elle voulait en l’occurrence c’était moi, à plusieurs reprises je me suis littéralement fait enlever mais finalement je n’ai pas eu à m’en plaindre. Sexuellement elle était carrément en train de me dévergonder et moi j’étais confus de honte car j’avais une copine que j’aime très fort et avec qui je caressais de doux projets sur le long terme. Je connaissais Élodie depuis longtemps et nous habitions chacun de notre côté dans la vallée de Chevreuse, nous ne faisions des folies que le weekend et que très rarement en semaine. Elle a un emploi de commercial qu’il l’intéresse énormément et pour lequel elle s’investit pleinement. Avec elle nous avions pris nos petites habitudes et surtout mon petit doigt me disait qu’Élodie voulait un bébé à court terme. Pour cela il fallait que nous nous présentions officiellement aux familles nous avons essayé à plusieurs reprises mais suite à des déconvenues cela n’avait pu se faire. Aujourd’hui la maman d’Élodie venait manger chez elle et j’étais convié à ce repas ; c’était un grand jour, celui des présentations.

Il était midi et demi, on venait de sonner à la porte et j’étais de mission pour aller ouvrir cette dernière et accueillir la maman de ma chérie. De son côté Élodie était toujours affairée aux fourneaux à préparer un petit repas comme elle savait si bien le faire. Quand j’ai ouvert la porte, j’ai cru que j’allais tomber de surprise, à ma grande surprise, la maman d’Élodie a gardé son sang-froid. Elle était impassible, on ne pouvait rien voir sur son visage, elle m’a juste fait de signe son index devant sa bouche pour m’inviter à me taire et son pouce qui a fait le tour de l’avant de son cou pour me faire comprendre qu’il fallait que je me taise. En ouvrant cette porte je venais de me retrouver face à Geneviève et cette dernière a fait comme si de rien n’était ; comme si il n’y avait rien eu entre nous. À ce moment-là Élodie est arrivée pour faire les présentations:

— Maman je te présente Jean-Louis, mon homme

— Je ne sais pas si tu te souviens de lui, il est venu me chercher quelquefois à la maison mais vous ne fîtes que vous apercevoir de loin

— Jean-Louis je te présente ma maman Geneviève, celle dont je te parle tant.

Geneviève m’avait tendu la main pour me saluer mais j’ai tendu la joue pour lui faire la bise et Élodie a dit que ce serait bien que l’on se fasse la bise.

Comme à son habitude, elle était habillée de façon très distinguée, très élégante, un brin désirable ; belle-maman c’était la classe personnifiée. Elle était perchée sur de magnifiques escarpins, je me serais volontiers agenouillé pour lui entretenir le brillant du vernis. Son maquillage était sobre mais monstrueusement efficace pour mettre son charme en avant. Un chemisier d’une grande douceur qui laissait deviner une poitrine gourmande et provocatrice ; une jupe elle aussi sans doute très douce qui laissait deviner des jambes magnifiques et moi je les savais magnifiques. Je pense quelle avait dû passer chez le coiffeur car ses cheveux relativement longs étaient ondulés, contrairement à leur habitude. Tout cela pour vous dire que ce midi Geneviève, une fois de plus, était irrésistible et je savais de quoi je parlais. Nous sommes passés dans le séjour salle à manger pour nous mettre à l’aise et nous avons commencé à causer de choses et d’autres.

Ainsi Geneviève désirait savoir dans quoi je travaillais, j’étais impressionné par son aplomb. Je lui ai donc expliqué mon travail où je travaillais ce que j’y faisais, j’avais l’impression d’interpréter un rôle dans le bal des faux-culs. Un moment Élodie m’a appelé dans la cuisine elle avait besoin que je lui file un coup de main pour amener les plats sur la table. Elle en a profité pour me demander comment je trouvais sa maman physiquement, je lui ai répondu franchement en lui disant que sa maman était encore très appétissante et qu’elle ne faisait pas son âge. Ma belle a apprécié ma franchise et m’a regardé en souriant et surtout en me disant tout bas:

— Tu sais elle est célibataire je pourrais te la prêter.

J’étais un peu sur le cul par les propos qu’elle venait de me tenir, je ne savais pas comment je devais le prendre ; j’ai mis ça sur le dos de la rigolade et c’est passé comme une lettre à la poste.

— Tu sais avec ma maman nous sommes très très proche et nous ne nous cachons rien.

Là au fond de moi, je me disais il y a deux solutions ou elle sait tout ou alors elle se fout le doigt dans lil au sujet de sa maman. Voyant la réaction de sa maman quand je l’ai vue en entrebâillement de la porte j’ai plus opté pour la seconde option.

Je suis reparti dans le séjour rapidement pour ne pas laisser Geneviève toute seule mais les mains pleines d’une Poissonnière avec un magnifique saumon dedans. J’ai eu le privilège de nettoyer le poisson, à savoir lui retirer sa peau et ensuite le défaire de ses arêtes. Élodie nous avait préparé un riz de qualité pour accompagner la chose et surtout une sauce, comme seule elle savait les faire. J’ai fait le service et de temps à autre j’essayais de croiser le regard de la maman mais rien à faire il n’y avait pas une once de complicité. Nous avons attendu le retour de ma belle pour commencer le repas et nous régaler, rapidement Élodie a commencé à prendre la direction des conversations. En fait elle expliquait à sa mère qu’elle désirait que je vienne vivre avec elle car elle désirait avoir un enfant rapidement. Geneviève avait l’air très heureuse d’entendre ses projets et c’est à ce moment qu’elle m’a enfin lancé un regard coquin que j’étais le seul à pouvoir saisir.

— Bref tu es en train de m’expliquer que tu désires que Jean-Louis rentre dans la famille.

— Tu es en train de m’expliquer que tu vas me faire grand-mère dans peu de temps.

— Tu es en train de m’expliquer que je vais devenir belle-maman.

— Je suis heureuse pour vous et je serai toujours là pour vous soutenir dans vos projets.

Dans ces phrases j’en conclus que la maman d’Élodie donnait son aval à ce que nous nous mettions ensemble.

Puis subitement pendant que Geneviève parlait, j’ai réalisé qu’elle était en train de me faire du pied, elle était culottée ; elle était en train de me chauffer alors que nous étions chez sa fille. Elle faisait ça discrètement de telle façon à ce qu’Élodie ne voit rien, je ne relevais pas mais par contre je me laissais faire. J’ai toujours ce vieil adage en tête: qui ne dit rien consent, à mes yeux j’étais consentant donc coupable tout autant qu’elle. Future belle-maman prenait de l’assurance et maintenant ses pieds venaient carrément me caresser les mollets, elle a tenté si bien réussi son coup qu’elle l’avait fini par me filer une érection. J’étais en train de me mettre à bander sous l’action de belle-maman sous les yeux de ma compagne sans que cette dernière ne s’en rende compte. Quelque part cela me faisait un peu de peine pour ma chérie car je la trouvais bien innocente à côté de sa maman à ce point coquine. Le repas était en train de prendre fin, j’avais une érection de malade et nous étions en train de manger un café liégeois chacun. Une fois le dessert terminé je me suis proposé à débarrasser la table et faire la vaisselle comme j’en avais l’habitude jusqu’à maintenant, Élodie m’a dit qu’elle allait faire une sieste comme à son habitude et Geneviève m’a dit qu’elle allait m’aider pour la vaisselle.

Élodie nous avait préparé un repas magistral mais à chaque fois cela sous-entendait qu’il y avait une bonne dose de vaisselle à faire derrière, je m’en foutais j’adorais ça. Je me suis donc retrouvé dans la cuisine avec belle-maman seuls pour au moins une heure et demie, j’avais peur pour moi. Tout a bien commencé, je lavais la vaisselle, je la rinçais, elle essuyait, elle rangeait ; j’ai toujours aimé faire la vaisselle car je suis un peu maniaque au niveau de la propreté des couverts et de ce qui a été lavé. Personnellement je n’aime pas les lave-vaisselle car il est quand même assez fréquent de retrouver une partie du menu dans les fourchettes ou dans les verres. Vu qu’elle allait plus vite que moi cela lui laissait un peu de temps libre, ce qui lui a rapidement permis à venir se coller derrière moi et me caresser l’avant du corps. Déjà qu’après les attouchements qu’elle m’avait faits avec ses pieds j’avais toujours une érection mais là c’était encore pire, d’autant que future belle-maman connaissait bien mon corps, mine de rien.

C’est sans-gêne qu’elle s’est mise à me caresser le sexe, puis carrément me le sortir pour me le masturber ; en sachant bien que je n’allais pas rouspéter une crier de peur de réveiller ma chérie. Malgré ce traitement j’essayais de rester concentré sur la vaisselle que j’étais en train de faire, même si ce n’était pas évident. Elle essuyait et rangeait la vaisselle vraiment consciencieusement mais je pense que ce qu’elle faisait le mieux à ce moment-là c’était de me mettre le feu. Cela me faisait tout drôle d’avoir le sexe sorti au niveau de l’évier et auquel je ne touchais pas, j’avais vraiment l’impression que mon appendice était la propriété de Geneviève. Dans ces conditions, je peux vous garantir que tous les hommes sont prêts à faire la vaisselle le mieux possible pour rester le plus longtemps possible devant l’évier. À force de me tirer sur l’élastique ma future belle-mère a réussi à me faire éjaculer de longues giclées dans l’évier. Ça l’a faisait marrer…

— On dirait que tu nous as balancé du liquide vaisselle.

Voilà le genre de commentaire auquel j’ai eu droit.

Geneviève m’a expliqué à l’oreille, après m’avoir nettoyé le sexe au robinet:

— Ton sexe m’appartient à moi et Élodie.

— Si un jour elle l’apprend, je te pourrirai la vie, tu perdras ton boulot et évidemment Élodie.

Le ton sur lequel il m’a dit ça laissait supposer qu’elle ne rigolait pas. Bien évidemment j’ai fini ma tâche ménagère avant elle ce qui m’a permis de ranger mon sexe rapidement. Je me suis mis à donner un rapide coup d’éponge dans l’évier et retour car j’avais oublié de le faire mais pendant ce temps-là Geneviève m’a fait une surprise. Elle s’était débarrassée de sa culotte et était arrivée par-derrière pour me la donner à sentir, je ne contrôlais pas les événements en ce sens où je ne pouvais pas rouspéter mais en même temps j’étais un peu gêné de savourer cette odeur bien féminine qui se présentait sous mes narines et que j’aimais tant. Elle avait une assurance qui me déstabilisait complètement, c’est toujours elle qui était sur l’offensive ; je ne faisais que subir ses désirs.

Manifestement elle savait qu’Élodie dormait d’un sommeil profond l’après-midi car elle faisait comme si nous n’étions que tous les deux dans l’appartement. Lorsqu’elle m’a pris par la main pour me faire agenouiller devant elle, Geneviève s’était calée contre le mur de la cuisine et avait levé la jambe gauche pour la déposer sur le plan de travail. Ainsi positionné à genoux, j’avais une vue magnifique sur son entrejambe, il aurait fallu être stupide pour ne pas comprendre ce qu’elle désirait. J’avais vraiment la trouille que ma chérie se lève à l’improviste et nous surprenne dans la cuisine pendant que je broutais le minou de sa mère. Geneviève était impassible et surtout impatiente que je vienne déposer des premiers baisers sur sa friandise. Bien évidemment après les baisers, c’est ma langue qui est entrée en action, pour lui faire le plus de bien possible. Je commençais à connaître son intimité et surtout ses parties sensibles, c’est ainsi que je n’ai pas été bien long à commencer à l’entendre soupirer de plaisir.

Son minou était complètement trempé de désir, son nectar suintait de partout, c’était vraiment un plaisir que de m’occuper d’elle. Ma main droite était accrochée à sa cuisse gauche, celle qui était posée sur le plan de travail ; tandis que ma main gauche était collée à sa fesse droite contre le mur. C’est le désir de butiner le fruit défendu qui a pris le dessus sur la trouille de me faire prendre par ma belle au réveil. Geneviève savait ce qu’elle voulait et maintenant je commençais à pouvoir répondre à sa demande à ma propre initiative. J’ai rapidement découvert que quand je mettais ma langue dans son vagin mon nez pouvait remplacer ma langue au niveau de son clitoris. À ce rythme-là l’inconvénient c’est que j’avais rapidement le visage couvert de nectar féminin. Que ce soit le goût ou l’odeur de sa cyprine, que ce soit ma position de soumission envers elle, que ce soit ses réactions par rapport à mes coups de langue entre ses jambes ; quoi que je fasse dans l’intimité de belle-maman, cela m’excitait.

La maman d’Élodie appuyait sur mon visage, j’avais l’impression qu’elle voulait que j’aie encore plus de son nectar sur le visage. Elle me tenait par les cheveux et il lui arrivait de temps à autre de me les tirer, je me sentais vraiment à elle bien qu’officiellement je sois le chéri de sa fille. Il y avait un énorme suspense pour moi et la peur d’être pris mais en même temps j’ai l’impression quelle, elle n’avait peur de rien. Vu le contexte et l’endroit où nous faisions ça, Geneviève n’a pas été bien longue à prendre son pied. Pour mon plus grand plaisir, elle m’a encore gardé quelques instants la tête enfouie sous sa robe histoire que je lui fasse sa toilette intime. Une fois l’opération terminée je me suis relevé et elle a rabattu sa robe, il n’y avait plus de trace de notre méfait excepté une forte odeur de femme dans la cuisine.

— Maintenant il va falloir que tu prennes l’habitude de me faire du bien quand je te le demande et il ne faudra pas que l’on se fasse attraper.

— Tu vas me faire le plaisir de me donner ton boxer et d’enfiler ma culotte.

— Je veux que tu m’appartiennes et je te partagerai avec ma fille.

— Je te fais confiance pour ne pas te faire prendre avec ma culotte par Élodie

— Au pire, je te laisse trouver une excuse.

C’est sur ces mots que nous quittâmes la cuisine tous les deux vidés et épuisés. Je me suis donc exécuté à intervertir mon boxer avec sa culotte trempée, qui sentait bon la femme ; tout cela sous les yeux de Geneviève amusée. Nous sommes ensuite retournés dans le canapé pour regarder un peu la télé en attendant que sa fille se réveille. Élodie a fait une sieste de près de deux heures, quand elle est réapparue, elle avait encore la tête dans les nuages. Elle est venue m’embrasser avec gourmandise et sur le coup je n’ai pas réalisé que mon village devait sentir très fort la foufoune de sa mère. Comme par magie je n’ai pas eu un seul commentaire de sa part ; juste sa douceur, cette dernière me faisant fondre pour elle tous les matins. Elodie et venue s’assoir à côté de moi et c’est avec une grande claque bruyante sur ma cuisse qu’elle m’a demandé si j’en avais profité pour faire connaissance avec sa maman. C’est Geneviève qui a répondu pour moi.

En espérant que ce quatrième chapitre vous plaira autant que les trois premiers

Je vous fais des gros bisous

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